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Exploiter des albums pour l'apprentissage de l'anglais. Comment utiliser un même album avec des PDF

32 Pages·2015·1.14 MB·French
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Exploiter des albums pour l’apprentissage de l’anglais. Comment utiliser un même album avec des élèves de cycles différents? Chrystèle Chenu To cite this version: Chrystèle Chenu. Exploiter des albums pour l’apprentissage de l’anglais. Comment utiliser un même album avec des élèves de cycles différents?. Education. 2015. ￿dumas-01254433￿ HAL Id: dumas-01254433 https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01254433 Submitted on 12 Jan 2016 HAL is a multi-disciplinary open access L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est archive for the deposit and dissemination of sci- destinée au dépôt et à la diffusion de documents entific research documents, whether they are pub- scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, lished or not. The documents may come from émanant des établissements d’enseignement et de teaching and research institutions in France or recherche français ou étrangers, des laboratoires abroad, or from public or private research centers. publics ou privés. IUFM de Bonneville Année universitaire 2014-2015 Master Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation Professeur des écoles 2ème année Exploiter des albums pour l’apprentissage de l’anglais : Comment utiliser un même album avec des élèves de cycles différents ? Présenté par CHENU Chrystèle Première partie rédigée en collaboration avec GAILLARDON Elodie Discipline : Anglais Responsable du mémoire : COLLIN Christiane « Une langue vous ouvre un couloir pour la vie. Deux langues ouvrent toutes les portes sur le chemin. » Frank Smith Table des matières INTRODUCTION : ..................................................................................................................................................... 1 I- PARTIE THEORIQUE : ........................................................................................................................................ 2 1. UN RENOUVEAU DES PRATIQUES EN LANGUES : ....................................................................................................................................... 2 A. Historique de l’enseignement des langues à l’école : ........................................................................................................ 2 B. Structuration d’une unité d’enseignement : .......................................................................................................................... 3 2. ENSEIGNER L’ANGLAIS A PARTIR D’ALBUMS : ........................................................................................................................................... 9 A. Intérêts des albums en classe pour l’apprentissage d’une langue : ............................................................................ 9 B. Comment choisir un album ? : .................................................................................................................................................. 11 C. La démarche : .................................................................................................................................................................................. 12 II - UNE PRESENTATION PRECISE DE LA METHODOLOGIE :....................................................................13 1. PRESENTATION DU CONTEXTE : ............................................................................................................................................................... 13 A. L’école : .............................................................................................................................................................................................. 13 B. La classe : .......................................................................................................................................................................................... 14 C. Mon cheminement : ....................................................................................................................................................................... 14 D. Le choix de l’album : ...................................................................................................................................................................... 15 2. LES SEQUENCES MISES EN ŒUVRE DURANT LE STAGE : ....................................................................................................................... 16 A. Les objectifs et compétences visées : ..................................................................................................................................... 