" Quel plaisir de se promener en votre compagnie à travers les rues de Florence, avec leurs carabiniers, artisans, trattorias, et même leurs turbulents touristes. Tout est si vivant ; les bruits sont audibles, les odeurs aussi perceptibles que la légère brume matinale sur le cours alerte de l'Arno ; jusqu'aux collines basses, où les bergers sardes, leurs traditions et leur mode de vie quasi inchangé, sont tout aussi habilement dépeints. Que ne donnerait-on pas pour goûter à leur ricotta ! [...] C'est un roman à déguster, encore plus que ses deux prédécesseurs. C'est la première fois que je vois le thème du kidnapping traité de façon si simple et si plausible. [...] Bravissimo ! Vous avez tenu votre promesse au-delà de toute espérance. " Georges Simenon, lettre à l'auteur.