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Les décors antiques de l'ouest de la Gaule Lyonnaise PDF

554 Pages·2008·25.47 MB·French
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Les décors antiques de l'ouest de la Gaule Lyonnaise Synthèse sur l'architecture d’applique dans les territoires des Aulerques (Ier siècle - IIIe siècle après J.-C.) Volume 1.1 : Texte Thèse de doctorat présentée par Sébastien Cormier Université du Maine, Le Mans. U.F.R. d'Histoire Sous la direction de R. Compatangelo-Soussignan (Professeur à l'Université du Maine), et K. Gruel (Directrice de recherche, C.N.R.S.-E.N.S., Paris) Année universitaire 2007-2008 Les décors antiques de l'ouest de la Gaule Lyonnaise Synthèse sur l'architecture d’applique dans les territoires des Aulerques (Ier siècle - IIIe siècle après J.-C.) Volume 1 : Texte Thèse de doctorat présentée par Sébastien Cormier Université du Maine, Le Mans. U.F.R. d'Histoire Sous la direction de R. Compatangelo-Soussignan (Professeur à l'Université du Maine) et K. Gruel (Directrice de recherche, C.N.R.S.-E.N.S., Paris) Année universitaire 2007-2008 1 Les marbres sont pour l’architecture une des ressources les plus précieuses. Ils donnent la vie et l’éclat ; ils complètent la décoration et créent pour ainsi dire un nouveau monument [...] La pierre produit une impression plus grave, plus énergique ; c’est l’élément masculin de l’art ; le marbre donne une impression plus douce et plus gracieuse ; c’est l’élément féminin avec sa vivacité, sa coquetterie et sa parfaite élégance. Charles Garnier, Le nouvel opéra de Paris, vol. 1, Paris, éd. Ducher, 1878. Couverture : Evocation de la diffusion des schémas de décoration en pierre dans le nord-ouest de la Gaule Lyonnaise. Photo : Marmorarius travaillant à la réalisation d’une marqueterie en opus sectile (Musée des thermes de Dioclétien, Rome. Plaque gravée en marbre, seconde moitié du IVe siècle après J.-C.). 2 Remerciements Je voudrais d’abord exprimer ma reconnaissance à mon premier directeur de recherche, M. le professeur Jacques Biarne, de l’Université du Maine, qui, il y a plusieurs années, avait accepté d’assumer la direction de ce travail. Il a su élargir les limites de l’étude, sans imposer une vision trop éloignée de ce sujet d’archéologie. Mes remerciements s’adressent également à Mme le professeur Rita Compatangelo Soussignan, de l’Université du Maine, qui a assuré la continuité de cette direction, en apportant un regard nouveau sur le sujet, ne ménageant ni sont temps, ni ses conseils. Tous deux m’ont apporté, d’une manière différente, de précieux conseils et ont recadré ce sujet d’Histoire de l’art et d’archéologie dans une perspective historique plus large. J’exprime également mes remerciements à M. le professeur Manuel ROYO (Université de Tours) et M. Jacques Seigne (I.R.A.A.-C.N.R.S., Tours) pour leurs précieux conseils concernant les problématiques et l’articulation de cette étude sur l’architecture d’applique du nord-ouest de la Gaule Lyonnaise. L’aboutissement de ce travail n’aurait pas été possible sans le soutien et les conseils des archéologues et scientifiques qui m’ont accordé leur confiance, en me confiant la gestion et l’étude du mobilier. Mes remerciements s’adressent en particulier à Mme Katherine Gruel (Directrice de recherche, C.N.R.S.-E.N.S.) et Mme Véronique Brouquier-Reddé (Chargée de recherche, C.N.R.S.