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RAPPORT D ACTIVITÉ 1972 *%r PDF

225 Pages·2009·10.14 MB·French
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L.hÉ.liLli..^^:^:^ MIJL__ (HIIIIIIHIIIIlllllllllllliHWm lilllll|lllllll!i!|l[IIHBffif""* 3g»| lllllfllllllHH"""1 ' m...._ ) 11 1 I 76-S1 tiSÏSffil lÈfrBeStFW ixËbfXAdaait H £ I > > i l *Ktw-:::: ..,,. iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteiiiiiiriii BBU, ••* iaBBBflBBaflBaaaBaaflBBBaBBaaaaiflaiaa) + LF3aBaHa«aBeaBaaBiBaiF9A"; iBaiBBaMBBBiiiaBaBiaaBimBBXfl»AJ!|U9tey«gtz/1 laaBaaaBBaar jjilllllll[|[||l!Hllllll-fjf iis«7 *-îf iw*S?wft«n-£ÊTj.. _. 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Il* — Les services eeiuriiiix er cMcrivins ilu C.N.R.S. . IS — Les services centraux LN2.P3. - I.N.A.li. - A.N.V.A.R 20 — Les principales cîtnicicrisiit|iici de l'année 1972 22 — IX- IV72 à IW 24 Deuxième partie : moyens et modes d'aciion :« les moyens mis au service de la recherche . .. :<i lr.\ moyen \ hiitlfivniiri's 2'i — Le hudyei pri-nïttf -1" — Le budget après décisions nmdifieaiives ?X — I •.• huduel réalisé >.« /,i'v itutvvtts fil personnel 47 ~ Vue d'eiisemNe sur les per-onnelv rémunère-, par le C.N.K.S en J»J~2 J7 — l.ii politique Miivie en \l>~'2 <sX /..-% hieii.\ ~lJ /.<•.« ninvftn it(iinini.ilrtiiih M — i.;i iiKiileinisalion des iicthiics ii-adiiioiniellc* de ycMion SI — Le dè\e]nppL'menl de l'informatique Nft — L;i mise en place de ki liiiioiuili-.iiitni des choix hiidyeiaires KM — I.» deeeillnilisirtion de l'aiJminiNlianoh : la mise en place tics jidmimsliateiHs délègues ... ... W — i.adaptation de l'administration centrale à se*, nouvelle-, tâches . .. 'Jl les modes d'action «4 tes JorttitiH'iiu propre \ .... 'W — Laboratoires, propres *w — Les équipes el groupes de recherche Mil /.«•s actions contratittftitï '"- — U'% laboratoires associés "M — Le* équipes de recherche associée-* I"-' — Les aides individuelles "IJ l,e.\ tu fions programmées - - ',h* — Les recherche;, coopératives sur programme MM — Les actions thématique- programmées Htf Le.* ucthuti it urgence - '"' /.«••* institut., nationaux W — L'LN.A.G M* PREFACE En présentant sous une forme rénovée notre rapport d'activité pour l'année 1972, nous avons voulu donner un ensemble d'Informations représentatif des travaux de recherche menés par le C.W.fl.S. ou grâce à lui, mais aussi faire apparaître plus clairement les lignes de ta politique scientifique que nous nous sommas attachés à définir et à suivre. Le C.N.R.S. est une importante entreprise nationale, entreprisa très particulière Quant à son objet qui est de produire des résultats de recherche, de produire de la connaissance scientifique. Nous espérons que les données statistiques 9t synthétiques ainsi que 'es compte- rendus sectoriels que vous pourrez trouver dans ce rapport vous donneront une juste idée des efforts, des succès et des espoirs de cette entreprise. La préparation et la rédaction du 6° pian a eu le grand mérite d'inciter les scientifiques i porter une plus grande attention à la définition dos objoctits de la recherche, permettant ainsi de proposer des choix plus éclairés ei en tout cas mieux motivés. Sans doute, le schéma par objectifs et programmes adopté dans le plan s'ost-!l révélé imparfait dans nombre de détails et devra-t-ll