Carlos Hernández n'est pas une crapule : cultivé, prévenant pour ses femmes, ses enfants et ses prostituées, correct avec ses associés, il va même jusqu'à payer de sa poche les frais des enquêtes qu'on lui confie.
Car s'il pratique le chantage, le proxénétisme, le trafic de fausse monnaie, l'extorsion de fonds et l'association de malfaiteurs, c'est qu'il est flic à Mexico, et qu'à Mexico il faut bien trouver l'argent de la justice quelque part.