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Les Évangiles Maître Philippe de Lyon Un témoignage PDF

80 Pages·2017·1.21 MB·French
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(cid:91) (cid:92) Les Évangiles (cid:91) (cid:92) Maître Philippe de Lyon (cid:91) 1 (cid:92) Un témoignage 1. Pourtoutcontact:[email protected] www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. France 2/82 25décembre2014 Chapitre 1 Introduction Cequetuvasliredépassedelointonentendement.J’ensuisconscient.C’estle plusbeaucadeauquejepuissetefaire,leplusbeaucadeauquejepuissefaire àl’humanité. Toutacommencéversmes33ansetdemiàChâtel-Montagnedansl’églisedu XIIe siècle. Je me nomme Philippe Leroux. Je suis né clair-auditif. Clair-auditif veut dire que tu entends des voix. Toi aussi tu l’es, mais tu n’en es probablement pas encore conscient. Cela te donne des sortes de mini-prophéties sur ta vie. J’ai toujourscherchédepuisgaminunsensàmaviemaissanssuccèsjusqu’alors. J’avais été au catéchisme, je n’avais pas compris grand chose. Je n’aimais pas alleràlamesse1,celam’ennuyait.J’avaisoubliél’AveMariaetconnaissaisap- proximativementleNotrePère. Mais je me rappelle que j’aimais entrer dans les églises. Il y avait comme une sortedeprésence,jem’ysentaisbien.J’embrassaissouventlaTrèsSainteVierge Mariequandjerecevaisdebonnesnouvelles.J’avaispourElleuneadmiration sans bornes mais, là aussi, sans savoir pourquoi. J’étais croyant mais un peu commeSaintThomas... ÀlasuitedemesétudesdephysiquethéoriqueàOrsay,j’aisoutenuunethèse de doctorat de mathématiques à Rennes. Je tentais de comprendre l’oeuvre deDieu,maissansgrandsuccès.Aprèsavoirréussil’agrégationdemathéma- tiques,unevoixmeditd’allerenseigner."C’estçaquetuveux,tuveuxquej’aille enseigner à des adolescents?", lui répondis-je. J’étais désarçonné, je ne voyais pas l’intérêt de faire d’aussi longues études pour finalement aboutir à ensei- gnerdeschosestrèssimples.Jen’aicomprisquebienplustard. Vers2007,j’entreprendsdesétudesdemédecinetraditionnellechinoise.Jetra- vaille mon ressenti. J’apprends à raisonner avec une autre logique que celle qu’on m’avait apprise. Durant cette année, mon grand-père paternel décède subitementàl’hôpital.Jesavaisqu’ilallaitmourir,unevoixm’avaitprévenu.Je prisl’avionetdemandaiàDieuderetardersondécèspourqu’ilpuissemourir 1. Ajoutdu13/04/2020:lirewww.saintemesse.fr 3 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. dansmesbras.J’avaisétéexaucé. Lorsdesonenterrement,jememisàparleràmongrand-père:"Tunet’espasvu mourir,viensmevoircettenuit.Jet’expliqueraicommentças’estpassé".J’avais même étudié son dossier médical avant de lui faire cette proposition. Et puis cette fameuse nuit-là, je fus brutalement réveillé, plaqué au lit avec une pres- sionénorme. Jesortis de moncorpsparlesreins, MingMen (c’estlaporte du destin,sousladeuxièmelombairepourceuxquiconnaissent).J’étaisunpoint conscient dans l’espace ambiant, qui voyait mon corps physique comme en- dormi mais de l’extérieur. Je voyais, j’entendais. Je répondais à des questions médicalesquejen’entendaispasmaisquejepouvaisreconstituerd’aprèsmes réponses.Jefusprojetédansmoncorpsàlafindel’entretien.J’eustrèspeur.Je nedormispaspendantlesdeuxnuitssuivantes.