WORLD UNION of QWAN KI DO – QUÁN KHÍ ĐẠO Viale Zara N° 9 – 20159 Milano – ITALIA (N° Registrazione 93341 di pertorio 8544) A.S.C.I. – C.O.N.I. ĐIỀU LỆ TRỌNG TÀI REGLEMENTS D’ARBITRAGE QUÁN KHÍ ĐẠO THÍ VÕ EPREUVES D’ARTS MARTIAUX Septembre 2011 QUÁN KHÍ ĐẠO – CỔ VÕ ĐẠO THÍ VÕ Ce document a été élaboré par le Fondateur du QWAN KI DO – QUÁN KHÍ ĐẠO à la création de la méthode en 1981 à Toulon, en France. Il a subit depuis cette date plusieurs modifications pour se conformer aux exigences de l’évolution de la méthode QWAN KI DO – QUÁN KHÍ ĐẠO, mais aussi pour s’adapter à la législation sportive, dans le domaine éducatif, et sécuritaire. Ce document est composé de trois parties : - la première partie présente les Règlements de GIAO ĐẤU (assauts) de QWAN KI DO ; - la deuxième partie présente les Règlements de GIAO ĐẤU (assauts) de CỔ VÕ ĐẠO ; - la troisième partie présente les Règlements de TRANH GIẢI KỸ THUẬT ou les épreuves Techniques de QWAN KI DO et de CỔ VÕ ĐẠO. Le Règlement de GIAO ĐẤU ou Assauts Compétitifs et de TRANH GIẢI KỸ THUẬT ou la partie Technique de QWAN KI DO ont été confié à une Délégation Internationale de Hauts Gradés Comme tout document d’arbitrage, l’évolution pourra également intervenir dans nos activités, cependant nous préservons l’originalité et le fondement de ces règlements, pour ne pas le dévier de sa source. World Union of QWAN KI DO 2 La Compétition et l’Arbitrage Le mot du Maître Fondateur La compétition sportive n’est qu’un jeu, auquel chacune de ses disciplines détermine avec rigueur et expérience ses règles, afin de définir le gagnant ou le perdant. Puisque c’est avant tout un jeu, cela demande au pratiquant non seulement un sérieux au niveau des entraînements spécifiques et une préparation physique adéquate, mais aussi une connaissance parfaite des règles exigées par ce jeu. Seuls les pratiquants assidus et francs avec eux – mêmes peuvent connaître les joies et les peines que représente la participation à de tels événements. La pratique raisonnée de l’art martial passe toujours par un test d’échange d’automatisme ou d’assauts libres lors des entraînements quotidiens, qui sont nécessaires à la progression du pratiquant et qui représente la pénible minute de vérité incontournable à l’évaluation des connaissances acquises. Sa pratique est facultative mais primordiale à qui veut enrichir son savoir. Elle permet aux initiés d’évoluer dans plusieurs domaines : compétitif, démonstratif, qualitatif … mais il existe un domaine que tout pratiquant sincère ne doit à aucun moment négliger : une altercation musclée dans la rue, face à des véritables agresseurs sans scrupules ! Imaginez ce moment impitoyable où tous les coups sont permis, ce moment inattendu, pénible et qui malheureusement n’arrive pas qu’aux autres ! Alors sommes nous bien entraînés pour y faire face ? A ce propos, il ne faut surtout pas confondre ce pénible moment de la vie, à celui de la compétition d’art martial. Comme toute compétition sportive, celle de l’art martial n’échappe pas non plus à certaines règles spécifiques. Ces règles doivent déterminer non seulement le caractère d’un art martial mais surtout elles doivent valoriser la qualité chevaleresque et civique du pratiquant : le respect des règles et d’autrui, la maîtrise de soi, l’endurance, l’effort, l’adresse, le savoir vivre, la courtoisie, mais aussi le savoir perdre. Car « l’essentiel c’est de participer » (Pierre de Coubertin). On ne peut demander à une compétition d’art martial d’exprimer, à travers ses règles spécifiques, toute une étendue technique, si vaste et si complexe. On ne peut pas reprocher non plus de n’être pas à la hauteur de l’efficacité absolue. Ce raisonnement aisé et primitif, n’est convenable qu’à la pensée perturbée, qui préfère la brutalité gratuite au détriment de la noblesse de l’art. D’ailleurs, ce genre de réflexion inculte a tendance à omettre l’existence d’autres sortes de compétitions de contacts, issus de l’art martial (assaut libre pieds/poings, ultimate fighting …) auxquelles les accès sont libres et rien ne les empêche d’essayer ! Et pourtant, malgré leurs libres aspects, les règles existent ! Cependant il est absurde de persister sur l’idée de l’efficacité absolue dans une compétition réglementée d’art martial, à moins d’être assez dément pour accepter de devenir infirme ou de vouloir mourir pour rien ! Nos règles de compétition de QWAN KI DO, conservent toute leur originalité et leur dignité. Seule une main gantée a le droit de toucher au corps et à la tête, mais pas à la nuque, ni au triangle (yeux, nez, bouche). La main non gantée n’a le droit de toucher que le corps. Pas de coup de talon, ni à la tête, ni au visage, pas de coup de coude, ni de coup de tête et de coup de genou. Cela exige beaucoup de travail d’adaptation pour être à la hauteur lors d’une compétition de QWAN KI DO, mais c’est la règle du jeu, c’est pour cela aussi que la compétition est facultative. 3 Cette originalité de l’arbitrage du QWAN KI DO est basée sur la construction d’un pratiquant sincère, aussi bien sur le plan physique que mental, pour ne pas perdurer dans l’état d’esprit médiocre de « l’ennemi plus fort parmi les ennemis ». Par contre rien n’empêche à un pratiquant vigoureux de s’entraîner aux autres aspects des assauts plus percutants, plus libres, plus adaptables à sa recherche, avec des protections appropriées au sein de son Club. Pour préserver nos règles de compétition de QWAN KI DO dans toute sa splendeur, il est indispensable d’avoir une équipe d’arbitre, bien formée, motivée et surtout opérationnelle pour faire appliquer avec rigueur et respect nos règles, mais aussi pour mettre en valeur notre devise : Santé – Sécurité – Qualité A l’heure actuelle, pour répondre aux exigences de la législation dans le sport, seuls les règlements d’arbitrages de la World Union of QWAN KI DO doivent être appliqués et respectés dans toutes nos compétitions. Thày Chuong Mon du QWAN KI DO PHAM Xuân Tong 4 TITRE I LES REGLEMENTS D’ARBITRAGE DE GIAO ĐẤU de QWAN KI DO - ASSAUTS COMPÉTITIFS - 5 CHAPITRE 1 : REGLES COMMUNES A TOUTES LES COMPETITIONS ART. 1 : CONDITIONS D’ADMISSION DES PARTICIPANTS a) Pour être admis aux compétitions de QWAN KI DO, il faut être régulièrement inscrit à un club affilié à une organisation nationale de QWAN KI DO, reconnue par la World Union of QWAN KI DO et régulièrement affilié et assuré par celle-ci pour la saison en cours. Toute dérogation doit faire l’objet d’une demande par lettre recommandée, adressée à la commission d’arbitrage internationale qui statuera selon le cas. b) Tout compétiteur doit être titulaire d’un passeport sportif ou d’une carte de membre qui justifie, pour la saison en cours, l’inscription régulière à un organisme national du QWAN KI DO. Ce document doit comporter : - l’intitulé de l’organisme national ainsi que le nom du club du QWAN KI DO ; - une photo et l’identité complète du pratiquant ; - un certificat médical ; - le grade minimum de 1er Câp ; - deux timbres de licences ou tampon de l’organisme national justifiant deux années minimum de pratique ainsi que l’assurance individuelle. Le certificat médical doit être établi selon les règles définies par la commission médicale nationale de QWAN KI DO dont appartient le pratiquant. Ces règles devront obligatoirement tenir compte de la législation du pays concerné et du contrat d’assurance qui couvre les pratiquants en cas d’accident. c) Pour tout type et niveau de compétition, tous les sportifs participants doivent avoir obligatoirement l’assurance individuelle pour les accidents qui pourraient intervenir pendant une manifestation à caractère sportif, branche Arts Martiaux. La responsabilité de l’assurance revient en totalité au sportif. d) Le pratiquant qui participe à une compétition dans une catégorie différente de celle à laquelle il appartient réellement sera sanctionné par deux années de suspension de toutes les compétitions nationales