être corrigé, mais l'ensemble constitue un cadre et un guide QUI est d'autant plus utile qu'il en est fait un usage sans abusive contrainte. La partie de ce rapport d'activité consacrée è I exposé des résultats de rechercha est présentée selon (a méthodologie du plan. On n'y retrouvera donc pas te découpage traditionnel selon tes sections du comité national, mais un classement par objectifs et programmes. La première partie du rapport est plus synthétique. Elle est aussi l'expression des lignes principales do la politique de l'organisme. On y trouvera er, particulier le souci d'une gestion plus claire, donc plus '•Ore. Certes, dans une entreprise de recherche, l'évaluation des résultats est difficile. Si las activités de recherche appliquée peuvent SP juger assez vite à leurs effets, las trsvaux plus nettement orientés vers l'accroissement des connaissances ne peuvent être appréciés, au moins à court terme, que par des experts qui no sont autres que les chercheurs. Les scientifiques sont ainsi le plus souvent juges et parties ; il faut les aider à jouer le mieux possible ce rôle ambigu, et les placer dans les mailteures conditions pour donner des avis at porter des jugements. Un système de comptabilité analysée est progressivement mis en place par le C.N.R.S., qui permet à chacun d'apprécier le coût véritable des opérations de rechercha, da faire ainsi des choix en toute connaissance de cause. Il ne s'agit pas, bien sûr. d'orienter la détermination de programmes ou d'opérations en fonction de leur seul coût, ni de culpabiliser les secteurs chers de la recherche, mais de donner aux chercheurs tous les éléments d'appréciation, dans tes choix souvent difficiles mais absolument indispensables qu'ils sont amenés à faire, dans le foisonnement des voies ouvertes à leur imagination En matière de politique scientifique, la notion de mobilité a fait l'objet de si nombreux débats que l'on a quelque scrupule à y revenir. Mais plus encore que la mobilité des personnes, la mobilité des sujets de recherche paraît être la condition du succès. Persévérer dans des travaux sur des sujets usés ou en Impasse est certainement le meilleur moyen de perdre son temps et son argent. L'un des soucis constants de la direction d'un organisme de recherche doit donc être non seulement d'Inciter les chercheurs à changer de cap au moment opportun, mais encore de leur procurer tes moyens exception nels qui leur sont alors nécessaires. Cost en particulier à ce type d'opérations que doivent efficacement contribuer les «Actions Thématiques Programmées-' mises en œuvre par la C.N.R.S. et dont les effets déjà perçus nous paraissent tris encourageants. LA MÉDAILLE D'OR DU C.N.R.S. La médaille d'or du C.NR.S. honore chaque année un espèces par de nombreux chercheurs. Oudin ei ses savant français dont la réputation s*étend à la collaborateurs étudiant eux-mêmes de façon approfon communauté scientifique mondiale: elle est l'une des plus die les divers allotypes des g'obulinos du sérum de 'spin. hautes distinctions qui puisse être décernée en France leur synthèse et la commande génétique de celle-ci. ils à un chercheur. En 1972, la médaille d'or du C.N.R.S. montrent que les motifs allotypiques se répartissent entre a été attribuée à M. Jacques Oudin, docteur en médecine deux scries génétiques (a et b) et les progrès réalisés et docteur es sciences. dans la chimie de ces protéines permettent ensuite de stN1ptldéaea9eré. s féc2s Ja.paà8 iacc aracuurDnpriqlelèaurtau éerséils eeur«dre s ox déts i hb eOnm -èlv"ateuAseéausderdi tn li1d ednase9ceeb e 0rid odàne8lor ée,p'a icr 1nredtote'osxheouniito irrPledtpeeaur aH lrnts rd.e a eieA'nsPl as . pd an mIPtrlesra èaeèasttsesndov uthstameerroôuceu,in pexi ren é ,i.r n tepetdaJasstau'oabusutxcuhbllr llqrloosdee udlsreasodeee u g stPr cudis .aaqjmaerOrpunriiettvseus iu ivd coderliiees ùnne nCmaddnle ee'oeoenes sustltn a settbg l lrcen leàe ooser dtumb ,réul rua'rm ovnlepleieceasnpl c npoepecadesplooso ceprli£nyo tregietmsnvmués epoanpemadrlénoésp'ettene h iInxqdcsditpsiua.,e oémne Clren rcedieestee e sc dl nc a ehelchrrane éegca rtbssercîeni uemsho els eltsedseuas/n estrn lst ros lmn shluue'itaoèrrèli l dmtsrllidoeeeefuss'tss aydl . é< uepem tteis, er3ot elp ésdssrgt(a éoidèmlrqtiariétueeunéises ss service de chimie microbienne, puis dans celui d'immunochlmie analytique ; il dirige ce dernier service lesquellesOudln analysait les propriétés d'anticorps anti depuis 1959. Il a été nommé diretour de recherche au anticorps anti-typholdiques) qu'est observé en 19W le C.N.R.S, en 1964. premier exemple du phénomène - d'idiotypie des anti qgfplrmCiMdtédiennuimmeiunraeteeeeo'.êaécoe ir snnmmun WJnm h sub gtx .sldtrt uue tela e rsié'Oièncéresènnle lipaimca'ahcnn umsoonégéahnioa badelctseicenaeouiucsn esihun insltgsdufvtqayrgisls i gmgaieenunqsveudpqd n èreeeceuseleeiudattqr r ere,tedsp rene èns su s r P 'osssr seegàaediele. . um ' be nSpeiGdncppmrmplos uue soetrlrsse ,rouré1lim sa nostoudatrss8n aobrsm nunu,medi9ad nuaape stnne7ncoséiivcru aaocg,tt.o smmrr s rrtclecèeeqpm saeln coealhan nua d,nl an dpine ziettratnnam t t'tt oesdnt aer'euddlene nlaeaésbs.ceie x attde vr c Co.s uelivevsu eeIides,rcenrdAeoc ncdstéeqhtdecètal l tnesiol u tnemreiJoe od tomerl a i ,nuvàemséxiqp mn vOe a sré lipurtqséean ndrbt éuled hirtunsaeuecrcaéhsd,eouenseg soins oil p rcdteinne,rt(dl ied icae.i'ec.soet oecuO ee pa,oaCtm p Iorr, sdtlur rnbisa 'rierdoesbpe'od émtpapatn'ibsajsr nciicvsngrecntdot ln èeit èaaôue paénetdéàs mltinlsvrlinyt iv olgutioreeeacsedeatolnèeîsnsaisei-ess e t. ephdgsdgmcsdmmgascxaeyeolproonoloêooeroto psménntnr lmrntbbiuceolcêitnpgn'mtfu uouépetim ééèésfhlsi nlrl eiiged,inle -pècn<y nsoa. saie ln sirnep oeberptyli deeésmtCveesstdoonhs y ' é u mieorduedté ;ipneathim t ernto edidtsqtv ièe qesnslnnemi iausc'lo euvdéééutnlree'e utiee entiiréddry.s lau; sn s eose ip upccb demfo tduspsifaoerinegq éivlso oartuvi d —ulrteatuduroneoeréee lecgrevurlt b dnea.rtsdfsegf dtueéteo oier reeèteesprln en nsssisri ss ar,nts cepc c lotqualcacecetnt éeorbuini eh setcolo prm ll't dsleesiuuènnialff nzc euêsoimnl, rstc e soamlotéreedpeisie enmrmtnctsméese pés fttudpscf édi os oeccdl iiéCeo iifiiftloedaginècsmfié,nestc érp'nr ldc succpefiemrc<ieituf etnins véhecprarvlune i sé eaieuldrddrtn dti sszauèéenxuiér'o ufi xsu pdeIstsfdimlclu e é.oin dote o''—onarr.ienpimiOj mtemont mli ysoes qnubtsoaipoem rymuntdtlrnmt euieapiiaqeiuiàtuitg ,snbiêmu. n u dnq nim luloméncreeeouaecl nuseeeas ss-elte- présents dans les sérums de diverses espèces — en particulier le sérum humain — et dans le lait Quand on a ainsi suivi les étapes de la vie