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Travaux pratiques en mathematiques. Лабораторные работы по математике. TP № 3 – Construction des coniques = ЛР №3 - Построение кривых второго порядка. TP № 4 – Etude exp?rimentale des coniques = ЛР №4 - Экспериментальное исследование кривых второго поряд PDF

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Académie d’état d’agroingénieur de Tchéliabinsk Chaire de mathématiques L. Gorélik TRAVAUX PRATIQUES EN MATHEMATIQUES Р our les agroingénieurs des groupes bilingues TP № 3 – Construction des coniques TP № 4 – Etude expérimentale des coniques Tchéliabinsk, 2011 2 Федеральное государственное бюджетное образовательное учреждение высшего профессионального образования Челябинская государственная агроинженерная академия Л.Б. Горелик ЛАБОРАТОРНЫЕ РАБОТЫ ПО МАТЕМАТИКЕ Для студентов билингвальных групп Факультета механизации сельского хозяйства ЛР № 3 – Построение кривых второго порядка ЛР № 4 – Экспериментальное исследование кривых второго порядка Челябинск, 2011 3 PREFACE Les travaux pratiques (TP) constituent un type d’enseignement fondé sur l’apprentissage pratique avec la réalisation d’experiences permettant de vérifier et compléter les connaissances dispensées dans les cours théoriques. Les travaux prstiques sont une mise en application de la méthode scientifique, basée sur la pose d’hypothèse, la conception d’un protocole expérimentale, l’expérimentation, l’interprétation des résultats et le raffinement des hypothèses initiales. La méthode pour faire TP se déroule schématiquement en quatre étapes : 1. Protocole expérimental : Il est souvent fourni dans le sujet de TP. Vous pouvez le rappeler dans votre compte-rendu pour en faciliter la lecture, ou au minimum préciser l’étape que vous êtes en train de décrire (référence précise au plan du sujet). 2. Expérimentation : Les manipulations proprement dites. Si elles ne découlent pas immédiatement du sujet de TP, il vous faut les préciser en détailles. 3. Collecte des résultats : Vous devez évidemment détailler tous les résultats expérimentaux collectés pendant le TP, ainsi que leur contexte précis (sans lequel ils sont inutiles). Les résultats sont liés au protocole, à l’expérimentation, et attendent une interprétation. Ils ne constituent pas en soi un élément de conclusion dans un rapport de TP. 4 4. Interprétation : C’est la phase clé de la méthode expérimentale, la plus importante de votre comptr-rendu, et celle qui est le plus souvent négligée. À cette étape, vous tirez des conclusions de vos résultats, et surtout des variations de résultats lorse que vous modifiez le protocole expérimental. C’est à cette étape, par la qualité de votre rédaction, que l’on évalue votre compréhension du problème. N’oubliez pas que l’un des principes de base de la méthode scientifique consiste à modifier un des paramètres de départ sans toucher les autres, à constater des différences dans les résultats et les interpréter en concluant sur l’influence du paramètre modifié. C’est pour cela qu’il est important de préciser pour chaque jeu de résultat, quels sont les paramètres précis de l’expérimentation. Dans vos conclusions, il faut soigneusement expliquer toute affirmation par l’observation effectuée en TP et déduction logique que vous en faites. Si plusieurs explications sont possibles, il faut le mentionner. Si une conclusion a été équartée, expliquez par quel raisonnement (fondé sur les observation d’une manipulation). À propos des sources externs. Vous êtes vivement invités à cultiver votre curiosité scientifique et donc à divercifier vos sources d’information, dans les limites de ce que permet l’énoncé. Si vous souhaitez intégrer dans votre compte-rendu des informations issuesnd’autres sources que vos propres expérimentations, il convient de prendre certaines précautions. Tout d’abord, il faut toujours citer ces sources, d’une part par honnêteté, et d’autre part pour respecter l’auteur des documents que vous citez. Citer précisément sa source est une obligation légale : un texte sans référence est un plagiat, qui peut constituer un délit. Ensuite, il faut absolument conserver un esprit critique. Tout ce qui est imprimé, publié, dit en cours, ou présent sur le web n’est pas toujours dépourvu d’erreurs. Vous êtes encouragés à vous approprier l’information, à la confronter avec vos connaissances et vos résultats expérimentaux, à vous en servir pour l’interprétation de vos données. 