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Mouri ou PDF

62 Pages·2015·24.18 MB·French
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Une édition Familiale « Mourir et vivre encore » Telle est la loi. C ette loi, méconnue de la majorité des gens de notre monde, perdue dans l’inconscient de certains initiés, plus ou moins bien décrite par des médiums, auteurs de publications récentes ou de livres édités, cette loi a été pendant 10 ans l’objet de l’étude attentive d’un médium des temps modernes : Jeanne Sudriès. C’est l’histoire de Jeanne Sudriès, décédée en septembre 2012, qui est contée dans les lignes qui suivent, ainsi que l’étude de son travail médiumnique. L’histoire de Jeanne Sudriès par son époux le Docteur Albert Sudriès. PREMIERE PARTIE Témoignage Les secrets de Jeanne Sudriès « Le 1er Octobre, le Docteur Albert Sudriès accompagnait son épouse au cimetière de Bozouls. Assisté de ses 2 fils, ses petits- enfants, famille et nombreux amis dont Analia Lacaze et Jacques Blanc, il dirigea la cérémonie civile, et prononça l’éloge de sa bien- aimée. Il retraça son enfance, le début de leur amour, leur vie conjugale avec les nombreux déménagements que la profession de médecin militaire imposait, la création du laboratoire d’analyses médicales à Bozouls etc… Surtout, il fit part à l’assistance du rôle de médium que son épouse joua durant les 15 dernières années de sa vie. D’ailleurs, il le rappela dans sa lettre de remerciements qu’il adressa à tous ceux qui s’associèrent à son deuil, ce qui fit réagir certains d’entre eux… et l’histoire ne s’arrêta pas là. En effet, notre ami Sudriès dont les grandes qualités intellectuelles, scientifiques et épistolaires sont connues et appréciées de tous, se mit à travailler et réfléchir sur le don de son épouse et sur les 7000 documents écrits et stockés. Il en résulte un texte « La vie après la mort » qu’il adressa à notre présidente pour publication dans le prochain bulletin. Bien sûr, l’article discuté au bureau fit débat, les uns pour, les autres contre la publication. La même diversité chez des professeurs de philosophie consultés. Furent même livrés au débat des articles de presse(Le Monde du 12-11-2004) sur Bergson, « la pensée en mouvement » et des textes très récents du Figaro Magazine (24-11-2012) « La vie après la vie » où les Docteurs Philippe Presles et Jean-Jacques Charbonnier affirment « qu’il faut écouter les gens qui racontent l’au delà ». C’est dans cet esprit que nous publions ce texte de notre ami Sudriès que nous saluons pour son travail et sa prose. » Docteur Jacques Blanc, Analia Lacaze, et le Bureau de l’Amicale des Anciens Elèves du Lycée Ferdinand Foch et du Collège Joseph Fabre de Rodez. 1 La vie après la mort « Ne pleure pas si tu m’aimes. Si tu savais le don de Dieu et ce qu’est le ciel! Si tu pouvais entendre le chant des Anges et me voir au milieu d’eux! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche! Si un instant tu pouvais contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent! Quoi! Tu m’as vue, tu m’as aimée dans le pays des ombres et tu pourrais ni me voir, ni m’aimer encore dans le pays des immuables réalités? Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchainaient, et quand au jour que Dieu connait et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là tu reverras celle qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son cœur et tu retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m’aimes. » C ette lettre si émouvante, est l’œuvre d’un médium de l’Antiquité, Augustin d’Hippone, natif de Souk Arhas, en pays Berbère, béatifié par l’église sous le nom de St Augustin. La médiumnité est une science qui existe. Sans elle, il n’y aurait ni écritures saintes, ni Bible, ni Ancien Testament. C’est pourquoi je vais vous conter l’histoire vraie d’une médiumnité méconnue, découverte par hasard. Nous sommes à l’automne 1996, au Cap d’Agde, où nous habitons. Le soir tombe vite, les veillées sont longues. Une émission de télévision montre un groupe de spirites interrogeant le fils du commandant Cousteau qui s’est tué en pilotant un hydravion. Leur technique est simpliste: sur le pourtour d’une table ronde sont disposées de grosses lettres d’un alphabet et un médium, placé face à cet arc de cercle, la main placée sur une planchette en bois voit ses doigts attirés vers telle ou telle lettre pour former un mot, puis une phrase, puis un texte. Je dis à Jeanne, mon épouse: « Jeune, je faisais tourner des tables, j’ai peut-être du fluide. » Nous montons alors un système identique sur la table de la cuisine, grâce à un jeu de scrabble. Ma main équipée d’une spatule en bois reste désespérément inerte. Je pars me coucher. Mon pantalon au fond des jambes, j’entends hurler «Viens, ça marche! Viens vite!». Et c’est ainsi que