scientifique Celte analyse menée avec patience et rigueur le conduit de Jacques Oudin on ne peut s'empêcher d'y voir, en en T953 à uni? premfère découverte essentielle. A cette plus des découvertes, un exemple. Intéressé dès l'abord époque, on pensait que la spécificité antlgénique d'une par l'étude des anttgènes el des anticorps. Oudrn est protéine animale donnée était la même chez tous les très vite conscient des lacunes techniques qui existent individus de la même espèce. Or. Oudln observe qu'un et il s'emploie à les combler. Il peut ensuite se consacrer lapin peut élaborer et posséder dans son sérum des anti à une analyse line el rigoureuse des propriétés des corps précipitants a i'égard d'une globullne du rérum gloaullnes plasmatiques ; d'une gangue do résultais d'un autre lapin ; très vite il trouve l'explication juste nombreux et complexes, il dégage une notion claire et de ce phénomène : il existe une spécificité individuelle nouvelle, c'est l'allotypie. Ce n'est pas le fruit du hasard, d'une piolétne donnée au sain de l'espèce. A coté de car îe même processus va recommencer : travail patienr la spécificité dite - inotypique - qui caractérisait cette et précis, sur les propriétés des anticorps celte fois, suivi protéine supposée Jusque là uniforme, Oudin découvre d'une interprétation brillante et de la découverte d'un ainsi ce qu'il nomme la spécificité - allotypfque » qui phénomène nouveau, l'idlotypfe. Doué cJ'ufie rigueur caractérisé chacune des différentes tonnes de la pro exemplaire et d'une perspicacité peu commune, poursui téine. Cette conclusion d'abord atteinte dans te cas des vant méthodiquement ses recherches analytiques, cet globulines chez le lapin, est rapidement confirmée et homme de caractère apporte, avec son équipe, une étendue ensuite è d'autres protéines comme à d'autres contribution exceptionnelle au développement de 'a science et de la médecine. Le « Groupe » C.N.R.S. Le C.N.R.S. en chiffres. Le C.N.R.S. en France et dans le monde. Les organes directeurs du - Gioupe » C.N.R.S. Services centraux et extérieurs du C.N.R.S. Services centraux I.N2.P3 - I.N.A.G. - A.N.V.A.R. Les principales caractéristiques de l'année 1972. De 1972 à 1973. LE CNRS EN 1972 l'éducation nationale, le-CNRS., principal .orqam essentielle d'un ensemble quUinil, autour du directeur du C.N R.S. et-du comité rta oentilique. le C.N.H.S. lui-même, établissement public utono ne.-et toute une 'constellant i d.'organismes its nationaux tels que l'IJJ.A.G. (institut national da rophysique el de . géophysique}. I N2.P3 (institut I de physique nucléaire et de physique des particule ctab issemenl a LE .«• GROUPE » CNRS ictère mdusl I tels que l'A.N.V.A.R. (agence national herch e), sociétés scientiliques auxquelles le C.N.R.S. participe (institut Ma: 3-Paul Lnngevi cteur haut (lux). Cette structure relativement complexe sVxphque par longue histqire. Des sa c 1939, le C.N.R.S. rassemble la caisse nationale de la recherche scientifique, organisme de recherche fondai taie. M le centre national de la recherche scientilique appliquée. Le décret n" 59-1396 dû 0-decembro 1959 définit sa mission*: • développer, orienter el coordonner les («cherches scientifiques de tous ordres et analyser pour le Gouvernement d'une manière permanente la conjoncture scientili que . et