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Traduction et commentaire de l'homélie écrite probablement par Théodore le Syncelle sur le siège de Constantinople en 626 PDF

123 Pages·1975·4.713 MB·French
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ACTA UNIVERSITATIS DE ATTÍLA JÓZSEF NOMINATAE ACTA ANTIQUA ET ARCHAEOLOGICA Tomus XIX. O P U S C U LA Β Υ Ζ Α Ν Τ Ι ΝΑ III. FERENC MAKK TRADUCTION ET COMMENTAIRE DE L'HOMÉLIE ÉCRITE PROBABLEMENT PAR THÉODORE LE SYNCELLE SUR LE SIÈGE DE CONSTANTINOPLE EN 626 avec une préface de S. Szádeczky-Xardoss Appendice: Analecta Avarica de L. Sternbach Szeged 1975 Lecteurs ι ISTVÁN HAHN et KAROLY KEREKES texte français est dû à BARNABÁS TÁTRAY- TABLE DES MATIÈRES Pages PRÉFACE 5— 8 TRADUCTION DE L'HOMÉLIE .... 9— 47 COMMENTAIRE 49— 66 Notes concernant quelques parties du texte 49— 59 Le siège de Constantinople en 626 d'après la description de la Chronique Pascale .... 59-- 66 BIBLIOGRAPHIE 67— 72 Édi! ns et traductions des textes 67— 68 Ouvrages cités et consultés 68— 72 APPENDICE: LE TEXTE GREC DE L'HOMÉLIE /L. STERN- BACHî ANALECTA AVARICA/ 73—121 PRÉFACE L'homélie constituant le sujet du troisième volume des "Opuscula Byzantina" ne fut encore traduite, toute entière par personne; du moins, dans les bibliographies, se trouvant à nos dispositions à Szeged, on ne fait pas mention d'une telle traduction. Or, l'interprétation d'une telle oeuvre byzantine ne peut guère être considérée comme achevée, tandis que sa traduction nous manque. Comme base de la traduction suivante servait l'unique édition intégrale du texte grec. Nous n'avons trouvé que neuf lieux où, de l'édition de L. Sternbach, respectivement de sa constitution de texte, on ne pourrait extraire, même avec tout effort, un sens satisfaisant. Dans ces lieux nous avons, traduit le texte émendé comme ci- dessous: VI (p. 300, 1) ττίντα Sternbachs, πάντα virgulam adscripsimus, cf. Psalmi 48, 2 // VI (p. 300, 4) .. ôl& τής ! Θεοτόκου lacunam indicans Sternbach: < δσο InoCnoev > ôt& tfls Θεοτόκου supplevimus, cf. Psalmi 65, 16·// XXV' (p. 308, 26) ή ôoyCvn Sternbach: τ$ ύσμίΤνΐ} scripsimus // XXIX (p. 310, 10) λέγοντυ εστίν Sternbach {λέγοντα} εστίν prius vocabulum delevimus // XXXVIII (p. 313, 29) ο τοΟ Φα*εδ nets Sternbach: è τοΟ Ρομελοου^> παΓε Φαχεδ supplevimus, ordinem verborum mutavimus //XXXVIII (p. 313, 29) Ηγούμενο s* Sternbach: ήγοόμενοs, interpunctionem mutavimus // XLIX (p. 319, 11) μη66 ώς Sternbach: μηδ& δς scripsimus // XLIX-L (p. 319, 15) λογέζεσθαι, εύγε Sternbach: λογίίζεσθοα. Είγε interpunximus // LU (ρ. 320, 25) Αζίίλωτον αίτευ Sternbach: οζίίλωτον. Αίτευ interpunctionem mutavimus. L'écrivain de l'homélie ¿êde à la tentation plus d'une fois d'enjoliver son texte avec des phrases onctueuses et bien sonnantes, mais vides de sens et peu logiques. L'inter- prétation des parties de telle nature reflète inéluctablement l'obscurité de l'original grec. A l'oeuvre entière, attribuée en général à Théodore le Syncelle, il n'existe pas de commentaire jusqu'aujourd'hui. - 5 ν- Ses parties concernant l'histoire ont été employées par les oeuvres spéciales /et assez éparses/ qui traitaient les événements en question; ces parties ont été collationnée.s avec d'autres sources, pour les mettre ainsi en pleine lumière. Quant aux modèles et parallèles bibliques, L. Stern- bach en cite dans son apparat critique, mais ses références de ce genre sont assez sporadiques. Le commentaire présent veut compléter l'interprétation du texte qui est donnée par la traduction de manière suivante: 1/ Il indique les parties de l'Ancien et du Nouveau Testament que l'auteur cite mot à mot, ou par résumé, et par lesquelles il veut relier les événements de son temps avec la sphère d'idées de l'Écriture Sainte. Les références bibliques du commentaire se fondent en général sur la Septante parce que l'auteur de l'homélie tenait, on le voit clairement, cette traduction grecque de l'Ancien Testament devant ses yeux; il paraît que la langue de l'original hébreux lui était étrangère. 