Description:« — Au feu ! le château est en feu ! au feu ! » Ces appels sinistres retentirent soudain entre onze heures et minuit dans la rue unique du village de Trez-Hir. C’était jour de pardon et, depuis la veille, tout le monde vivait en liesse : on n’avait fait que chanter, boire et danser à Trez-Hir, et on entendait encore les nasillements rythmés du biniou se mêlant aux cris d’alarme : « Au feu ! au feu ! » Le contraste de ces cris sinistres était affreux.