prévoit In creation auprès de. lui d instituts nationaux qui pourront « prendre en charge, lorsque" la nature au l'imporlarfCe de leur activité le requiert..., un ou plusieurs laboratoires existants ou a créer, qinsj que dos organismes de recherche' qui antérieurement à Jeur prjse^n charge étaient indépendante du C.N.R.S. c ::::::rnr ')' ' (— Ces instituts nationaux sont suce es si TOBH^nt crées : -' — L I.N.A.C-. par Je^decret nu 67-800 du 11 septembre 1967 pour .. developier et coordonner les recherches en astronomie et enJgeophysique menées par les organismes de recherche Iranfceis - , ; ' '_ i —po uVrIs.Nu2iv.Pie3s dpaanr s lel ed éscercette, uar" d7e1 -l2a7 9p hdyus i1q4u e-a vnruil cl1é9a-7ir1e. peot udr ec olao rpdhoynsnieqru ee t ddedsVveplaorplipc'ueJr esl' eanuse/srrefibnl c dedse s larbeocrhaetrocihreess CLL- relevant du ministère de I education nationale ou d'autres laboratoires. ' ^^^*~-_^- , En 1967. la loi n" 67-7 du 3 janvier érige l'ancien service d£g. inventions .du C.N.R.S. en établissement public A - cnaartiaocntaèlree eint dduus tmrieinl iselte rceo mdum edrécvieall,o ppplaecme eanut pirnèdsu sdtur ieCl .Net. Rs.cSi.e, nstioliuqsu ela. Ldao umblies stiuonte ldlee dl'uA .Nm.Vin.Ais.tRè.r e e^dte deI ec ducation «mal dos chumps intense-, S a la mise en valeur des résultais des recherches scientiliques et techniques etfectuei s entreprises •• CLL les services publics et notamment par les laboratoires dépendanl du CNRS, et de l'univ r 4 <L- iclertsent ainsi désormais l'organisation du » GROUPE C.N.R.S. •. se rnarque aussi bien dans les statuts juridiques des etabliss ns entre c"es-etablis semen Is et les laboratoires et les formation La C.N.R.S. un établissement public a caractère administratif dote de la civile et de I aulon< s'financière. Son conseil d'administration délibère des principales affaires qui le cbncernenl le dioecleurr ggeenneerraall,, llee ddiirreecclteeuurr aaddmmiinnhis tratif el linancier et le college des directeurs. ^ie, nlifique- • comité de direction. Cet établissement comporte des laboraloii s propres. ations universitaires, des liens d'association très étroits. * LI.N.A.G.. institut national du C.N.R.S.. s'il dispose d'un budget distinct, n'a pas le slatut di blissement public, Administre par un directeur, assistp d'un comité de direction, il a une competence particulière i matière d'equjpe- ment pour les laboratoires du C.N.R.S. comme pour les observatoires et autres centres rele t du r nistére laie. LI.N2.P&. égal ent institut national du C.N.R.S.. a le stalut d'etablissenu I public c attributions égard des laboratoires propres transfères par le. C.WR.S- ;i dès laboratoin res associes par convention. Il est administre par un conseil d'adminislfaïîoijet un directeur. Place auprès du C.N.R.S., IA.N.V.A.R. bénéficie d'un statut d'établissement industriel et commerce présente a un conseil propre a l'A.N.V.A.R. ur) •• état de prevision de recettes et de dépenses >. L'UNITE de l'ensemble apparaît tout a la lois au niveau des organes consultatifs, des structun ï de directio — des organes consultatifs : auprès du C.N.R.S.. siege leicomilê national, véritable petit parlement de la" recherche qui rassemble trente-six se.clians... Les sections compétentes du comité national "constituent en totalité (l'.N.A.G.) _ ou par partie (1.N2.P3.) le conseil scientifique des instituts nationaux. Sa composition, largement ouverte sur l'exté rieur comme sur l'université, lui permet d analyser dans de bonnes conditions la •• conjoncture scientifique .. L'action du comite^national est prolongée par celle du dnwcloire. organe de synthèse, charge de donner" un avis eUaire des proposions sur la politique- scientifique du C.N.R.S* dans son ensemble. ~7* ' .