16 B. Plans de séquence: ......................................................................................................................................................................... 16 C. Mode de recueil des données : .................................................................................................................................................. 18 III- PRESENTATION DES RESULTATS ET DISCUSSION :...............................................................................18 1. COMPARAISON DE DEUX SEQUENCES MONTRANT L’IMPORTANCE DE S’ADAPTER AUX CAPACITES DES ELEVES : .................... 19 A. Les activités : ................................................................................................................................................................................... 19 B. La phonologie :................................................................................................................................................................................ 20 C. Les traces écrites : ......................................................................................................................................................................... 21 D. L’acquisition du lexique : ............................................................................................................................................................. 21 E. Les notions grammaticales : ....................................................................................................................................................... 22 2. REFLEXIONS SUR MA PRATIQUE EN CYCLE 3 : ....................................................................................................................................... 22 A. L’album, un support motivant à choisir avec précaution: ........................................................................................... 22 B. L’album, un support facilitant l’apprentissage : .............................................................................................................. 24 C. Les activités proposées autour de l’album : ........................................................................................................................ 24 CONCLUSION : ........................................................................................................................................................27 BIBLIOGRAPHIE : ...................................................................................................................................................28 Introduction : « Une langue vous ouvre un couloir pour la vie. Deux langues ouvrent toutes les portes sur le chemin » Cette citation de Franck Smith, reconnu pour ses travaux en linguistique et en psychologie cognitive, illustre bien le fait que la communication mondiale est régie par les langues. Plus particulièrement, l’anglais est la langue maternelle d’environ quatre cent millions de personnes et la langue secondaire d’approximativement un milliard d’individus : ce qui la classe en tête en occident. L’anglais se révèle être un véritable outil de communication qu’il est indispensable de maitriser pour s’ouvrir aux autres et à différentes cultures. Au vue de ces constatations, l’enseignement des langues vivantes a été progressivement introduit à l’école primaire. Cela s’explique notamment par le fait que les enfants présentent des facilités pour apprendre une langue (leurs aptitudes sont supérieures à celles des adultes jusqu’à l’âge de 10 ans environ). En effet, les études réalisées par l’Observatoire Européen du Plurilinguisme ont montré que dès la grossesse, les bébés sont capables de discriminer un grand nombre de sons. De même, les enfants possèdent une oreille très souple et ont des facilités d’imitation et d’intonation, qualités qui se sclérosent avec l’âge, d’où la nécessité d’enseigner les langues très tôt. Cette facilité d’apprentissage ne veut pas pour autant dire qu’il suffit de mettre en contact l’enfant avec une langue étrangère pour qu’il la maitrise. De nombreuses études ont prouvé que la mise en place d’une approche adaptée favorise la motivation, facilité et méthode adaptée sont deux facteurs favorables pour l’apprentissage d’une langue étrangère. Ces découvertes ont alors eu des conséquences sur les méthodes d’enseignement des langues à l’école qui se sont notamment axées sur le développement de compétences communicatives. Les programmes de 2008 donnent des conseils afin de développer ces compétences. Ils recommandent par exemple l’utilisation de documents authentiques comme les albums sans pour autant donner de pistes précises. A la lumière de ces informations, nous nous sommes posé plusieurs questions : Comment choisir un album ? Comment l’exploiter en classe? Peut-on choisir un même album pour des élèves de cycles différents ? Ainsi, à travers ce mémoire, nous allons essayer de répondre à cette dernière question : Comment aborder un même album avec des élèves de cycles différents ? Pour cela, nous nous appuierons sur un cadre théorique formé de plusieurs textes. Je présenterai ensuite les séquences réalisées dans ma classe de CM1 à l’école élémentaire du Chef Lieu à Poisy. Enfin, en se basant sur mes observations et les arguments présents dans les textes, j’apporterai des éléments de réponse. 