Au moment de l’explosion, les délégués au Conseil Atlantique en seraient toujours — en toute bonne foi — à vouloir régler pacifiquement la question et les Soviets ne pourraient sans ridicule, les accuser de leur avoir joué un coup tordu.
Quant à la « cause inconnue », Ferran était placé pour la connaître...
Tout se déroula avec la précision d’un mouvement d’horlogerie.