2/ Le commentaire fait allusion aux pages des oeuvres les plus modernes, traitant le siège de Constantinople en 626 et les antécédents historiques de cet événement. A l'aide de ces références, celui qui se sert des notes explicatives, peut atteindre les sources parallèles et la littérature spéciale s'occupant de leur interprétation. 3 / Le commentaire renvoije aux pages correspondantes des tomes de R. Janin sur la topographie de Constantinople toutes les fois où, pour la compréhension des événements du siège, un tel renseignement est désirable ou même indispensable. 4/ Quelques passages de l'homélie reçoivent une explication plus détaillée qui déborde le cadre des informations susmentionnées. 5/ Le complément du commentaire est la traduction de la partie de la Chronique Pascale qui récite le siège de Constantinople en 626, car cette source donne l'information la plus détaillée sur l'événement qui est au centre de l'homélie aussi. Comme base de notre traduction a servi le texte de l'édition de Bonn avec les émendations suivantes: p. 719, 1 πλησκίσαι Dindorfius: y>i πλησιόσαι Ducangius quem secuti sumus //p. 724, 9 np& xob s s - л - επδντισαν Dindorf ius : πρδς τοδς <^Πέρσας>.. . êittfvftoav scripsimus secuti Andreám N. Stratos (op. cit. pp. 187-189) qui lacunam maiorem perspexit vestigia Vasilievsky et aliorum premens. Le présent commentaire ne s'attèle qu'à quelques tâches dont le remplissement sera le devoir des recherches futures. Telle est par exemple l'étude du rythme de prose dans notre homélie. Car il semble que Théodore le Syncelle emploie avec prédilection la clausule didactylique qu'on retrouve souvent encore dans les oeuvres de Théophylacte Simocattès originaire d'Alexandrie, de Jean 1'Aumônier patriarche melkite alexandrin /612—617/ et des autres auteurs contemporains. Or, pour mentionner un autre problême, laissé de côté dans nos notes explicatives, Théodore le Syncelle interprète souvent les passages bibliques de façon allégorique, comme il est d'usage dans l'école alexandrine /par ex. chez Olympiodore/,. mais le présent commentaire ne peut pas se charger d'élucider toutes les questions perplexes s'attachant aux traits caractéristiques de cette exégèse. La seule édition complète de l'homélie a parue à Cracovie, dans la publication académique, intitulée Analecta Avarica. Mais cet ouvrage ne se trouve pas, depuis beaucoup d'années, en librairie. C'est pourquoi il semble juste que nous y joignions la copie comme appendice. Cette copie inchangée d'ailleurs diffère en deux relations de l'original: 1/ L. Stern- bach n'a pas divisé en chapitres le texte publié par lui. Nous avons réparti en chapitres notre traduction et nous indiquons cette division avec des nombres romains, en marge du texte grec aussi. 2/ Les Analecta Avarica forment la quatrième, et en même temps, dernière partie de la suite d'études de Sternbach sur Géorge Pisidès. Les index se trouvant à la fin /"Index auctorum", "Index rerum et verborum. a/ Graecus ... b/ Latinus"/ et les corrections des fautes /"Corrigenda"/ appartiennent non seulement aux Analecta Avarica, mais aussi aux trois traités qui les précèdent. Or, nous avons tout omis des index et des "Corrigenda" qui ne servait directement l'éclaircissement des Analecta Avarica. - 7 ν- Dans le premler tome des "Opuscule Byzantina" j'ai recueilli et rangé chronologiquement, avec l'aide de Teréz Olajos, les sources grecques de l'histoire avare. Au cours de ce travail, j'étais contraint à observer le peu d'attention que l'homélie, écrite probablement par Théodore le Syncelle, reçut de la part des spécialistes, quoiqu'elle fűt une source historique primordiale et même une oeuvre littéraire non sans intérêt. Ferenc Makk s'est chargé d'interpréter par une traduction complète et un commentaire court cet écrit byzantin très caractéristique de la première partie du VIIe siècle, et par cela, il a voulu aider à le rehausser de l'abandon auquel il était livré pendant les dernières décennies. Szeged, le 30 septembre 1975. Sámuel Szádeczky—Kardoss - 8 ν-

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