ebook img

Tarot et acupuncture, par Florence Martin Bandonny PDF

92 Pages·2016·0.5 MB·French
by  
Save to my drive
Quick download
Download
Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.

Preview Tarot et acupuncture, par Florence Martin Bandonny

Méthodologie utilisée Introduction A : La genèse de l’Ancien Tarot de Marseille B : La genèse de l’énergétique traditionnelle chinoise C : La symbiose des deux systèmes Partie I : Le chemin du profane Partie II : Le chemin de l’initié Partie III : Tests cliniques Conclusion Remerciements Bibliographie Annexes Table des matières Centre Imhotep Paris 1 Mémoire de Florence BANDONNY Introduction A : La genèse de l’Ancien Tarot de Marseille Dans les temps anciens, nos ancêtres vivaient en harmonie avec la nature et ses énergies célestes. Cette connaissance du Sacré se transmettait oralement. Lors de croisades, les Templiers* furent initiés à ces connaissances. Malheureusement, en 1312, Philippe Le Bel, les fit exécuter avec l’accord de la papauté. L’Ordre fut dissout, mais des « rescapés » formèrent diverses confréries (franc-maçon, roses croix…) dans le monde entier afin de poursuivre discrètement la transmission du savoir sacré. Ils décident d’utiliser un support insoupçonnable qui traversera les siècles au-delà des langues et de l’écriture : le tarot car la popularité de ses images en assurera la diffusion et la pérennité sans en altérer le sens profond accessible seulement aux initiés. Ainsi, Paul Marteau a reproduit en 1930, avec quelques modifications (de couleur et de lettre), l’Ancien Tarot de Marseille qui existait déjà en 1630, sous le nom de Tarot de Conver. Ce dernier fut crée par Nicolas Conver, un pseudonyme indiquant « Nie qu’on l’a conver(ti) » afin de nous avertir que rien n’a été modifié. On peut se demander à quoi fait-il allusion ? Le décryptage de son nom, indique qu’il se réfère à un certain alchimiste, Nicolas Flamel, qui aurait eu en sa possession un curieux livre constitué des 22 lettres de l’alphabet Hébraïque sous forme de trois fois sept feuillets. Cet ouvrage laisse à penser qu’il s’agit du Livre de Thot. Thot*, Dieu égyptien est représenté par un homme à tête d’ibis ou un cynocéphale (singe). Scribe Divin d’Osiris, il était le Dieu de la sagesse et des pouvoirs magiques. Il fut l’inventeur de l’écriture et maître de la magie, Thot fut assimilé à Hermès Trismégiste (trois fois grand), le Maître des Alchimistes. Il s’avère qu’à la fin du XVIII siècle Court de Gebelin (franc-maçon), affirme que le tarot exprime une connaissance cachée par les anciens issus de l’Egypte pharaonique. Il précise que l’ensemble des arcanes du tarot reproduit « le Livre de Thot sauvé des ruines des temples égyptiens et contient le secret d’une médecine universelle ». Ainsi, leur quête est celle du GRAAL, de la pierre philosophale, autrement dit, celle de la recherche de l’harmonie et de la paix intérieure B : La genèse de l’énergétique traditionnelle chinoise Elle est fondée sur les principes du Tao qui est le système régulateur de l’alternance des énergies opposées et complémentaires, yin et yang. Ce terme, au-delà de toute la philosophie qu’il contient, ce traduit par chemin, voie. L’énergétique ancestrale que nous pratiquons aujourd’hui, consiste donc à harmoniser les énergies de notre patient avec lui-même et son environnement. Lorsqu’il choisit de venir nous consulter, c’est qu’il est prêt à entreprendre un (son) chemin. Ce qui le conduit à retrouver sa place dans ce monde, sa mission, trouver sa voie, à se retrouver. L’acupuncture conduit, par conséquent à la recherche de l’équilibre parfait. Vivre en harmonie avec soi-même et la nature, n’est ce pas aussi, ce que nous ont légué les anciens soit la quête du Graal, retrouver notre pierre philosophale ? C : La symbiose des Tarots et de l’énergétique Aux vues de ces deux systèmes qui ont, au fond, le même objectif, il