1 I- Partie théorique : 1. Un renouveau des pratiques en langues : A. Historique de l’enseignement des langues à l’école : L'enseignement des langues étrangères fait aujourd'hui partie intégrante des programmes officiels de l'école primaire ce qui confère aux LVE le statut de discipline à part entière. Cette considération importante des langues marque une véritable évolution par rapport aux décennies précédentes. Les premières expérimentations officielles datent des années 1960. A cette période, sous l'impulsion de Mme Delauney et M. Haby, les premières méthodes d'enseignement en langues ont été mises au point. Il y eut alors une prolifération d’essais dans des classes diverses sans qu’ils ne soient réellement soumis à un cadre précis. Ce cadre fut alors précisé par la circulaire de 1972 qui définit trois périodes charnières pour l'apprentissage des LVE : une période de sensibilisation en maternelle, suivie d'une période d'approfondissement au CP-CE1, pour terminer par une période de structuration au C3. Durant les années qui suivirent, de nouvelles expérimentations ont été mises en place dans les classes, mais elles eurent du mal à faire leur preuve à cause d'un manque de motivation de certains enseignants, d'une formation insuffisante ainsi que d'un manque de moyens accordés aux LVE (moyens financiers, horaires consacrés à l'anglais insuffisants…) [D. Girard (1974-1975). Rapport pour le Ministère de l’Education Nationale, Enseignement précoce des langues vivantes] C’est véritablement en 1998 que l'enseignement des langues étrangères, sous l'impulsion de Jack Lang, est devenu une priorité nationale. Les langues vivantes ont ainsi été inscrites dans les programmes de 1998 pour les C2 et C3, ce qui amorce la généralisation de l’enseignement d’une langue vivante à l’école primaire. En cycle 2, ces programmes incitaient à une sensibilisation alors qu'au cycle 3 les LVE étaient considérées comme un véritable apprentissage. A l’école primaire, selon S. Rosenberger, la priorité était donnée à "la langue orale, la capacité de compréhension des élèves, la reconnaissance et la reproduction des sonorités de la langue, l'appropriation de fonctions langagières de base avec une première prise de conscience du fonctionnement de la langue et enfin une sensibilisation aux faits culturels pour aider l'élève à s'ouvrir aux réalités d'un monde étranger" (2008). Ainsi, c’est à partir de là que les LVE deviennent une discipline à part entière avec un horaire dédié, des contenus officiels, une évaluation fréquente et une volonté de continuité entre le CM2 et la 6ème. Aujourd'hui, la volonté est toujours affichée de favoriser l'apprentissage des LVE avec notamment l’intégration du socle commun de connaissances et de compétences dans lequel les langues représentent à elles seules le pilier 2. A la fin de l’école primaire, les élèves doivent avoir 2 acquis le niveau A1 du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour l’apprentissage/enseignement des Langues). De plus, les nouveaux enseignants bénéficient d’une formation initiale et continue pour l’enseignement des langues, cependant les enseignants en poste depuis de nombreuses années n’ont eu que peu de formation à ce sujet, ce qui peut être source de difficulté pour enseigner. B. Structuration d’une unité d’enseignement : L’évolution du statut des LVE à l'école primaire a nécessairement entrainé une remise en cause des méthodes et des pratiques d'enseignement. De plus, il est important de rappeler que l’objectif n’est pas de rendre les élèves bilingues, mais de les rendre capable de communiquer en langue étrangère lors de situations de la vie courante. Comment faire pour parvenir à cet objectif ? a. Les différentes phases de l’apprentissage (séquence) : Lors de l’apprentissage d’une langue, il est important d’élaborer une progression réfléchie : en effet la séquence d’anglais, ou de toute autre langue étrangère, doit être construite autour d’une progression qui suit un ordre logique dans la présentation des contenus linguistiques aux élèves. Or, les méthodes antérieures d’enseignement se basaient sur quatre étapes organisées dans cet ordre : tout d’abord une phase consacrée à la lecture afin de décrypter l’écrit, ensuite une phase