Salviani Massiliensis presbyteri, S. Patricii, Hibernorum apostoli, Arnobii Junioris, Mamerti Claudiani opera omnia : juxta memoratissimas editiones Stephani Baluzii, Margarini de la Bigne, Laurentii de la Barre et Gallandii accuratissime recognita.

532 Pages·1865·62.669 MB·Latin

by  Iunior. Arnobius, Mamertus. Claudianus, Migne, Jacques Paul, Sanctus. Patricius, Massiliensis. Salvianus

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P A T R O L O G LE
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AUCTA; INDICIBUS 0RDINAR1I8 TKL ETIAM ANALYT1C1S, SINGULOS SIVB TOM08, SIVE AUCTORES ALlGUJUS
MOMKNTI 8UBSBQUF.NTIBUS, DONATA ; CAPITHLIS INTRA IPSUM TliXTUM RITB DISPOSITIS, NECNON ET TITULIS
SINGULARUM PAGINARUM M ARGINRM SUPEItlORBM DI8T1NGUENTIBUS SUBJECTAMQUE MATRRIAM 8IGN1FI-
CANTIBUS, ADORNATA; OPERIBUS CUM DUBHS, TUM APOCRYPHIS, ALIQUA VERO AUCTORITATE IN
ORDINB AD TRADITIONKII ECCLESUSTICAM POLI.ENTIBUS, AMPLIFICATA ;
DliCKNTIS ET QUADRAGINTA INDICIBUS SUB OMNI RESPECTU, SCILICET, Al.PllABETICO, CllltONOl.OfilCO, ANALYTICO,
4NAI.0CIC0, STATlSTlCO.SYNTHETICO, BTC, OPERA, KES ET AUCTORES EXIllBENTIDUS, 1TA UT NON SOI.Utt
STUDIOSO, 8F.D NEGOTIIS IMPLICATO, ET Sl FORTE SINT, PIGHIS ETUM ET IMPERITIS PATKANT 0MNE8
68. PATRBS, LOCUPLETATA; SED PR£SERTIM DUOBUS IMMENSIS ET GENERALIBUS INDICIRUS, ALTKRO
8CII.ICET RERUM, QUO C0N8ULT0, QUIDQUID NON SOLUM TALIS TALISVE PATER, VERUM ETIAM
UNII8QUISQUK PATRUM, ABSQUE ULLA EXCF.PTIONK, IN QUODLIBET TI1RMA 8CR1PSRRIT, UNO
INTUITU C0N6PICIA1UR; ALTERO SCKIPTURjE SACRiE , EX QUO LKCTORl COM-
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DUPI.ICI KDITIONE TVPIS MANDATA EST. PltlOR GRjBCUM TEXTUM UNA CUM VERSIONE LATINA I.A1ERALI COMIl.E-
CTITUR, ETiOi VOLUMINA IN 409 TOMIS, PRO PRIMA SERIE, NON EXCEDIT. POSTERIOR VERSIONEM LATINAM TANTUM
BXHIBKT, IDEOQUE INTRA 55 VOI.UMINA RKTINKTUR. SECUNDA SERIES GRJCCO-LATINA AD 58 VOLUMINA TANTUU ATTIIf •
CIT; DUM UUJUS VERSIO MEKE LAT1NA29 VOLUMINIRUS EST ABSOLUTA. UNUMQUODQUE V0LUMEN GU^ECO-LATINUM 3,
UNUMQUODQUB MERB LATINUM 5 FHANCIS SOLUMMODO EMITUR : UTROBIQUK VEHO, UT 1'RETII HUJUS BENKFICIO
FHUATUR EMPTOR, COLLKCTIONKM INTECRAM, SIVK LATINAM, SIVE GRiBCAM COMPARET NECESSE ERIT; SBCUS KNIM
CtlJUSQUB VOI.IIMINIS AMPLITUDINKM NECNON KT DIFFICUI.TATKS VAniA-PRCTIA £QUABUNT IDEO, 81 QUISTANTUM EMAT
LICET INTEf.RE, SED SEORSIM, COLLSfcTlpUFM Gl.ECO-L^AT.IN^M,AJSL^AJID^! EX GR/CCO LATINE VEItSAM, TUM QUODQIIK
VOI.UMKN PHO 9 VF.L PRO 6 KRANCIS SOllUM OHT* N*KI*1T< HST^E. COND*TrON£S POSTIiRlORI PATROI.OGI^E LATINJE SEItlKl,
PATRES AB INNOCENTIO III AD CONCILllM TRlDENTlNUkl EXHIBENTI, AI»PL1CABUNTUK. PAIHOIOGIA QU.t MANLSCRIPTIS
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CIALIBUSSUBJICIENTUR, ET Kl TE4P0P.E SVO^NN^NVIABUNTUR, Sl U<M?US £A# ^YPIS MANDANDl NOUlS MON DEFUfcKlT-
PATROLOGIM LATINM TOMUS Llll.