m’a paru intéressant d’essayer de décrypter les messages transmis dans les 22 des 78 lames du tarot de Marseille afin de les associer à l’énergétique pour aider au mieux nos patients à trouver leur équilibre, leur Graal. Centre Imhotep Paris 2 Mémoire de Florence BANDONNY Pour ce faire, dans un premier temps, j’analyserai succinctement, les lames afin de les associer à la physiologie et l’émotionnel de l’énergétique traditionnelle chinoise. Dans le but de facilité la compréhension de mon raisonnement, les lames ne seront pas forcément étudiées par ordre croissant. Elles seront décrites à partir de nos merveilleux vaisseaux qui représentent les « antennes extérieures » de nos entités viscérales qui sont elles-mêmes logées dans nos Tsang. Leurs Fu respectifs seront analysés en même temps. Dans un second temps, j’approfondirai le message transmis par ces lames, en utilisant le cycle Ko, mouvement de régulation et de contrôle de nos énergies. Mon objectif étant d’obtenir une énergétique alchimique. Pour finir, mes tests cliniques viendront confirmer… ou infirmer mon raisonnement. Je dédie donc ce mémoire au décryptage du message transmis par les Templiers dans l’Ancien Tarot de Marseille afin de l’appliquer en énergétique. Centre Imhotep Paris 3 Mémoire de Florence BANDONNY Partie I : Le chemin du profane Les Templiers, et leurs descendants, Maîtres dans l’art du codage de langage, pour transmettre la gnose (connaissance véritable) aux seuls initiés, ont mis au point différents procédés utilisant à la fois la symbolique de l’image, des jeux de mots tels que, les anagrammes, les contrepèteries, les double sens, le langage des oiseaux et l’effet miroir. Par conséquent, nous allons tenter de décrypter les termes de ce jeu de cartes. Contrairement aux jeux de cartes classiques le tarot est constitué de 78 cartes décomposées en 22 lames ou également arcanes majeurs signifiant « secret » et 56 arcanes mineurs. Nous traiterons uniquement les 22 arcanes majeurs (les 22 secrets) qui correspondent aux 22 lettres hébraïques et aux trois fois sept feuillets du livre de Thot. En effet, l’Ancien Tarot de Marseille est constitué de vingt deux arcanes majeurs dont, vingt et un sont numérotés, vingt et un sont nommés, vingt et un constituent le chemin que doit parcourir le Mat pour se réaliser. Le nom de TAROT signifie, d’une part, en langage des oiseaux « ta roue » mais c ‘est aussi l’anagramme en latin de « ROTA » soit « roue » symbole de notre destinée. D’autre part, par effet miroir, tarot devient « ARO », l’anagramme de « ORA » qui correspond à notre « AURA », cette énergie invisible qui nous entoure et qui est représentée en énergétique par nos merveilleux vaisseaux. D’un point de vue, un peu plus ésotérique, « ARO » peut aussi s’interpréter comme « a or » qui peut signifier « a » du verbe avoir, posséder de l’or. Sachant que l’or, ce précieux métal naît de la terre par la transformation de métaux vulgaires. Cette métaphore du tarot indique l’objectif de ce jeu qui est de transformer notre plomb en or. En conclusion, le tarot (roue) représente la destinée des secrets (arcanes) de notre âme (lames). Centre Imhotep Paris 4 Mémoire de Florence BANDONNY Commençons notre analyse avec notre premier merveilleux vaisseau, le Tchrong Mo qui sera associé à la lame III, L’Impératrice. Le Tchrong Mo et le Yi associés à la lame III, L’Impératrice La symbolique du nombre III Le Tao produit le un, le un produit le deux, le deux produit le trois (Tao Té King 42), autrement dit, l’union du « Un », le Ciel, principe masculin, et du « Deux », la Terre, principe féminin, donne naissance à l’Homme le « Trois ». Ainsi, le trois représente la création de la nature avec ses trois mondes (minéral, végétal, animal), l’espace et ses trois dimensions (hauteur, largeur, longueur), le temps qui s’écoule (passé, présent, futur) et l’homme crée (tête, tronc, bas du