Pour réussir : guide méthodologique pour les études et la recherche PDF
Preview Pour réussir : guide méthodologique pour les études et la recherche
Brnard dionn e guide méthodologiquePour réussiraccompagne les n n étudiants depuis plus de 30 ans durant leurs études o collégiales et tout au long de leurs études supérieures. di Lauréat du Prix de la ministre de l’Éducation, du Loisir et d r du Sport (2008-2009), il s’est vendu à plus de 250 000 exem- a Po ur plaires. Titulaire d’un rn doctorat en histoire Cette 6e édition, enrichie et mise à jour pour répondre aux B de l’Univer sité du besoins actuels des étudiants, présente des contenus péda- Québec à Montréal, gogiques qui permettent d’acquérir ou d’approfondir des Bd da été de la méthodes de travail solides : première cohorte à entre prendre • Des textes concis soutenus par de nombreux éléments des études supé rieures par la lière Ré us si r n visuels tels que tableaux, gures et photos, qui agrémentent du cégep en 1968. Depuis 1975, o la lecture. il a été, entre autre, enseignant i t en histoire et en métho do logie, i • Des suggestions d’outils en technologie de l’information d conseiller pédagogique, directeur- é qui respectent le prol de compétences TIC pour les adjoint des études et directeur du e études, la recherche, la rédaction de textes, la présentation 6 Centre collégial de développement de rapports, le travail en équipe et l’exposé oral. de matériel didactique (CCDMD). • Un nouveau chapitre sur l’orientation et la motivation. Il a éga lement enseigné à l’UQAM et à l’Université de Montréal. Auteur • Un test pratique, au début de chaque chapitre, qui permet de plusieurs ouvrages en histoire et en h à l’étudiant d’identier ses forces et ses faiblesses. c méthodologie et véritable passionné r • Un chapitre dédié à la recherche et à l’évaluation de du milieu collégial, Bernard Dionne h c l’information en bibliothèque et dans Internet. est présentement consul tant en r • Des tableaux complets et inédits pour construire des réfé- éducation post-secondaire. ua Guid méthodoloGiqu ql rences et des notices bibliographiques selon la méthode Git traditionnelle ou celle de l’American Psychological Asso- los pour ls étuds t la rchrch o ciation (APA). dd ou ht é éts Pour réussir, m c’est aussi un contenu numérique novateur : r l d u i uo • Un tout nouvel outil, le Biblioguide, offre une assistance Gp informatisée pour créer des notices biblio gra phiques pour r tous les types de documents. i s s • Une banque de ressources exhaustives pour la formation u générale et pour la plupart des programmes d’études é au collégial. R ur Pl d o P 250 000 xPl d ISBN 978-2-7650-4023-1 www.cheneliere.ca/pourreussir n Bernard dionne o i t i Po ur d é e 6 Ré us si r Guide méthodoloGique pour les études et la recherche Pour réussir Guide méthodologique pour les études et la recherche, 6eédition Des marques de commerce sont mentionnées ou illus- trées dans cet ouvrage. L’Éditeur tient à préciser qu’il Bernard Dionne n’a reçu aucun revenu ni avantage conséquemment à la présence de ces marques. Celles-ci sont repro- © 2013Chenelière Éducation inc. duites à la demande de l’auteur en vue d’appuyer le © 2008, 2004 Groupe Beauchemin, Éditeur Ltée propos pédagogique ou scientifique de l’ouvrage. Conception éditoriale:Sylvain Giroux Édition:Frédéric Raguenez Coordination :Julie Garneau Le matériel complémentaire mis en ligne dans notre Révision linguistique:Danielle Leclerc site Web est réservé aux résidants du Canada, et ce, Correction d’épreuves:Christine Langevin à des fins d’enseigne ment uniquement. Conception graphique:Pige communication Conception de la couverture :Micheline Roy Impression :TC Imprimeries Transcontinental L’achat en ligne est réservé aux résidants du Canada. Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada Dionne, Bernard, 1951- Pour réussir : guide méthodologique pour les études et la recherche 6eéd. Comprend un index. Pour les étudiants du niveau collégial. ISBN 978-2-7650-1153-2 1. Étude –Méthodes. 2. Recherche –Méthodologie. 3. Recherche de l’information. 4. Thèses et écrits académiques. i. Titre. LB2395.D56 2013 378.1’70281 C2012-942346-7 TOUS DROITS RÉSERVÉS. Toute reproduction du présent ouvrage, en totalité ou en partie, par tous les moyens présentement connus ou à être décou- verts, est interdite sans l’autorisation préalable de Chenelière Éducation inc. Toute utilisation non expressément autorisée constitue une contrefaçon pouvant donner lieu à une poursuite en justice contre l’individu ou l’établissement qui effectue la reproduction non autorisée. ISBN 978-2-7650-4023-1 Dépôt légal : 1ertrimestre 2013 Bibliothèque et Archives nationales du Québec Bibliothèque et Archives Canada Imprimé au Canada 2 3 4 5 6 ITIB 19 18 17 16 15 Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition. Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres – Gestion SODEC. AVAnt-pROpOs À Adèle e Emma, qui iro u jour au cége e à l’uiverié R éussir ses études supérieures. . . tout un programme ! Et pourtant, c’est possible. Le présent ouvrage vous est destiné si vous étudiez au cégep et il continuera de vous être utile à l’université. Il ournit un condensé pratique des règles et des moyens per- mettant de maîtriser la démarche du travail intellectuel, clé de la réussite. La réussite est l’aaire de chacun. Touteois, dans tous les cas, elle est la combinaison d’un rêve ou d’une source de motivation, des eorts pour concrétiser ce rêve, de l’acqui- sition de connaissances et du développement des habiletés et attitudes nécessaires pour obtenir les résultats escomptés. Il n’y a pas de réussite sans travail et il n’y a pas de travail efcace sans une utilisation judicieuse de stratégies pour étudier et aire des recherches. De