Description:Il faut qu’après Pasquier, Ballanche soit élu : L’un n’a jamais écrit, l’autre n’est jamais lu ! Cette épigramme a été laissée, le jour de l’élection de ce bon M. Ballanche, sur le bureau d’un académicien probablement ennemi de son nouveau collègue, et qui, peu flatté de l’honneur qu’on lui faisait, n’a pu imposer silence à son humeur caustique. Ces deux vers expriment une vérité ; mais, après tout, cette vérité serait peu appréciée d’Odry, car, si elle est vraie, elle n’est ni neuve, ni consolante.