Sadok est condamné à la pendaison pour un double meurtre qu’il n’a pas commis. Après appel du jugement, la peine est transformée en emprisonnement à perpétuité. Ses amis vont payer les frais d’avocat. Sa famille le pense mort.
Des années plus tard, une de ses filles termine ses études de droit, et par hasard travaille chez l’avocat qui a en charge la défense de Sadok.
Une nouvelle demande de libération est faite par sa fille à la Cour. Elle découvre que c’est une photo d’elle et de sa famille qui fait partie des pièces à conviction contre son père.