ait, la méthodologie est un ensemble de moyens qui permettent de mieux chercher, de s’exprimer, de communiquer ses idées, de lire, de découvrir de nouvelles réalités et de créer. En acquérant de bonnes méthodes de travail, on se donne les moyens de comprendre le monde et d’en aire partie et, à l’heure d’Internet, on apprend à traiter une masse d’inormations que chacun utilisera de plus en plus au cours des années. Avec les nouvelles technologies de l’inormation, l’étudiant du 21esiècle doit se docu- menter, communiquer et produire des documents écrits, audiovisuels et électroniques, tout en maîtrisant les codes, les outils inormatiques et les règles de ce qu’on appelle aujourd’hui laprésentatique. Le déf ne consiste pas tant à emmagasiner des connais- sances qu’à traiter de açon critique l’inormation provenant d’innombrables sources. L’OUVRAGE Cet ouvrage est divisé en 12 chapitres. Chacun commence avec une carte concep- tuelle qui permet d’en voir le contenu en un clin d’œil. Le premier chapitre, nou- veau, aborde l’incontournable motivation pour réussir ses études. Les cinq chapitres suivants établissent les principes de base du métier d’étudiant : gérer son temps (chapitre 2), prendre des notes en classe (chapitre 3), lire activement (chapitre 4), étudier et réussir ses examens (chapitre 5) et travailler en équipe (chapitre 6). Par la suite, on aborde successivement la rédaction de textes, y compris la disserta- tion littéraire et la dissertation philosophique (chapitre 7), les bases de la recherche documentaire (chapitre 8) ainsi que la recherche et l’évaluation des éléments d’inormation en bibliothèque et dans Internet (chapitre 9). Enfn, les trois derniers chapitres contiennent des consignes pour citer et présenter l’inormation, sans plagier, dans le style traditionnel et selon l’American Psycholo- gical Association (APA) (chapitre 10), pour présenter un rapport dans les règles de l’art (chapitre 11) et pour réussir un exposé oral (chapitre 12). Testez vos connaissances au début de chaque chapitre ! Proftez de conseils pratiques dans les rubriques « Tactique » et de suggestions d’outils pour développer votre pro- fl de compétences en matière de technologies de l’inormation et de la communi- cation (TIC). Enfn, utilisez les outils complémentaires ournis sur le site Internet http:// mabibliotheque.cheneliere.ca, en particulier les ressources disciplinaires pour réussir, le gabarit de présentation d’un rapport et le tout nouveau Biblioguide pour établir une bibliographie impeccable. REmERciEmEnts D epuis 1977, de nombreux collègues, enseignants, proessionnels, techniciens et recherchistes m’ont aidé à produire les diérentes versions de ce Guide méthodo- logique pour les études et la recherche. Je profte de la publication de cette sixième édition pour les remercier à nouveau. J’aimerais remercier les personnes suivantes qui m’ont ourni des suggestions et des commentaires pour cette sixième édition : • Marc-Antoine Chaput, enseignant en techniques administratives au Collège de Maisonneuve ; • Pierre Cohen-Bacrie, président du conseil d’administration de l’Association pour le développement technologique en éducation (ADTE) et conseiller pédagogique responsable des TIC au Collège Montmorency ; • Michel Fabre Jr, enseignant en géographie et méthodologie au Cégep de Thetord ; • Louis Gilbert, enseignant en éducation physique au Cégep de Victoriaville ; • Claire Giroux, spécialiste en moyens et techniques d’enseignement au Cégep Garneau ; • Mélanie Gratton, conseillère d’orientation au Collège de Rosemont ; • Isabelle Laplante, bibliothécaire au Centre de documentation collégiale (CDC) ; • Véronique Lépine, enseignante en histoire et méthodologie au Cégep régional de Lanaudière à Terrebonne ; • Manon Lessard, conseillère pédagogique TIC au Cégep de Jonquière ; • Martyne Lessard, enseignante en techniques administratives au Cégep de Granby–Haute-Yamaska ; • Daniel Marquis, bibliothécaire proessionnel et conseiller pédagogique au Cégep de Granby–Haute-Yamaska ; • Carole Mattard, enseignante en technique de bureautique au Collège de Rosemont ; • Lucie Mercier, enseignante en sociologie au Cégep de Saint-Jérôme ; • Lorraine Ouellette, conseillère pédagogique TIC au Cégep de Victoriaville ; • Sylvie Richard-Bessette, enseignante en psychologie au Cégep André-Laurendeau ; • Annie-Claude Roberge, enseignante en histoire et méthodologie au Cégep de Thetord ; • Anne Samson, enseignante en psychologie au Collège François-Xavier-Garneau ; • Isa Vekeman-Julien, enseignante en sociologie au Cégep Limoilou. Enfn, je voudrais remercier Maude Nepveu-Villeneuve, enseignante en littérature au Cégep du Vieux Montréal, qui, en plus d’eectuer les recherches nécessaires pour la mise à jour de l’ouvrage, a apporté une contribution inestimable à son contenu par ses commentaires et ses suggestions. Je remercie également Danielle Nepveu, ma complice, qui m’a soutenu tout au long de ce périple et mon ami Jean-Pierre Duresne, qui a révisé le chapitre sur l’écriture des textes. Enfn, j’aimerais témoigner ma reconnaissance à toute l’équipe de Chenelière Éducation, en particulier Sylvain Giroux, Frédéric Raguenez, Julie Garneau et Danielle Leclerc, qui ont soutenu le projet et l’auteur avec proessionnalisme et enthousiasme. Bernard Dionne CLTes particuLarités de L’Ouvrage L’Ouverture des chapitres Vous trouverez au début de chaque chapitre : – unplanqui vous permet de prendre rapidement connaissance de son contenu ; – desobjectifs d’apprentissageclairement énoncés vous – unecarte conceptuellequivous permet de voir le permettant de cerner la nature des apprentissages à faire ; contenu de chaque chapitre en un clin d’œil. TESTEZ-VOUS ! Les questions suivantes portent sur la prise de notes. Choisissez la réponse qui vous semble correcte et interprétez vos résultats en vous référant au solutionnaire à la page 268. 