Description:Peintures écrites (1) Au docteur Pierre Midrin Grondant au loin, un express volait au-dessus de la colline et du couvent des Minimes, où règne la colonne militaire érigée après 1814, et tout à coup la foule immense, stationnant aux abords de la gare du Béarn, aperçut entre deux mamelons très chevelus un énorme panache de fumée ondulant dans les airs, ensuite ouït les ronflements du train écrasant les rails et les sifflements de sa locomotive : — Il approche, il accourt, il arrive ; enfin, enfin, nous le verrons ici, lui !