Description:Ainsi mes pauvres vagabondent solitaires dans la ville, dans Rome, à la recherche de quelque chose de plus grand qu’eux : et à la fin, il ne s’agit probablement que d’un peu d’amour, parce que l’amour efface les étroites limites de l’existence et ouvre à l’infinie générosité du cœur. Les pauvres ne savent pas grand-chose sinon rien de la manière dont on vit, ils avancent sur un sentier incertain, souvent ils l’inventent en chemin, côtoyant d’un côté l’abysse et de l’autre la nostalgie de l’enfance, ce temps où tout semblait possible. Mais au-dessus de leurs pas, le ciel est azur, la nuit aussi. M.L.