Description:— Non, mon ami, disait d’une voix faible madame Rambert, je ne veux pas que vous envoyiez chercher Louise ; elle s’amuse tant, la pauvre enfant, et je n’ai besoin de personne. M. RAMBERT. Il me semble pourtant que la place de Louise serait ici quand vous êtes malade. MADAME RAMBERT. Non, non, elle aura bien assez de chagrin dans sa vie ; je veux qu’elle soit heureuse pendant qu’elle est jeune, tant qu’elle pourra. M.