ebook img

Symposium on Automatic Demonstration: Held at Versailles/France, December 1968 PDF

316 Pages·1970·3.16 MB·English
Save to my drive
Quick download
Download
Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.

Preview Symposium on Automatic Demonstration: Held at Versailles/France, December 1968

Lecture Notes ni Mathematics A collection of informal reports and seminars Edited yb .A Dold, Heidelberg and .B Eckmann, Z0rich 521 muisopmyS no citamotuA noitartsnomeD Held at Versailles/France, December 1968 F SCI,HT ETH-BtB 00 I'00000330992 Edited yb .M Laudet, IRIA, Rocquencourt/France, .D Lacombe, .L Nolin and .M Sch0tzenberger, Faculte des Sciences, Paris/France Springer-Verlag Berlin. Heidelberg • New York 1970 This work is subject to copyright. All rights are reserved, whether the whole or part of eht+ material is concerned, specifically those of translation, reprinting, re-use of illustrations, broadcasting, reproduction by photocopying machine or similar means, and storage in data banks. Under§ 34 of the German Copyright Law where copies are made for other than private use, a fee is payable to the publisher, the amount of the fee to be determined by agreement with the publisher. © by Springer-Verlag Berlin • Heidelberg .0791 Library of Congress Catalog Card Number 79-117526 Printed in Germany. Title No. .1823 Lecture Notes ni Mathematics, Vol. 125 ERRATA C on tribu tion • REFINEMENT THEOREMS IN RESOLUTION THEORY by David Luckham #. 170 In the definition of Rg, ~ and ~ are simplest (or most general) substitutions such that A% is a merge or BT si a merge. p. 180 Definition (ii) should read: (ii) R(~IK ) = df. the subset of R(~) consisting of those clauses having an instance which contains only terms in K(S), p. 185 line 8 from the bottom: "the clause..." should be a" clause..." p. 185 line 2: Tr(a) should be Tr(A). Ce livre contient la p~upart des exposes qui ont ~t~ pr~sent~s lots du Colloque International sur la D~monstration Automatique, organis~ par l'Institut de Recherche d'Informatique et dtAutomatique, en D~cembre 1968, ~ Rocquencourt, France. This book contains the greater part of the Con£crences which have been given during the international symposium on Automatic Demonstration organised in december 1968 by the French Insl/tut de Recherche d'In£ormatique et d'Automatique, at Rocquencourt France. Ces textes ont 4t4 dactylographi4s par Mademoiselle HERNANDEZ, du C. N. R.S. ~ Paris. These texts have been typed by Miss HERNANDEZ, C.N.R.S. ni Paris. SYMPOSIUM ON AUTOMATIC DEMONSTRATION COLLOQUE DEMONSTRATION AUTOMATIQUE CONTENTS LAUDET Michel Allocution d'ouverture .......................... I ARNOLD Andr4 Pr4sentation d'un langage de formalisationdes d S emonstratzons math4matiques naturelles ......... 6 de BRUIJN N.G. The mathematical language AUTOMATH, sti usage, and some of sti extensions ............... 29 ENGELER Erwin Proof theory and the accuracy of computations .... 62 FRAISSE Roland Aspects du Th4oreme de compl4tude selon Herbrand 75 GRZEGORCZYK A. Decision procedure for theories categorical in Alef 87 HAO WANG On the long-range prospects of automatic theorem proving ........................................ 101 KOWALSKI Robert The case for using equality axioms in automatic demonstration .................................. 112 KREISEL G. Hilbert's programme and the search for automatic proof procedures ............................... 128 LOVELAND D. W. A linear format for resolution ................... 147 LUCKHAM David Refinement theorems in resolution theory ........ 163 PAWLAK Z. Definitional approach to automatic demonstration 191 PITRAT Jacques Heuristic interest of using metatheorems ........ 194 PRAWITZ Dag A proof procedure with matrix reduction ......... 207 ROBINSON G. and WOS L. Axiom s~stems in automatic theorem proving ..... 215 SCOTT Dana Constructive validity ............................ 237 WOS L. and ROBINSON G. Paramodulation and set of support ............... 