Pendant qu’à l’extérieur du restaurant une tempête de neige se déchaîne, à l’intérieur du Hazel, d’autres tempêtes menacent. Iris doit travailler malgré elle avec son amant, le chef aussi irrésistible que toxique, et la femme de celui-ci, qui est aussi la propriétaire des lieux. Et puis il y a Olive, qui compose avec un traumatisme récent, Damian, qui cache sa gueule de bois comme il peut, et tous les autres qui tentent d’éviter des conflits explosifs entre deux pannes de courant. De l’avis même de l’autrice, Partie de chasse au petit gibier est une déclaration de guerre contre la misogynie. Ça se pourrait que ça fasse mal.