1Avant chaque cours, je dois : 6Je prends toujours des notes quand : La rubrique « testez-vOus ! » a)relire et compléter mes notes du cours précédent a)l’enseignant écrit quelque chose au tableau b)relire et apprendre par cœur mes notes du cours précédent b)l’enseignant commence à parler c)recopier et apprendre par cœur mes notes du cours précédent c)je suis engagé dans une activité pédagogique d)mettre au propre mes notes du cours précédent d)l’enseignant hausse le ton en classe Chaque chapitre débute par la rubrique «Testez-vous !», 2Aa)pr1è0s0 u %n cdoeu cres ,q ouin a a é gtéé ndéitralement oublié : 7Jae) pparellinedr sm dees str nouoste dse s murétmouotir ep oeut rc :lasser b)80 % de ce qui a été dit l’inormation où vos connaissances sont évaluées par des questions qui c)60 % de ce qui a été dit b)retenir les questions d’examen d)20 % de ce qui a été dit c)passer le temps pendant un cours couvrent l’ensemble du contenu du chapitre. 3Labcd)o)))rtnlsens’oeaxooquexittsuteepm irrerno p oslclejaléteees e s l droqpd eguscra ieieegtql’e n neujqs’dnieau fssd recdre ’ iaedevidgtx eeiilant ’s seàmal ’x nneéepntocnostr seeierésietg, lneneanosn tcgetlrraa snsasd sse t,rt iujterce tduso rdeise e s:t pleasrties de 8dPabcd)))o))sndianaeiuéddirrcieri esoder pn ceààocos semm laeqn mriutpe rleruee’iesrxs l n etelceis soodes nmae igasu pnnu teraroterenntenest ssdcrlae slas em paetiuètr e: 4Une prise de notes structurée permet : 9Après un cours, je dois : a)de réécrire le contenu du cours a)poser des questions à partir de mes notes b)de répéter tout ce qu’a dit l’enseignant b)attendre une semaine avant de relire mes notes c)de reprendre la structure des principaux exemples c)mettre mes notes au propre d)de reproduire l’exposé dans ses grandes lignes d)montrer mes notes à l’enseignant 5Lorsque je n’arrive pas à suivre le rythme d’un enseignant : 0Lorsque l’enseignant fait une présentation PowerPoint : a)j’enregistre le cours afn d’en réécrire le contenu a)je dois prendre en note le contenu de chaque plus tard diapositive b)je demande à l’enseignant d’expliquer les points importants b)je dois saisir la logique de l’exposé, noter sa structure et j’utilise une liste d’abréviations propres à ce cours et les exemples signifcatis c)je note ce que je peux en laissant de grands espaces blancs c)je n’ai pas à prendre de notes d)je me dis que je demanderai les notes d’un ami plus tard d)je ne note que ce que dit l’enseignant Introduction La prise de notes est-elle un cauchemar pour vous ? Pour plusieurs, cette activité est pénible, voire inutile, puisqu’ils ne voient pas à quoi servira cet exercice lorsqu’ils seront sur le marché du travail. Il aut pourtant se rendre à l’évidence : il est rare qu’une journée de travail se déroule sans que l’on ait à noter quelque chose. Le graphiste qui prépare une esquisse, la stagiaire en droit qui consulte la jurispru- dence, la technicienne qui rédige un rapport, l’infrmier qui assiste à une conérence sur les soins gériatriques, tous doivent prendre des notes pour bien eectuer leur travail. Au collège et à l’université, il aut prendre des notes pour préparer un examen, pour mieux suivre et comprendre un exposé, pour préparer soi-même un exposé 36 Chapitre 3 2.2 La lecture en diagonale TABLEAU Un exemple de planification des travaux à effectuer au cours d’une session La lecture en diagonale va encore plus loin que la lecture indicative. Elle sert à SEMAINES 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17« écrémer » le contenu en survolant toutes les lignes du texte afn d’y découvrir les dates principales idées, les concepts et les passages importants. Il aut prêter une attention COURS 27 août 3 sept. 10 sept. 17 sept. 24 sept. 1eroct. 8 oct. 15 oct. 22 oct. 29 oct. 5 nov. 12 nov. 19 nov. 26 nov. 3 déc. 10 déc. 17 dpéca.rticulière aux titres et aux intertitres, aux mots en gras, aux défnitions dans la marge, s’il y a lieu, aux résumés des chapitres, bre, à tout ce qui permet de découvrir Philosophie la structure argumentative d’un texte. À cet égard, la recherche des connecteurs, ou marqueurs de relation, peut être ort utile, car ils établissent les liens entre les idées Résumé de livre (25 %) et annoncent les parties importantes de l’argumentation, une introduction, une Dissertation (40 %) conclusion, une alternative, une opposition, etc. (voir le tableau 4.1, p. 56). Économie globale La lecture active Recherche (50 %) Lalecture activeest une technique qui permet de saisir la nature d’un texte et d’en Bibliographie retenir les composantes essentielles. Elle s’appuie sur la lecture indicative et la lecture en diagonale pour intégrer toutes les dimensions du texte et pour stocker l’inorma- Fiches de lecture tion pertinente en onction de l’objecti du lecteur. La section suivante présente les techniques de base pour aire une lecture active efcace. Rapport Entreprise LIRE ACTIVEMENT Étude de cas (25 %) Pour lire activement, il aut avoir une idée claire de l’objecti poursuivi, soit de aire Remise des données un travail intellectuel sur le texte. Il aut toujours annoter et surligner un texte, et prendre des notes afn d’en retenir l’essentiel ; mais d’abord, il aut survoler l’ouvrage. Remise de l’étude Survoler un ouvrage Méthodes (MQ) Examens (4 x 25 %) Ne commencez pas votre lecture par la première phrase du volume. Faites d’abord un survol de l’ouvrage pour avoir une idée globale de son contenu et de l’objecti Anglais uN teXte cLair et cONcis, abONdaMMepNotu riLsLuuivsi tpraér l’auteur en suivant les étapes suivantes : Compositions (3 x 25 %) • La page couverture.Elle ournit des indications telles que le titre et le sous-titre (qui précisent le sujet du livre), le nom de l’auteur, la Examen oral (25 %) maison d’édition et, parois, des renseignements complémentaires sur le contenu du livre (l’annonce d’une préace par une personne Français connue, par exemple). Roman 1 (20 %) • La quatrième de couverture.Elle peut contenir une courte biogra- phie de l’auteur, un résumé ou des commentaires sur le livre. Roman 2 (25 %) • La page de titre.Cette page peut contenir des renseignements sur l’édition et sur la traduction. Par exemple, il peut être important de Exposé oral (15 %) savoir que le livre a été traduit de l’allemand si vous aites un travail sur la Seconde Guerre mondiale. Éducation physique Desphotossoigneusementsélectionnées 1 2 • Le verso de la page de titre. On y trouilvlues tsroenutv elen tp rloap oliss teet vdoeuss permettent de Examen 1 (20 %) Il faut d’abord survoler un ouvrage publications de l’auteur ainsi3 que son évoluvtiisouna.l isSe’yr tlreosu tvâecnhte sé gàa leef-fectuer. pour avoir une idée globale de ment le copyright (précédé du symbole ©) et la mention du dépôt Examen 2 (25 %) son contenu. légal du livre (Bibliothèque et Archives nationales du Québec), de Journal de bord (20 %) Loisirs 54 Chapitre 4 11.16 Lheesn ssicoine ndceess p hhuémnoaminFèensIe Gést UusdoRiceinaEtu xle,s p aoclittiioqnuse sd, eésc hounmomaiinqsu eest ,l eeutcr.s institutioUnsn a enx de’ammpéllieor edr ela gcormapprhé-ique à barres verticales Festival des flms 1. Maurice Duplessis, premier ministre du Québec de 1936 à 1939 et de 1944 à 1959: le rôle de l’État. 2. Le estival annuelVues d’Afrique,à Montréal: l’intégration des immigrants. 3. Le confit étudiant au Québec en 2012: l’expression d’un mouvement social. Pourcentage des étudiants Salon du livre 50 45 DEUXIÈME ÉTAPE – ÉTABLIR Tournoi de hockey 40 35 Les exemples de travaux et d’examens ne sont donnés qu’à titre indicati. Les enseignants peuvent LA STRATÉGIE DE RECHERCHE 30 Desrenvois au site25 web http://mabibliotheque.cheneliere.cavous donnent demander d’autres types de travaux, planifer davantage de mesures d’évaluation et varier les délais Grille de planifcation La constitution de la stratégie de reachcecrcèhse càom upnreen dm leu clhtoitiux dd2ee0 l ad meé trheosdsoloougireces complémentaires (banque d’hyperliens, outils à pour la remise de travaux ou pour la tenue d’un examen. d’une session sbcoireanttiiofnq udew’u, nlwe éccwhhoéLpiaérxégn sedceneinde tleréa edc dleao itrceruamvmeaneitln.ttaétiloénc pheartrigneenrt,e eett dce.s) .règles11 50éthiques, et l’éla- IOUntbdilléiitgpéaetniodnance 5 Plaisir Choisir une méthode de travail pertinente 0 Ensemble [0;30[ [30;60[ [60;90[ [90;120[ [120;150[ [150;180[ Temps consacré à faire et à recevoir des appels (min) Pour vérifer une hypothèse, il aut que les moyens utilisés pour construire son Gérer son tempsargumentation soNT2iieutrnm5et é drjeou lddae ifi clgaiue firuegxu.r eOr, le choix de ce3s rméo.y1enosn ddé p9e0n édu denn bs onn nfoencon duF iGUmres 3conscé à f à cvo ds ls partie de la nature des liens entre les vaTrAiaBblLeEs AouU entrse mles nél émouen cts dcuun p Ldreossb lpèrmsionencsi palnecs dlifsf icouult léqsu rellla lt’éivueds àn l ao pssrèisde udne énloéteosn de recherche : explore-t-on une question pour approcollnuldir , sens coouncnnaisgsances ? Cherche-t-on seulSeomurecnet d àe dlaé ficgruirree un phénomène Douf dcéSuosluirércees :- Gt-illoesn G RéENtaONb elti Sru lza’ennxei VsIAtUe,nMcétehodes quantitatives en sciences humaines,volume 1S:oDelu l’écohannstillon vers d’une corrélation entre deux acteurs ? Veut-on plutôtl ad poépmulaotionn,t3reeérdi tiuonn, Meo nrtreélaal, tGiaoëtnan Mdoerin éditeur, 2007, p. 181. cause à eet ? Vous perdez acilement le fl Notez le plan de l’exposé si l’enseignant vous en propose un au début du cours ; sinon, suivez l’exposé en de l’exposé. consultant le plan de cours. Prenez des notes sans interruption. Ainsi, vous serez constamment attenti. Lacorrélationest une relation évidente ou un lien statistique entre les données de deux variables quantitatives. Vous manquez des portions Tracez une ligne horizontale et continuez de noter. Vous demanderez plus tard à l’enseignant ou à un ami de phrases.Le diagramme circceu qlauei rveous avez manqué. Peut-être aussi qu’en révisant vos notes, vous découvrirez, par le contexte, les Il existe un lien étroit entre le problème de recherche, l’hypothèse de trmavoatsi lq eute lvaous avez manqués. Faites une photocopie des notes d’un « bon étudiant » de votre classe. stratégie de vérifcation qui doit être adoptée pourL tee ndtiearg rdaem dmémeo cnitrrceur lalai rvea elisdti tuétile pour représenter les parties d’un ensemble et leurs de son hypothèse. Le tableau 8.2 illustre Vmcoeou tcssh i«ge snmaovriaennze ptlsmer » os.eepnnots ràdt eli’o acniedrste ar idensesp deicvteirvsNce eoosnx t(esevzumo-ltlieeprsz l lealaesu f gvlgeoursssroae i dr1ee1 d.l1ae 7 pv)ao.gt rIeel p emrséatcn émudeeoln iotnue .su Eunn tdsiuilciittsieoé,n dpneaomiurear,n pedter zné osletee nsze tlneessr dddeée fcsn edistio omnnos-t.s V ào ul’se npsoeuigrrneazn ati nosui vous Destableauxet desfgures empruntés à plusieurs approches disciplinaires. nées scientifques comcopnlsetxrueisre, eunn lreaxiiqsuoen p deres ol’ninmelp (vroéicr ips.i o89n- 9d0e) .ce type de fgure. elen t egxrat1en4 d6e tn voomubsC rhpeape iatrrmlleè 8egtetenntt FIGURE 11.1Vrlayo tpuh7lsmu npe’a adrrter id vle’ee znv ospsea isgc onàua sUrnsutn. idv raeenx sleemple deDDn doeremimasiasgeen rezdas eumtz nd eàmi lli’eéser tnecesn iedrt ci’gdaunbela racénevitrl iuadeite ido rena sllea en ptt ihdr ielloe ss ryoympthhbmioel)ee. sPo ulpa ocdueerz r céchpeatéqtteue reli slcetoesu bpriose inn(p tesa nri m evxupeeom rptpaelnnetd,s al enu tnv eol’e csaxepbcouoslnaédi.r eeF adoieties l.s’é ucno- d’aller rapidement à l’essentiel eort pour utiliser ces abréviations. En peu de temps, vous en arriverez à prendre deux ois plus de notes qu’auparavant (voir le tableau 3.2). de l’information. Même si vous vous servez d’abré- Allez voir lH1’ue2m,n9o s%uerignant après leC comoéud8ri,es5 m %: uisli craélepondra avec plaisir à vos questions et il vous suggérera des viations, vous ne notez pas assez lectures pertinentes. Chanson francophone rapidement. 