SALVIANUS, MAMERTUS CLAUDIANUS, S. PATRICIUS, ARNOBIUS JUNIOR ALII.
EXCUDKBATUR ET VENIT APUD J.-P. MIGNE, EDITOREM,
13 flA DICTA THlBAUfr, OLIM WAUBOISE, PROPE PORTAM LIJTETIA PARISIORUM VliLGO
DtLNttii NOMINATAM, SKU PETIT-MUNTROUGEim$C VERO INTRA MUENIA PARISINA.
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186»
AVIS IMPORTANT.
ITapres one deslois providentielles qoi regissenl le monde, rarement les oeovres au-<ie«sus de Pordinalre se font
•tns contradictioris plns os raoins fortes el nombreuses. Les Ateliers Catltoliques ne pouvaient guere eshapper a ce
cachet divin de leurutiHtG. Tantoton a nie le.ar existence ou leur importance; lantoton a dit qu'ils elaient fermes
ou qu'tls allaient Petre. Cependantils poursuivent leur carriere depuis 2i ans, et les produciions qui en sorlent
0 deviennent de plus en plus graves et soignees : aussi parait-il certain qu'a moins d'e*venements qtPaucone prudence
hnuiaine no saurait prevoirni empecher, ces Ateliers ne se fermeront que quand )a Bibliotheque du Ctergi sera
termine* en ses 2,000 volumes in-4°. Le passe paralt un sur garant de Pavenir, pour ce qu'i( y a a espererou a
craindre. Cependant, parmi tes calomnies auxquelles ils se sont trouves en botte, il en est deux qtii ont ei6 conti-
nnellemeut repeiees, parce qu'etant plus capitales, lenr effet enlrainait plus de consequences. De pelits*et ignares
concurrents se sontdonc aeharnes, par leur correspondance ou leurs voyageurs, a repdter partout que nos Kdiliona
etaient mal corrige*es el mal imprimees. Nepouvant attaquer le fond des Ouvrages, qui, pour la plupart, ne sont
que tes cBefsHfceuvre du Cathoticisme reconuus pour lels dans tous les temps et dans tous les pavs, il fallaitbien
se rejetersur la forme dansce quelle a de piusserieux, la correction et 1'impres^on; en eflet, lescnefs-cPceuvre
meme n'auraient qu'une demi-valeur, si le texte en etait inexact ou iliisible.
I! est tres-vrai que, dans le prlncipe, un succes inoui dans les fastes de la Typographie ayanl force PEditeur de
recourir aut mecaniques, afin de roareher plus rapidement et de donner les ouvrages a moindre prix, quatre volumes
du double Cours d'Bcrilwe sainle et de Thiologie furenl lires avec la correction insufftsante donnee datis les impri-
meries a presque tout ce qui s'edite; il est vrai aussiqiPun certain nombre d'autres volumes, apparteuant a diverses
Poblications, furent imprlmes ou trop noir ou trop blanc. Mais, depniis ces temps 6Ioign6s, les raecaniques ent
cede le travail aux presses a bras, et Pimpression qui en sort, sans e"tre du luxe, atlendu que le luxe jurerait dans
des etivrages d'une telle nature, est parfaitemenl convenable sous tous les rapports. Quant a la correction, il est
de fair qu'elle n'a jamais e*te portee si loin dans aucune edition ancienne ou contemporaine. Etcommeut en serait-il
autrement, apres toutes les peines el toutes les de*penses que nous subtssous pour arriver a purger nos e*preuves de
toutes fautes? L'habitude, en typographie, m&me dans les meilleures maisons, est de ne corriger que deux epreuves
et d'en conferer uue troisieme avec la seconde, sans avoir prepar6 en rien le manuscritde I auleur.
