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Le Livre des Secrets Trahis – Robert Charroux PDF

224 Pages·2010·2.16 MB·French
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J’AI L’aventure mystérieuse LU Le Livre des Secrets Trahis D’après des documents antérieurs à la Bible ROBERT CHARROUX Le jaguar anthropomorphe, terrible divinité de Chavin, au Pérou 2000 ans avant les Incas. 1 L’aventure mystérieuse ROBERT CHARROUX Le Livre des Secrets Trahis Éditions J'ai Lu A 378 **** 2 ROBERT CHARROUX Le livre des Secrets Trahis D’après les documents antérieurs à la Bible. Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, le précédent livre de Robert Charroux constituait un recensement de l’insolite planétaire et concluait que les ancêtres de l’homme ne sont pas d’origine terrestre. Ici, Robert Charroux va plus loin ; il découvre les ‘clefs d’or’, de notre histoire secrète dans le plus ancien texte du monde : Le Livre D’Enoch. Enoch, patriarche biblique, qui parle d’être venu d’ailleurs, d’anges géants s’unissant aux terriennes. Enoch, lui-même enlevé vivant dans le ciel… Explorant ainsi les mythologies de la ‘primhistoire’, -géographiquement très éloignées- l’auteur relève de troublantes concordances ; ainsi s’éclaire l’énigme du désert de Gobi, ainsi se dévoilent le lieu exact du jardin des Hespérides, d’autres mystères encore. Révélations initiatiques, jugées dangereuses tant par la science officielle que par les religions établies… mais qu’il était temps de faire. 3 ROBERT CHARROUX ŒUVRES TRÉSORS DU MONDE J'ai Lu A 190** HISTOIRE INCONNUE DES HOMMES DEPUIS CENT MILLE ANS J'ai Lu A 372**** LE LIVRE DES SECRETS TRAHIS J'ai Lu A 378**** LE LIVRE DES MAÎTRES DU MONDE J'ai Lu A 382**** LE LIVRE DU MYSTÉRIEUX INCONNU J'ai Lu A 386**** LE LIVRE DES MONDES OUBLIÉS J'ai Lu A 393**** LE LIVRE DU PASSÉ MYSTÉRIEUX J'ai Lu A 398**** L'ÉNIGME DES ANDES J'ai Lu A 399**** ARCHIVES DES AUTRES MONDES 4 Ce livre est dédié à Jean Cocteau IN MEMORIAM Je remercie Yvette CHARROUX pour sa collaboration attentive de chaque jour, Catherine KRIKORIAN qui me révéla le secret de la primhistoire de l'Arménie, et mes compagnons de la Table ronde qui ont apporté le soutien de leur pensée et de leurs connaissances à élaboration du LIVRE DES SECRETS TRAHIS. Je dois aussi toute ma gratitude à Michel SIMKINE, maître en dialectique, aux savants professeurs Eugène FALINSKI, Louis JACOT, au biologiste Beltran GARCIA, à mes confrères et amis Philippe BERNERT, François COUTEN. S. de DAVRICHEWY, Roger DELORME, Jean-Albert FOEX, Jacotte de GRAZIA, Chris-liane LE COSSEC, Jean ROY, Lola ROFOCALE et Hélène VET-TER, pour la documentation qu'ils m'ont donnée. Et aussi à l'énigmatique M. N. Y., délégué occidental de la Centrale jaune du Secret. 5 TABLE DES MATIÈRES Préface 7 PRIMHISTOIRE 1. Les cités englouties. La terre détruite 9 2. Le monde est né aux U. S. A 22 3. L'énigme du désert de Gobi 35 4. L'âge de la Pierre. Invention des préhistoriens 41 5. L'univers et l'arche-fusée 53 PROTOHISTOIRE 6. Les anges et le Livre d'Enoch 65 7. Le secret n° 1 du monde et le mot dangereux à prononcer 75 8. Vénus, planète de nos ancêtres 82 9. Les cosmonautes d'Hyperborée 91 10. Le dieu jaloux du Peuple élu 99 11. Apocryphes et histoires fantastiques 113 12. L'autre monde du Graal 119 13. Le château du Maître du Monde 129 14. Le Groupe Thulé 136 15. La vision d'Ezéchiel 152 16. La Kabbale 159 MYSTÉRIEUX INCONNU 17. Le Grimoire du mage Scot 168 18. Sorciers et mathématiciens 175 19. Le septième sceau de l'Apocalypse 187 20. Le Mystérieux Inconnu 195 21. La Centrale de secret jaune 209 Biographie de Robert Charroux 229 6 PREFACE L'humanité risque de disparaître sans savoir d'où elle vient, si son destin fut dirigé par des maîtres inconnus et faussé dans son cours naturel. Elle ignore si des ancêtres supérieurs, dans des temps très anciens, ont édifié dé grandes civilisations inconnues de nos jours, et tenté comme nous la conquête du cosmos. Des mystères qui nous fascinent et nous irritent par leur impénétrabilité sollicitent toujours notre curiosité : l'éclosion magique de l'architecture égyptienne, les énigmes de la mythologie grecque, d'Hyperborée, de l'Atlantide, de la construction des pyramides, des « tours d'hommes volants » de Zimbabwe et du Pérou, de la lévitation, de la Kabbale, du Graal et des antiques sociétés secrètes. Ayant peut-être le pressentiment de vivre la fin d'une ère, des hommes indociles veulent arracher leurs œillères et remettre en cause tout ce qui leur a été imposé. En ce souci, et en marge de l'histoire officielle, nous