-E.N.S.) dont les conseils ont joué un rôle important dans l’articulation de l’étude et la formulation des hypothèses. Elles m’ont permis d’intégrer leur équipe de recherche, me faisant ainsi bénéficier de la connaissance de plusieurs chercheurs et me permettant d’exposer mes travaux lors de multiples rencontres scientifiques. Les précieux conseils et la connaissance de M. Jacques Naveau (chef du Patrimoine au Conseil Général de la Mayenne) et M. Laurent Guyard (Responsable de la Mission archéologique du Vieil- Evreux, Conseil Général de l’Eure) ont également contribué au bon déroulement de ce travail, en partageant avec moi les résultats de leurs recherches scientifiques. Qu’ils soient assurés que leur intérêt pour l’étude de l’architecture d’applique a été respecté et qu’il a motivé notre travail. Nous n’oublions pas les conseils de Mme Annie Blanc (Laboratoire de recherche des Monuments historiques) dont la connaissance dans le domaine de la géologie et de la construction romaine a été indispensable. Ce travail n’aurait pas été mené à son terme sans de nombreuses contributions. Les membres du C.E.S.A.M. (Centre d’étude des sociétés antiques et médiévales) de l’Université du Maine, les membres du C.A.P.R.A. (Centre Allonnais de Prospection et de Recherches Archéologiques), les conservateurs de musées, les responsables d’opérations archéologiques, et les artisans de la pierre ont joué un rôle très important dans mes activités de recherches. Ils ont su comprendre l’intérêt que je porte à ce sujet, et m’ont apporté leurs connaissances. Beaucoup ont accepté d’ouvrir leur réserve et de me laisser étudier le mobilier découvert, ou de me faire parvenir les données archéologiques nécessaires. D’autres ont pris le temps de discuter de mes hypothèses et m’ont soutenu durant toutes ces années. 3 Je n’oublie pas les nombreux camarades et amis qui m’ont prêté leur concours et apporté leur soutien. Nombreux sont ceux qui m’ont donné un peu de leur temps et ont contribué à la qualité des illustrations de cette étude (M. Alilou, C. Bailly, C. Lefevre de l’U.M.R. 8546 du C.N.R.S.-E.N.S., Paris ; P. Wech, Doctorant de l’Université Paris I). J’ai une reconnaissance toute particulière envers Arnaud Coutelas (C.N.R.S., U.M.R. 5596, Dijon), Christophe Loiseau (Doctorant de l’Université du Maine) et Graziella Tendron (Doctorante de l’Université de Poitiers), dont les travaux respectifs nourrissent l’intérêt d’une collaboration étroite pour l’étude de l’architecture romaine. Je n’oublie pas non plus ceux qui ont lu et relu ce mémoire et apporté un regard critique essentiel. Qu’ils en soient chaleureusement remerciés. Enfin, j’ai une pensée particulière pour ma famille qui m’a encouragé et a su faire preuve de patience, et ceux qui ont traversé une ou plusieurs étapes de ce travail, dont le déroulement n’était pas sans incidence sur leur quotidien. Plusieurs de ces pages garderont en mémoire le souvenir de leur rencontre. A tous, je leur redis ma reconnaissance et mon affection. 4 Avant-propos L’étude des éléments de l’architecture d’applique a été initiée avec la reprise des fouilles archéologiques sur le sanctuaire de Mars Mullo (Allonnes, Sarthe). Dès le début de ces nouvelles recherches menées par l’U.M.R. 126 du C.N.R.S.-E.N.S. (devenue ensuite U.M.R. 8546), les responsables scientifiques affichaient une réelle volonté d’engager des études sur l’ensemble du mobilier archéologique, en s’appuyant sur la documentation ancienne et nouvelle. Dans le cadre d’un mémoire de D.E.A., soutenu en 1997 à l’Université du Maine, nous avions mené un premier travail de classement méthodique des éléments d’architecture monumentale et des revêtements décoratifs. Depuis cette date, le corpus s’est enrichi de nombreux éléments et les vestiges ont révélé un vif intérêt pour la connaissance des programmes de construction et de décoration dans les provinces du nord-ouest de la Gaule Lyonnaise. Au terme d’une première approche sur le mobilier lapidaire du sanctuaire de Mars Mullo d’Allonnes, de nombreuses questions restaient ouvertes, notamment sur les gisements