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Revue de presse Dimanche 22 avril 2018 Mobile: 0770 88 90 80 Lotissement Sylvain Fourastier N°08 El Mouradia, Alger Mobile: 0770 88 90 80 / 0556 48 67 56 [email protected] www.fce.dz. SOMMAIRE A la une .................................................................................................................................................................. 4  L'inflation moyenne annuelle à 4,6% jusqu'à mars 2018 (APS) ................................. 4  Accusation de l’UE contre l’Algérie : les patrons algériens contre-attaquent (TSA) . 5  Après l’UGTA, le FCE et le CNES : Le CNCD-PME réplique à l’UE (Reporters) .. 6  Université de Boumerdès : Jil FCE en prospection des meilleurs projets d’étudiants (Reporters) .................................................................................................................. 9  La Banque Mondiale actualise son évaluation de l’économie algérienne (APS) ..... 10  RELANCE DE PLUSIEURS PROJETS JUSQUE-LÀ BLOQUÉS : La machine économique frémit (L’Expression) ........................................................................... 11  INVESTISSEMENTS ÉTRANGERS EN ALGÉRIE : La BAD rend son "verdict" (L’Expression) .......................................................................................................... 13  Clôture dimanche des travaux des ateliers en prévision des Assises nationales de l'agriculture (APS) .................................................................................................... 14  Youcef Benabdallah analyse le modèle social «insoutenable» du «consensus rentier» : «Les subventions profitent plus aux riches qu’aux nécessiteux» (El Watan) ................................................................................................................................... 15  Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics : Plus de 1 000 exposants attendus (Liberté) ................................................ 18  INDUSTRIE NATIONALE DES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION : L'Algérie entame une nouvelle ère (L’Expression) .................................................................. 19  Les sociétés: du groupe Hasnaoui au 21e Salon Batimatec d'Alger (Le Quotidien d’Oran) ...................................................................................................................... 20  Loukal plaide à Washington pour des réformes structurelles adaptées aux contextes des pays (APS) .......................................................................................................... 21  Raouya évoque à Washington les perspectives de coopération avec la Banque mondiale (APS) ......................................................................................................... 23  Temmar: le coût de réalisation des logements dans le Sud supérieur de 20% à celui des autres régions du pays (APS) .............................................................................. 24  Investissements à Annaba : 28 autorisations de projets accordées (Reporters) ........ 25  Forum international "Atakor": une invitation à la relance du tourisme saharien (APS) ......................................................................................................................... 26  Sonatrach élabore une nouvelle stratégie pour relever les défis à venir (APS) ........ 27  Hydrocarbures : signature d'un mémorandum d’entente entre Sonatrach et le ministère irakien du Pétrole (APS) ........................................................................... 28  Aït Laoussine: l'OPEP doit jeter un regard neuf sur ses objectifs et sa stratégie à long terme (APS) ...................................................................................................... 29  Accord Opep-non Opep: le Comité ministériel de suivi décide d'organiser sa 10ème réunion à Alger (APS) .............................................................................................. 31  Le Seedstars Summit, une opportunité pour la "fintech" des pays émergents (Maghreb Emergent) ................................................................................................. 31 Banque/bourse/Assurance .................................................................................................................................. 33 Commerce ............................................................................................................................................................ 33  Conseil de la Nation: adoption du projet de texte sur le commerce électronique (APS) ......................................................................................................................... 