ma femme a découvert, à l’âge de 67 ans, qu’elle avait un fluide médiumnique impressionnant. Ayant lu des livres d’Allan Kardec, elle s’est ensuite, au fil des jours, initiée à l’écriture automatique. Au début sa main formait des traits, des lignes, des arabesques, et puis un jour, nettement dessinée, la phrase « Je suis avec toi, où que tu sois ». C’était son guide qui se manifestait. Rapidement, les écritures se sont faites faciles, jamais son écriture à elle, toujours des écritures différentes, suivant la personnalité du correspondant dans l’au-delà. 2 Dans notre monde moderne où le doute est roi, et où la Psychiatrie a l’enfermement facile, le problème n’était pas simple. La place de médium est difficile à assumer et l’exploration de l’au-delà est dangereuse pour qui s’y aventure sans être très protégé. Il fallait l’être et elle le fut grâce à la protection et l’intervention de son ange gardien, l’ange numéro 26, l’ange HAAIAH. Car les anges existent comme l’indiquent les religions chrétiennes. Ils sont 72 à diriger le monde des humains, divisés en 9 chœurs de 8 anges, chaque chœur étant présidé par un archange. Chaque ange est de régence une journée, tous les 72 jours, et Jeanne, pendant 10 ans, a pris la communication de l’ange du jour, chacun avec sa propre écriture, ronde ou penchée, grosse ou petite, serrée ou large et revenant à l’identique tous les 72 jours. C’est pourquoi je possède en héritage, après la mort de Jeanne, environ 7000 communications écrites de l’au-delà, aucune n’étant son écriture, les communications étant, soit des communications d’anges faites à des humains à leur demande (l’ange étant alors amené par l’ange N°26, HAAIAH ), soit des communications de personnes décédées, à la demande de leurs proches, la personne étant amenée alors par Simon, le guide de mon épouse. Tout cela pour vous dire qu’il existe des structures et des modalités strictes dans l’au- delà, des règles à observer, mais ce n’est pas le thème du sujet « la vie après la mort » que je vais m’essayer à développer maintenant, à la lumière de ce que j’ai appris en suivant le parcours de la vie médiumnique de mon épouse aujourd’hui décédée. L’axiome majeur, le fait essentiel, la vérité profonde se résument en ces mots: « La mort n’existe pas, la vie est indestructible. » Le théâtre étant ainsi monté, je vais vous présenter les acteurs qui sont les esprits décédés. J’ai sélectionné 14 extraits de leurs communications en leur donnant des noms et des numéros. Connaissant la totalité des choses dites, j’essayerai de développer les données le plus souvent exprimées. 3 4 5 Arrivés à ce stade vous êtes forcément étonnés par la multiplicité des écritures, les différences de taille, les écritures penchées ou droites. C’est la même main qui les a captées et aucune de ces écritures ne ressemble à celle de Jeanne. Je puis vous assurer par ailleurs qu’un même correspondant à la même écriture maintenant et 72 jours après, tel un « ange du jour ». Vous avez du déjà capter quelques idées de base émises dans ces extraits. Je vais essayer, connaissant l’ensemble des communications, de développer quelques thèmes. L’idée du bonheur Il semble à la lecture de la totalité des messages envoyés qu’il règne dans l’au-delà une atmosphère de bonheur tranquille. Dans l’extrait numéro 1, une mère dit : « C’est un amour profond qui nous entoure dans lequel nous baignons, comme dans une piscine baigne un corps terrestre. » Ce bonheur est cependant très tempéré par le fait que l’esprit défunt vient souvent sur Terre et participe aux problèmes et aux difficultés de la famille restante, sans pouvoir intervenir. Cet handicap parait très éprouvant. L’idée de la mort Toutes les communications se bousculent pour dire « je suis vivant », « la mort n’existe pas », « Elle est en fait une naissance dans le monde parallèle de l’au-delà ». Tous se précipitent pour dire « Je suis en vie. Avertissez ma famille. Dites-leur que ma vie continue ». Une phrase permet de penser que plusieurs vies sur Terre ont pu se succéder. Dans l’extrait numéro 2, un père, écrit: « L’on se demande comment l’on peut oublier cette vie que l’on a déjà connue ». Dans l’extrait numéro 13, il est dit: « Je ne suis pas dans le caveau, dans le tombeau, oui, j’existe ». L’appel à la survie est total et unanime. Il est immense comme un chant d’espoir. 