9,5 % Cirque Demandez à vos condisciples s’ils éprouvent la même difculté que vous. Il est possible que vous ne soyez e2t 1m,6a g%ie pmaosy leen sse du’la àm aévliooirre dr ula m saitlu àa tpiornen.dre des notes. Il aut alors eMn1u1 sp,1iqa %ureler à l’enseignant et chercher avec lui des 3.2 Danse TABLEAU Autres1 Les abréviations et symboles utiles 2,9 % 0,3 % Théâtre Chanso1n8 a,2n g%lophonAebévaons couans15,1 % Aabrév. abréviation coll. collection ex. exemple 1. Inclut les spectacles de disclipline inconnue ainsi que les spectacles de chanson dans une langue autre que le français anc. ancienou I’anglais. c.r. compte rendu exc. exception Numéro de la figure FiGUre 4 Titre de la figure a.n.è. avant notre èrreéon ds vnus dcté boull cté slocno mlt éy d sccl, Québc, 2010excl. exclusivement Source de la figure apr. J.-C. aprèsSc ooJnué_rccseuu l:/ scINo-SnC_TIchTurUl_iTsf sDt.Eh tLmA (SPTaAgTeI ScoTnIQsUuElt éDeU le Q 1Uc1É vBja EnCv,i e2r0 20071, 3w)ww.stcatu.groruivc.uqcl.ucam/p uvbilticæations/referenc/quebec_sFtat/ém. éminin a/s de aux (bons) soins de Ddép. département fg. fgure, fguré auj. aujourd’hui dir. directeur r. rançais 244 Chapitre 11 av. J.-C. avant Jésus-Christ doc. document Ggéogr. géographie Bbd ou boul. boulevard douz. ou dz. douzaine GMT (Greenwich Mean Time) bibl. bibliothèque Drou Dr docteur heure moyenne de Greenwich bibliogr. bibliographie Eéd. édition VI Les particularités de l’ouvrage Cc.a. comptable agréé encycl. encyclopédie Hhab. habitant hist. histoire c.-à-d. c’est-à-dire enr. enregistrée c.c. copie conorme (entreprise) I ibid. ibidem(là même, au même endroit ; remplace le titre cf. confer(se reporter à) env. environ d’un ouvrage dans une chap. chapitre et al. et alii(et les réérence) autres) chronol. chronologie id. idem(le même, la même etc. et cetera(et le reste ; ne chose ; remplace le nom Cie compagnie (entreprise : pas mettre de points de d’un auteur dans une Martel et Cie) suspension) réérence) > 44 ChApitre 3 Rédiger la conclusion La conclusion n’occupe jamais plus de 10 % de la longueur totale du rapport. Elle doit être évocatrice, pratique et stimulante. •Évocatrice.parce qu’elle rappelle le cheminement de la pensée tel qu’il a été suivi tout au long du travail, à travers l’enchaînement des idées principales. •Pratique.parce qu’elle apporte la réponse à la question ou à l’hypothèse de tra- vail, indiquant dans quelle mesure cette hypothèse a été confrmée ou infrmée. •Stimulante.parce qu’elle présente des perspectives nouvelles et suggère un angle de recherche qui pourrait être prometteur, tout en précisant les limites du tra- vail de recherche eectué. Ne terminez jamais votre travail par une ormule du genre « J’espère que vous avez aimé ce travail » ou encore « Vous en savez maintenant davantage sur ce sujet ». Ne présumez pas des connaissances de votre lecteur. Il aut garder un ton neutre, propre aux écrits scientifques. TACTIQUE Des conseils de rédaction > Lorsque vous rédigez un brouillon à la main, n’écrivez qu’au recto des euilles et laissez beaucoup d’espace entre les parties afn de pouvoir ajouter du texte, au besoin. > Ayez devant vous le plan détaillé de votre rapport. > Rédigez à partir de vos fches documentaires (sur papier ou électroniques). Pour éviter le plagiat, consultez le chapitre 10, « Citer et présenter l’inormation ». La rubrique « tactique » > Tenez-vous-en à une idée par paragraphe ; changez de paragraphe aussi souvent que TACTIQUE nécessaire pour aérer le texte. Des outils pour aller plus loin Le texte est ponctué d’encadrés contenant > N’employez pas le « je » ; employez le style impersonnel, scientifque ou neutre : « Les aits concordent », « Tout conduit à penser que… » au lieu de « Je crois que… » ou « Mon opi- Pour vous guider dadnse lse c«ho tixa dc’utnieq muéethosd e» d eq ruecih esrcohen,t, >enG IRaOUitX,, Sdylevasin ,c eot nGinseettiel sTREMBLAY.Méthodologie nion est que… ». Pour respecter cette règle, certains chercheurs parlent d’eux-mêmes à consultez les ouvrages suivants, recommandés par les ensei - des sciences humaines. La recherche en action,2eéd., la troisième personne : « Le chercheur constate que… » gnants ou disponiblesp darnas tleisq buibleiotshè qpueos cuolrlé gviaolesu :s aider à eMonetrécatl,u ERePrI, 2u0n09e, 3 2t4â pc.he. > Le « nous » scientifque est recommandé, car il indique que le chercheur appartient à la > ANGERS, Maurice.Initiation pratique à la méthodo- > GRAWITZ, Madeleine.Méthodes des sciences sociales, communauté scientifque, mais il ne aut pas en abuser ; les adjectis et les participes s’ac- logie des sciences humaines,5eéd., Montréal, CEC, 11eéd., Paris, Dalloz, 2001, 1019 p. cordent avec le sujet en genre, mais pas en nombre ; ainsi, Stéphanie écrira « Nous sommes 2009, 198 p. convaincue… », alors que Julien conclura « Nous sommes persuadé que… ». > Le site de la bibliothèque de l’UQAM,InfoSphère,propose > BLANC, Valérie,et al. IPMSH. Une approche multidiscipli- des outils pour accompagner une recherche en sciences > Choisissez le mot juste : utilisez un dictionnaire des synonymes pour vous aider. naire de la recherche en sciences humaines,Montréal, humaines notamment. Voir :www.bibliotheques.uqam. Chenelière Éducation, 2010, 208 p. ca/InfoSphere/ > Relisez-vous au moins une journée après avoir terminé