d’écriture, puis une phase d’écoute suivie d’une phase d’échange oral. Suite aux recherches en didactique des langues, ce déroulement a été revu puisqu’il ne respectait pas l’ordre naturel de l’apprentissage. En effet, selon les didacticiens, pour que l’élève puisse apprendre une langue étrangère, il doit être replacé dans une chronologie identique à celle de l’apprentissage de sa langue maternelle. Ainsi, en s’appuyant sur le document d’accompagnement des programmes de Langues Vivantes et sur l’article « Kids and Stories » de S. Clark (2012), voici les différentes étapes d’une séquence type de LVE:  Mise en route – Warming up : Moments rituels consistant à marquer le passage de la langue maternelle à la langue étrangère. Ils permettent de rompre avec les séances précédentes et ainsi de faire rentrer plus facilement les élèves dans une logique d’une autre culture. En effet, ces rituels créent un contexte artificiel, comme une bulle symbolique, propice à entrer dans le monde anglophone. Ils peuvent prendre plusieurs formes, notamment en fonction de l’âge des élèves : → Se déplacer vers le coin anglais par exemple pour des cycles 2. → Support visuel (posters, affichages…) permettant le passage de l’école française vers l’école anglaise par un bus anglais. → Petite comptine ou chanson utilisée tout au long de l’année à la manière d’un jingle. 3 → Une phrase du type « Now, it’s english time ! » est généralement suffisante pour des élèves de cycle 3. A partir de ce moment, les enfants savent qu’ils ne doivent plus parler français. Puis l’enseignant enchaine sur les rituels de début de séance qui permettent aux élèves d’entrer dans l’activité de manière sécurisante et rassurante. Cela peut consister à demander la date, parler du temps qu’il fait, écouter/chanter une chanson connue, ou encore réciter une comptine.  Rebrassage des acquis – Recycling : Par cette étape, il s’agit de se remettre en mémoire les connaissances acquises lors des séances précédentes. C’est sur ces connaissances que l’enseignant va s’appuyer pour introduire la notion nouvelle. Pour se faire, l’enseignant propose des activités de listening, doing ou speaking. Par exemple: montrer des flashcards et poser des questions du type « What is it ? » ; dictée de nombres ou de couleur ; des jeux simples connus des élèves (Bingo, Simon says, What’s missing?...)  Présentation de la fonction langagière nouvelle – Exposure : C’est le moment décisif de la séance puisqu’il s’agit de faire découvrir aux élèves du lexique ou une structure grammaticale mais rarement les deux en même temps. Pour que les élèves puissent construire du sens et mémoriser la fonction langagière nouvelle sans avoir recours à la langue maternelle, l’enseignant peut utiliser : → Des supports adaptés et variés : des albums et leurs illustrations, des chansons, des comptines, des flashcards, des objets… → Des gestuelles : comme les mimes, les actions qui illustrent ses paroles. Les élèves sont alors en pleine active listening. L’utilisation de ces ressources est indispensable puisqu’elles permettent aux élèves de prendre appui sur des indices très clairs en vue de construire leur compréhension. En effet, cela aide les enfants à comprendre et s’approprier le lexique et les structures grammaticales sans passer par la langue maternelle, compétence qui a long terme favorisera le passage rapide d’une langue à une autre.  Appropriation de la fonction nouvelle – Fixation : C’est une phase de réinvestissement dirigé en vue de s’approprier la nouvelle fonction langagière. Pour cela plusieurs étapes intermédiaires sont importantes : → La vérification de la compréhension orale : elle peut se manifester par des activités d’interaction entre enseignant/élève ou élève/élève sans expression verbale. En effet, les enfants sont amenés à réagir aux dires de l’enseignant avec leurs corps. Cette méthode, appelée TPR (Total Physical Response), mise au point par James Asher (1977), consiste à les amener à écouter et manifester leur compréhension par des gestes. Les expérimentations 4 de J. Asher ont montré que cette méthode baisse l’anxiété des élèves lors l’apprentissage puisqu’ils n’ont pas le stress de produire du langage tout de suite. L’activité « Robot » est un exemple de TPR activity : l’enseignant commande ses robots (ses élèves) à faire des tâches dans la classe. Autres exemples d’activités: Simon says, point to, colour the flags… → La répétition : elle amorce le processus de mémorisation et permet aux élèves d’acquérir le bon schéma intonatif des mots ou de la structure grammaticale. L’enseignant peut faire varier les différents modes de répétition (collective, individuelle, que les garçons, que les filles…) afin que les élèves entrent plus facilement dans la tâche. → Aide à la mémorisation : à l’aide de petits jeux tels que