corps ou ses trois foyers). Il représente, aussi, l’ordre établi du cosmos, (ou de l’univers). La symbolique de l’image Une femme assise dans un trône céleste (à cause de sa couleur chair) symbolise le ciel antérieur, l’inné, se présente au centre (élément Terre), assise face aux spectateurs (face à nous même, à notre centre), les jambes écartées comme lors d’un accouchement (la mise au monde). Une pomme d’Adam apparaît sur son cou, caractéristique réservée aux hommes. Adam, représente l’homme renvoyé du paradis et déchu sur la Terre pour avoir commis la faute du pêché originel. Par conséquent, cette singularité de l’Impératrice, souligne peut être le fait qu’elle a le pouvoir de faire redescendre l’homme sur la Terre. Cette théorie se trouve renforcée d’une part, par sa main gauche (yang, Ciel, Esprit, Actif) qui comporte quatre doigts visibles (4, matière) et se situe au niveau de son ombilic (trace du cordon ombilical qui permet la vie intra utérine au fœtus, ou le 8 JM). Ce qui représente la création de l’être humain, son origine, la descente de son âme ou Esprit dans le corps matériel. D’autre part, le globe terrestre sur son spectre, a une partie ombragée qui peut représenter la lune formant un Tout avec le soleil (boule complète). Une croix (Esprit, spiritualité) est formée au dessus du globe terrestre, elle semble détachée de celui-ci, d’où le symbole de l’Eprit qui descend dans la Matière. Pour finir, elle tient un aigle en formation (aile et patte droite) dans son bras droit. Il symbolise l’apprentissage. De son trône apparaissent l’équerre et le compas qui sont les deux principes de la manifestation. Le compas représente, le Ciel, le Soleil, le masculin, Fou-Hi, la détermination du temps, le Yang. L’équerre représente l’instrument indéformable donc matériel, elle symbolise la matière, la Terre, la Lune, le Féminin, Niu-Koua, la détermination de l’espace, le Yin. L’Impératrice structure, ordonne et coordonne les choses. Elle est l’architecte de l’Univers. Ses yeux regardent sur la bouche de l’Empereur Lame IIII (symbole du SI, le dire, du verbe créateur), peut être pour y lire un message ? En résumé, L’impératrice représente la création de la vie sur Terre ainsi que l’organisation rationnelle de celle-ci, ce qui correspond en énergétique à notre Tchrong Mo associé à notre Yi. Centre Imhotep Paris 5 Mémoire de Florence BANDONNY Pour continuer cette étude, dans une logique énergétique, nous allons poursuivre avec le Tsang Rate qui est le logis du Yi. Dans l’objectif, d’être plus concis, nous corrélerons directement les liens qui se tissent entre le Tsang Rate et la lame XIII, Tempérance. La Rate associée à la lame XIIII, Tempérance La symbolique du nombre XIIII C’est sept plus sept, le deuxième septénaire, soit le commencement d’une deuxième étape dans l’évolution. C’est la mise en place de tous les repères sociaux culturels. Le Quatorze fait référence, aux quatorze morceaux d’Osiris que la Déesse égyptienne Isis a soigneusement reconstitués. La recherche des morceaux d’Osiris, afin de les rassembler pour reconstituer son corps dans l’ordre, implique de posséder à la fois, des qualités telles que l’organisation rationnelle pour savoir où et comment retrouver les morceaux dispersés, puis, une bonne mémoire du passé, de notre création (se souvenir de la façon dont il était constitué pour le « refaire » à l’identique). Ces qualités se retrouvent dans les attributs de notre Rate. Isis (ou Tempérance) reconstitue les morceaux d’Osiris, donc, sa chair et ses membres qui sont physiologiquement régis par notre Rate. En tant qu’épouse, mère dévouée et aimante, elle incarne le côté maternel et nourricier de l’élément Terre. Symbolique de l’image La lame porte le nom de « Tempérance » sans article devant, en langage des oiseaux, cela peut signifier « temps d’errance », l’instant où l’on se promène sans but précis, autrement