Pierre Wagner Logique Et Philosophie Manuel D Introduction Pour Les Etudiants Du Superieur 2014

463.4 MB·French

by  X

| LOGIQUE
[HT EAILOSOPHIE

TMereduction

des enidiants de phi! O8i9ue
sant partie integrante de la phiigsOBIAUE 9 longs
Baie oem

Philosophes ae io 2

{eh ont Bolen en de che Cemb de philowohes “An

aide, trouvant dew pete 8 Commence gS: A par de iy aese
dans les scienc Tn
tique: FES COENitives, o
domaines, Fle n'a rien perdu, pos BNE au
nécessaire, Ie possible et le

om interet
verses touchant lay, Re de

ent, Videntité, existence, le
le détermi \

Proprement phi
tent d’éclairer el de

typiquement philosophiques
questions plus spécialisées touchant pee en
tisation, la mécanisation di

lement

questions philosophiq
mation logique plus avancée. Le py
indications sur les relations quit existent entre le cours 5 =
Botte etude rencontre dang nutes cours de phere
relatives 2 la vérité, aux lois de la pensée, a la nécessie 4 contingence, au
réalisme, 2 Vontologic, au raisonnement, dla décision, ere. De fait, dans leur
formation initiale en logique, les étudiants Philosophes ont souvent du mal A
perceyoir ces relations, peut-étre parce qu’elles ne sont pas toujours clairement
mises en évidence dans les textes ‘introduction.
Ce manuel a pour ambition de donner a so:
de base qui fait aujourd

uvent une for
endant nombre

n lecteur la formation logique
Vhui partie de la culture générale que tout étudiant se
doit d’acquérir au cours de ses Premiéres années d’étude s'il ne vi

priver d’emblée de toute une partie de la littérature philosophique cantempo
aine. Une formation solide en logique est particulitrement indiquée pour un
Pécialisation en épistémologie, en philosophie des sciences, en philosophi
u langage, en métaphysique ou en philosophie formelle.

eut pas se
Les deus premiere pri coun: nap
<ongu camme le programme des deux prea PECtve,
ace ars un Geparoment de Philecopn yin Sy we
ssemation présible en logique La scone sais Pee ng as
que les lecteurs qui auraient déja acquis, se formation eden be

Puissent sy yo 8 Te ge Mang ee
darter dietigty Va
,

(lent d’une premigre annge de logiaue)
choisit de suivre vette vole, on cecomeneett
nn Réanm, aan
juestions de e™eln t
ition de erm ake

able du chapitre 1, qui clarifie certaines
chapitre7, qui permet de s‘assurer que les bases desk feT™Minojal
chapitre 7, qui pe! de | Irigy ere

a

taines notions logiques fondamentales corm,
consequence ogigue, de vrliélogique ou de décdabiigg se
isagts formes paculerement simple notes cya ia
de termes logiquesfondamentaux: connectets proposidoat wun
conjonction, préication, quantification, constantes lop ques a Bh “ce
Le premier chapitre explique informellement ies net, Z
deductive et de consequence logique et a pour pringpal sys
Scation terminologique, Certains termes généraux y sont eine
siugement=, <premiss >, conclusion» «phrase dédaratings ga
proposition », «inférence valide », « schéma d'inférence yen ”” “nee
Le chapitre deux introduit Iidée de formalisation des ra
ainsi qu’un langage formel 6lémentaire pour la logique proposit ae
notera Lo. Vintérét principal de ce langage est d’introduire les qo 4
Propositionnels wilisés dans d’autres langages plus riches que £<
‘Au chapitre trois, on indique certaines limites de Ca et Yon def oo
ns syntaxiques que ne possede
ion. estune version tr simples

langage £;, qui autorise deux constr:
£»,asavoir la prédication et la quantificatic
@un langage pour la logique du premier ordre,
Le chapitre quatre expose la sémantique classique des langages £5 ot

£, ce qui permet de définir formellement la relation de conséquence logique.
(Cette définition est appliquée a l’analyse d’inférences déductives simples. On
té, ainsi que intérét eta possibilite

discute également lanotion d’extensionnali
des logiques trivalentes,

Le chapitre cin
diction et donne une.

formule valide,

de
Cette méthode
jon cater ar cen

Jer soraRDtsnel B distingucr plastered
1. Vanivers des ensembles

2 Insemantique des langages forme,
4. analyse des pewvos.et dr dedrcon
4, In loigue des modtutites
ive chapitre hue, relay
caiamibe “a eetegas
Gece,
erature philosophy

mblistes serum
lecture niinimale,
etal La lste des termes ensembietes on ee indispensable de connaitre
eile eee ablines wal cuivenneat 5

