Jean-Marie Corteix la sentit glisser le long de la paroi du wagon et s'accroupir, engloutie immédiatemment par la masse humaine des heures de pointe. L'instant d'après, le bas-ventre de Corteix connut un délicieux martyre.
Des yeux très noirs, étrangement brillants dans une face de hibou, suivaient minutieusement la scène. L'homme, un quadragénaire, suait à grosses gouttes. Sa main, dans sa poche, se crispa autour d'un long poinçon effilé. Une alène de cordonnier.