allons, sous forme d'hypothèse, proposer de nouvelles explications de l'histoire visible et invisible, en les prolongeant par des introspections dans ce qu'il est convenu d'appeler les « Univers parallèles » : autre monde, antitemps, anti-univers, non pas avec le verbe insolent du tribun sûr de son fait, mais avec l'humilité du chercheur obstiné et pourtant conscient d'avancer de quelques pas. Une immense erreur a faussé la compréhension de notre genèse, et l'Histoire, la préhistoire furent ce que l'on a voulu qu'elles fussent. Imaginez, soit un mince trait de plume sur une ligne longue de 500 millions de kilomètres, soit un grain de poussière dans le Sahara; c'est à peu près, en valeur concrète, ce que représentent nos ères historiques et préhistoriques dans le concept espace-temps. Est-il raisonnable de croire que notre civilisation ait été limitée à ce trait minuscule, qu'elle ait été seulement cet infime grain de sable? Nos traditions ancestrales, d'obscures et tenaces intuitions nous suggèrent l'hypothèse d'un destin grandiose que l'homme aurait vécu dans des cycles de civilisations disparues, mais la science officielle dit NON à ce qui veut resurgir des profonds abysses du passé. Une seule vérité semble donc subsister : celle du Mystère, à laquelle il faut croire comme à l'unique réalité valable et indestructible. Un des plus grands génies de tous les siècles, le physicien Albert Einstein, l'homme qui était peut-être le plus apte à comprendre toute chose, nous a donné la clé d'or de la connaissance et du merveilleux humain : 7 Le plus beau sentiment que l'on puisse éprouver, écrit-il, c'est le sens du mystère. C'est la source de tout art véritable, de toute vraie science. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, qui ne possède pas le don d'émerveillement et de ravissement, autant vaudrait qu'il fût mort : ses yeux sont fermés. Dans cet état d'esprit, Jean Cocteau avait eu l'audace d'encourager notre dernier livre Histoire inconnue des Hommes depuis 100 000 ans (1), où pourtant nous avancions des hypothèses fortement aventureuses. (1) Éd. J'ai Lu, n° A 372****. Le grand poète, croyant de foi comme Einstein, nous avait honorés d'une longue lettre qui se terminait par ces lignes : Votre livre qui porte du reste la croix de sa signature, on devrait le conserver, le consulter... (et méditer) l'humilité d'un cortège de preuves qui encadrent la terrible et longue sottise des humains et des découvertes qui se poursuivent sur de pauvres routes. Vous m'avez expliqué nombre de strophes du Requiem que j'interprétais mal, car vos textes dépassent l'exégèse et remettent droit tout ce qui se montre à nous de travers. Votre Jean Cocteau. Nous en demandons pardon à Jean Cocteau, notre livre ne représentait qu'un balbutiement maladroit, indigne de sa merveilleuse sollicitude, puisqu'une vérité meilleure nous est apparue après étude des apocryphes et des textes anciens des grandes civilisations disparues : LA VÉRITÉ DE L'OCCIDENT. Le monde est né en Occident, la lumière vient de l'ouest, telle est la clé magique qui, véritablement, pensons-nous, va entrouvrir la porte du Mystérieux Inconnu. 8 PRIMHISTOIRE (1) 1. LES CITÉS ENGLOUTIES LA TERRE DÉTRUITE La Bible parle du déluge, les tablettes d'argile de Babylone en donnent une version identique et plus ancienne : voilà, au sens littéral du mot, l'histoire écrite que l'on considère en général comme le premier témoignage de notre civilisation. Ce postulât procède, selon nous, d'une erreur millénaire des Hébreux et des chrétiens pour qui la Thora et la Bible doivent demeurer les canons de la Vérité. « Ne pas changer une ligne... un mot... un iod... » Précisent les textes hébraïques ! Certes, le monde doit beaucoup aux Hébreux de même qu'aux Hindous, aux Égyptiens, aux Grecs; certes, la Bible est un document précieux, mais Adam et Eve n'étaient ni Sémites, ni Hindous, ni Egyptiens, ni Grecs. Un tel concept fait vraiment trop bon marché des découvertes effectuées depuis un siècle de sociétés préhistoriques très évoluées, lesquelles — c'est très fâcheux - furent ignorées des scribes de la Genèse. Après élimination des pseudo-hominiens — australopithèque, sinanthrope, pithécanthrope, homme de Fontéchevade, homme de Piltdow - qui représentent soit des faux notoires, soit des extravagances, il semble que le premier homme connu soit celui de Cro- Magnon, un pur Périgourdin vieux de quelque 40 000 ans ! Toujours en demeurant dans la ligne de la préhistoire, la civilisation est picto- périgourdine, car on ne peut dénier la qualité de civilisés aux dessinateurs poitevins