Description:Extrait« — Je ne pense pas que le destin soit curieux, Bertheau. Il est le destin, tout simplement. Sans commencement ni fin. L’expliquer serait donc absurde. Mais revenons à notre service, mon cher. Il n’existe pas. Il vaut mieux penser que vous êtes toujours fonctionnaire. C’est mieux. Cela évite de se noyer. Ni vous ni moi ne connaissons la Défense nationale et nos honorables correspondants. Nos paroles ne sont que les rêves d’un soir. Les rêves d’une nuit violente. »