Dans \e%Aleliers Calholiques la diiTerence est presque incommensGrable. Au moyen de correcteurs blanchis sous
fe harnais et dont le eoup d'o?>l tvpographique est sans pitie pour les fautes, on commence par preparer la copie d'un
bout a Pautre sans cn exeepter un seul mot. On ftt ensuite en premiere epreuve avec la copie ainsi preparGe. On lit
en seconde de la m£me mauiere, rnais en collationnant avec la premiere. Qn fait la meme chose en lierce, en colla-
tiunnanl avec la seconde. Ou agit de m$me en quarte, en collationnant avec la lierce. On rcnouvelle la mdme op6-
ralion cn qtiiute, en collationnant avec la quarte. I es coUationnements ont pour but de voir si aucune des fautes
signale"es a*i bureau par MM. les correcteurs, sur la marge des ^preuves, n'a echappe a MM. les corrigeurs sur le
marbre etle meial. Aores cesclnq lectures eniieres conlrdlees l'une par Tautre, el en dehors de la preparation
ei-dessus menlionn6e,vient une revision, ei souventil cn vient deux ou trois; puis Ton cliche. I.e clichage op^r^, par
eonsequent la pureie* du lexle se trouvant immohilisee, on fait, avec la copie, une nouvelle !eclu'e d'un bout de Y&
preuve a 1 aulre, on se livre a une nouvelle r^vision, et le tirage n'arrive qu'apres ces inuombrahles prlcaulions.
Aussiya t il a Montrouge des correcieurs de loules les nations et eu plus gtand iiombre que dans vingt-cinq
knprimeries de Paris rSunies I Aussi encore, la correction y coute-t-elle autant que la composition, tandis qu'ai!leurs
elle ne coute que le dixieme ! Aus^i enfln, bien que Tasserlion puisse paraitre tcmeraire, 1'exaclilude obienue par
lanl de frais et de soins, fait-elle que la pluparl des Editions des Aleliers CaUtoliques laissent bien loin derriere elles
ceiles mAme des celebres Ben^dictins Mabillon et Moulfaucon et dos celebres Jesuiles Pelau et Sirmond. Que l'on
compare, en eflet, n'importe quelles feuilles de leurs editions avec ceiies de& ndires qui leur correspondeot, eu grec
comme en latin, on se convaincra que 1'invraisemblable est une r^alite.
D'ail!eurs, ces savanLs emiuents plus preoccupes du sens des textes que de 1a partie typographique et n etant
t
point correcteurs de profession, lisaient, non ce que portaient les 6preuves, mais ce qui devail s*y trouver, leur
iaule intelligence suppleanl aux fautes de l'edilion. De plus les Beqeaictins, comme les Je^Mites, operaient presque
toujourssur des manuscrits, cause perpetuelle de la roulliDlicit6 des fautes, pendant que les Atclters CaUtoliques,
dont le propre est surlout de ressusciter la Tradilion, n'operent le plus souvent que sur des imprira^s.
Le R. P. De Buch, Jesuite Bollandisie de Bruxelles, nous ecrivait, il y a quelque lemps, navoir pu trouver en
dix-buit mois d'etude, une scule faute dans notre Patrologie latine. M. Denzinger, professeur de Theologie a lUni-
versite de Wurxbourg, et M. Keissmann, Yicaire Gerieral de la meme ville, nous mandaient, a la date du 19juillet,
navoir pu dgalemeni surprendre une seule f'auie soit dans le latin soit dans le grecde notre double Patrologie. Enfin,
f
re savant P. Pitra, Benedictin de Solesme, el M. Bonetty, directeur des Annales de philosophie chrtiienrie, mis au
d6(i de nous convaincre d'une seule eweur lypographique, ont ete forc^s d'avouer que nous n'avions pas trop
presum^ de notre parfaite correction. Dans le Cierge se trouvent de bons latinistes et de bons hellenisies. et, ce qui
est plus rare, des hommes tres-positifs et tres-pratiques, eh bien ! nous leur promettons une prime de 25 ceutimes
par chaque faute qu'ils decouvriront dans n'importe lequel de nos volumes, surtout jans les grecs.