Àlasuitedecetteexpérience, jereprismaquêtespirituellequej’avaissuspendue.J’étudiaisleBouddhisme, le Taoïsme et aussi le Christianisme à la recherche d’explications : Qu’est-ce quejefaissurTerreetpourquoi? Je me mis aussi au qi gong avec un moine taoïste. Nous sommes en 2010. Un jour,ilnousdit:"Vouslesoccidentaux,vousêtestropdanslemental,vousou- bliez de vivre". Cette phrase détonna comme un éclair en moi. C’est vrai, on travaille, on étudie beaucoup dans les livres, mais vit-on ce qu’on étudie? Je pris alors la décision de vivre ce que je lisais et notamment l’Évangile que je m’étaisremisàlire.Jerelisaiscequ’avaitfaitleChristetcomparaisavecceque je faisais dans ma vie. Le décalage était immense! Je pris alors la décision de faire du mieux que je pouvais pour Le suivre, notamment sur le pardon et la charité. En parallèle des cours de médecine chinoise à Lyon, je suivais également des cours à Paris chez Philippe Sionneau. On sympathisa. Là, je rencontrais Eric, unhommecommemoiquitoucheàtoutetquichercheunsensàsavie.Onar- rivedoncdébutjuillet2010,j’ai33ansetdemi.JevaisvoirEricchezlui."Tiens, me dit-il, toi qui ressens bien les énergies, on va aller à Châtel-Montagne. Il y a uneégliseduXIIe avecuncheminpourinitiés,tuverrasç’estfort!". Entendu!Jerentredanscetteéglise,parcourslechemindesinitiésdansuncer- tain sens, je prends mon temps. C’est vrai que c’est très puissant. Je lui décris ce que je ressens et puis à un moment je lui dis : "Tu vas rire, là à cet endroit, jeviensderessentirl’ouverturededeuxportestrèsimposantescommeenpierre qui s’ouvraient à l’intérieur de mon coeur". Il me regarde étonné, puis me dit : "regarde ce qu’il y a derrière toi". Je me retourne. Je vois une statue du Christ avecSonCoeurouvert(LeSacréCoeurdeJésus).Jetressaille.Jenecomprends pas.Jeremerciepuisnoussortons. Sur le chemin du retour, dans la voiture, Eric me dit : "Tu connais Maître Phi- lippedeLyon?".Jeluirépondsquenon."C’estunguérisseurdusiècledernier", me précise-t-il. "Ah oui, lui dis-je, mon frère m’a parlé des guérisseurs dans les campagnes...".Ilmecoupe:"Nontun’yespas!Ilafaitlesmêmesmiraclesquele Christ".Jem’étonneetrestepensif:"J’irairegardersurinternet".Àmonretour chezmoi,jemeconnectesurinternetetconstateeffectivementcequem’avait ditEric.Jememetsàpleurer:"Impossiblemedis-je,c’estimpossible...Maisalors France 4/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. toutça,l’Évangile,leChrist,c’estvrai!".PourleChristetl’Évangile,j’entendais lesargumentsqueoui,c’étaitilya2000ansoui,lesgensavaientpeut-êtreexa- géré ce qu’il s’était passé oui, l’Évangile avait peut-être été modifié ou falsifié commelepensentbeaucoupoui,situveux...maislàc’étaitausiècledernier! J’aimêmeconnuparlasuiteunepartiedelafamilledeJeanChapas,ledisciple bien-aiméduMaître. Le Maître affirmait que l’Évangile n’avait pas été falsifié (Vie et Paroles page 107) : "Dieu ne l’aurait pas permis", disait-il. Le Maître était enterré au cime- tière de Loyasse à Lyon. Les jours suivants, un combat s’engagea en moi : "Il faut que j’y aille". Cet homme était venu sur Terre pour donner des preuves, pourrappelerquel’Évangilec’estvrai,queleChristc’estvrai! Il faut que j’y aille, il faut que j’y aille pour le remercier. Mais tu n’as pas idée desvoixquisurgissaientdansmatête:"Quevas-tufairelà-bas?Luiestpuret toinon".Jesais,maisc’estdécidé,j’yvais! Jetremble,j’yvaisàreculons.Moncoeurbatvite.Jen’aimêmepasprisletemps ce jour-là de vérifier où était la tombe dans ce grand cimetière. Tant pis. Si je doislatrouver,onmeguidera.J’avancedansl’alléecentraletournantlatêtede gaucheàdroite...trèsanxieux.Unevoixmeditalors"toutdroit",quelquespas puismevoilàdevant.Jesuistrèsanxieux.Jefixesonnomsurlatombe.Jenesais