34 Coopération ......................................................................................................................................................... 36  Algérie-Canada: un accord de partenariat pour la réalisation d'un projet pilote de gestion intégrée des déchets (APS) ........................................................................... 36 2 Veille ..................................................................................................................................................................... 37  Ressources en Eau : 66% de taux de remplissage des barrages (APS) ..................... 37  Ouyahia: confiscation de produits pyrotechniques: plus de 294 millions DA d'amendes en 2017 (APS) ......................................................................................... 38  L’Algérie, 23e plus grande force armée du monde (TSA) ....................................... 40 3 A la une L'inflation moyenne annuelle à 4,6% jusqu'à mars 2018 (APS) L'évolution des prix à la consommation en rythme annuel a été de 4,6% jusqu'à mars 2018, a appris l`APS auprès de l`Office national des statistiques (ONS). L’évolution des prix à la consommation en rythme annuel jusqu'à mars 2018 est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte des 12 mois allant d'avril 2017 à mars 2018 par rapport à la période allant d'avril 2016 à mars 2017. Quant à la variation mensuelle des prix à la consommation en mars 2018, qui est l`indice brut des prix à la consommation en mars 2018 par rapport à février 2018, elle a été de 0,8%. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont connu une hausse de 1,4% en mars 2018 comparativement à ceux de février 2018. A titre d'exemple, les prix des produits agricoles frais ont enregistré une hausse de 2,9%, induite par l’augmentation des prix des légumes (+18,5%) et à un degré moindre ceux des viandes rouges (+0,4%) et du poisson (+1,9%). En revanche, certains produits agricoles ont affiché des baisses, notamment la viande de poulet (-2,3%), les fruits (-2%) et la pomme de terre (-1,7%). Pour les prix des produits alimentaires industriels (agroalimentaires), ils ont enregistré une relative stagnation, selon l'ONS. Par ailleurs, les prix des produits manufacturés ont évolué de 0,3%, tandis que ceux des services ont marqué une stagnation. Par groupe de biens et services, les prix de l’habillement-chaussures, de la santé hygiène corporelle et des transports et communication ont enregistré une variation similaire, soit une hausse de 0,2% par rapport à février 2018. Pour le groupe Divers, la variation mensuelle des prix a été marquée par une augmentation de 0,5%, tandis que celle du reste des autres produits s'est caractérisée par des taux modérés. Pour rappel, la loi de finances 2018 prévoit une inflation de 5,5%. 4 Accusation de l’UE contre l’Algérie : les patrons algériens contre- attaquent (TSA) Après les partenaires sociaux du gouvernement (l’UGTA et le FCE), c’est au tour du Conseil national de concertation pour le développement de la PME et de certains industriels de sonner la charge contre l’Union européenne en rejetant en bloc ses accusations contre l’Algérie. Le premier à donner le ton est le président du CNCD-PME, Salah Eddine Abdessamad, en qualifiant, ce samedi 21 avril à l’hôtel El Aurassi à l’occasion d’une journée sur « l’impact de la concertation sur l’évolution positive du climat des affaires », la sortie de la commissaire européenne au commerce de « réaction disproportionnée » et la décision du gouvernement algérien de « souveraine ». Pour lui, les Européens se doivent de faire montre de plus de compréhension à l’égard de l’Algérie qui est en plein période de transition. Dans un communiqué remis aux journalistes, le CNCD-PME s’est dit étonné de « la réaction disproportionnée de Madame la Commissaire européenne au moment où nous assistons à la montée du protectionnisme dans les pays qui se réclament des plus libéraux » non sans réprouver « la vision d’une Algérie réduite à un simple marché accessible et réservé aux seuls États membres de l’UE ». Pour les membres du CNCD-PME, « l’Algérie est un partenaire économique de l’UE et souhaite le rester. L’Algérie n’a jamais failli à ses engagements avec l’Europe dans les périodes les plus sombres qu’elle a dû affronter seule. Mais, État souverain, l’Algérie est en droit de créer les conditions de sa transition économique”. Les raisons de la colère européenne ? L’organisme présidé par M. Abdessamad la met sur le compte des difficultés économiques que connait actuellement l’Europe. « La conjoncture économique tendue, l’importance de la dette publique des États de la zone Euro (9 588 milliards d’euros, soit 89,2% du PIB total des pays membres), le taux de chômage des jeunes (17,7% des jeunes de moins de 25 ans