la rédaction pour corriger le style et les autes. > GAUTHIER, Benoît, dir. Recherche sociale. De la > Le matériel complémentaire en ligne du présent manuel problématique à la collecte des données,5eéd., Québec, [http://mabibliotheque.cheneliere.ca] offre des ressources > Demandez à un ami ou à un parent de lire votre rapport. Presses de l’Université du Québec, 2009, 767 p. sur les méthodes en sciences humaines. Voir la banque d’hyperliens du chapitre 9. Se conformer aux critères d’évaluation du rapport Pour corriger ou évaluer votre rapport, l’enseignant utilisera certains critères COMPÉTENCE incluant à coup sûr les paramètres suivants : Être un chercheur méthodique •Clarté.Le message véhiculé dans chaque phrase, dans chaque paragraphe, doit être clair pour le lecteur. Les phrases doivent être complètes et bien structurées. >Soyez curieux. Le chercheur curieux veut apprendre >Soyez rigoureux. Bien entendu, le chercheur n’ac- et il est prêt à mener une enquête approondie sur cepte pas les demi-vérités et il s’emploie à établir les uden es ’qarureêstteiro np oaufrn odb’esner svaevro eirt pcloums.p Irl epnrdenred dlee st epmhpé-s parietus veen duet imlisaannitè rdee ss yosutétmilsa rteiqcuone netu ns.e I lla ciossnes trriuenit asua La rubrique « cOMpéteNce » Effectuer un travail de recherche 159 nomènes nouveaux : il n’est pas déboussolé par les hasard. Il emploie un vocabulaire précis et décrit découvertes qu’il ait en chemin, même par celles minutieusement les aits. À la fn de chaque chapitre, la rubrique « Compétence » qui bousculent ses idées. >Ayez l’esprit coopérati. Le chercheur qui entreprend met l’accent sur un comportement ou un savoir-aire dont >Ayez l’esprit critique. Le chercheur n’accepte pas les une démarche de collecte de données bénéfcie des idées toutes aites et il doute de la véracité des aits, résultats obtenus par d’autres chercheurs et contribue, la maîtrise est aussi essentielle que celle des inormations des arguments et des statistiques qu’on lui présente, par sa propre recherche, à aire avancer les connais- à moins d’avoir la preuve ormelle de leur authenti- sances des autres chercheurs. La modestie est donc de contenues dans le chapitre. cité. Il examine avec soin la méthode utilisée par les rigueur, de même que la reconnaissance des « dettes autres chercheurs ou, à tout le moins, il s’interroge intellectuelles » qu’il a pu contracter à l’égard des sur leur démarche et cherche à aire le lien entre la autres. De plus, le chercheur travaille bien en équipe : méthode utilisée et les conclusions auxquelles il ne prend pas toute la place, mais il ne laisse personne ils arrivent. orienter le travail dans un sens qu’il juge inadéquat. BIBLIOGRAPHIE Cette bibliographie est construite dans le style traditionnel. Elle ne contient que les ouvrages cités dans le guide. 1 – Ouvrages de référence BENZ, Philip.Travailler en classe avec des cartes mentales,Paris, DE VILLERS, Marie-Éva. « Connecteurs », dansMultidic- Delagrave, 2011, 127 p. LABLL«M«2CQQQ3A« EEISMA RNA––UUULOEyGM NeSNGPLnÉÉÉéUUxEEmBieuBDIBEARivGNRNrEqbEERoUDgrYuEICAlCCDeiitQt2sMdpE1scjSmwpDRg(LgsSi,NRAeariiroeoc sP,Ucaoo,P39,ue,.ano,eo IR a iwEn u» nce a,A,»MnMoa A5g9uu5eOEOMn n c nn»,Li MQSvE,téngnPe ns6o9wvL v ylUg,d,TntcpiFdReTaiIab =ai e,.éc I,a3.torcueoAem A.aNq.a,a quFaliNuTcReraAdmRec. splfrtplnénnuécooisCcn Iccre oxnl.aI.l.bchI/eFT rC2.abss.n. ir,eiapS- sShcnnd hhletc6OnÉec oRs0lieIlAég2oLlTtaaETu, acccL«eso4ssen,S1paér mmere oAe,/iu.e&G È mdm/È,e6rmTMtd3ledrgegQ déa.MCudL(. leePNRneeaR,.)iPiouiItidPuaétiqUtce e.dvnAréeénQoPcIuaueE EéCt.ori -va.uetmeneal=Dt,niint rÉuaraviige a UP,n sgoUriDeeDOltiqlB i1e Dr.ct ttBeit. ornesn.qenetdRo ,ies2u icuncEaEriP ,L rTltÉistEnae,ccten,c2eud2umnoariéie , HSaoio tCtm.C51 t vaJ15etloaibein,cixiLu feLr’/Rne r 9meoi éoOAnile»Odaio2(eoa’grD.eLtca,lrénÉ9svnnrPEe, nler/?uaéu0nnesNNrDuaFdtI rl3s Dmon lalLca,co aeSs-oe0atrEe’iil1.,pgsieIAcaieMsl1tdtaiio,UA ure3nc,tcDnenE eeim1ré,rurmi 9uléeMDst t,P se rTgar5ec Ce iD cidr, i,imsEso Eesmlpbc yd ato= 0oasaAoI,aellseoA1r li2 hecurOTren.Ltédene0n ,en1qmci9n .leT0ii e scnrn3oA tnBe1so2us9NçsC8 spr1tDtluaaeI2i,u op3/na a9e07rtraeo9 lO2ml.tpSASeLL0sllé5én1lé aUi8ni,,ieou,torl 1(As/ ou,adeNA.I2à Nt-é çMbpcgePec s2lNdin P2laieb, LCri iktmR.rN,,,etwS )a dtq0 ei ar/llode5ol,TA9 stCaoOiIgDeo é ue1r G,enw4ceé9lb24M2U EeÜb,s1irE’ne 2rMU1aetrs0AU 5l0 émgwe,Ra.œr6antC teP,N.d01. crp a ét i nEéàMLi5NBéoLd2ato7uuu2o,ahnv.,d,g t ., aZ,rcOa’0Fnr vnl2ecshA tiuedE1.,irte81awtrtsgr,R0 s,ssooIe9To ipRePas e52tfru,S/0r dab8 wéA tisui9aMI:)UC.drcI9dolcn vor/5OlLaRt mlaseiIwN/n,ea’Erpli,Médessn no gaoc t Nind1,nep.,.2e ÇeemtiErdçtmngE9 ot,,.é.s0r2roaxA t ig TéPAteX 8ron1211lee.e2i.ru creiLoa asa 99d2 0.nIpgiT0pé .éDsepisqrE)Sdnc09u01eécsrd a.1ÉpidEale7r8SeeeeU29ecesl.2-?-.--s/sst.,,,,,,,.,. BBBBBCCDFFGGCCCÉOEEEOULOHHHAAADRRSIEUZIRMRAAECSVGTÉNATTVNSORHBRREIIONSANHTONLRXAEAÉL2ndlnvpMPPlAsnCdSpdpddvLiSMàPI,LI,EIi,,n’-, c, N,’TSieEe Ituror e’e tTaHoueUia EaM I.lhRiées,eetTtCosers,caé rrseRDvriI EoRlL iépReD mRnCae wmsnCI tIyrO Gbnd CndiTaEoérhrnuccro iiRnOtLe,sodi,,tilattrta.oian cpeediocé.ie ir , Nrv,lybeenueIrésrsi,mo Bèiue agrrUhlglnlaLidD’e.,eP ecÉMrcéel Lie olrdesis iintuCAcd TvBdeweoeiee e,-aUtareihn e PrWr,idn taièhieaeehspCsrD und,xuct sFrnu,l K oiHtar111111111222222SQTn:-1SQ Er,,q t,iBniue,nesduitau l.2sEp ireroH do ertni23 elv1n456789012345Oto0eM123456789oEweuautu2G..x2ioQg,nei aasié,qiAi.b0émo e îqosr tu rGus etTbocoe 0B uSê0uÉ2ddiaitSpa s,1ru setsut,CiMoussuadostlus,Adrt1PnnD1i êitaéé0t eeudi i1adoll te-tr-neeetléodneieeelré1e,d1tLuo,e, sa01Cel,sipiiti.Itia.el u, cr Qteio niezTno, uè vrbdo,non,tsd t 2mli,122d Ta .shei,c t ns-p C n, gÉnc ruertqQt i t 2eeub3nea0év eueRDe19t,enéoaaesecàéseLs.HraçsRtBm eu sG0cE a1io 6lrict,4o. 2n6lrla re,et uaé l ,etReep.b séa M e p1r,01u Rs1ael8c 2sla5p iE3i5dlJEne iRcnmélà3oit’lmlta1tZshoI,esr 2rs,na5 oe0 srré ntià,e ebi .aD P.Puu é p ea e icproBssep3en,0ecuu,g 01lcevsà ,a6icérte, eéh raPcat’.S-1 Mc l,.1nhéÉ iile7 .0uM, 4ot rhstpWi rP3’uhcnapli 2ehenu0.Sool2aaheq,e9aicR9aV,2tnl a, aoCqIresln5Sn nreum .a pue h 5ucoo, r, Nes07c,erii YJp2C eep mH qA,stgi pndiravee.dchb4ac7e111nlSnet0ntn.a sO .ru4 S eAhohtér 7 c6 0e eeZ9r.cuateaisd0eGirtsPop Odiedieq sedené, 7,rist9 eniRoms Rrs Up3 r teu és élRioerm.n’2i u2uoUAs-8/lceti pNs,épin,.tOaRiid ans FCs nn0m istn0É ce,énsvoQ2svJdli.lM ca-d .a1tiNoe Eepsa8 en,iUe1NeCu,GoLt6pve aeaS erl0e b , uyréoia 9F,,PsPuuo ro E3dBaatlslipDR,é lgEcM uns1eér r2Sl OsieWmiura upeAa. (rLéoeéeeMnnhr.xpNb .