et internationales. Son passeport sportif ou sa carte de membre lui sera retiré pour la même durée, son club d’appartenance devra payer une amende de 50 fois le montant du droit de participation à la compétition et le responsable technique du club concerné sera sanctionné. Une éventuelle dérogation à cette règle doit être explicitement spécifiée dans le programme de la compétition ou avant le début de la compétition par le responsable d’arbitrage dans la mesure où cette dérogation a été approuvée par la commission d’arbitrage internationale. e) Le pratiquant qui participe à une compétition de QWAN KI DO doit s’engager à connaître le programme technique et les Thao Quyêns de son niveau. Au cas échéant il s’engage à accepter les sanctions et la suspension de leurs passeports sportifs, ainsi que leurs grades. 6 ORGANISATION D’UNE COMPETITION ART. 2 : SECOURS La présence d’un médecin et d’une équipe de secours est obligatoire pour toute compétition, quel que soit son type et son niveau. ART. 3 : LIEU DE LA COMPETITION la World Union of Qwan Ki Do délègue l’organisation nationale à prendre en charge le lieu de la Compétition conformément à l’exigence de toutes commodités : toutes les facilités d’accession, toutes les indications visuelles, toutes les qualités de sécurité requises prévues par la loi du Pays organisateur (permis des autorités locales, incendie, capacité d’accueil, responsabilités civiles, pénales, etc.). Le lieu d’accueil de la compétition sera choisi par l’Organisation Nationale pour les compétitions nationales. ART. 4 : ASSURANCE Les organisateurs doivent être assurés pour la responsabilité civile et pour les dégâts aux biens et aux personnes. Ceci devra être vérifiable durant tout le déroulement de la manifestation. ART. 5 : SERVICE D’ORDRE ET SERVICE DE MAINTIÉN DU MATERIEL C’est un service fourni par l’organisateur de la compétition et il est composé d’un responsable et ces membres : hommes ou femmes, pratiquants ou sympathisants. Pour les non pratiquants, qui ne possèdent pas une licence d’assurance, ces derniers doivent être assurés par l’organisateur. Ce service est mis à la disposition de l’organisation de la compétition, mais aussi à la commission ou à la délégation de l’arbitrage. A) Le service d’ordre: Les membres désignés pour faire partie du service d’ordre doivent être majeurs. Ils porteront un badge : « Sécurité de la compétition » « Coupe de…..ou Championnat de … » (selon la législation du pays). Ce service assurera le respect des règlements intérieurs de l’établissement (exemple : les interdictions de fumer, dégradation du matériel dans l’enceinte sportif, accompagnement des V.I.P. ou des invités jusqu’à leurs places officielles), le respect des règlements de la compétition (évacuations systématiques des personnes qui ne sont pas autorisées à être dans un emplacement réservé : table officielle ; table du secrétariat de la compétition ; les aires des assauts ; les emplacements réservé aux V.I.P. ou les invités ; les emplacements réservés au médecin ou aux secourismes ; la table du Fondateur du QWAN KI DO), les interventions sur demande des organisateurs et des responsables de la compétition. Sans à être invité ou dirigé par le responsable du service, ou par l’organisateur, la commission ou délégation de l’arbitrage, ils ne pourront agir sur leur propre initiative. Les membres du service d’ordre ne pourront en aucun cas communiquer sans être invités, à titre personnel ou délibéré avec la commission ou la délégation à l’arbitrage, ni avec les compétiteurs sur les aires d’assaut, la table officielle, la table du secrétariat, le médecin ou les secourismes, les V.I.P. ou ni de déranger le Fondateur du QWAN KI DO. B) Le service de maintien du matériel: Leurs membres porteront un badge : « Maintient Matériel » « Coupe de….ou Championnat de … » (selon la législation du pays) Ils installent et désinstallent les équipements de la compétition (banderoles, décorations, coupes et