Malgre ce qui precede, TEditeur des Cours complets, sentant de plus en plus rimportance et mdme la n^cessilA
dnne correction parfaite pour qu'un ouvrage soit verilablement utile et eslimable, se livre -lepuis plus d'un an, et
est resolu de se livrer jusqu'a la fin a une operation longue, penible et couleuse, savoir, la revision entiere et
iHiiverselle de ses innombrables cliches. Ainsi chacun de ses volumes, au fur el a mesurc qu'il les remet sous presse,
esi corrige mot pour mot d un bout a 1'autre. Quarante hommes y sont ou y seront occupes peudant 10 ans, et une
somme qui ne saurait etre moindre d*un demi million de francs est consacree a cel imporlant contrdle. l)e ceite
roaniere, ks Publications des Ateliers Catholiques, qui deja se dislinguaient entre toules par la superiorite* de leur
correciion, n'aurontde rivales, sous ce rapport, dans aucun temps ni dans aucun pays; car quel esl rediteur qui
pourrait et voudrait se livrer APRES COLP k des 'travaux si gigantesques et d'tin prix si exorbitant? 11 faut
certes dtre bien oen^tre cVune vocation divine a cet eflet, pour ne reculer ni devant la peine ni devant la depeuse,
surtoul lorsque PEurope savante proclame que jamais voiumes n*ont ete 6dit6s avec tant d'exactitude que ceux de
la Bibliotheque utnverselle du Clerge". Le present volume est du uombre de ceux r£vis£s, et tous ceux qui le seront
a 1'avetiir porteront eette nole. En consequence, pour juger tes productions des Ateliers Catholiques sous le rapport
de la correction, il ne faudra prendre que c/tux*c|uLpocterot)tfn.i^teravis ici Irace. Nous ne reccnnaissous que cctte
s
edition et celles qui suivront sur nos plajnejif»de-nt^tat aUi^porfjgeeg.tOnTcrtj^ait autrefoisque la st<'*r«M)tNpie
immobilisait les fauies, attendu qu'un clicnc^ 4e H)iJtal^'«KpDi<iJ-:e\+a8ijqup J bai d^u; tjout, il inlroduil la pcrfeclion,
car on a trouve le moyen de le corriger jasqu'a extinction de faules! L^HeDr^u sr 6t6 revu par M. Dracli, le lirec
par des Grecs, le Lalin et le Francais 4>ac les piem^cre correctenrs de la capitale en ces langues.
Nous avons b consolation de pouvoiy ^lnVArdt pns*P^r^ reTlQ\1ons; }ujva^Hes.:.f ofin, noire exemple a fini par
ebranler les grandes publications en.UdlW^efa^lfenWo^^n Bet^iqoe ^{J^p J^wsfcfr/. pjr les Canons grecs de Uome,
le Gerdil de Naples, le Sainl Thomas do Parme, VEncyciope^die r^/»^et^"d^*u4jioh;.le recueii des atclaratiom des
rites de Bruxelles, les Bolumdistes, le Suarez et le Spicilige de Paris. Jusqu'ki, on n'avait su re*imprimer que des
onvrages de courle haleine. Lcs m 4°, ou s'engloutissent les in-folio, faisaient peur, et on n'osait y loucher, par
crainte de se noyer dans ces abimes sans fond et saus rives; mais on a fini par se risquer a nous iroiter. Bien plus,
aous notre impulsion, d'aulres Edileurs se prepaient au Bullaire universel, aux Dtcisions de (oiites les C.ongregations,
i une Btographie el a une Histoire generale, elc, etc. Malheureuseinent, la pluparl des Idittons d^jii fattes ou qui se
font, sont sans autorite.parce qu'elles sont sans exactitude; la correction semble en avoir &u\ faite par des aveugles,
soit qu'on n'en ait pas senti la gravite, soit qu'on ait recule* devant les frais; mais patiencel une reproduction
e^rrecte stirgira bieutdt, ne <Ml-ce qu'a ia lumiere des ecoles oni sc sont faitesou qui se feront ciKore.
TRADITIO CATHOLICA.
S&CULVM t. ANNUS 460.
S A L V I A NI
MASSILIENSIS PRESBYTERI,
S. PATRICII. HIBERNORUM APOSTOLI,
MNOBD JMUS, MAIERTICLUIDUNI
OPERA OMNIA
JUXTA MKMORATISSIMAS EDITIONES STBPHANI BALUZII, MARGARINI DE LA BIGNE, LAURBNTII DB
LA BARRB RT^GALLAIfDU ACCURATISSIMtf RECOGHITA.
INTERMISCEltTrjR
A U C T O R IS A N O N Y MI
DE H&RESI PRiEDESTINATIANA LIBRl TRES,
QOIBUS ACCEDIT, APPENDICIS VICE,
JACOBl SIRMONDI UISTORIA PRMDESTlNATIANA.