-Ma0e !arQ: peap unr smxotUEUP éuo .Drcenies0dis evt R T.r doppnseshrntsciuDimimsb.3oenicmRoL–seeoe ,veeuooéln.a,stt oz t,iét ocr CtTs, sÉu-sat sr uaqénto Plre tuPenb2h,,er eJrae2 rétpu rerudi sDo niéerra6éteenEmere hIPé na 0 ,nepemteutsR rappéidc 3tnrcciaERo lu0aeat x érsmt rn2ppqouc,eMe)r lDtildese m aplt5érsetdaePo,,o snearsue É,Cin5eier p eu,fulU. L rciot bIsFard ni reu.Pén sado2inMWhrl,sl l,enAdalréuLésoFd é st Snénsénrdar4ddrei2ee ci,eÉ d nee emeRe t.d esdcitoc02tl’neqe 0, a eqéssid-e ,rRotbUt , si: n’LEuoa0o.esat@ É i lprrPnéuOs ui ,Po’t ttmÉalettuaain tcS///0ct.RlriUaeeidùaars15 7raWNiisiavturqrèUNopL.a xsrlopl q2éoora ira50igai viynour rorlpttdneasuidnnil5dpSeEpTaeoeisèieeemiseis onnllbeeeee-ee--s-u-s--sst/p.,,,,,,sbAsos riiabnevTl teedsz ee Spes opnt uo1c2rein r5uct.slné 3le,EffeRLcdpvvacRL(trpl5dtpRSberSsChSsedddccEvtqurCeuiiveééiaohoonttooo1237iiiuiooiaeo’eneenoo’vesaHééé aceotcupten,mmnta... stuivsbessirvvnm n eufr e t unhrsssirloprnsb estvpp osseoosimt nc trernA qe uuupmteme mdi(Us1 ULnmllioteuotupso diuua eosuentt vaidi,srsumluts5p’ étedelllnlusoei irnin mantotPss3orcet oravdttstttrbnv.al ten n é e ssnnc éde se eehtu ee yaateieeigdaaaqpissenlIàdstz1 aao t ertritd rsg zqeeee îanzventrvtapssmuo r tttT r’1 imtvvol st ’ eterdq n1s’ps vaueui raov1eo osssrnccaudanidedv) eeroi fs ,éz2ouRed. ivncssiloueees gn ,ta rassvzzn oec sentppg’eea g r 2sd ét ssaiu eene rdr étosinv î o edq chsèitl ptiulgmEsdpb lgi2toontlec aoos r’sooot eba io g’rsvemuooeraa hid2éetoo lneiémt bb)oornnn héuu ou1miiutp eo veiavnnuenso b.2sacueéunlcbseènnttpédem, a nsevot uétsrrisseeei scrmbàs éedetlnrroitai a-dn tufdeoezte os m e dscnnueouter e tireh(à’puillmr aeeeu 1sedn tqal hoe uuémyasovaalncuuro’dl-prèeaàbssu tuu ss0gta éte us ndidebqoxlréxdb must pab oaseua e nd ieepqteosrpmmcvé9dcpetaei ,uti.pe’rvisvtiou teprn d reseeréugas e hlo oeo6userveoo cen.seaèou5cer edre rs n tetitaarue nttoi a pentuaeqmott éxn 6rrup,rr rqsdp7Upeavrpulr p éîîr intm,tgs.té1desi viun sp atusedrd6ee tt oe a o’scsàeeuedtre4uecceevidé erdstht 1elonrr ,eieee bozié run mnlrosdér e. sgaelàot l71ssesnseeiicszsp i elu alor ir mtg etsa e AAAAAAAAAAAAAAAABBBBBBsecICCssr5g duatl) té uosepvtseepu réc39s adésu i yci iABoCs.mane Nssee iiiidabset aiubcdgPppruuuu’éoinnnn to,oeer rrpsptm05godibbblotvobpéd u .nmé ttzFrtts ehAéeuteàp vanarppasdtirsltannxleedtii rolddéolliméceiaeredlqncmprsurteeolel teàrésnolassi rros nsp paiciianvartitniilté,eeo,iuledrnaéroeei zoanun eD-d.oocsunvétteyeor eeeé eteoel u lnedont inlci,to ilxgesréd 5pcétmir adioeetlrtpttlu étaecor dr rnda ttsipstat’Ei ttanantssuriaiel8t.larrda eav hui5htgiitcdeé,seisahhiséloeigéie’ ineié-NQos eel sry evin tdénrtensai rstxhstc,eatéorvp E8l ,,oiurs éèreFstecrg,slssseg eèèia erude sle i dereoi pr ,l rm,sstec leueetmuao toçiasoeq2nd ca,- cra otpse sotn vd eqqmeoa ettdursnr snéas oàmlei t gse’v,sc oi8 rddomectclép’tns1c3siizd aul,utirr op sn,réi-oesurirXcannuuuteto ,’t hnsai -dolrpeiidouqa aht9moait lbnàténr eetb1-7 taom e telecesdoi’aa,enons,vhc, nrva tcsleese eturseivise2stvhrriaiuoee, ii e9g -n tcie eintseoq3 niut rrnn n51co cleooaoaott cd ossmin,t strieében oc4d d,va1o ,neoeaa ne7rcpsrcerse lvbute-ssdcaeto 8céé7 dr i6t ue tnt,eupnm sntntue1elau1at0, 1e-e séiiilute a,t tsaoil e .lie,é osh-icromb,p(e2e ro15ozll’gg le r1mcr,si6e ,drse e saspts st,te os 827 esAma5,n Cgiseq Bu cgood2S utsne e6pelnd9 ri-cb siosrsi r1s, tpiiu1l84p’lx pa -cg’j2i i vb81à1oesé’a tnetucneov ssrirsrrmiuo0, eA 5 aeet’8treiuto1eqsmner5é7c-lret ierlpo e5oàie ,tb6u- rlréscs,isthn .axbsosns2gie ’uat1 o,1d5n rttssv0 1me a5rusn 1itxosshgpra rq 1 a1ot.oru7uuohav6al t etnotap7d a1sh2g,his4Saen no9saarto,-pde ia -sl2aaééeQ,n v tteo1ueeunsto ddnci-srrota2ies pc1e0Sgq r 0sa o 5egîion,doéi1uugndhtm7vsecln1set74aéin eer tdi ovèoseotxtdnil )0ge it7 iuf0régusoe2’’5-d n tioot edabnsv5 r5si,tirrairstsséaa isns sv,uaoournre26téee9t,e q- giv32eeilnrasis nees dpectupu12 oli,renvo 0ce,aa2 aevp1upo qsn osr4t,l ostee eàp irrsn u 9-stee os1a ,a 2-ceo puo8tn rtpsvrs’,e6gtai0e,eio1iu2 hcs es 6 uetnmdce1bu, ptt sedd eepedrllrtel2loer4s,p ,g2ole 1l7ses2ahal ez o5 s4e eaonoiiz 57 ’l7er,sesaért as(,qln.nencee1 e,(,r m .tqoqe 1tie tlsi,à 3ie n upl .3, 0, l,pte8 sit 5ldt (qaooa2rS 1 rrls fdmiuqt1e a,1 se s alun n,2uirunseurs24V ox .3S1d rad-re)etra, tbé5inpu’mi7n 1ae2u’neinn2 nté0et ti8, easiée0 aqVe onen7rd40 e)rpné1o(6-3 er tngdnl9spsieoseed3 ,sav5e1t orzp300em gvtveu-cêe v3d tmaooeaan-u( u scnssaentue1v,6,svo8iecil4. o,at-2ernotsvpe-e ilerstne r , cogyec spnsn r21eo5rt8e5,1epto2-èrr ttéde5s5ioaac.l iedr2 oc csr2umse4e,1is s7tslrl8uszm- 8sva 0an bsglt5oteuat iozaussee0eè.1 or mur,e4 6 t0a-.r3rra -po7às tuidd nui,e tnun urépu zs 6Aa6lvs uso,tnr mn0esi6u:d .p p-iueg2m etua.s aaentdma, rs , t9tio12iedsudot ed203e asnu.ldirn5as’ibes 1tmeVi2nnoeéeeu s 22uos evivolé0a - s2enl 6t7 epl e1eus s srtscaotsr02ystnvst0so ppei)gt0e u8i1i q é io aa e,ahan-v,s ye.vorr3re-or t(ll nultil-)r- 1ednutud1npeege2ueneeeeèee3nae2er1acnc8.irstnn2eezeeezzzzesssre4ssz6s--r1)-)---t-t.,,,463091CCCCCCCCCCCCCCCDDDDDDDDDlooooooooorooooéeiiOreoaasioémmmmnnnuvwlnnrsntsIsdrrtdprcdepsccéglpeqirrccfn