Table Of ContentLes zones humides, appropriations et représentations.
L’exemple du Nord-Pas de Calais
Marion Amalric
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Marion Amalric. Les zones humides, appropriations et représentations. L’exemple du Nord-Pas de
Calais. Géographie. Université des Sciences et Technologie de Lille - Lille I, 2005. Français. NNT: .
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UNIVERSITE DES SCIENCES ET TECHNOLOGIES - LILLE 1
UFR de géographie et d’aménagement
Laboratoire de géographie des milieux anthropisés UMR CNRS 8141
Thèse de Doctorat
présentée en vue de l’obtention du grade de docteur de l’Université de Lille 1
Discipline : Géographie
Les zones humides : appropriations et
représentations
L’exemple du Nord-Pas de Calais
Soutenue publiquement par
MARION AMALRIC
le 5 Décembre 2005
En présence du jury composé de :
Paul ARNOULD, Professeur à l’ENS Lyon, rapporteur
Bernard DEBARBIEUX, Professeur à l’Université de Genève, rapporteur
Jean-Jacques DUBOIS, Professeur à l’Université de Lille 1, directeur
Richard LAGANIER, Professeur à l’Université de Paris 7, co-directeur
Jean-Pierre RENARD, Professeur à l’Université d’Artois, examinateur
Photos de couverture: Chabaud-Latour, Merlimont, Harchies, Santes. M. A., 2004, 2005.
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Si les volcans changent peu de place,
leur lave parcourt le grand vide du
monde et lui apporte des vertus qui
chantent dans ses plaies.
René Char
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REMERCIEMENTS
Si j’ai trouvé le travail de thèse solitaire, je dois dire que j’ai toujours été entourée, inspirée, soutenue
et entendue par un grand nombre de personnes que je veux ici remercier chaleureusement.
Je pense tout d’abord à mon directeur de thèse, Jean-Jacques Dubois, qui a toujours été présent pour
moi durant ces quatre années. Ses conseils, ses relectures et les occasions qu’il ma donné de découvrir
la région ont toujours été une grande source d’inspiration, d’encouragement et de motivation. Je le
remercie ici profondément. Je remercie également mon co-directeur, Richard Laganier, qui a
accompagné mes premiers pas de chercheur dans la région et qui m’a encouragée à faire cette thèse.
Je remercie vivement chaque membre de mon jury et me réjouis de voir réunies des personnes qui
chacune à leur façon ont participé à ma formation géographique. D’une part, Jean-Pierre Renard m’a
enseigné sa passion pour les frontières durant les cours de DEA. D’autre part, Bernard Debarbieux et
l’équipe de l’Université de Grenoble ont eu tôt fait de me convaincre que cette géographie des
représentations était celle qui m’intéressait. Enfin, j’ai toujours eu le plaisir de retrouver Paul Arnould
durant des colloques ou des sorties de géographes et de biogéographes sur le terrain. Je les remercie
donc vivement d’avoir accepté de participer à ma soutenance.
La liste des personnels enseignants et administratifs sur qui j’ai toujours pu compter serait trop longue
à dresser et sans doute incomplète. Je veux cependant évoquer quelques noms qui représentent
beaucoup dans mon parcours universitaire. Je remercie Dominique Creton qui m’a épaulée durant mon
année en Irlande en Erasmus. Je remercie également Jean Vaudois qui m’a encadré en DEA et dont je
n’ai jamais oublié la force et la rigueur d’esprit. Je remercie également Patrick Picouet qui a su « être
là » lors de mon arrivée à l’UFR de géographie. Je remercie Sophie Godefroid dont l’approche
d’ethnologue a été une sorte de révélation.
De façon plus quotidienne, de nombreuses personnes ont rendu ce travail de recherche plus
supportable ou plus amusant, je pense aux membres du laboratoire de Géographie des milieux
anthropisés, avec qui nous avons tenu certains sièges devant la machine à café, mais aussi à tous les
collègues avec qui j’ai eu l’occasion de travailler, notamment pour encadrer des groupes d’étudiants.
Je remercie également les personnes des services administratifs qui se sont toujours montré
compréhensifs et attentifs (je pense dans le désordre à Monique Bécu et à Nicole Cunat, mais aussi à
Alain, Christine, Fanny, Brigitte et à Claudine et à David au SH3 !). Je remercie également tous les
étudiants avec qui j’ai eu l’occasion de travailler et qui m’ont toujours apporté des idées neuves et du
tonus lorsque la thèse languissait. Je n’oublie pas « ceux de l’Ifresi » qui ont toujours constitué pour
moi un formidable bol d’air intellectuel et humoristique, Bruno, Bertrand, Iraxte, Jerôme et Anne-
Sophie. Enfin, je remercie toutes ces personnes qui le temps de quelques heures ont réfléchi avec moi,
relu quelques pages, assisté à mes présentations orales et qui ont ainsi fait avancer ma réflexion. Je
pense aussi aux personnes rencontrées maintes fois sur le terrain et qui m’ont toujours consacré de leur
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temps, avec qui j’ai pu garder des contacts durables (je pense à Bruno Dermaux de l’ONF
notamment).