d’origine d’une partie des revêtements lisses, moulurés et figurés et sur les schémas de décoration adoptés par les commanditaires. Dans le territoire des Aulerques, et dans la plupart des cités de l’ouest de la Gaule, les supports de décoration n’avaient, jusqu’à présent, fait l’objet d’aucune étude d’ensemble. Le matériel était jugé trop fragmentaire et la plupart des archéologues reconnaissaient l’usage habituel de matériaux importés et des ressources locales, sans toutefois connaître les gisements de ces dernières. Aucune synthèse régionale récente ne permettait de faire un état de la question sur les approvisionnements, les usages architecturaux et les volontés des architectes dans les provinces éloignées de Rome. Notre volonté de poursuivre le travail s’est exprimée en faveur des éléments architecturaux de décoration. L’intégration dans l’équipe de recherche du C.N.R.S., dans le cadre d’un doctorat, et les contacts avec les nombreux chercheurs ont permis de mieux cerner les aspects de la question et de mettre en place une méthode d’analyse. Les vestiges et les données stratigraphiques du sanctuaire de Mars Mullo d’Allonnes ont contribué à une analyse méthodique de l’ensemble des éléments de décoration. Les responsables scientifiques du C.N.R.S. et mes directeurs de recherche de l’Université du Maine m’ont encouragé à développer et à approfondir l’étude de ces supports ornementaux dans le nord-ouest de la Gaule Lyonnaise. 5 Sommaire Remerciements, p. 3 Avant-propos, p. 5 Introduction, p. 16 Volume 1.1 : Texte Partie I. L'architecture d'applique : les techniques et les matériaux, p. 30 Chapitre I. Le marbre : de la Grèce classique à l'Empire romain, p. 32 1. Le marbre dans les constructions hellénistiques et impériales, p. 33 2. Le marbre à l’époque augustéenne, p. 37 2.1. Un nouvel art « impérial », p. 38 2.2. Le modèle de l’Ara Pacis Augustae, p. 40 2.3. La politique impériale de gestion des ressources, p. 42 2.4. L’emploi des crustae, p. 44 2.5. La technique de l’architecture de béton, p. 45 3. L’introduction de l’architecture d’applique dans les provinces, p. 49 4. L’adoption des modèles italiens de construction, p. 52 Chapitre II. Les revêtements en pierre, p. 57 1. Les éléments de l’architecture d’applique, p. 58 1.1. Les revêtements lisses des sols et des parois, p. 58 1.1.1. Les traces des outils de préparation, p. 59 1.1.2. Les éléments et les indices des plans de montage, p. 62 1.1.3. Terminologie des revêtements lisses, p. 64 1.1.4. Les déchets et rebuts de taille, p. 66 1.1.5. Les usages de protection et de décoration, p. 68 1.1.6. Le réemploi des éléments taillés, p. 70 1.2. Les revêtements à moulure simple, p. 73 1.2.1. Les dallages des bassins et des escaliers maçonnés, p. 73 1.2.2. Le revêtement des latrines, p. 75 1.2.3. Les tablettes d’appui et du couronnement des fenêtres, p. 76 1.2.4. L’astragale, p. 77 1.3. Les revêtements à moulures composées, p. 79 1.4. L’ornement des baies, p. 83 1.5. Les pilastres d’applique, p. 87 1.5.1. Les bases de pilastre d’applique, p. 87 1.5.2. Les fûts de pilastre d’applique, p. 88 1.5.3. Les chapiteaux de pilastre d’applique, p. 89 2. La mise en œuvre des placages, p. 92 2.1. Les mortiers de pose, p. 92 2.2. Les scellements métalliques, p. 93 2.3. L’ajustement des placages, p. 96 2.4. Les particularités techniques d’ajustement, p. 101 3. Les tracés et les glyptographes, p. 105 3.1. L’outillage, p. 106 6 3.2. Les supports en pierre des glyptographes, p. 108 3.3. Les exécutants, p. 109 3.3.1. Les responsables des carrières de pierre, p. 110 3.3.2. Les responsables du chantier de construction, p. 111 3.4. L’apport des techniques militaires, p. 111 3.5. Interprétation des croquis préparatoires et des glyptographes, p. 113 