pluscequej’aifait.Etd’uncoup,moncorpssemetàvibrer.Despiedsàlatête, progressivementpuisdeplusenplusfort.Mesentraillessemettentàvibrertrès fortement,ainsiquemalangue.C’étaittrèsimpressionnant.J’étaisheureux!Je medisaisqueleMaîtredevaitsavoirlà-hautquejeressentaisl’énergieetilme faisaitunsigne...Maissubitement,jemesurprendsàmeconfesserdevantLui. Ilmerappelleuneerreurdejeunesse.Jereconnais.Cesvibrationsintensesont duré une heure! Je remerciais, j’étais enthousiasmé!!! "C’est incroyable ce que cethommeafaitpourmoi",medis-je. J’étaisàdesannées-lumièredeprendreconsciencedecequej’avaisréellement vécucejour-là. Lesjourspassent.Ericm’avaitparléd’unemédiumsurLyonenrelationavecle Maître.LeMaîtreluiétaitapparudanssachambre.Elleluiavaitdit:"T’esqui, toi?".Iln’avaitpasrépondu.Ellenesutqu’après.Unautrecombats’engageen moi. Je dois aller voir cette femme. Elle me mettra en relation avec le Maître, jepourraisleremercierfaceàface.Jem’imaginaisqueleMaîtreallaitprendre corpsenelleetparlercommes’ils’étaitincarné.Ilfautquej’yaille! Je ne peux pas raconter tout ce qui s’est passé. Ce fut au-delà des mots. J’ai beaucouppleuré,j’airemercié.Jenecomprenaispas.Jemesouviensc’étaitun mercredidefévrier2011vers11H.J’avaisunegrippesévèrequejetraînaisde- puis une semaine, pas moyen de l’extirper avec mes aiguilles d’acupuncture. Mais vers 13H, je m’installe dans mon salon pour poncturer des points. Sou- dainsurgitduCieluntorrentd’énergie.Moncorpsvibre.Jesenslesméridiens dupoumonetdugrosintestincommejamais.Émerveillement!LeMaîtreesten traindemeguérir!D’uncoupmesmainssemettentàvibrertrèsfortementet pendantlongtemps.Jusqu’àprésentjecomprenaiscequ’Ilfaisaitmaislàpour- quoiactionnerlespaumesdemainpoursoignerunegrippe?Laséances’arrêta d’uncoupsec.Toutredevintnormal,j’étaisguéri.Lelendemain,jefaisaisune France 5/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. séance d’acupuncture à ma femme. Je me mis à localiser un point et aussitôt stupéfaction... je comprends tout! Je crie de joie : "Le Maître..., le Maître, Il a changémesmains!".Enposantledoigtsurcepoint,jememisàsentirdessen- sationsnouvelles,notammentlesméridiensd’énergiedesêtres.Jepouvaisles guiderdansleurressenti.Extraordinaire!J’étaisdevenuclair-sensible. Les jours passèrent. Entre les mois d’avril et mai 2011, je devais me rendre à Paris pour un stage de médecine chinoise. J’ai l’habitude de dormir chez les frères Marianiste à Anthony (Paris). C’est Frédéric qui m’a fait découvrir cette grandedemeure.Leurchapelleestextraordinaire.Quandjesuisrentrépourla première fois, je me suis senti chez moi. Ce jour-là, comme à mon habitude, jevienspourmerecueillir.JevaisaupieddelaCroixquiestassezgrande.Ily aunereprésentationduChristdessus.JeLeregarde.Soudaindesrayonspuis- sants sortent de Son coeur et viennent taper sur ce qu’on appelle le troisième oeil. Je n’ose plus bouger. Cela dure un certain moment, peut-être quinze mi- nutesettouts’arrêtebrusquement.Jenecomprendspas...Jerecule,matêtese tourneverslagauche,fixeunpointinvisibledansl’espaceetjedis:"MaisSei- gneur, pourquoi moi? Moi, je ne suis rien". Une voix grave et pleine d’autorité résonna:"Tul’asdit".Silence... Jeréalise,jemedisenmoi:"oui,c’estvraiquejenesuisrien".Ils’ensuivitune discussionbrèvequej’aioubliée.Jeremerciais.J’étaisloind’imaginerpourquoi leChristavaitfaitcela. Les mois passèrent. J’avais recommencé à lire les Évangiles et les apocryphes aussi,notammentl’ÉvangiledePhilippeetThomas.