qui gravèrent les livres de pierre de la bibliothèque préhistorique de Lussac-les-Châteaux (Vienne), et aux peintres périgourdins des Grottes de Montignac-Lascaux (Dordogne). Pourtant, les archéologues, soit par sectarisme religieux, soit par manque de conviction et de combativité, refusent d'imaginer une véritable civilisation du Cro-Magnon ou du Neandertal, avec cités construites, commerce, industries, arts, etc. Certes, si par civilisation on entend l'expression d'une société analogue à la nôtre, alors sans doute devons-nous replonger le Cro-Magnon dans les limbes originels. Mais n'est-il pas abusif de croire que la première civilisation humaine fut méditerranéenne ou orientale, voire même terrestre? Notre histoire remonte bien avant les tablettes d'argile des Sumériens, puisque les traditions orales et la géologie nous apportent l'écho lointain d'événements extérieurs au monde des Anciens, et difficiles à dater, mais dont l'authenticité est certaine. (1) Nous entendons par « primhistoire », la période de la vie de l'humanité, antérieure à la protohistoire, parallèle à la préhistoire, mais différente, dans le sens qu'elle suppose l'existence de civilisations avancées. 9 Le monde d'au delà des mers Les traditions celtiques font état d'un autre monde situé « par-delà les mers » en direction du ponant, alors que la Bible, claustrée dans un système égocentrique devenu périmé, fixe le berceau de l'humanité dans le Proche-Orient de l'Euphrate et du Tigre, avec pourtant une possibilité d'expansion vers le ciel de Dieu, lequel signifie peut-être les astres. Les théologiens, les historiens, acceptant avec complaisance le postulat biblique, lui ont délivré des lettres de créance. Mais alors, quel cas devons-nous faire des traditions d'Irlande, de Galles, de France, d'Espagne, du Mexique et des mythologies éparses dans le monde, qui toutes, bien entendu, ont leur propre cosmogenèse? Honnêtement, notre étude des civilisations probables doit s'inspirer de l'ensemble des traditions et faire converger les chemins vers le monde logique où nous mène la connaissance. En ce sens, le centre géométrique de l'humanité n'est pas en Orient, et l'Histoire connue, entendue, vécue, ne commence ni avec Sumer ni avec le déluge, qui sont pour les archéologues classiques le point de contact idéal de la certitude scientifique et de la conjecture traditionnelle. Indéniablement, le déluge universel cité par la Genèse implique des effets beaucoup plus redoutables que ceux relevés dans les contrées de l'Euphrate et du Tigre. La Terre fut submergée à Ys, de même qu'entre la France et l'Angleterre : voilà une certitude historique antérieure à Sumer. Toujours dans l'ordre chronologique, les écritures préhistoriques et alphabétiformes de Glozel (Allier), Newton (Ecosse), Alvao (Portugal), Bautzen (Saxe), Costi (Roumanie), précèdent les tablettes de Babylone de plusieurs millénaires et suggèrent l'existence de peuples cultivés, héritiers de très anciennes civilisations disparues. Avec entêtement, les archéologues se cantonnent dans un rationalisme étriqué : pas de fer au delà de 3 500 ans dans le passé... donc, le bronze a précédé le fer (ce qui est hautement insensé, car ne tenant compte que des limites de conservation de la matière), pas de ruines plus anciennes que les ziqqurats (tours à étages) de Babylone, donc le monde civilisé est né à Sumer ! Eh bien, non ! Buffon, Laplace, Arago, Humboldt disent : Oui, pourquoi pas vous? Les traditions chinoises assurent que la civilisation terrestre est antérieure de plusieurs centaines de milliers d'années à l'époque actuelle. Le naturaliste Buffon pense qu'en certaines régions du globe, des granits, des porphyres, des jaspes, des quartz sont jetés par blocs sur une ligne de chute avec d'autres corps fossiles, les plus étrangers à la terre. Le célèbre mathématicien Laplace (1) a écrit : De grands peuples dont les noms sont à peine connus dans l'histoire ont disparu du sol qu'ils ont habité; leur langue, leurs cités même, tout a été anéanti; il n'est resté des monuments de leur science et de leur industrie qu'une tradition confuse et quelques débris dont l'origine est incertaine. (1) Exposition du Système du Monde, Laplace, 1ere édition. 10

Description:
Le Grimoire du mage Scot. 168. 18. Sorciers et mathématiciens Ou Satan, si l'on songe aux affres de la civilisation tout dépend du sens que l'on donne à l'évolution. Ainsi enseignée par Raziel, l'ange du mystère, à Adam, quand il fut chassé du paradis terrestre. Les rationalistes, bien en
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