Description:DEUX LETTRES. Chacun répète que le poëte national n’a voulu être ni chevalier, car dix fois M. Thiers a insisté pour le décorer ; — ni académicien, car, notamment en 1850, alors que mourait M. Droz, on lui offrit une dispense de visites pour le fauteuil que, sur son refus, les intrigues politiques firent échoir à M. de Montalembert ; — ni législateur..., car il déclina, par une double démission, le vote de cent mille électeurs qui l’envoyaient à la Constituante ; — ni riche enfin, car M.