escneéaeeéqnt(hocpprxrrimml’héésblurixreuiaDroypcdsuuaréieuliéét,ptfliuiiotlpts,ti ipntespuuamcsapsdnpieeert lctaesliecenxceg eo,icpetté ionnqct rrsuti,ta, ioért iln,iscm nitee tiuiée,edsaeotan r1utu1iitt ov otr1ni,areCtueccni1ocuatmsanos ei5t1naeéroe0annrs,staaeos,5eosltdpr 8nrecv0nés ,,tnis6 ,d5iitte,,ir12 snOn ,eiu,v-,o hats ,1cii,en1 3 op1n5 1o e,oo 1 1dgee2hnd,bi1m2id 1c5,tn24 e2e,1l4nnnq5a r11e,4 oaj0 2a s7e1dr -561,2deè1u6e 6, n1ue2 4t1,i 4cD-3né e124uc ssnxti’t- -21125eéel8,et-oté,ro 1s1 3e,e te2t2 35 2pe,1t ,aqa nI12,i5we9c 9xl 8,92 -,ds1t0v1su6nxa11 7,t 17ti1e7 ,c52a5er18oe t1a i25-ylh5onp0ie866-rnel97l 43,1ényten-e--8 c, d1,i611md1 s,ite t-f2 q115 e923’1e1,ud5ée a38u3,663 01 leqrr4,18a,e97)2 e u5l12,,,,0a, 5i361o7 2 -p5B,0,51u2 5e71-i202t,1-bi83 1--5l31l211-si6107-25o,,14 9 331t13-,h01 522è606,4q 7-18u155e78 ÉÉEEÉÉEÉEEEEFFFaatvrustxxqsxxhuuccptéarpuaaeeiicegpprrabcdoppssaéepppstenaddmoimmqrmoTééetubookxvxpneprilrarrcerreieasruapulnrtasapopéoiomnpeeapsééme xaeéeev,e,mlnmteuapnssn dplooops.psaie nsnndbai u1c,mo aeiérdxiaeoksoiusdsscoar ec7,ieguassaot1rntgr,n éieenls,i,tre,ri9ueé8 atntt cn4 tateitt 8ààuite 1t1ti a1ist oi - 8trl,salnd eit8sesoaoe8n, o s1e 00i7rotiaorcd-t cvs ,t-oui n7tn8ottan eii66n 7a8énc v1ho,eié1 é oionc 6 ud n0,-,ra9al4,tlao8 rm qdo 0 vo1n, eenédes82dt,bél89 i2n1uee i7c2n ut,m iel67,p2e,difx e,-os lt862i, sosss 75-1t5o1st p r2u npn c25s5 i8umve05-6,9orbdpe3 i s,i295i i8ôt48c--8n rtei,éts,pr1u262- el8lc e4-ni1eu9i2aea0e562,o-nql2è-0s cs76evn24tm7808sndu e,8ila05e,-2 50sp ue,9,d1ietd31 ,- lsl 52 8,0ne80ea,2e , 1-67 ,8u79ts68s 615-,96,d1o2 16, 878-- ii0-712t,431 o490621--i05858r8e734,- 225557,- 226517 VbruLéainobsu luiFinsoli tdNgayer tadtsxr.p uodhu eMivesea, rtleeNeszsu tuse nLeet CCaarrrtieèsr ec,o vnacleidpattuioenll edsu, c1h4o1i-x1,4 92 E FFeauiti,l l8e9s mobiles, et prise de notes, 58-60 Cartes géographiques, 245-246 Échéancier de travail, 149-150 Fiche(s) Catalogue de bibliothèque, 168-170 Écran, capture d’, 245-246 bibliographique, 62 Chapitres d’un livre, notices Ecacité personnelle, 8 citation, 62-64 bibliographiques, 211-212 Emploi du temps, 28 citation et résumé, 64 Cheminement critique, 149-150 Entrevue, 151, 152-153 classement, 66, 68 Choix de carrière et de programme d’étude, 9 Eportolio, 91 commentaire, 64-65 Citations, 197-199, 200-203, 238 Épreuve synthèse de programme (ESP), 89-92 documentaires, pour l’exposé oral, 256-257 Classement, 66, 68, 78-80 Épreuve uniorme de rançais, 127-128 chier permanent, 69-70 276 Index VII Les particularités de l’ouvrage Table des maTières 01 TacTique Des outils pour aller plus loin32 Chapitre Se motiver pour réuSSir SeS étudeS 2 >compéTence Gérer son temps efcacement33 TesTez-vous ! 4 03 Chapitre Pourquoi étudier ?5 prendre deS noteS en claSSe34 Se motiver 6 TesTez-vous !36 Percevoir la valeur des activités6 Prendre des notes37 Percevoir sa compétence 7 Percevoir sa capacité à maîtriser les activités7 Prendre des notes efcacement 38 Se préparer avant un cours38 Se connaître7 Être acti pendant un cours39 Reconnaître son efcacité personnelle8 TacTique Être acti en classe40 TacTique Consulter les services d’aide aux étudiants8 Apprendre à se connaître8 TacTique Noter les éléments importants41 Valider son choix de carrière 9 Réviser ses notes46 Valider le choix de son programme d’études9 TacTique Des outils pour aller plus loin47 Adopter des stratégies de réussite9 >compéTence Prendre des notes de açon active Comment les bons étudiants réussissent-ils ?10 et structurée47 Adapter les bonnes stratégies à son propre style10 04 Adopter son plan d’action 11 Chapitre lire activement48 TacTique Clarifer ses objectis à l’aube d’une session11 TesTez-vous !50 Se fxer des buts à long terme 12 Se fxer des buts à court terme 12 En fnir avec cinq mythes sur la lecture51 Diversifer sa ormation 13 Premier mythe : il n’y a qu’une bonne açon de lire51 Deuxième mythe : les bons lecteurs lisent un texte une S’organiser 13 seule ois et rapidement51 TacTique Des outils pour aller plus loin14 Troisième mythe : il n’y a qu’une açon >compéTence Prendre les moyens pour réussir ses études15 d’interpréter « correctement » ce qu’on lit51 02 Quatrième mythe : on doit toujours lire un texte au complet52 Chapitre Gérer Son tempS16 Cinquième mythe : la lecture et l’écriture sont deux activités opposées52 TesTez-vous !18 Déterminer clairement ses objectis de lecture 52 Étudier au collégial19 Pour aire un résumé 52 Comprendre le programme d’études19 Pour répondre à des questions52 Suivre une session de cours20 Pour rassembler de l’inormation en vue d’une recherche53 Réussir ses cours 20 Tirer proft de divers types de lecture 53 TacTique Concilier le travail rémunéré et les études22 La lecture traditionnelle53 Planifer une session23 La lecture indicative53 S’installer adéquatement à la maison 23 La lecture en diagonale54 Tenir un agenda23 La lecture active54 Utiliser une grille de planifcation24 Lire activement54 TacTique S’organiser dès la première semaine d’une session 26 Survoler un ouvrage54 Planifer une semaine26 Détecter les mots clés55 Observer son emploi du temps pendant une semaine 26 Déceler les connecteurs 55 Analyser ses résultats 28 Surligner et annoter un texte 57 Aménager son horaire chaque semaine29 Prendre des notes de lecture 58 TacTique Bannir la procrastination29 Le cahier de notes à double entrée 58 Planifer une journée de travail29 Les fches de lecture60 Dresser une liste de ses tâches quotidiennes30 Le fchier électronique68 Accomplir ses tâches quotidiennes 30 TacTique Des outils pour aller plus loin70 TacTique Éviter le piège du perectionnisme31 >compéTence Savoir lire efcacement 71
The list of books you might like