dit, c’est le moment de faire une pause. Ce qui nous rappelle, tout de suite, le rythme de nos pulsations ( 2-2-1) avec « le un » qui représente le temps de pause nécessaire pour que la rate puisse distribuer ses énergies à notre organisme. Tempérance porte, à la fois, des ailes de couleur chair (céleste) et un vêtement qui lui donne un aspect de sirène (bas de la robe en forme de queue de poisson). Elle montre ainsi ses relations avec le Ciel (feu ou foyer supérieur) et le monde aquatique (Eau ou Foyer inférieur)) tout en étant sur Terre (le sol jaune, Foyer moyen), elle assure ainsi, l’équilibre de nos foyers. Ses deux mains dotées de quatre doigts (matière), portent deux vases, qui permettent la mise en circulation des fluides tout en les conservant, ce qui est également la fonction de notre rate qui répartit les liquides tout en en conservant une partie. Le liquide contenu dans ces deux récipients, ne s’écoule ni horizontalement, ni verticalement mais plutôt « transversalement » comme s’il était le centre, l’équilibre entre ses deux positions. En effet, nul ne sait s’il monte ou s’il descend. Comme notre rate qui se situe dans notre foyer moyen et qui sert d’intermédiaire pour le passage entre les foyers supérieur et inférieur. De plus, ces deux vases, se retrouvent de couleur et de sens inversés par rapport à leur symbolique (le rouge Feu est en bas et le Bleu Eau est en haut) peut être, afin de souligner son pouvoir de mutation, de transformation, d’adaptation qui est également une des facultés de notre Rate. Ses formes sont aussi harmonieuses dans le Ciel que sur la Terre, elle a l’air paisible, tranquille, pausée. Elle maîtrise parfaitement tous les systèmes puisqu’elle verse les deux liquides sans avoir besoin de regarder ce qu’elle fait. En résumé, Tempérance représente notre système central qui gère la répartition des liquides, s’occupe de notre adaptation grâce aux mutations qu’elle engendre. Elle correspond donc, à notre Tsang Rate. Centre Imhotep Paris 6 Mémoire de Florence BANDONNY Après le Tsang Rate, analysons de la même façon, son Fu Estomac. L’Estomac associé à la lame XII, Le.Pendu La symbolique du nombre XII Le douze correspond aux douze mois de l’année, aux douze signes (ou constellations) du zodiaque, aux douze heures du jour et de la nuit donc, il devient le symbole de l’organisation terrestre et temporelle (comme notre Tchrong Mo, notre Yi). L’arbre de vie de l’Ancien Testament produit chaque année douze fois des fruits, ce qui en fait un symbole de nourriture matérielle et spirituelle acheminée par notre Estomac. Il a pour fonction de séparer puis de transformer les liquides, solides, et énergies absorbés. D’ailleurs, l’Estomac n’est-il pas, la mer des eaux et céréales ? Le douze représente, aussi, la filiation, les Douze tribus d’Israël, les douze apôtres du Christ. La filiation s’effectue parles liens du sang, c’est notre Tchrong Mo, la Mer du sang qui assure cette fonction. Celui-ci est en relation directe avec notre Estomac grâce à sa branche qui passe au 30 E (Battement Yang). La symbolique de l’image Le Pendu (comme la Lame XIIII, Tempérance, Rate) est en relation avec le Ciel (le foyer supérieur) grâce à une corde qui lui maintient le pied et avec la terre (foyer inférieur), puisque sa tête se situe dans « les profondeurs de la Terre ». Le Pendu est en relation avec les deux arbres. La corde symbolise le lien qui les unit. Dans le sol, les racines des arbres puisent les énergies, les substances alimentaires, et l’eau nécessaire qui sont ensuite transformées en sève brute (sang) et conduits vers les feuilles. Le pendu est comme notre Fu estomac qui produit le sang et l’énergie à l’état brut grâce au bol alimentaire reçu par sa bouche (tête située dans les racines). Les six branches des deux arbres sont ébarbées, leurs tronçons sont placés de telle sorte qu’ils semblent capter des énergies ce