Àcetteépoque,jem’inté- ressais aussi aux cristaux. Certains pouvaient, disait-on, faciliter l’ouverture à ladimensionchristique.Lorsd’uneséancequejemefisavecuncertaincristal, je fus emmené très loin. J’entendais la voix d’une femme, elle disait s’appeler Myriam.Ellemeracontaitqu’àsonépoque,j’étaisundesesdisciples. Les jours passèrent. J’achetais l’Évangile de Myriam de Magdala. À la maison moncorpssemitàvibreravecdouceur."Çaalors!",medisais-je.Jepouvaispar la suite distinguer à l’aveugle ce livre de n’importe quel autre car mon corps vibrait dès que je le prenais. Il y eut aussi l’Évangile de Philippe qui fit vibrer moncorpsmaisbeaucoupplustard.Unjour,jem’allongeaispourmereposer dansl’après-midiavecl’ÉvangiledeMyriamdeMagdala sansfairederappro- chement. Brusquement, je fus ravi en esprit. J’avais devant moi une très belle femme,latrentaineavecdetrèsbeauxcheveuxrouxtrèsdensesquiflottaient dans le vent, un ciel étoilé derrière elle. Elle rayonnait de bonheur, de paix et de lumière. Elle avait un vêtement bleu foncé, cintré, qui remontait jusqu’au cou.Ellemesouriaitavecsesgrandsyeuxremplisd’Amour.Puisauboutd’un certaintemps,jerevinsàlaréalitédecemonde.J’étaisheureux,j’avaisvuMy- riam de Magdala. C’était bien elle la voix féminine que j’avais eue pendant le voyageaveclecristal.Certainesnuits,jem’endormaisenmettantcetÉvangile sousl’oreiller.J’avaislesentimentdel’avoirprèsdemoi. Lesjourspassèrent.Unaprès-midi,jevaismereposer.Jereprendsl’Évangilede Myriam de Magdala pour tenter d’en percer les mystères, mon corps se metà vibrer doucement. Je le lis puis m’endors. Au réveil, je fus soudain ravi en es- France 6/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. prit. J’avais la même vision : Elle était de nouveau devant moi, toujours aussi sourianteetlumineuse.Plustard,le22juillet2013pourlaremercierjeprisma voitureendirectiondelaSainteBaume,lieuoùelleavaitvéculafindesavie.Ce futlapremièrefoisquejesentisdansmoncoeurl’Amourvenantd’unefemme d’enhaut,venantduFémininSacré! Les mois passèrent et arriva le 24 décembre 2012. C’était un lundi. Ce jour-là, jesors,paslavé,pasrasé,enjoggingpourcherchermonpainàlaboulangerie près de l’église. À quelques mètres de là, une voix grave pleine d’autorité me dit : "Va à l’église". Je tressaille. J’achète mon pain puis m’y rends en pensant êtreseulcommed’habitude.Àmagrandesurprise,jevoisdeuxprêtresdontun quejeconnaissaisdevueetuntroisièmehommequidevaitsûrementêtreen phased’apprentissage.J’arriveunpeuavantl’Eucharistie.Jesuisconfus.Jeme metssurlecôtédroitdel’églisederrièreunpilierpournepasgêner.Puisvient la communion, je m’avance, je me sens poussé délicatement vers le Corps du Christ.Leprêtredécontenancé,pasdutoutcontentdecetimprévu,melance un : "Vous communiez?" très sec avec une pointe d’énervement. "Oui!!!", lui dis-jeavecfermeté.Aprèslacommunion,jereviensàmaplace,troublé.Jesens l’hostie,leCorpsduChrist,sedissoudreenmoi.Moncorpsvibre.C’étaitlapre- mière fois que je ressentais quelque chose quand je communiais! La célébra- tion continue puis vient la Coupe et le Sang du Christ. Ils communièrent en- semblesansmelaproposer.