dans la zone euro) semblent être à l’origine des déclarations irritées de Madame Malmstöm(….) », explique-t-on dans le communiqué. Le président du CEIMI, Kamel Moula, a lui aussi fait part de son rejet des accusations des Européens. « Fondamentalement, nos intérêts divergent. Eux, ils veulent vendre à tout prix et nous, nous voulons produire malgré tout », assène-t-il. Qu’en est-il du climat des affaires en Algérie ? Réponse bien sentie de M. Moula : « Je ne pense pas être l’industriel le plus heureux du monde mais non plus le plus malheureux. Je suis conscient des faiblesses, des atouts et des efforts fournis et à fournir par l’Algérie qui est sur le point de passer d’une économie dirigée à une économie d’initiatives ». Cela passe par la « construction de passerelles » qui, de son point de vue, « exige du temps ». Et au patron de Venus de tomber ensuite sur le classement de Doing Business qui a rétrogradé l’Algérie de 69 places ! Un classement qui, selon 5 lui, est loin de refléter la réalité du marché algérien qui n’est pas aussi « répulsif », y compris pour les investisseurs étrangers, qu’on ne le présente. “On veut donner une image négative de notre pays » s’offusque M.Moula, avant de lâcher : « Les investisseurs sont plus regardant sur le business plan plus que leur doing business ». Le président de l’Anexal, Ali Nasri Bey, n’a pas caché lui aussi son exaspération face à la dégradation de trois points de la note de l’Algérie dans le classement de Doing Business. « On a le droit et le devoir de contester officiellement ce classement », s’est-il élevé. Le délai est de 7 jours pour l’opération d’exportation aux frontières comme avancé par le Doing Business ? « C’est absolument faux », dénonce-t-il, assurant que ce délai n’est que de 90 minutes au maximum. « L’ancien DG des douanes a donné des instructions fermes pour ne plus bloquer les exportations », témoigne Nasri Bey. Et d’ajouter : « Ce classement, nous le mettons en doute et on a des éléments pour démontrer le contraire ». Le PDG du groupe Amour, Riadh Amour, n’est pas en reste. « On connait notre pays, on sait où on est. On n’est pas inquiet face aux critiques des Européens. Des améliorations énormes ont été faites chez nous. Rien qu’à Blida, il y a plus de 2000 projets en attente. C’est là un indicateur que les gens croient en l’économie nationale », soutient-t-il en invitant les entreprises algériennes à se préparer « à la prochaine bataille, en améliorant leur « niveau de compétitivité » pour pouvoir soutenir la concurrence devant les entreprises étrangères qui, selon lui, « vont venir » investir en Algérie. L’autre industriel de Blida, Mohamed Zaaf, n’est pas allé par le dos de la cuillère pour critiquer l’Union européenne . « Notre gouvernement algérien nous a beaucoup aidés, contrairement aux Européens et aux Africains qui, dans leurs pays respectifs, n’ont pas bénéficié des mêmes avantages et facilités que celles qui nous sont accordées chez nous. On est devenu exemplaires en Afrique », dit-il. Et d’enfoncer le clou : « Les gens veulent nous casser. On doit croire en notre pays ». Le PDG d’Ival et vice-président du FCE, Mohamed Bairi, partage la même analyse. « Ils ne veulent pas voir l’Algérie se doter d’une industrie. Ça les gène. On est en train de gêner avec les projets dans le ciment, ronds à béton, boissons, etc. Nous avons beaucoup avancé », soutient-il. Après l’UGTA, le FCE et le CNES : Le CNCD-PME réplique à l’UE (Reporters) 6 Le conseil national de concertation pour le développement de la PME (CNCD-PME) a « réprouvé » hier la vision d’une Algérie « réduite à un simple marché accessible et réservé aux seuls Etats membres de l’Union européenne ». Cette réaction a été exprimée hier par le CNCD-PME à la clôture d’une journée d’information dédiée à l’impact de la concertation sur l’évolution positive du climat des affaires qu’il a organisée à Alger. Elle intervient en réplique à la Commissaire européenne au Commerce Cecilia Malmströme qui avait, la semaine dernière, remis en cause les mesures prises par le gouvernement algérien pour réduire ses importations en les jugeant « non conformes à l’accord de libre-échange », signé en 2005 entre l’Algérie et l’UE. Considérant que ce sont la conjoncture économique « tendue », « l’importance » de la dette publique des Etats membres de la zone Euro, son taux de chômage chez les jeunes qui « semblent être à l’origine des déclarations de Mme Malmström, les membres du CNCD-PME ne manquent pas pour autant de s’«étonner » de la réaction de cette dernière qu’ils jugent « disproportionnée » au moment où, notent-ils « nous assistons à la montée du protectionnisme dans les pays qui se réclament des plus libéraux ». Face à cette situation, ils « soutiennent les mesures prises par les