qui ressemble au nom donné à notre Estomac « les six réceptacles ». La tunique du Pendu comporte des boutons qui ressemblent à des substances placées dans un tube (qui démarre de la gorge jusqu’aux voies naturelles). Ce vêtement semble séparé en quatre parties car des lignes blanches apparaissent entre le haut, le bas et les côtés (gauche, droite). Cela nous fait penser à la fonction de notre Fu estomac qui gère la séparation des substances absorbées, en faisant le premier tri. En résumé, la lame XII, Le.Pendu correspond en énergétique à notre Fu Estomac. Centre Imhotep Paris 7 Mémoire de Florence BANDONNY Les trois lames que nous venons d’étudier (lame III, L’Impératrice Ŕ lame XIIII, Tempérance Ŕ lame XII, Le.Pendu) sont associées à notre naissance, à la mise en place de notre système structurel physique et émotionnel. Tout d’abord, il y a la création de l’embryon dans l’utérus issu de l’union des principes (opposés et complémentaires) masculin et féminin. Cette étape est réalisée grâce à notre merveilleux vaisseau appelé Tchrong Mo, qui va s’invaginer pour donner naissance à nos entités viscérales (nos chen du ciel antérieur), à nos autres merveilleux vaisseaux et à nos Tsang et Fu. C’est lui qui agence toute notre structure matérielle pour que notre embryon se transforme en fœtus puis en nouveau-né. Au vingt et unième jour, le nouveau-né prend le nom de nourrisson et fait ses premiers apprentissages entre l’inné (ciel antérieur d’où il vient) et les règles terrestres. Ses préoccupations sont essentiellement matérielles, manger, boire, respirer, éliminer. Pour cela, il commence à collecter, enregistrer, analyser et ordonner toutes des informations qu’il reçoit grâce à ses cinq sens. Il commence son expérience dans la vie, fait des tests (pleurer pour voir comment ses parents vont réagir…) pour savoir si ses désirs sont réalisables ou non. Son attitude ressemble fort à la fonction de notre Yi, notre ordinateur central, chargé de collecter, d’enregistrer toutes les informations, de les analyser et de les coordonner. Cette entité viscérale de l’élément Terre, régit la préparation de chaque instant en étudiant ses faits et gestes vont pouvoir être réalisables ou non. Schéma récapitulatif Naissance Tchrong Mo = L’Impératrice Yi = L’Impératrice Rate = Tempérance Estomac = Le.Pendu Les fonctions de la lame III, L’Impératrice m’ont conduite à associer l’entité Yi avec le Tchrong Mo qui serait son « antenne externe ». De plus, que notre Tchrong Mo est la Mer du sang et des douze méridiens. Cela renforce cette analogie entre l’entité Yi qui agence, structure, cordonne et le Tchrong Mo qui met en place une structure rationnelle. Centre Imhotep Paris 8 Mémoire de Florence BANDONNY D’après les trigrammes, après le Tchrong vient le Yin Oé Mo qui répartit le Yin (la matière, le sang). Celui-ci sera associé à la Lame XV, Le. Diable que j’ai également, associé à notre Pro. Le Yin Oé Mo et le Pro associés à la lame XV, Le.Diable La symbolique du nombre XV Quinze correspond à la somme des colonnes et des lignes du Ming Tang donc, il représente le chiffre de l’Homme dans son univers terrestre. La symbolique de l’image Les deux petits êtres symbolisent notre esprit animal (un féminin et un masculin) parce qu’ils sont de couleurs chair qui correspond au Ciel antérieur (L’Esprit) et qu’ils possèdent une queue, des « cornes », de drôles d’oreilles, et d’étranges pieds. La vie des animaux est essentiellement régie par leur instinct primaire, l’instinct de survie, donc par leur Pro. Ces deux personnages indiquent que leur esprit est enchaîné à la matière (le pot rouge) au point de les étouffer (corde autour de leur cou). Ils recherchent donc la réussite et reconnaissance sociale. Leur Pro doit être très affirmé ! Un être diabolique règne sur eux, il domine et écrase la terre (le pot) à laquelle ils sont attachés. De plus, ce démon possède une