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The genus Chicoreus and related genera (Gastropoda: Muricidae) in the Indo-West Pacific PDF

186 Pages·1992·20.4 MB·English
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The genus Chicoreus and related généra (Gastropoda: Muricidae) in the Indo-West Pacific Source : MNHN, Paris ISBN : 2-85653-194-6 ISSN : 0078-9747 © Éditions du Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, 1992 Source : MNHN, Paris ci MÉMOIRES DU MUSÉUM NATIONAL D’HISTOIRE NATURELLE SÉRIE A ZOOLOGIE TOME 154 Roland HOUART Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique 29, rue Vautier 1040 Bruxelles Belgique ê The genus Chicoreus and related généra (Gastropoda: Muricidae) in the Indo-West Pacific ÉDITIONS DU MUSÉUM PARIS 1992 Source : MNHN, Paris SOMMAIRE CONTENTS Pages Abstract. 9 Résumé. 11 Introduction. 13 Material, methods and text conventions. 13 Excluded taxa. 13 Geographical distribution. 14 Taxonomie characters. 14 Protoconch. 14 Operculum. 25 Radula.. • • 25 Habitat. 25 Abbreviations. 32 Sys tematics. 34 Genus Chicoreus . 34 Subgenus Chicoreus. 36 Subgenus Triplex. 46 Subgenus Rhizophorimurex. 106 Subgenus Siratus. 109 Subgenus Chicopin.natus. 112 Genus Chicomurex 115 Genus Naquetia. 125 Fossil species. 134 Acknowledgements. 142 REFERENCES. 129 Index. 1^5 Source : MNHN, Paris _ Source : MNHN, Paris ABSTRACT HOUART, R., 1992. THE GENUS CH1COREUS AND natus is introduced for three species formerly classified RELATED GENERA (GASTROPODA : MURICIDAE) IN in the genus Pterynotus Swainson, 1833. (PTAuHb)l,iEs h1 eI5dN4 O Dc: loO1b-e-1rW 8280El.h S.P T1a9 r9Pi2s.A iCsbInF I:C 2. -8M56ém53.- 1M94u-s6. . nain. Hist. nat.. itlhleuAisrit lr adotiefsd tr.t ihbTeu htiseop neRcs ieecase rneat r ems pasepycpsieteesdm . aartSeici xartleylyd- tehsrrecevreiib seeRdd ecaaennnddt fSstm1rie9vieoarT5eaaur 0thptsme,ue uhdse boa g ,angl eJosedon 1gn uus8yeessC8.rps 0ahCeAa iarhc: aua inontcCmepeodhw ier gnie,c né Cusonaus1hrté 8beuiMrc8ugsao0s e,om ,nnd (n.u5uuR t.sfr5esh eo. uoix)trzbo;ft o , g ACdpTe1ihhnrrf8ioafi.1pc ékr0loirNaem erixwnesau u cqaPrdesue,i,es x ve rC ti1irindy9hOa e,i6 r cyd4aJo1a odp8imunaui1nsrtla0¬¬oea,, srSNnsreeppaiaxfeermeqa.cc rtuiieaueeedbssst , ,li ea:a 11 , n 7Ctt daoohan irRdcoeCo h nam7hiezs i usoctisropogeurh nxeboCe usrpdphsimr eioctco(uotisor em.egTssxul .ro),ria ,bpe3 rxol ee3.ts xou9Or s eaC.nc nthooeOdi gc fnno2T eip trztwhiioenpe d nl sCe ap1xth:9eu ,i ccs7io,f2e om5 ssa usttriooi¬esl Source : MNHN, Paris Source : MNHN, Paris RÉSUMÉ HOUART, R., 1992. THE GENUS CHICOREUS AND les coquilles se distinguent par un canal siphonal long RELATED GENERA (GASTROPODA : MURICIDAE) IN et mince, une ouverture striée intérieurement et non (PTAuHb)l.iEé 1 leI5 N240 D :o cO1to--b1Wr8e8 E1.9 S9P2T.a rPisA iCsbInF I:C 2. -8M56ém53.- 1M94u-s6. . nain. Hist. nal., cdtoeelunlerts ic ddueel é tePé tlceéoroymcnomontequ ucs,eh emdzo aPnistte lrsaye n scorautuplpsp,tr ueortce hp aeax ri dadelee s Cd pihfrifecèmorerie eduress (s.l.). Révision des espèces indo-pacifiques de Chicoreus et Le genre Chicomurex Arakawa, 1964 regroupe des genres voisins (Gastropoda, Muricidae). espèces dont la coquille ne dépasse pas 85 mm de haut et présente 3 varices plus ou moins épineuses, légère¬ Le genre Chicoreus est divisé en 5 sous-genres : ment foliacées adapicalement sur le dernier tour de Chicoreus (s.s.) Montfort, 1810, Triplex Perry, 1810, téléoconque. Siratus Jousseaume, 1880, Rhizophorimurex Oyama, Le genre Naquetia Jousseaume, 1880 est représenté 1950 et Chicopinnatus n. subgen. Deux genres, habi¬ par des espèces dont la coquille se distingue par une tuellement reconnus comme sous-genres de Chicoreus : spire haute, comportant 3 varices arrondies, parfois Naquetia Jousseaume, 1880 et Chicomurex Arakawa, légèrement foliacées sur le dernier tour. 1964, sont traités en tant que genre sur base de Certaines espèces appartenant très probablement au différences radulaires. genre Chicoreus ou à un des autres genres étudiés, mais 63 espèces et une sous-espèce récentes sont re¬ qui ne furent jamais, ou très mal illustrées et pour connues : 52 appartiennent au genre Chicoreus, dont 7 lesquelles aucun matériel type ne fut retrouvé, sont à Chicoreus (s.s.), 39 à Triplex, 2 à Siratus, 1 à reprises comme nomina dubia. La liste de ces espèces Rhizophorimurex et 3 à Chicopinnatus, 5 appartiennent est inclue dans l’introduction. au genre Naquetia et 7 à Chicomurex. Une nouvelle Toutes les espèces sont revues et illustrées systéma¬ espèce de Chicomurex est décrite. Des 19 espèces tiquement. Les espèces récentes sont redécrites. fossiles, 17 appartiennent à Triplex et 2 à Chicomurex. La description des espèces est basée sur des spéci¬ Le sous-genre Chicoreus (s.s.) est caractérisé par une mens adultes, et le matériel type est illustré pour la coquille à ouverture large possédant une dent labiale majorité des espèces. plus ou moins développée, absente chez les autres La distribution géographique, indiquée à l’aide de sous-genres et chez les genres Chicomurex et Naquetia. cartes, est basée sur du matériel appartenant à diffé¬ Dans la plupart des cas la coquille est grande, rents musées, à des collections privées et à la collection atteignant une hauteur de plus de 300 mm chez de l’auteur. Chicoreus ramosus (Linné, 1758). La radula fut étudiée chez 17 espèces. Elle présente Le sous-genre Triplex Perry, 1810 est subdivisé en 7 une dent rachidienne et une dent bilatérale unicuspide. groupes, chaque groupe contenant des espèces proches La dent rachidienne supporte 5 denticules. au niveau de la structure de la coquille. La hauteur des Deux types de radulas furent observés, l’un regrou¬ coquilles ne dépassent pas 130 mm, la sculpture axiale pant les espèces de Chicoreus (s.l.) (Figs 92-115, 129) et est représentée par 3 varices arrondies, garnies d’épines l’autre, les espèces des genres Chicomurex et Naquetia généralement foliacées. (Figs 116-128). Les espèces de Chicomurex et Naquetia Le sous-genre Siratus Jousseaume, 1880, bien repré¬ possèdent une radula avec une dent rachidienne sup¬ senté dans l’Océan Atlantique Occidental, ne connaît portant un grand denticule triangulaire central et des que deux espèces dans l’Océan Pacifique. Celles-ci rangées de denticules très rapprochées les unes des atteignent cependant une plus grande taille que les autres. Les espèces de Chicoreus (s.l.) au contraire, espèces atlantiques, sans toutefois dépasser la hauteur présentent une radula avec un denticule central plus de 184 mm. Les varices sont généralement ornées étroit et allongé ainsi que des rangées de denticules d’une longue épine carinale et d’une expansion folia¬ plus espacées. cée. Deux autres observations importantes furent mises Le sous-genre Rhizophorimurex Oyama, 1950 est en évidence grâce à l’étude de la radula : monotypique et se distingue par une espèce à coquille — Une séparation au point de vue spécifique peut être de taille moyenne, présentant 3 varices arrondies, non réalisée chez certaines espèces de Triplex classées ici épineuses, sur le dernier, tour, un bord columellaire dans un même groupe, alors qu’en général la morpho¬ adhérant à la coquille et un canal siphonal court, large logie de la radula est très souvent inutilisable pour une et non épineux. séparation spécifique fiable chez les Muricidae. Chicopinnatus n. subgen. est créé pour 3 espèces — L’existence de différences structurelles de la radula classées auparavant chez le genre Pterynotus et dont chez une même espèce, juvénile et adulte. Source : MNHN, Paris 12 ROLAND HOUART La protoconque est reconnue comme un élément phe, tandis que les espèces à développement non essentiel pour l’identification des espèces. Deux formes planctotrophe connaissent une distribution géographi¬ de protoconques sont observées chez les Muricidae : que soit restreinte s’il s’agit d’un développement celles appartenant aux espèces connaissant un déve¬ intracapsulaire, soit élargie s’il s’agit d’une larve loppement larvaire planctotrophe sont multispirales et lecitotrophe. Ceci est dû au fait que les espèces à larve de forme conique, avec des tours légèrement convexes, lécitotrophe présentent en général une protoconque tandis que celles appartenant aux espèces à dévelop¬ assez petite et légère, leur permettant de vivre quelques pement non planctotrophe sont généralement paucis- temps comme des espèces planctotrophes, sans pour pirales à tours arrondis. Les espèces à développement autant se nourrir du plancton, mais expliquant ainsi non planctotrophe peuvent à leur tour être subdivisées leur plus large distribution géographique. en deux groupes d’espèces : celles connaissant un L’opercule de toutes les espèces étudiées est généra¬ développement lecitotrophe et celles à métamorphose lement ovale ou arrondi, avec un nucléus apical ou intracapsulaire. subapical. On observe une très large distribution géographique chez les espèces à développement larvaire planctotro¬ Source : MNHN, Paris

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