Je veux également remercier quelques maison, leurs jardins, leurs propriétaires, occupants et voisins :
Lentat (15), Moisenay (77), Trévenaste (56), mais aussi Saillac (46), Albi (81) et Chatelneuf (39) qui
m’ont accueillie « au vert » pendant mes périodes de rédaction. Je remercie tout le monde pour
l’hébergement, le soutien, les bons petits plats. J’en viens finalement (last but not least) à remercier
toute ma famille et tous mes amis d’avoir participer si brillamment à « l’effort de thèse » ! Je remercie
tous ceux qui par leur présence réconfortante et divertissante ont su m’aider à persévérer : mon frère et
ma sœur (« césar » et « goriotte »), toutes mes amies, Armelle, Aline, Aude, Isabelle, les participants
du cooking contest, Stéphanie, Ludo et Pascal mais aussi tous ceux qui ont passé quelques temps de
leurs vacances avec moi (Agathe, Florence). Je remercie également ceux qui sont loin (en France et à
l’étranger) dont le soutien n’a jamais faibli. Je remercie enfin mes parents d’avoir été à mes côtés
durant ces longues années de thèse, ainsi que tous les membres de la famille qui ont suivi pas à pas
l’évolution de mon travail (grands-parents, vrais ou faux cousins, vrais ou faux oncles et tantes et
véritables amis de la famille !).
Enfin, je remercie plus spécialement ceux qui ont accepté de relire tout ou partie de mes écrits : que
ma mère soit la première remerciée (va-t-elle aimer la géographie à présent ?) et qu’ensuite viennent
Aline, Aude, Ludo, Isabelle et Manu. Un grand merci à tous, votre aide m’a été précieuse.
Pour finir, je remercie Laurent qui a participé quotidiennement à l’effort de thèse, avec beaucoup de
patience et de détermination. Tantôt veilleur de nuit, tantôt conseiller typographique mais toujours
bienveillant, encourageant, rassurant et… nourrissant.
Le défaut d’une liste de remerciement est d’oublier de citer des noms et d’être sans fin, je veux
pourtant finir par saluer de loin deux personnages que je n’ai pas connus et que je ne pensais pas
remercier en commençant cette thèse. Il s’agit de mes arrières-grands-pères dont l’un tressait de l’osier
et l’autre cultivait un jardin clos, au nom prédestiné : « le Marais ».
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AVANT-PROPOS
L’inspiration de ce travail est dans la droite ligne de ma première recherche : les tourbières d’Irlande
durant mon année de maîtrise. Je m’interrogeais alors, sans réussir à la théoriser, sur la notion de
paysage et sur la relativité de la « réalité » lorsqu’elle est perçue et vécue. Il s’est trouvé que cette
interrogation faisait partie des orientations que le CNRS et le Conseil Régional du Nord-Pas de Calais
souhaitaient insuffler à la recherche au moment où j’ai engagé cette thèse. J’ai donc bénéficié d’un
financement durant trois années au titre de la Bourse de Doctorat pour Ingénieur. Elle m’a permis de
mener ma recherche et de participer à des colloques et des écoles d’été organisées par le CNRS. Ce
soutien était pour moi la garantie de travailler sur un sujet actuel, dont le fondement était basé sur une
préoccupation véritable des acteurs du territoire et de la recherche.
Ce travail a vu le jour grâce à ce financement BDI, mais aussi grâce au Laboratoire de Géographie des
Milieux Anthropisés (CNRS UMR 8141) dirigé par Claude Kergomard où j’ai été accueillie dans tout
le confort qu’un doctorant peut souhaiter.
Enfin, ce travail est, peut-être avant tout, le fruit de rencontres et de temps passé sur le terrain. Je veux
saluer les acteurs qui ont répondu favorablement à mes demandes, accepté de se prêter au jeu de
l’entretien et toléré que je les enregistre. Ils ont été nombreux à entretenir un contact précieux, à
compléter nos discussions par des envois de documents ou d’informations. Ces personnes ont rendu ce
travail scientifiquement intéressant et humainement passionnant. Je ne citerai pas leurs noms, eut
égard à l’anonymat dont je les ai assurés, mais ils se reconnaîtront et trouveront dans ce travail, je
l’espère, un éclairage nouveau sur leur quotidien et les enjeux qui les occupent.
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Description:de thèse, ainsi que tous les membres de la famille qui ont suivi pas à pas PNRZH Programme National de Recherche sur les Zones Humides SDAGE Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux à des espaces humides, c'est le cas de la Camargue ou du marais Poitevin,.