276 List of Contributors Laudet, Michel: Domaine de Voluceau, I.R.I.A., Rocquencourt/France Arnold, Andr§: Facult& des Sciences, Lille/France de Bruijn, N.G.: Technological University, Eindhoven / Netherlands Engeler, Erwin: Froschungsinstitut riff Mathematik, ETH, ZUrich / Swiss and University of Minnesota, Minneapolis,MN/USA Fraiss~, Roland: Facult~ des Sciences, Marseille / France Grzegorczyk, Andrzej: Polish Academy of Sciences, Mathematical Institute, Warszawa / Poland Hao Wang: Rockefeller University, New York City, NY/USA Kowalski, Robert: Mathematics Unit, University of Edinburgh, Edinburgh / Scotland Kreisel,G. : Stanford University, Dept. of Mathematics, Stanford, CA/ USA and Universit& de Paris, Facult~ des Sciences, Paris / France Loveland, D.W.: Carnegie-Mellon University, Pittsburgh, PA / USA Luckham, David: Computer Science Department, Stanford University, Standford, CA / USA Pawlak, Z.: Institute of Mathematics, Warszawa University, Warszawa/ Poland Pitrat, Jacques: Institut Blaise Pascal (C.N.R.S.), Paris/France Prawitz, Dag: Lunds Universitet, Lund/Sweden Robinson, G. : Stanford Linear Accelerator Center, Stanford, 6A/USA Scott, Dana : Dept. of Mathematics,Stanford University,Stanford,CA/USA Wos, L. : Argonne National Laboratory, Argonne, IL/USA ALLOCUTION d'OUVERTURE M. LAUDET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I1 serait prdsomptueu_x pour quiconque de traiter devant vous des probl~mes hautement techniques autour desquels se regroupent vos travaux, et le g~ndraliste que je suis s'estime real qualifig pour ~tre autre chose qu'un auditeur passionnd k cette rdunion. Cependant, puisqu'il est d'usage qu'une allocution d'ouverture prd- pare les voles aux exposds plus ardus et puisque cette t~che me revient, je me tournerai vers les nombreux participants qu'a attird votre renom pour leur rappeler comment le sujet de ce Colloque se place dans l'axe m~me du d6veloppement de la mathdmatique. Ceci naturellement je le feral en fonc- tion de ce qui est l'un des buts de notre Institut et de mes int6r~ts propres, savoir la mathdmatique en tant que science des calculs. Distinguons, si vous le voulez bien, trois niveaux: - la construction; - la dgcision; - la semi-ddcision; que l'on pourrait aussi bien associer schdmatiquement ~ des dtapes histori- ques ou ~ des prises de consciences de rigueur et de possibilitd. )1 Les Constructions: C'est essentiellement le niveau prdmathdmatique des sciences dgyptienne et babylonienne dont le papyrus de Rhind et les tablettes gravges nous apportent le tgmoignage. Ici, il s'agit surtout cornme on l'a tant rdpdtd d'un recueil de recettes - souvent inggnieuses, rarement systdmatiquesdont le but ddclard est de rdsou- dre les probl~mes numgriques que requiert la technologie de l'dpoque: cal- culs cadastraux, calculs astronomiques, probl~mes de partage. Le trait le -2 - plus frappant pour un moderne est l'absence de discussion des limites de validit6. Le centre de celles-ci dtant indiqud au moyen d'exemples typiques. Cette approche rdappara~ra souvent dans l'histoire aux fronti~res des domaines dgj~ organis6s en science rigoureuse et il faut lui rattacher les premieres gbauches de la thdorie des nombres de Diophante, de l'alg~bre de Tartaglia et JgrSme Cardan, les "probl~mes plaisants et dglectables" de Bluchet de Meziriac. Plus gdndralement nous verrions volontiers cette m~me mdthode empirique, voire expdrimentale, dans nombre de travaux directement inspirds des pro- blames pressants de la physique et nous y saluons la source sans cesse renou- velde d'une inspiration et d'un guide pour les recherches des mathgmaticiens proprement dits. Nous somrnes stirs, d'ailleurs, que les moyens puissants de l'Informatique y ont un grand rSle ~ jouer m~me dans des branches fort gloigndes des appli- cation s traditionnelle s. 2) La d4cision: Au second niveau se situe le calcul dans des th4ories d4cida- bles ou que l'on consid~re comme telles. C'est lk naturellement que s'effec- tue la plus grande pattie de l'activit4 des mathdmaticiens appliqu4s: Par exemple, bien que les structures sous jacentes soient infinies la m4thode de Jacobi pour diagonaliser une matrice conduit ~ un processus d4ci- dable chaque fois qu'a 4td fixde k l'avance la prdcision, au demeurant arbi- traire, dont l'obtention provoquera l'arr~t des calculs. I1 en serait de m~me de la recherche num4rique des racines intdgro diff4rentielles. Dans d'autres cas, le probl~me est ddcidable parce que les structures en cause sont finies; comme c'est le cas des probl~mes impliquant les alg~bres de Boole ou le calcul des propositions. Dans d'autres cas enfin ce