Être une méchante maléfique demandait trop de travail... et je n’ai pas l’étoffe d’une super-héroïne. Essayons super-espionne à la place !
Même si Madrona n’a toujours aucun souvenir de son passé et qu’elle ressemble davantage à une méchante maléfique qu’à une fabuleuse super-héroïne, cela ne signifie pas qu’elle ne peut pas être une super-espionne. Alors quand Rubus se lance à la recherche de la sphère magique du dragon qui permettrait aux fées de rentrer chez elles, mais causerait l’apocalypse, elle n’a pas vraiment le choix.
Le monde a besoin d’une personne brillante, puissante et pleine de ressources pour le sauver... et si la personne en question s’avère être on ne peut plus séduisante au passage, c’est tout bénef.