pouvoirs publics qui impulsent une réindustrialisassion du pays forte et diversifiée », tiennent-ils à déclarer. La riposte du CNCD-PME à la Commissaire européenne au Commerce intervient, faut-il le rappeler, après les sorties dans le même sillage de l’Union générale des travailleurs (UGTA), le Forum des chefs d’entreprise (FCE) et le vice-président du Conseil national économique et social (CNES), Mustapha Mekidèche, qui n’avaient pas tardé, la semaine dernière, à faire une mise au point publique à Mme Malmström. Concernant l’événement organisé hier par le CNCD-PME, il faut dire qu’il a été riche par l’apport des intervenants institutionnels et économiques, a permis de faire le point sur les avancées et les lacunes du climat des affaires en Algérie, mais aussi de remettre en question le classement Doing Business qu’établit la Banque Mondiale et qui a vu l’Algérie perdre 69 places sur les deux derniers classements de l’institution de Bretton Woods. «L’amélioration du climat des affaires est un défi majeur. Notre ambition est d’en faire le fer de lance de l’économie nationale par une levée des 7 contraintes sur le triple plan des délais, des procédures et des coûts », indique Salah Eddine Abdessemed, vice- président du FCE, et président du Conseil national de concertation pour le développement de la PME, qui tient à rappeler l’article 43 de la Constitution qui promeut l’amélioration du climat des affaires. Une orientation d’ores et déjà entamée à travers la récente réforme bancaire et financière, le développement numérique qui se poursuit et « contribuera à la levée des contraintes bureaucratiques », selon M. Abdessemed, ainsi que la poursuite de la diversification de l’économie nationale et sa réorientation vers les investissements sur lesquels l’Algérie possède le plus d’avantages comparatifs. Pour sa part, Kamel Moula, président du Club des industriels de la Mitidja, est revenu les rapports doing business émis par la Banque mondiale, « Malgré le crédit que j’accorde aux experts internationaux, nous ne voyons pas la même chose s’agissant du contexte économique national », a-t-il asséné. « Ils veulent vendre à tout prix, nous voulons produire malgré tout », a poursuivi l’intervenant, qualifiant de « frénésie mercantile à spéculer sur notre échec », les différentes observations alarmistes venues d’institutions étrangères. Kamel Moula, a cependant concédé qu’être opérateur économique en Algérie n’est pas particulièrement aisé. « Mais dans quelle partie du monde le chef d’entreprise ne fait pas face à des difficultés analogues? », a-t-il interrogé se disant conscient des faiblesses de l’Algérie, de ses atouts et « des efforts fournis et à fournir ». « N’en déplaise aux détracteurs de notre pays, la concertation se développe. J’en veux pour preuve le dénouement du cas de la liste de retraits de certains produits à l’importation », a ainsi estimé le représentant des industriels de la Mitidja. Vers des groupements d’intérêt économique Par ailleurs, les opérateurs économiques présents ont pu témoigner à leur tour des avancées et des aspects qui restent à améliorer. Pour Ali Hamani, président de l’Association des producteurs algériens de boissons (APAB), former des groupements ou associations professionnels permet de renforcer l’ensemble des activités de la filière et à constituer un réel partenaire du dialogue avec les pouvoirs publics. « C’est grâce au travail, à la mobilisation et à la concertation que nous avons pu bénéficier d’un certain nombre d’acquis et régler des problèmes qui touchent notre filière », a indiqué M. Hamani qui a appelé les institutions publiques à encore plus de dialogue avec leurs partenaires économiques, « Nous leur disons que la construction de notre économie ne peut se faire sans concertation pour réduire les incompréhensions que nous constatons», a-t-il poursuivi, prenant comme exemple la levée récente des restrictions à l’importation d’intrants destinés à la production de boissons, notamment grâce au dialogue avec les élus des deux chambres parlementaires. « Grace au dialogue avec les parlementaires, nous avons pu éviter la déperdition de notre économie », a-t-il affirmé. A noter que le Conseil national de concertation pour le développement de la PME est affilié au ministère de l’Industrie. 