— des sf/uefures de direction : le directeur general du C.N.R.S. qui preside le comité national et le directoire, est membre du conseil d'adminislralion du C.N.R.S., preside le conseil d'administration de TIN2P3 et de l'ANVAR. nomme des représentants au comité de direction de l'I.N.A.G. e! délègue ses pouvoirs au directeur de cet institut.. Le directeur administratif et financier du.C.N.R.S. est membre du conseil d'administration du C.N.R S de ri.N2.P3. et de IA.N.V.A.R. ; _j • — des structures financières . le budget du . groupe • C.N.R.S. est prepare par le directeur administratif et financier - du C.N.R S. e.t.donne heu a une discussion d ensemble. >. _ Inscrits au litre.de la subvention de l'Etat dans un chapitre unique, les budgels du C.N.R.S.. de H.N2.P3. et de [ I N A.G.. et la subvention accordée a l'A.N.V.A.R., sont rassembles dans un budget •• consolide • établi par secteur scientifique el par categories de depens.es el soumis au directoire et au conseil d'administration. ' — des personne/s; les chercheuls. bien que rémunère* par le seul C.N.H.S. travaillent également dans les laboratoires dependant des instituts nationaux. Le personnel de IA.N.V.A.R. obéit a des règles spéciales mais les personnels ingénieurs, techniciens et administratif des instituts nationaux et du C.N.R S. sont soumis au morne slatut et sont gères en commun. La commission de la la formation permanente "et la. commission des affaires sociales ont competence pour l'ensembjc du groupe, saul l'A N.V.A.R. ** Cette organisation alliant unite et diversité a permis au C.N.R S. de s'adapter a la multiplicité de : .lux impcratils qu'impose la triple ouverture nec^fcsaire sur la communauté scientifique natiormleN iule s mtifique internatio r le monde .que cia"Ut f tu eg ft V-r.2 ' ;vt> rTiillij'CS &: 'MIKS (y compiis russiumes .iHi'ilérsl 6 -JT8" chcfiT t-urs 11 QSb irticriiars k-dinifit-'fis el admin strains LE CNRS EN CHIFFRÉS C N H S iL'9 l.:[)o*.itcmus r;ioprL's. 125 equpss t.-t (['"Ul'ies Ce yz'mcH- 1M1 lanoriîtoirrs asiocies"1 1!>-1 rectiurcrii's" cot>3?rntives sur |)icf)t.imjiie IN2P3 2 laboratoires proores. 9la3Df.:toires assoies ^ANVAR 2 ?b? bleuis déposés en 1972 ; *• si ( 11 i ks i; i\ i i U\ i \ [ji i\s y "i ^ LE CNRS EN FRANCE ET DANS LE MONDE grands groupes de laboratoires le C.Nfl.S. on-Fran: densité de personnels C.N.R.S. V ..m..p..ln..n. l ^c^i lu C N.R.S. a I étranger [kit Pays dans lesquels IN es équipés du C N.R.S. rranco-nrtglo-atlemond (H.H.F.) . • franco-allemand (S-N.C.I.) Retalions IN2P3 (C.E.R;N.) Relations I.N.A.G. [E S.O.) *< •„.='! STRASBOURG e-^sij\ LES ORGANES ,' DIRECTEURS I .#.% DU « GROUPE » CNRS IN2P3 \ ANVAR

Description:
étudiants, aux éducateurs, aux chercheurs des pays membres de l'U.N£. Des études radiocristallographiques à 1 200" ont montré que l'oxydation
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