Àlafindecettecélébration,leprêtrevintmevoir, lesdeuxautresrestantenretrait.Ilmedévisagea,m’adressaquelquesmots,je répondis avec courtoisie. On se fixait intensément du regard. J’avais envie de luidire:"Vousnedevinerezjamaisquim’aenvoyéici"...Ilnem’auraitpascru. Je retournais alors chez moi à pied. Puis sur le chemin, je dis au Christ : "Tu sais,cen’estpasgraves’ilsnem’ontpasinvité,jeleurpardonne.Aprèstout,jene vais jamais à la messe, je ne suis pas catholique, alors pourquoi m’auraient-ils invité?".Silence... Cettenuitdu24au25décembre2012vers22h,j’étaisdansmonlitmaisnedor- mais pas. Soudain, je fus ravi en esprit. Je rentrais en vision. Je vis le corps du Christdevantmoidistinctement,surtoutletorse...nu.Puisunefentehorizon- tales’ouvritlentementauniveaudeSoncoeursurplusieurscentimètres,deSa droiteversSagauche.SonSangcoulait... Celaaduréunmoment,puissubitementjerevinsdanslavieréelle.Jesuisinca- pablededécrirecequejeressentais.J’aimisbeaucoupdetempsàcomprendre cequecelasignifiait.Ilm’avaitdonnéSonSang! Quelquesjourspassèrent.Durantmesprières,descroixdeLumièrefurentap- poséessurdifférentschakras,sûrementdesprotections. Puisunsoir,jefusdenouveauravienesprit.JevisleChristengloire,immense, vêtudeLumière.Ilyavaitbeaucoupdemonde(nousétionstrèspetitsparrap- portàLui).IlmarchaittriomphantsurunlongtapisparminousetnousLere- gardionsavecadmiration.Maisalorsquej’avaisleChristenfacedemoi,mon regard fut attiré sur Son chapeau! Je m’exclame : "Mais, Il a le même chapeau quelepape!!!".J’auraisdûdirequelepapeavaitlemêmechapeauqueLui!Une sortedegrandemitredeLumière.Subitementjerevinsàlaréalitédelaviesans France 7/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. comprendrelasignificationdecettevision. Quelquesjoursaprèsenmereposantsurmonlitverslemilieudel’après-midi, jefusdenouveauravienesprit.J’étaisfaceàfaceavecLui,yeuxdanslesyeux maisjenesusqu’aprèsquec’étaitLui.Quelquesdizainesdecentimètresnous séparaient.JeLuidisais:"Quies-Tu?".Silence... J’entendais dans le fond une voix qui blasphémait. Puis au bout d’un certain temps,surmagauche,unedeuxièmevision:Jedistinguaisunhommesurune croix qui se débattait, tournait sa tête de droite à gauche, de gauche à droite avecforce:IlreniaitleSatan.Monregardfixadeplusenpluscethomme,puis deplusenplus,puisdeplusenplusintensémentettoutàcoupcefutunerévé- lationbrutale:"Maisc’estmoi!Oui,c’estbienmoi!!!".Ledouten’étaitplusper- mis,j’étaisdésemparé,jemedisais:"Maisqu’estcequejefaissurunecroix?". Jevoyaiscethomme,jemevoyais,moi,medébattrecommejepouvais,cruci- fiésurunecroix2.Puiscettevisiondisparut.Levisagequiétaitenfacedemoi s’avança,plongeadanslemien,m’embrassa,seretirademoietmedit:"Merci". Sonvisagedisparut.Àcetinstant,enunefractiondeseconde,jeperçusdistinc- tementunserpentvertquitournaitautourdematête.Jesusalorsquiblasphé- maitpendantcettevision. Je ne sus que bien plus tard que c’était le Christ que j’avais eu en face de moi cejour-là.Jerestaisvivementimpressionné,leSeigneurquiestTOUT,m’avait remercié...moiquinesuisrien! J’avaisaussiuneréponseàlaquestionquej’avaislancéeauChristdanslacha- pelled’AnthonychezlesfrèresMarianiste:"MaisSeigneur,pourquoimoi?". J’aieud’autresvisionsparlasuite.Jefusnotammentemmenéparunelicorne blanche à la porte du Royaume dont nous parle le Christ. Tout était ténèbres en dehors de ce Royaume. Il y avait une immense croix de Lumière qui faisait officedefenêtreetguidaitlalicorneetmoi-mêmesurlechemin.Grâceàcette croix,onvoyaitdistinctementdesrempartsquisemblaientprèsàimploser,tel- lementcetteLumièrevenantdel’intérieurétaitdense. Tusais,ilyaunelicornesurlafaçadedumurdelacathédraleSaintJeanàLyon. Ilyavaitdesinitiésàcetteépoque... Lesmoispassèrent.Jememisàapprendrel’AveMariaetlePaterNostermaisje n’allais toujours pas à la messe malgré de nombreux essais. Je