4. Synthèse sur l’outillage en fer pour la taille de la pierre dure, p. 118 Chapitre III. Les matières premières, p. 122 1. La maîtrise de l’exploitation du fer à l’époque romaine, p. 123 2. L’apport des ressources en pierre dans les cités du nord-ouest de la Gaule, p. 126 2.1. Les caractéristiques géophysiques de la Gaule du nord-ouest, p. 127 2.2. Les matériaux de décoration des édifices publics du territoire des Aulerques, p.130 3. Les centres de production, p. 134 3.1. Les roches décoratives du nord-ouest de la Gaule Lyonnaise, p. 134 3.2. Les roches décoratives d’origine gauloise, p. 136 3.3. Les roches décoratives d’origine lointaine, p. 139 3.4. Les matériaux importés du bassin méditerranéen, p. 142 4. Les semi-produits, p. 146 4.1. Analyse des modules pour les revêtements lisses, p. 147 4.2. L'usage d'un bloc modulaire de carrière, p. 155 4.3. Les semi-produits des moulures simples et composées, p. 158 Chapitre IV. Le commerce des matériaux de décoration et la circulation des artisans dans le nord-ouest de la Gaule, p. 164 1. Rome dans le monde méditerranéen et l’organisation des réseaux d’échanges, p. 164 2. Le rôle du réseau hydrographique pour le transport des matériaux pondéreux, p. 167 2.1. La Seine et la Loire : un lien entre l’est et l’ouest de la Gaule lyonnaise, p. 167 2.2. Les circuits d’échanges depuis le nord de la Gaule, p. 169 2.3. Les gisements locaux et l’utilisation d’un réseau de distribution secondaire, p. 170 3. La diffusion des supports de décoration, p. 173 3.1. L’organisation des axes de communication et la répartition des monuments publics, p. 175 3.1.1. La complémentarité du réseau fluvial et terrestre, p. 176 3.1.2. L’implantation des édifices : un indice de l’occupation humaine dans le territoire, p. 181 3.2. Les supports de décoration en pierre, p. 186 3.2.1. Les ateliers de préparation et de distribution des produits, p. 189 3.2.2. Les avantages offerts par le commerce des semi-produits de carrière, p.193 3.2.3. Un regard nouveau sur les itinéraires commerciaux de la pierre, p. 195 3.3. Les indices de répartition de la mosaïque, p. 198 3.3.1. L’usage de la mosaïque et la notion de décoration, p. 198 3.3.2. Un axe de diffusion sud-nord, p. 200 3.4. Les indices de répartition de la peinture murale, p. 203 3.4.1. Les modèles de peintures murales, p. 203 3.4.2. Une diffusion le long des vallées de la Seine et de la Loire, p. 207 Conclusion de la première partie, p. 209 7 Partie II. La décoration des monuments publics du territoire des Aulerques, p. 212 Chapitre I. Le sanctuaire de Mars Mullo dans le territoire des Cénomans, p. 214 1. Présentation du sanctuaire de Mars Mullo d’Allonnes, p. 217 1.1. Les sources épigraphiques, p. 219 1.2. Le programme de construction du sanctuaire à quadriportique, p. 220 1.3. Les vestiges du temple à podium, p. 222 1.4. Le plan du quadriportique et les entrées monumentales, p. 223 1.5. Les installations cultuelles, p. 225 1.6. L'ordre monumental du temple et des portiques, p. 227 2. Le déroulement des travaux du second œuvre, p. 229 2.1. Un atelier de travail des métaux et de préparation des décors en pierre, p. 229 2.2. Le chantier de construction à l’est du temple, p. 233 2.3. L’organisation des travaux de finition dans les structures temporaires, p. 234 3. Le programme décoratif d'après les indices du chantier de construction, p. 237 3.1. Le décor interne de la cella du temple à podium, p. 237 3.2. L’ornementation des portiques et des exèdres, p. 240 3.2.1. L’entrée monumentale nord, p. 240 3.2.2. Le portique sud et le rôle de l’exèdre centrale, p. 242 3.2.3. La spécificité de l’exèdre centrale, p. 244 3.2.4. Le portique ouest, p. 248 3.3. Les aménagements dans le sanctuaire, p. 250 4. La décoration du sanctuaire