arme, la lame (ou leur âme ?) blanche à double tranchant. Ces attributs sont spécifiques à l’élément Métal, et nous confirme bien qu’il s’agit de notre Pro. Le Diable oblige ces êtres, tout entier (esprit, âme, corps) à être dans la quête de la matière, n’est ce pas aussi le rôle de notre Yin Oé Mo de répartir la matière partout ? Nous pouvons en déduire que la Lame XV, Le.Diable représente à la fois notre entité viscérale Pro et notre merveilleux vaisseau Yin Oé Mo. Centre Imhotep Paris 9 Mémoire de Florence BANDONNY Notre instinct de survie (Pro) est enfermé dans notre Tsang Poumon, le maître des souffles. Dans toutes les traditions, le souffle est symbole de la vie. Le Poumon sera associé à la lame VIII, La.Justice Le Poumon associé à la lame VIII, La.Justice La symbolique du nombre VIII D’après l’Ancienne Egypte, le huit symbolise l’équilibre et l’ordre cosmique. De ce fait, il incarne la Justice qui par souci d’équité doit être tranchante comme le Métal. Le huit représente les quatre directions cardinales auxquelles s’ajoutent les quatre directions intermédiaires. Le nombre VIII correspond au Pape V uni à L’Impératrice III soit, la volonté de savoir ou l’Homme Parfait associé à la création sur Terre. Notre Tsang Poumon (tout comme le huit) en tant que premier ministre, est chargé de mettre en place les ordres (les lois) dictés par le cœur. Le 8 par sa forme de boucle sans fin, évoque, les mouvements de montées et descentes perpétuels représentent ainsi, notre Tsang Poumon, maître des énergies circulantes. La symbolique de l’image Le nom de la lame « La.Justice » s’accorde parfaitement à l’élément Métal, qui symbolise le pouvoir, la justice ou les injustices commises, la droiture. Le mortier judiciaire sur la tête de la femme confirme bien qu’elle représente la Justice, le pouvoir exécutif qui est analogue à notre foyer supérieur, notamment à notre Poumon, notre premier ministre, notre conseiller à la cour. Celui qui décide des lois, régit l’équilibre des souffles entre l’interne et l’externe. Au dessus du mortier de la Justice, du jaune apparaît comme si elle le diffusait de l’interne vers l’externe, pour le Ciel, pour la coupole céleste. Elle semble être le siège de notre respiration, Tsong Tchi. Cela nous fait penser au 2P, à la fois, « Porte des nuages » et « Porte du Pro ». D’autant plus que, le Poumon maintient l’équilibre entre le pur (air inspiré) et l’impur (air expiré). Les deux plateaux de la balance sont à hauteur de ses reins, l’axe de la balance va du bas du poumon vers un point rouge au niveau de son pouce qui se situe symboliquement sur son cœur. Cela, nous fait penser au Poumon qui transmet les liquides purifiés au cœur et les impurs, par différentes voies, aux reins. Le trône de la Justice semble être en lévitation dans l’air (foyer supérieur) et donne l’impression d’ailes repliées. Sur sa droite (yin) une épée (épais) se fond avec le trône comme si elle détenait le pouvoir de transformation de l’épais en subtil, tout comme notre Poumon transforme l’eau épaisse en fines gouttelettes pour les faire redescendre pour purifier notre sang. Elle ne semble pas être assise sur le sol jaune mais plutôt juste posée comme si ses « ailes de pouvoir » venaient de la déposer, peut être afin de nous indiquer la relation entre le foyer supérieur (l’air, le ciel) et le foyer moyen (la terre jaune). Son visage exprime la tristesse. Nous pouvons en déduire que la lame VIII, La.Justice représente symboliquement le Tsang Poumon. Centre Imhotep Paris 10 Mémoire de Florence BANDONNY

Description:
des arcanes du tarot reproduit « le Livre de Thot sauvé des ruines des temples égyptiens et contient le secret .. Lune, reflète la lumière du soleil. Elle symbolise la .. vers le 17 JM. Tsong Tchi, énergie essentielle, le souffle de vie.
See more

The list of books you might like

Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.