sont des th4ories difficiles qui nous ont r4v414 le caract~re ddcidable de toute une classe de probl~me. Par exemple, la th4orie de Tarski a montr4 qu'il en 4tait ainsi de l'alg~bre et de la g4om4trie 414mentaire et que l'on pouvait r4pondre de fa~on algorithmique ~ la question: un syst~me donn4 d'4quations et d'in4quations admet-il ou non une solution r4elle ? - 3 "~ Vous savez rnieux que rnoi l'irnportance et l'dtat actuel de ces recherches. Vous savez aussi cornbien certains de ces algorithrnes sont longs et complexes d~s qu'on s'~carte tant soit peu des cas les plus El~rnentaires. Perrnettez-rnoi une fois encore d'insister sur l'influence qu'ont et qu'auront les ordinateurs tant sur le plan pratique que sur le plan thEorique. Aurait-on song~ ~ Elaborer la thEorie de la prograrnrnation linEaire en nornbre entier si n'avaient existE les moyens rnat~riels de r~soudre effecti- vernent des classes de probl~rnes dans une gamme enti~rement inaccessible au calcul manuel ? Aurait-on song~ ~ Etudier comparativement l'efficacitE des algorithrnes si leur domaine d'application s'~tait lirnitE ~ la rmrge Etroite des cas ~ peu pros triviaux qui peuvent ~tre abordEs sans machine ? 3) Les theories indEcidables: Toutefois nous le savons bien les theories les plus intEressantes sont indEcidables. Le thEor~rne de Godel apporte A l'huma- niste le message le plus rEconfortant: aucune machine ne peut remplacer l'esprit hu_main. Rien ne nous retient donc de chercher ~ cerner de plus pros la partie irrEductible de son activitE crEatrice et pour cela deux voies diver- gentes se prEsentent ~ nous: - Tenter de reproduire le plus fid~lement possible les demarches les plus El~mentaires de l'esprit afin de pouvoir les extrapoler; - Formuler et experimenter des rn~thodes de semi-dEcision. Si la proposi- tion dont nous voulons calculer la valeur de v~ritE est vraie, nous obtien- drons la rEponse enun hombre fini d'~tapes. Sinon, l'algorithrne fonction- nera indEfinirnent car, dans tousles cas, ce qu'il cherche est un contre exemple. Telle est la rn~thode irnagin~e par Herbrand d~s 1930 et dont il a fallu pros de 30 ans avant de commencer rn~rne ~ en explorer les consequences. Certes, d~s l'abord la longueur et l'opacitE des calculs devaient dEcou- rager toute tentative d'expErirnentation A la main et une lois encore ce sont les ordinateurs qui ont stirnul~ les recherches. -4- Ces deux voies d'ailleurs ont 4t4 explor4es simultan4ment te les premiers rdsultats obtenus ont 4t4, ej crois, communiquds ~ un large public pour al premiere ~ fois Paris, en 1959, au premier Congr~s de I'IFIP. Dans la vole de la simulation, Gelernter, certains de vous s'en souviennent peut ~tre, s'4tait efforc4 de retracer artificiellement les d4marches de l'esprit qui cherche ~ d4montrer un th4orhme simple de g4om4trie. Plus ambitieusement, NeweI1 et Shaw employaient une approche analogue h la mise sur pied d'un r4solveur g4n4ral de probl~me. Dans la deuxi~me vole, Gilmore appliquait le thgorhme de Herbrand pour vdrifier diverses formules du calcul des pr4dicats. Dans les cou- loirs Prawitz et Voghera distribuaient un r4sum4 de leurs propres recher- ches dans ce domaine. Depuis 1ors chacune de ces deux tendances s'est d4velopp4e. La premiere, sous le nora d'Intelligence Artificielle a donn4 lieu ~ plus de colloques et de confdrences que la seconde. I1 nous a paru 4quitable de rdtablir quelque peu l'4quilibre tout en donnant h des repr4sentants de l'Intelligence Artificielle l'occasion de corn- reenter leurs recherches. I1 s'agira donc, ici surtout, de la thdorie et des pratiques basdes sur les m4thodes de Herbrand et sur les aspects les plus techniques et les plus profonds de la logique math4matique. Je m'en excuse aupr~s d'une partie de l'auditoire mais il y verra la marque que si notre Institut de Recherche se veut appliqu4 il croit que les bonnes applications ne peuvent surgir que de la r4flexion thdorique la plus audacieuse et la plus rigoureuse. N'attendez pas, pour terminer, que ej parle de l'avenir. Permet- tez-moi cependant d'4voquer deux :stiaf En 1869, Jevons construisit al premiere machine pour r4soudre el

See more

The list of books you might like

Most books are stored in the elastic cloud where traffic is expensive. For this reason, we have a limit on daily download.