Description:« ... Après la capitulation du 28 février, la situation matérielle ne changea point brusquement dans Paris, et il n’y eut qu’une tristesse de plus. Tant d’efforts demeurés inutiles, tant de sacrifices vaillamment acceptés pour arriver à ce résultat lamentable ! Oh ! le découragement des jours qui suivirent la signature de cette convention, contre laquelle nous nous révoltions ! Et le froid terrible, et la neige, et la faim angoissante ! Puisque tout était accompli, elle redevint la seule préoccupation des Parisiens.