médailles, tables, chaises, tatamis, boissons pour la table officielle, les arbitres, le médecin et secourismes, du Fondateur du QWAN KI DO, etc.). Ils assureront la salubrité du lieu de la compétition, ajustent les tatamis des aires d’assaut, orientent les compétiteurs, les responsables de la compétition vers leurs lieux respectifs (vestiaires, aires des assauts) et sont à la disposition de l’organisateur pour toutes autres actions. Sans être invité ou dirigé par le responsable du service, l’organisateur, la commission ou délégation de l’arbitrage, ils ne pourront agir sur leur propre initiative. Les membres du service de maintient matériel ne pourront en aucun cas communiquer, sans à être invité, à titre personnel ou délibéré avec la commission ou la délégation de l’arbitrage, ni avec les compétiteurs sur les aires d’assaut, ni à la table officielle ou à la table du secrétariat du Médecin ou des Secourismes, les V.I.P., ou de déranger pour quelle raison que ce soit le Fondateur du QWAN KI DO. ART. 6 : SECRÉTARIAT DE LA COMPÉTITION C’est un service fourni par l’organisateur de la compétition. Il est composé d’un responsable et les membres : pratiquants ou sympathisants. Il est à préciser que pour les non pratiquants, qui ne possèdent pas une licence assurance, ces derniers doivent être assurés par l’organisateur. Ce service est mis à la disposition de l’organisation de la compétition, mais aussi à la commission ou à la délégation de l’arbitrage. Ce service assure et contrôle les inscriptions des Pays ou des clubs et des pratiquants à la compétition (exemple : contrôle des affiliations, des passeports sportifs, des certificats médicaux, des assurances, des grades, des catégories de la compétition, etc.). Il est en étroite collaboration avec les responsables de la compétition (président et le management de la compétition). Il prendra le contact direct avec les responsables des Pays ou des clubs concernant les formalités de l’inscription à la compétition. Il pourra refuser un dossier incomplet après avoir eu l’avis du président de la compétition. Un speaker doit être mis en place pour les appels des compétiteurs mais aussi pour présenter les officiels et expliquer au public le déroulement de la manifestation. ART. 7 : PRESIDENT DE LA COMPETITION Pour chaque compétition officielle (compétitions internationales, championnats du monde, etc.) le Responsable de la Commission d’Arbitrage de la World Union of QWAN KI DO nommera un président de compétition qui aura pour devoir de vérifier si la rencontre se déroule dans le respect des normes et des règlements de la World Union of QWAN KI DO. ART. 8 : LE MAÎTRE FONDATEUR a) Une table personnelle, proche de la table officielle, devra être mise à disposition du Maître Fondateur pour toutes les manifestations auxquelles il participera. Il ne devra en aucun cas être dérangé par aucun motif durant les compétitions. Lors d’une participation directe du Maître Fondateur, les organisateurs devront aussi prévoir un vestiaire qui lui sera réservé. b) Lorsque le Maître Fondateur se présente pour la première fois à une compétition, le président de la compétition ainsi que ses responsables doivent arrêter toutes les activités pour procéder à un salut cérémonial dédié au Maître CHAU QUAN KY. c) Lors des finales de compétitions internationales ou mondiales, le Maître Fondateur ou son délégué mandaté pourra attribuer une note avec « avis motivé » de 0,5 points (nua diem) à l’une des équipes ayant eu : - un esprit chevaleresque, une bonne conduite, une bonne tenue technique ; - une bonne conduite, le fair-play de ses dirigeants et supporteurs. - une manière correcte de mettre le plus souvent en pratique des attaques et des techniques de Qwan Ki Do, effectuées dans les bonnes formes, avec une bonne attitude et de façon authentique. ART. 9 : TENUE VESTIMENTAIRE DU PRATIQUANT a) Les compétiteurs doivent avoir le Vo Phuc de QWAN KI DO reconnu par la World Union of QWAN KI DO, avec ceinture