8 Installé en 2017, il est chargé de développer le partenariat public/privé en matière d’élaboration et d’évaluation des politiques d’appui aux TPE/PME et sensibiliser les associations et les organisations professionnelles à la politique de développement de la PME. Université de Boumerdès : Jil FCE en prospection des meilleurs projets d’étudiants (Reporters) Un colloque portant sur « l’Entrepreneuriat et les métiers d’avenir » a été lancé, hier, à la bibliothèque centrale de l’université M’Hamed- Bouguerra de Boumerdès. Il est à l’initiative de l’université et du Forum des chefs d’entreprise (JIL FCE), en collaboration avec la direction de l’emploi de la wilaya et l’association des compétences algériennes à l’étranger (ACA). « L’objectif de cette rencontre scientifique est d’encourager et d’accompagner les étudiants de l’université de Boumerdès à la création de la microentreprise », a déclaré Loukal Rachid, directeur des activités scientifiques, culturelles et sportives de l’université de Boumerdès, en ajoutant que pas moins d’une soixantaine de candidats ayant présenté des projets y ont participé. Parmi eux, une vingtaine de projets ont été sélectionnés lesquels vont participer à la compétition finale. Ainsi les étudiants ont exposé leurs projets portant sur divers secteurs scientifiques et économiques, à l’exemple d’un prototype de création d’une raffinerie de pétrole où les étudiants promoteurs ont expliqué le processus de raffinage du pétrole depuis sa sortie du puits jusqu’à devenir de l’essence, du gasoil, du kérosène et autres produits finis. Un autre prototype concernant les fourrages a été également expliqué par les étudiants. D’autres projets liés à l’informatique et autres ont été mis en exergue par les étudiants. La rencontre économique et scientifique s’inscrit dans l’objectif de création d’emplois, d’une part, et d’accompagner l’étudiant promoteur à la concrétisation de son projet économique, d’autre part. A l’issue de cette rencontre, de trois jours, on verra la consécration de trois lauréats qui auront présenté les meilleurs projets. « Jil FCE va accompagner les étudiants porteurs des meilleurs projets jusqu’à leur concrétisation sur le terrain », nous a déclaré Yacef Hamid, délégué du JIL FCE. Ajoutant que la durée d’accompagnement de 9 l’étudiant promoteur va de 24 à 36 mois, soit jusqu’à ce que le projet en question devienne opérationnel. Dans cette optique, le délégué du JIL FCE dira que cette initiative va s’agrandir et touchera dans un premier temps plus d’une cinquantaine d’établissements universitaires avant de l’élargir au niveau national. « Notre action s’inscrit dans le développement économique du pays dont l’université est un vecteur essentiel quant à la réalisation d’un partenariat scientifique et économique fiable », a indiqué notre interlocuteur, en prônant la mise en place d’une cartographie des potentialités économiques ainsi que des capacités économiques existantes pour une réelle relance de l’économie du pays. «Ce qui nous renseignera sur ce qu’il faut importer ou exporter », a-t-il précisé. La fin du colloque est fixée au 26 avril prochain où les trois lauréats de la complétion relative à la présentation du meilleur projet seront récompensés. La Banque Mondiale actualise son évaluation de l’économie algérienne (APS) La Banque Mondiale (BM) a rendu publique mercredi une nouvelle version actualisée de son rapport sur les perspectives économiques dans la région Mena dans lequel elle a revu son évaluation de la situation économique en Algérie. Le rapport de suivi sur la situation économique dans la région Moyen Orient et Afrique du Nord, publié lundi, a été remplacé par une nouvelle version consolidée. La BM a en effet diffusé lundi sur son site internet une version non consolidée, basée sur des informations incohérentes concernant les perspectives économiques de certains pays, qu’elle a dû ensuite rectifier. Dans ses perspectives actualisées pour l’Algérie, la Banque souligne le " besoin de gérer avec soin le recours exclusif au seigneuriage pour financer le déficit" sans pour autant évoquer un scénario de crise financière qui pourrait secouer l’économie du pays comme elle a prédit dans sa première version du rapport. Les auteurs du rapport ont avancé qu’il était "difficile au gouvernement de résister au désir de retarder le rééquilibrage budgétaire même si le pays se dirige vers une crise financière déclenchée" par le recours au financement monétaire. Il y a lieu de souligner que l’essentiel de l’évaluation concernant l’Algérie a été fondée sur un rapport, intitulé Algérie : vision 2035, dont l’élaboration est au stade préliminaire. Les observations qui peuvent y figurer ne représentent pas l’avis de la BM tant qu’il n’est validé et publié par la Banque. D’ailleurs, la référence à ce rapport a été supprimée dans la nouvelle version. 10

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Sonatrach élabore une nouvelle stratégie pour relever les défis à venir (APS) .. 27 . terre (-1,7%). Pour les prix des produits alimentaires industriels (agroalimentaires), ils ont enregistré une relative stagnation, selon l'ONS. haut patronage du Président de la république, Abdelaziz Boutef
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