me mis surtout à faire le chapelet de la Très Sainte Vierge Marie quotidiennement. J’avais vu Myriam,j’avaisvuLeChrist.J’avaisvuaussileMaîtrequim’avaitsauvéd’une impasse. Enparallèledeschapelets,jerécitaislapetiteprièreducoeur,prièreorthodoxe, quej’avaisluedans:Récitd’unpèlerinrusse quemonamiSylvainm’avaitfait découvrir:"SeigneurJésus,FilsdeDieu,aiepitiédemoi,pécheur".Unjour,jeme misàlaréciterpendant2heuresetc’estlàquel’EspritSaintsouslaformed’une colombe,commeJean-Baptistel’adécrite,estapparuederrièremonfront... 2. Ajoutdu13/04/2020:enseptembre2017,leCielmeprécisaqu’onmelapidait,expliquant ainsil’agitationdematête(reflexesvainsd’unhommedevantlesjetsdepierres). France 8/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. Maisjen’avais toujourspasvuCellequej’embrassaissurunepetite statuede Lourdesquandj’avaisdetrèsbonnesnouvelles:laTrèsSainteViergeMarie.Et puisunjour,jefusexaucé.JeL’aivue,dedos.Ellepriaitdevantunécrannoir. L’écranétaitlàcarjen’étaispasautoriséàvoircequ’ilyavaitderrière.Unevoix meditqu’EllepriaitlaSainteTrinité.Jeremerciais. Parlasuite,j’eusd’autresvisionsd’Elle.Jen’aijamaisvuSonvisage,maisjeL’ai vueàcôtédemoi,parfoisdansunmanteaudeLumière.Unefois,j’entendisle timbre de Sa voix lorqu’Elle récita le chapelet avec moi. À cet instant, je com- prisqu’Elleétaitvraimentcombléedegrâce.Cettevoix,douce,estau-delàdes mots.C’estvraimentLaMamanquiétaitprésenteprèsd’undesesenfants.J’ai reçudetrèsnombreusesgrâcesdelaTrèsSainteViergeMarie. Enjuin2013,jem’étaisinscritàunpèlerinageàJérusalem.J’avaisreçuleSang duChrist,jemedevaisdefaireungesteremarquableàmonpetitniveau.Jedé- cidaisdoncdemarcherdansSespasenIsraëletd’allersurleSaintSépulcreLe remercier. Durant ce voyage, le Seigneur m’a tellement donné!!! J’ai eu la Grâce de res- sentircequ’Ilavaitvraimentressenticejour-lààGethsémaniavantsonarres- tation.Ilavraimentpleurécejour-là,SonÂmeétaitvraimentrempliedetris- tesse. Ilfautquetusachesquedanstoncoeursetrouveuntrésor.Ilyaunêtrequivit entoi,quetuportescommeunefemmeportesonenfant.Cetêtrec’estlevrai "Moi"quidoits’éveiller.Danstoncoeur,ilyaaussileChristquipeutyveniret teparler.Tuentendsalorsunevoixquijaillitducoeur.Là,Dieuteparle!C’est trèsimpressionnant. La première fois que cela m’est arrivé, c’était sur mon lieu de travail lors de l’examendu Bac. J’étais surveillantde couloir. Une élève estarrivée en retard, prisedepanique,ellefitunecrisedetétanie.Commej’étaisdanslecoinetque jefaisaisdelamédecinechinoise,jelaprisencharge.Elleavaitautourducou une médaille de la Très Sainte Vierge Marie, j’en fus ému. Je priais pour que le Ciel nous aide : "Seigneur, regarde la médaille! Aide-nous pour qu’elle aille mieux.SitelleestTavolonté". Après quelques minutes, elle était d’une étonnante tranquillité, on discutait, je lui disais d’aller reprendre l’examen : "Non, je suis bien ici avec vous", me confiait-elle. Ce n’est que quarante minutes après qu’elle reprit l’examen, dé- tendue. Je revins m’asseoir à ma table. Je priais afin qu’elle puisse composer dansdebonnesconditions.C’estàcemomentquecettevoixestsortiedemon coeurpourlapremièrefois,uneremarquepuisunsilence... J’ai bien tenté de regarder mon coeur, de lui parler mais aucun mot ne sortit. C’est Maître Philippe de Lyon qui m’enseigna beaucoup plus tard d’où venait cettevoix. Lesheurespassèrentpuislajeunefillesortitdel’examenunedemi-heureavant lafin,necomprenantpascequisepassait,card’aprèselle,elleavaittoujours