Description:Belem, 1836. A ce foyer désert, sans flamme et sans vigueur, Parfois je viens m’asseoir lorsque le jour s’achève. Et je dis : c’est bien là l’image de mon cœur Qui se glace et s’éteint loin du bord que je rêve. Qu’importe que toujours le ciel brille en ces lieux ! Qu’au feu d’un soleil pur chaque saison s’allume ! Pour l’âme qu’à toute heure un long chagrin consume Tout est froid, tout est mort, tout est silencieux.