5 Travail en équipe. La plupars du temps, les travaux pratiques sont faits en binôme, trinôme... Votre capacité à travailler en équipe est alors un des points qui sont évalués. Vous devez prouver que vous êtes capable de collaborer efficacement. Cela consiste à partager équitablement le travail pendant le TP, à vous assurer que vos collègues comprennent ce que vous faites et que vous comprenez ce qu’ils font, à rédiger ensemble le compte-rendu et à l’assumer comme une œuvre collective. Il peut être intéressant de partager vos observations et vos réflexions avec d’autres groupes, mais les résultats numériques et leur interprétation doivent vous être propres. En résumé, il vous faut retenir quatre points principaux : • gardez un espris de synthèse, mais en n’oubliant aucun élément nécessaire à la compréhension de votre démarche ; • citez toujours vos sources et integrez-les à votre démarche ; • ayez l’esprit d’équipe ; • l’interprétation est l’étape la plus essentielle de votre travail : l’enseignant produit le squelette du protocole expérimentale, le système produit les résultats, les étudiants produisent l’interprétation. Bonne chance! 6 TP № 3 CONSTRUCTION DES CONIQUES Pour construire des coniques utilisons le logiciel mathématique GéoGébra (Site Web: http://www.geogebra.org, Recherche dans l’Aide : http://www.geogebra.org/help/search.html). Le terme « conique » désigne toutrs les courbes telles que cercles, ellipses, hyperboles, paraboles. L’étude de ces courbes est intéressante par leur applicationa pratiques. Les mouvements célestes ont toujours des des trajectoires ellipsoïdales, paraboliques ou hyperboliques. Le télescope, les antennes paraboliques, les projecteurs, les phares de voiture sont des utilisations de la propriété de réflexion de la parabole. I. Ellipse Commençons par des exemples. 1. Pour tracer des parterres de fleurs dans les jardins, le jardinier plante deux piquets (F et F’) dans le sol, puis place autour de ces piquets une corde nouée en boucle. Il tend la corde à l’aide d’un troisième piquet et utilise ce dernier piquet pour tracer une courbe au sol en tournant autour des deux premiers en veillant à ce que la corde demeure toujours tendue. Il obtient ainsi une courbe « ovale ». 2. La section d’un cylindre droit par un plan donne une courbe fermée ressemblant à la précédente. 3. La section d’un cône circulaire par un plan donne une courbe ovale ressemblant aux courbes précédentes. 4. Considérons un cercle et l’un de ses diamètres. Lorsqu’on comprime ce cercle dans un rapport k perpendiculairement au diamètre fixé, on obtient encore une courbe « ovale ». Dans le premier exemple, on peut facilement déduire une propriété des points situés sur « l’oval » obtenu par le jardinier. En effet, tous ces points sont tels que la 7 somme de leurs distances aux deux piquets fixes est une constante : la lonqueur de la ficelle. Cette caractéristique va être la base de la définition de l’ellipce. L’ellipse est le lieu géométriquedes points du plan dont la somme des distances de chacun d’eux à deux points fixes est une constsnte (supérieure à la distance entre les points fixes). Les deux points fixes sont appelés foyers de l’ellipse et sont notés F et F . 1 2 La distance entre les foyers (2c) est appelée distance focale. La somme des distances d’un point de l’ellipse aux foyers est notée (2a). Construisons une ellipse suivant sa définition. Puisque la somme des longueurs de F M et MF est une constante (fig. 3.2), il 2 1 faut « garder » cette valeur numérique à l’aide de moyens géométriques. Figure 3.1. – F M + MF = c 2 1 Un nombre peut être associé à la longueur d’un segment, cela donne l’idée d’aligner F M et MF (fig. 3.2). 2 1 Figure 3.2. – Segments alignés 8 Le logiciel GéoGébra nous donne une possibilité de garder la longeur d’un segment, quelle que soit sa direction. Trançons le cercle de centre F et de rayon F B 2 2 (fig. 3.3). Quand le point B déplacera suivant ce cercle, la valeur F M + MF ne 2 1 changera pas et le point M décrira une ellipse. Figure 3.3. – Le cercle «garde» la distance Figure 3.4. – Construction de l’ellipse 9 Donc, pour construire le point B, dirigeant le déplacement de M , on tient à construire le triangle isocèle FMB. Pour ce faire, il faut et il suffit qu’on construise la médiatrice du segment FB. Montrons les étapes de la construction (Fig. 3.5. – 3.14). Figure 3.5. – Étape 1. On saisit le point O(0,0). Dans le champ de saisie on tape: «O=(0,0)». Le signe d’égalité est indispensable, une telle syntaxe est admis dans le logiciel GéoGébra. Figure 3.6. – Étape 2. On introduit un paramètre c et on construit le point F (c,0) 1 10 Dans le champ de saisie on tape, par exemple : «c=4» et puis «F =(c,0)». (dans 1 la fenêtre « Algèbre » nous voyons la dernière commande un peu « corrigée » : «F1=(4,0)»). L’introduction du paramètre est désirable pour de futures exrériences. Figure 3.7. – Étape 3. Le point F est apparu. 2 Faites attention: ce point est commandé comme symétrique de F par rapport 1 à O. Il importe qu’on garde cette relation à l’étape d’expérimentation. Figure 3.8. – Étape 4. Le saisie du cercle O[F , a]. 2

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