Fes hai meu deft a eee Se80SE ne pa)
premier ordre, noté Ln, plus riche
propres (@ la différence de £,) o

oe monadique pour la logigue dus
d‘exprimer des raisonney
plicité formelle rend Vint

Is Ou tan lexique, auquel
t utilises par la suite. Si
om pourra passer directement aut

il comporte des noms

icats et permet, par Ia quantification,

ction des ent Sut des totalités infinies. Sa sim

particulirement aisée et claire concepts fondamentaux de la logique
Plusieurs de ces cone,

terprétation d’un langage, vy

sabilité, contradiction,

pitre dix.

Le chapitre treize offre quelques éléments de réflexi
axiomatique et la formalisation de

on sur la méthod
a déduction. Il sera utile pour comprendn
ce qui motive l’analyse des preuves formelles e

xposée au chapitre suivant.
Dans la premiére partie de ce manuel, la différence entre inférence di
ductive et consequence logique est bri¢vement expliquée, mais aucun systén
de déduction fort

‘melle n’y est exposé. Le chapitre quatorze introduit la dédy

seane do de
s nodaltes. La Sémantique sent Dog
one

ation dans fequel Peuvent etre fay,
Maing

fis ing et des PEAY
: ce chapitre Magique des

i fae Faquele i logiaue medal gD

Analyse des énonces par eeNetahabs

Haar Par lena en

ny

gui réunit quelques definition
Tate.

fea thspitre pee font ponetualc
fe volume, on pourra, sion Joes
Souhaiie

sonata ne preibr® let

senorer fe contents de ces ar nexes

e tres est intégrée une Série d’exercices
'p. 307-350. Des exercices suppl

se des cha i
pans le texte des chap ae
deeniin de volume, ae
one ola wine des parties Let I. MG
arti fin de chacune Ges P ;
Ent proposts.a fa fin d “i
réunit des textes et des documents relat;
ra rrorssime raRTte es docume a
La rao es giques et pilosophigues. Vambition nest pas ie qe
tions mais de mettre & la dispositiga Se
ir de base a une réflexion personnelle an
lément da

rect

je de questi
i ee réflexion sur ces quest
velop elements pouvant ser
se elif aux relations entre logique et philosophie, en comp
doused introduction 3 Ia logique proprement dit

Cet ouvrage est le fruit de plusieurs années d’expérience denseign,
ment dela logiqie a /UER. de philosophie de 'université Paris 1 Pantheon
Sorbonne. Lorigine de la formation en logique qui y est dispensée ~ de jy
licence au master ~ remonte aux années soixante, époque a laquelle Ro,
Matin avait créé un enseignement de logique destiné aux étudiants de iq,
lesophieet de sciences humaines . Un peut plus tard, & partir des anhécs
soixante-<i, cette formation dut également beaucoup aux travaux et a 1
sejgnemen de Jecques Booveresse puis, ullézieurement, & bien dattres, oy

a , et

noanmen Sinana Berestovoy Joel Combase, Jacques Dubucs, Jean Fichor
{an fap Joint, Jean Mosconi, Francois Rivenc, Philippe de Rouilhan, Joe)

Sakarovitch et Gabriel Sandu,

informe!
ye: celle d’inféreng ile
a

: é
nce, schéma d’inférence, On
jence. Liobjectif est une cla,
Jes chapitres qui suivent

donne

an
ification termingh,

sigue, ing

"spensable |

pian du chapitre
1. Inférences déctuctives
2, Consequence logique
3, Enoncé, proposition, jugement
4. Schémas d’inférence

1. Inférence déductive

Porter un jugement, cest affirmer la vérité ou la fausseté a
sition ow d’un énoncé. Compris en ce sens, le jugement souleve
de sa justification, qui peut prendre des formes diverses comme

~ du témoignage («on me I’a dit »)
- de ’évidence des sens («je le vois »)
- de la conviction intime («j‘en suis certain»)
~ de argumentation (dans la plaidoirie d’un avocat)
— de la démonstration (en mathématiques)
- etc.
On s‘intéressera ici aux arguments par lesquels, pour justifier un jugement
on avance un ou plusieurs autres jugements dont le premier est tiré ou alt
L’analyse des autres formes de justification reléve de la philosophie de

connaissance plutét que de la logique.

‘une pr
Je probleme
calles