6 L’aspect physique Il est évoqué et décrit dans plusieurs communications. Du corps humain ne persisterait que l’enveloppe, comme une chambre à air parfaitement moulée sur un individu et gonflée d’une substance éthérée qui serait « la vie même ». Voici des textes piochés çà et là : « Nous avons aussi un corps; il ressemble à s’y méprendre à celui que nous habitions sur Terre mais il est fait de matière légère, d’esprit. » Extrait numéro 1, une mère « Ce corps extérieur bien sûr n’est plus mais ce qui l’animait c’est l’énergie de la vie et cette énergie a aussi l’image de l’enveloppe que j’ai quittée. » Extrait numéro 4, un médecin « La destruction de l’être ne se produit que pour le corps physique… ce qui cesse de vivre ne le fait qu’à cause de la séparation avec ce que nous appelons ici le corps de l’esprit, le corps de lumière fait d’énergie, qui est en réalité celui qui est éternel, le véritable, celui qui dure. Il est le double exact de celui qu’il quitte… il reprendra figure humaine, l’énergie n’a pas de moule défini, elle prend la forme du dernier de ses moules qu’elle investit. » Un cousin ingénieur Le problème qui se pose alors est celui de l’âge car si l’on meurt malade et vieillard, reste t’on malade et vieillard ? Non « Je n’ai rien d’un vieillard, je suis dans la force de l’âge… mon image est celle de 30 à 40 ans environ. » Extrait numéro 10, un ami médecin « J’ai quitté ma vieille défroque… pour prendre une apparence de jeunesse… tu auras peut-être du mal à me reconnaitre… Mon apparence ressemble à des photos que l’on peut te montrer lorsque j’avais une vingtaine d’années et un peu plus peut-être. » Extrait numéro 8, une grand-mère 7 « Je suis heureuse d’avoir quitté ma vieille défroque qui m’a tant gênée. Je suis devenue un être radieux, plus aucune infirmité! Le corps spirituel est intact et je respire avec facilité: c’est ce que j’ai ressenti en priorité dès la libération car il en est bien ainsi: nous sommes libérés. » Une vieille amie L’activité et le travail à accomplir Peu de renseignements sont donnés à ce sujet. Certains paraissent occupés à des « missions ». D’autres restent dans l’atmosphère familiale avec l’autorisation accordée par une autorité supérieure et disent regagner l’atmosphère céleste la nuit « quand tout le monde dort » Deux communications donnent des renseignements précis. « Mon temps se passe de façon très plaisante sans jamais devoir réaliser une tâche que je n’ai pas choisie. Je vais et je viens et je voyage bien plus que je n’ai voyagé et surtout avec bien plus de facilité. Rien ne m’arrête ; je passe partout et c’est, au début, tout à fait grisant d’agir ainsi. Tu verras toi-même un jour. As-tu une question à me poser ? Je réponds à ta question. Je t’ai déjà dit que j’étais « au bureau des entrées ». Il serait bien extraordinaire que je n’y sois pas pour toi ! » Extrait numéro 8, une grand-mère « J’ai accepté un travail que j’appelle mon job… Je m’occupe des enfants qui viennent très tôt dans notre monde sans rien savoir, sans rien connaitre des choses. En un mot, j’enseigne. Je n’ai pas changé de profession. C’est pourquoi je l’appelle mon job. » Extrait numéro 9, une tante « La vie continue, elle est plus intense, plus grandiose, je ne sais comment vous dire. Le matériel ne peut nous arrêter. Nous traversons tout. » Une amie 8 L’environnement Aucun détail n’est donné sauf l’indication atmosphère terrestre et atmosphère céleste. L'extrait numéro 10, un ami médecin parle d’une lumière blanche, forte mais non agressive, douce au regard. Il dit : « Il est impossible de décrire le monde spirituel ; je n’ai pas de mots capables de le faire. Je vous ai dit que tout y était magnifique, sublime, tout est d’une beauté exceptionnelle. » Dieu et la religion Tous n’en font pas état mais certains en parlent avec plus ou moins d’intensité. Il semble que ce soit le reflet de leur religiosité sur Terre. Nos communicants étant ici, le plus souvent de religion chrétienne, c’est Dieu ou le Christ dont il est question. « Je suis heureuse de t’avoir parlé. Je remercie Dieu. » Extrait numéro 1, une mère. « Je demande dans mes prières que l’apaisement vous soit donné. Confiez au Seigneur le résultat de cette journée. Priez en ce sens. Confiez-vous à Christ et à toute entité supérieure. Espérez dans la vie et en notre Père. » Extrait numéro 5, l’épouse d’un médecin. « Personne ne voit le Christ à notre niveau. Priez pour lui. Il faut du temps et des prières qui sont toujours porteuses de bénédictions et d’aides. La seule façon de le faire [aider un mort] est la prière. J’ai évolué dans d’autres mondes et partout j’ai pu mesurer combien la prière était une arme efficace contre le mal. » Extrait numéro 10, un ami médecin. « Vos prières me sont allées droit au cœur. » Extrait numéro 11, l’épouse d’un ami. « Je te remercie surtout pour tes prières qui m’ont apporté tant de soulagement. » Extrait numéro 13, filleule. 9

Description:
Au début sa main formait des traits, des lignes, des arabesques, et puis un jour, nettement dessinée, la phrase « Je suis avec toi, où que tu sois ». C'était son guide .. chœur, que ce soit Métatron, Raziel, Binael ou autre. Chaque fois le premier ange du chœur répond à sa place pour dir
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