dumalàfinir.Jefismined’êtreétonnéetgardaislesilence... À Gethsémani, c’est cet être dans mon coeur qui avait ressenti ce qui s’était passéilyaplusdedeuxmilleans. France 9/82 25décembre2014 www.jesus-christ-philippedelyon.fr L.P. J’aiessayébeaucoupdecheminsavantd’enarriverauChristianisme.Maisen parallèle de cette voie qui m’attirait, une autre m’intriguait : celle du Boud- dhisme. J’avais d’ailleurs expérimenté la technique Vipassana. J’avais même obtenu deux communications succinctes avec le Bouddha au travers une sta- tuedelui.Maisjenecomprenaispas. Cetêtrevoulaitluiaussi libérerl’humanité parsaphilosophieetsatechnique Vipassana mais cela semblait contraire à l’Évangile car il niait l’existence de l’âmeetle"Je"personnel. Un jour, je demandais au Ciel : "Qui est le Bouddha?". J’entendis une voix me répondre:"LeBouddhaestunarchangequis’estincarnépourguiderunepartie de l’humanité". "WAOUH, respect... ", me dis-je. "... Oui mais guider vers où?", dis-je.Silence... Jem’étaisintéresséaussiàl’ouverturedelaKundalini.Danslesmilieuxésoté- riques pas moyen de passer à travers. Les gens n’ont que ce mot à la bouche. Unesorted’énergieenrouléedanslarégionducoccyx,étaitcenséeaprèsbien destechniquesdepurificationseréveiller,prendrelaformed’unserpent,mon- ter le long de la colonne vertébrale, atteindre le coronal et c’était l’Éveil. Mais denouveau,jenecomprenaispas. Enparallèle,j’étaisvivementintriguéparlebaptêmedansl’EspritSaintetcette phrase de l’Évangile de Jean : "Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et de- meurer,c’estLuiquibaptisedansl’EspritSaint",avaitditDieuàJeanleBaptiste (Jean1-33).Maislàencore,jenecomprenaispas. Durant ce pèlerinage en Terre Sainte, j’avais tous les jours des Grâces au-delà desmots.ÀJérusalemondormaitchezlessoeurs.Lejeudi26décembre2013, leCielmelèvevers5h30.JerécitelechapeletdelaTrèsSainteViergeMarieet celuidelaMiséricordeDivine.LesoleilselèvesurJérusalem.Àlafindelaréci- tationunevoixmesuggèredem’allongeretmedit:"Demande". Spontanément,jedis:"Seigneur,baptise-moidansl’EspritSaint".Silence... Je commence à réciter, en continue et en moi, la petite prière du coeur : "Sei- gneurJésus-Christ,FilsdeDieu,aiepitiédemoi,pécheur". Celadurequelquetemps.Puismoncorpssemetàtrembler...Detrèsfortesse- cousses!Unange,commeunaigle,vintprendremonesprit.Jerécitetoujours laprière.Àpartirdecetinstant,jesuisconscientdemoncorpscommesij’étais dedans, alorsque jesuishorsdemoncorpstenu par cetange qui m’emmène dansdeslieuxinconnus.Ilyadebellesforêts,detrèsbeauxpaysages. Alors que je découvre ces contrées, mon corps vibre, tremble intensément, je suis tétanisé mais récite toujours la prière. Au bout d’un certain moment, je sens une colonne de feu puissamment monter de mon coccyx puis le long de ma colonne vertébrale. Je vois les deux lobes de mon cerveaux s’écarter sous lapression,lacolonnedefeujaillitparlemilieuducerveaucommeunvolcan qui entre en éruption. Mon corps vibre toujours très intensément... Je récite toujourslaprière.Jevoisunesortedelaveenfusionsortirentrelesdeuxlobes et des morceaux qui éclatent sous la pression, mais pas de douleur. Cela dure uncertaintemps.Puisl’EspritSaintjaillitsubitementcommeunecolombema- France 10/82 25décembre2014

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charité. En parallèle des cours de médecine chinoise à Lyon, je suivais également des . J'avais recommencé à lire les Évangiles et les apocryphes.
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