ACCURANTE ET DENUO RECOGNOSCENTE J.-P. MIGNB,
BIBLIOTBECiC C L E BI UNIVERBiE,
8IVE
CURSUUM COMPLBTORUM IN SINGUIOS SCTENTLB BCCLRSLASTICJJ RAMOS IMTORB.
•i" • MIIMi
TOMUS UMCUS.
VVEHrT'8 FRtKCIS OAttittS/
EXCUDEBATCR ET VENIT APDD J.-P. MIGNE BDlTOREM,
IN YIA DICTA Ttf/0AU0, OLIM &AMBOISE. PhOrfc PORTAM LUTETIiE PARISIORUM VJJL6©
FkNFER NOMlNATAMi SEU VETlT-MONTROUGE, NUNC VERO INTRA MUENIA PARlblNA.
1865
T R A D I T IO CATHOLICA.
SMCVLVM V. ANNUS 460.
E L E N C H US
AUCTORUM ET OPERUM QUJE IN HOC TOMO LIIICONTUfENTUR.
SALVIANUS, PRESBYTER MASSILIENSIS.
Prolegomena ex Gallandio et Schcenemnnno. co!. 9
SCRIPTA, ex editione et cum notis Steph. Baluzii.
Ire gubernalione Dei libri octo, ad Salonium episcopum. 25
Epistol© novem. 157
Adversus avariliam libri quatuor. 173
ARNOBIUS JUNIOR.
Notitia quadruplex. 1. Ex Bellarmino; 2. ex Feuardtntio; 3. ex Auberto Mirceo;
k. ex G. Cave. 237
Arnobii Catholici et Serapionis Conflictus de Deo trino et uno. 239
Admonitio R. P. Laur. de La Barre. 321
Comtnentarii in Psalmos. . 327
Annotaliones in quffldam Evangeliorum loca. 569
J ANONYMUS.
Gallundi Prcefatio de anotiymo auctore Prcedestinati. 579
Sirmondi Prcefatio in Prcedeslinatum. 583
Vcterum Testtmonia. 585
Pr«destinatus, sive Prcedesiinatorum hoeresis et libri S. Augustino temere ascripti
refutatio. 587
Jucobi Srmondi Hisloria Prcedestinatiana. 673
MAMERTUS CLADDIANUS, PRESBYTER VIENNENSIS.
Notitia ex Galldndio. 693
l)e slatu animffi libi i tres. 697
Fpistolaoduffi. 779
Nonnula carmina. 785
S. PATRICIUS, HIBERNORUM APOSTOLUS.
Prolegomena ex Gallandio et Schcmemanno. 789
S. Patricii Confessio, in epistola a»J» Hibernos eiplicata. 801
S. Patricii Kpistola ad Corolicum tyrannum. 813
Synodus S. Patricii. 817
Canones S. Patricio ascripti. 8-23
Synodus episcoporum Patricii, Auiilii, Issernini. - 823
Canones alii. ^ 827
Proverbia aliqua S. Patricii. 827
Charta S. Patricii. 827
L l>er de tribus babitaoulis. 831
Liberde duodecim abusionibus saculi (Exsfaf in Append. ad Cyprianum, tom. IV.)
Hymnus in laudem S. Patricii tura viventis. 837
CAPREOLUS CARTHAGINENSIS EPISCOPUS.
Epis^ol» tres. 843
URANIUS PRESBYTER, PAULINI NOLANl DISCIPULUS.
Epistola de obitu Paulini. 859
EUSTATUIUS.
Metaphrasis Latina Hexaemeri §; Basrlit; 867
••'^POLl^i6iI$:^Vmi:-:\:
Laterculus sive Index feslorum (tn hoc tomo memoraius/eclttuf autem in tomo Xlll). 965
S & L'ONfU$ ;Vlf,NNENSI Sc^I$GQPUS...
a
Expositio mystica in Parabolas^SalomoHiS^^ y : ::/::•/:{• 967
Exposilio mystica in Ecclesiasten. 993
PHILIPPUS PRESBYTER.
Commeutarius in Job (tn hoc tomo memoratus editus autem interopera S. Bieronymi). 1011
$
LEO, BLTURICENSIS EPISCOPUS.
Epistola ad episcopos intra tertiam provinciam constitutos (in hoc tomo memorata
9
editatom. UV). 1013
Parisiis. — K* Typis J. P. UlGNEt