what’s missing, chainword…  Pratique communicative d’entrainement – Practice : Durant cette phase, l’enseignant doit proposer aux élèves des activités de communication afin qu’ils puissent exercer leur nouvelle compétence langagière et ainsi s’approprier la langue. Cette étape, qui ne doit pas dépasser quinze minutes, augmente le temps de parole de chacun et vise l’autonomie langagière. Ainsi les élèves manipulent la langue notamment via des petits jeux en group work ou pair work : survey, memory game…  La trace écrite : Il est nécessaire de bien distinguer forme écrite et trace écrite. En cycle 2, il n’y a pas de formes écrites en CP et très peu en CE1 contrairement au cycle 3. Cependant au C2, il est toutefois nécessaire de conserver une trace écrite des activités faites en classe : coloriage, grilles de bingo, grilles de survey… De plus, au C3, l’écrit ne doit apparaitre que lorsque le lexique ou la structure grammaticale a été acquise pour ne pas interférer avec la prononciation travaillée à l’oral. La trace écrite pourra prendre la forme d’images légendées, d’exercices de type matching, des comptines ou chansons… Quel que soit le cycle, le cahier sera un outil pour revoir, se rappeler mais aussi marquer un lien entre la famille et l’école.  La pratique raisonnée de la langue et de la phonologie : La pratique raisonnée de la langue se réalise de manière implicite en partant notamment de constatations, de comparaison (similitudes, différences) avec la langue maternelle. Le travail en phonologie est quant à lui un point très important lors de l’apprentissage d’une langue vivante. Dès le début de l’apprentissage, l’enseignant doit amener les élèves à se rendre compte que la prosodie anglaise (prononciation, schéma intonatif et rythme) est bien différente de celle de la langue maternelle et qu’elle est indispensable pour se faire comprendre. Il faut la travailler avec les élèves dans la mesure où l’éducation de l’oreille est un objectif des programmes 5 de 2008 : « A l’école élémentaire, l’enseignement d’une langue a trois objectifs prioritaires : […] Eduquer son oreille à des réalités mélodiques et accentuelles d’une langue nouvelle ». A cet âge, l’oreille des enfants est plus flexible que celle des adultes, c’est donc le moment idéal pour faire ce travail.  Culture et civilisation : L’approche de la culture et de la civilisation des pays anglophones est encouragée par les instructions officielles. Elle permet notamment de favoriser l’ouverture d’esprit et la curiosité des élèves. De même, cela les invite à prendre du recul par rapport à leur propre culture, à leur langue ce qui les rend plus tolérants. Ces points se retrouvent notamment dans les programmes de 2008 : « L’élargissement des repères culturels favorise la prise de conscience de certaines différences et aiguise la curiosité et l’envie de communiquer. L’élève développera ainsi le sens du relatif et de l’altérité et sa vision du monde, plus éclairée, lui permettra de développer un esprit critique et de dépasser ainsi les stéréotypes ». Ainsi, les fêtes calendaires, la littérature jeunesse, l’histoire ou encore la géographie permettent aux élèves de développer leurs connaissances des pays anglophones.  Fin de séance – wrap up : Cette étape permet de faire un bilan avec les élèves sur ce qui a été appris lors de la séance. Elle peut notamment se terminer sur une chanson ou comptine bien connue. Toutes ces étapes ne peuvent être présentes à chaque séance notamment les phases de trace écrite, de pratique raisonnée de la langue, de culture et civilisation. Néanmoins elles doivent toutes apparaitre au minimum dans une séquence. De plus, il y a peu de différences entre une séquence destinée à des cycles 2 et une séquence pour des cycles 3. Cependant au cycle 3 des activités de plus en plus complexes seront proposées aux élèves (structures et lexiques plus difficiles) et le recours à l’écrit sera plus fréquent. b. Les points importants à prendre en compte lors de la création d’une unité d’enseignement : Une fois que l’enseignant a pris connaissance de la démarche préconisée pour enseigner les langues, il peut alors construire sa séquence. Cependant, durant son élaboration, il doit porter attention à plusieurs éléments importants qui ont un impact direct sur la motivation des élèves et donc sur l’acquisition de la langue. i. Les ressources utilisées par l’enseignant : Pour élaborer une séquence, l'enseignant s'appuie sur différentes ressources. Son travail est de choisir judicieusement les outils adaptés à l’âge et au niveau de ses élèves. 6

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UN RENOUVEAU DES PRATIQUES EN LANGUES : . facilités pour apprendre une langue (leurs aptitudes sont supérieures à celles des adultes
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