de Mars Mullo d'après les indices de destruction, p. 252 4.1. Le temple à podium, p. 253 4.1.1. Les placages de la salle cultuelle, p. 253 4.1.2. L’environnement du temple, p. 257 4.2. Les portiques et les exèdres, p. 259 4.2.1. L’entrée principale orientale, p. 259 4.2.2. L’entrée monumentale nord et l’exèdre centrale du portique sud, p. 261 4.2.3. Les figurations peintes de l’angle sud-ouest de la galerie, p. 264 4.2.4. Le portique ouest, p. 266 4.2.5. Le traitement décoratif des exèdres, p. 267 4.3. Les aménagements cultuels, p. 269 4.3.1. Les bases d’autels et de statues, p. 269 4.3.2. La fontaine monumentale, p. 270 5. La place de l’architecture d’applique dans le sanctuaire de Mars Mullo, p. 275 5.1. Les registres décoratifs des murs, p. 276 5.2. Les décors de rappel de l’architecture, p. 278 5.3. L’emplacement des dallages, p. 282 5.4. L’architecture luxueuse des aménagements, p. 283 5.5. Les espaces architecturaux de l’ornement plaqué, p. 285 8 Chapitre II. Le sanctuaire de Jublains (Noviodunum) dans le territoire des Diablintes, p.287 1. La cité et le sanctuaire de Jublains, p. 287 1.1. Les sources épigraphiques, p. 289 1.2. Les vestiges du temple, p. 291 1.3. Les portiques et l’aménagement de la cour, p. 292 1.4. Le portique de façade oriental et les entrées monumentales, p. 294 1.5. Les structures annexes et hydrauliques, p. 295 1.6. L'ordre monumental du sanctuaire de Jublains, p. 297 2. L’ornementation du temple, p. 298 2.1. La variété des coloris dans le décor de la cella, p. 299 2.2. Les placages de la plinthe et de l’ordre d’applique de l’entrée du temple, p. 302 2.3. Les éléments du décor dans l’environnement du temple, p. 307 2.3.1. Les marbres blancs, p. 308 2.3.2. Les matériaux pyrénéens, p. 309 2.3.3. Les matériaux recensés à l'ouest du temple, p. 312 2.3.4. Les placages au sud et à l’ouest du temple, p. 314 3. Les aménagements dans la cour du sanctuaire, p. 316 3.1. L’espace de la cour sud, p. 317 3.2. L’emplacement de l’autel, p. 318 3.3. Les monuments des eaux liés au rituel, p. 320 4. L’organisation des décors dans les galeries du quadriportique, p. 322 4.1. La galerie sud, p. 322 4.2. L’angle sud-ouest du portique, p. 325 4.3. Le décor peint du portique extérieur oriental et de l’entrée monumentale, p. 327 4.4. Les fenêtres de la galerie orientale, p. 331 4.5. Les décors peints et plaqués de la galerie ouest, p. 332 5. L’apport des revêtements épars, p. 334 Chapitre III. Le complexe thermal du vicus-sanctuaire des Eburovices, p. 338 1. Présentation du complexe thermal, p. 340 1.1. Les phases d’occupation, p. 340 1.2. Le programme architectural initial des thermes, p. 342 1.3. Les transformations aux IIe et IIIe siècles après J.-C., p. 344 1.4. L'architecture monumentale du complexe thermal, p. 347 2. L’apport des données historiques dans l’analyse du décor, p. 348 2.1. Les ressources locales et régionales, p. 348 2.2. Les sources historiques et la restitution des décors en pierre, p. 349 2.3. Les indices chronologiques de la récupération des matériaux, p. 354 3. Les vestiges de l’ornement des différents programmes architecturaux, p. 356 3.1. La gestion des déchets de la pierre durant l’Antiquité, p. 356 3.2. Le décor initial du balnéaire et le projet de transformation des thermes, p. 360 3.3. L’ornement des entrées monumentales, p. 363 3.4. Le décor peint des latrines, p. 365 3.5. Le traitement décoratif des portiques de la palestre, p. 366 3.6. Un programme inachevé d’agrandissement des thermes, p. 368 4. Le décor d'après les indices des phases de destruction, p. 371 4.1. Le traitement décoratif du balnéaire, p. 372 4.1.1. La salle froide, p. 372 4.1.2. La salle tiède occidentale, p. 374 9

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