et écusson réglementaires. b) La veste doit être assez longue afin de pouvoir recouvrir les hanches. Les manches de la veste doivent être assez longues afin de ne pas découvrir plus de la moitié de l’avant-bras. Le pantalon doit être confectionné de façon à recouvrir la jambe jusqu’à la cheville. c) Les compétiteurs peuvent appliquer sur le haut de la manche gauche de leur Vo Phuc un écusson à l'emblème de leur Pays uniquement pour les compétitions par nations (comme représentants des équipes nationales) et un écusson représentant leur club lors des compétitions par clubs. L’arbitre central peut refuser la participation à la compétition pour le non respect de la tenue vestimentaire. ART. 10 : TENUE DE L’ARBITRE CENTRAL ET DES JUGES DE COINS Pour toutes les compétitions officielles (nationales ou internationales), l’arbitre central et les juges de coins devront porter la tenue « officielle », agrée par la World Union of QWAN KI DO : - blazer bleu marine ; - chemise blanche ; - pantalon gris foncé ; - cravate bleu foncé de QWAN KI DO ; - chaussons noirs. A défaut de la tenue mentionné, le Vo Phuc QWAN KI DO peut être accepté exceptionnellement Le Vo Phuc doit être propre, ni décousu, ni délavé. Dans ce cas, l’arbitre doit porter un ruban autour du cou ou de fixer sur le côté gauche (en dessous de l’écusson du QWAN KI DO), un badge certifié par le tampon de l’organisateur avec l’inscription suivante : « Arbitrage QWAN KI DO », ART. 11 : NORMES ANTIDOPAGE Lors des périodes de compétitions, chaque compétiteur doit respecter rigoureusement les règlements mondiaux et nationaux d’antidopage. Les responsables techniques, les responsables administratifs et les entraîneurs ont le devoir moral d’informer les compétiteurs sur les normes antidopage et sur les substances interdites. Cependant toute la responsabilité concernant les normes antidopage appartient entièrement aux compétiteurs et à leurs dirigeants. Les sanctions réservées à ces contrevenants seront celles du Comité Olympique International 9 CHAPITRE 2 : REGLES PROPRES AUX COMPETITIONS GIAO ĐẤU OU « ASSAUTS » QWAN KI DO A - GENERALITES ART. 1 : AIRE DE COMPETITION a) L’obligation de recouvrir le sol n’est sollicitée que dans les compétitions combats. Afin de garantir la sécurité des pratiquants compte tenu de l’utilisation de techniques des contacts du corps, il est obligatoire de recouvrir le sol de « tatamis » ou tout autre tapis du sol ou matériel susceptible de garantir la sécurité des compétiteurs. b) La surface minimale à respecter pour les aires d’assauts est de 8m x 8m ou 10m x 10m (figure 1 et figure 2). Pour les compétitions des enfants, cette superficie pourra être réduite à 6m x 6m. A cela il est nécessaire d’ajouter 1 mètre de largeur sur le pourtour de l’aire d’assaut comme zone de protection. c) La position des compétiteurs au début de chaque rencontre sera matérialisée soit en disposant deux tatamis de couleur différente de celle des tatamis de l’aire de compétition, à une distance de 4 m (chaque tatami à 2 m du centre de l’aire d’assaut), soit en traçant deux lignes parallèles de 0,40 m de longueur (à 2 m du centre de l’aire d’assaut). d) Une zone de 2 m de largeur doit être matérialisée autour de la surface de compétition au niveau du sol. Seuls les compétiteurs, arbitres, juges et responsables désignés pourront accéder à cette zone. e) La table officielle sera placée à 4 m de la surface de compétition. f) Des ceintures rouges seront placées sur la ligne de démarcation de l’aire d’assaut, située à droite, face à la table officielle. Ces ceintures rouges seront utilisées par les compétiteurs pour les distinguer lors des assauts. g) En fonction de la nécessité d’une compétition (nombre des compétiteurs, etc.) et de la dimension de la salle, il est possible de placer une, deux ou trois aires d’assauts, qui doivent respecter les indications données dans les points a) à f) ci-dessus. 10
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