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La phénoménologie en tant que philosophie-en-travail PDF

285 Pages·2017·2.43 MB·French
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THÈSE En vue de l’obtention du DOCTORAT DE L’UNIVERSITÉ DE TOULOUSE ET DE L’UNIVERSITÉ DE WUPPERTAL Délivré par : Université Toulouse 2 Le Mirail (UT2 Le Mirail) Cotutelle internationale avec : Bergische Universität Wupperal Présentée et soutenue par: Georgy CHERNAVIN Le samedi 14 septembre 2013 Titre: LA PHÉNOMÉNOLOGIE EN TANT QUE PHILOSOPHIE-EN-TRAVAIL : la dé-limitation, l’enrichissement de sens,l’institution du nouveau École doctorale et discipline ou spécialité : ED ALLPH@: Philosophie ; Fachbereich A. Geistes- und Kulturwissenschaften Unités de recherche: ERRAPHIS; Philosophisches Seminar Directeurs de thèse: Jean-Christophe GODDARD, Professeur à l’Université Toulouse Le Mirail László TENGELYI, Professeur à la Bergische Universität Wuppertal Rapporteurs: Alexander SCHNELL, Maître de Conférences (HDR) à l'Université Paris-Sorbonne Hans Reiner SEPP,Professeurà l’Université Charles de Prague Autres membres du jury: Markus GABRIEL, Professeur à la Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität Bonn Cette thèse examine la phénoménologie en tant que philosophie-en-travail, en tant que projet ou- vert de recherche. Sa tâche principale consiste à déterminer la façon d’accomplir le travail phé- noménologique. Pour atteindre cet objectif, nous examinons les analyses de la doctrine phéno- ménologique de l’attitude (Partie I.), de la doctrine de la méthode (Partie II.) et de l’architectonique «flexible » (Partie III.) de la phénoménologie. Ces élaborations nous permet- tent de thématiser la dé-limitation de la conscience, l’enrichissement de sens et l’institution du nouveau en tant que traits caractéristiques de la manière phénoménologique d’opérer. Cette re- cherche exige une oscillation constante entre une systématique ouverte de la philosophie d’Edmund Husserl et des analyses phénoménologues particulières. Phenomenology as Working Philosophy: De-limitation, Enrichment of Sense, Institution of the New This dissertation examines phenomenology as working philosophy (Arbeitsphilosophie), that is, as an open research project. The main aim of the study consists in determining the mode of per- formance (Vollzugsweise) of the phenomenological work in progress. To achieve this goal we provide an analysis of the doctrine of attitude (Part I.), the doctrine of method (Part II.), and then the “flexible” architectonics (Part III.) of phenomenology. These elaborations enable us to the- matize the de-limitation of consciousness (Entschränkung), the enrichment of sense (Sinnberei- cherung) and the institution of the new as the characteristic features of the phenomenological method of operating. This research project requires a constant oscillation between an open sys- tematization of Edmund Husserl’s philosophy and particular phenomenological analyses. Key words: phenomenology, working philosophy, Edmund Husserl, attitude, method, architec- tonics. Mots clés : phénoménologie, philosophie-en-travail, EdmundHusserl, attitude, méthode, archi- tectonique. 2 Remerciements Cette thèse a était rédigée entre 2010 et 2013 à Toulouse et à Wuppertal. Je remercie le Prof. Dr. Jean Christophe Goddard et le Prof. Dr. László Tengelyi pour avoir dirigé ce travail. Ma reconnaissance va au Dr. Alexander Schnell et au Dr. Natalia Artemenko pour les occasions de discuter les stades intermédiaires de ce texte qu’ils m’ont fournies. Je suis reconnaissant au Prof. Dr. Dieter Lohmar pour le séjour de recherche que j’ai pu ef- fectuer aux Archives Husserl de Cologne, aussi qu’au Prof. Dr. Ulrich Melle pour la permission accordée par les Archives Husserl de Leuven de citer les inédits husserliens. Je voudrais adresser un remerciement particulier au Prof. Dr. Marc Richir, pour m’avoir permis d’assister à ses sémi- naires. Ma reconnaissance va au laboratoire ERRaPhis (Toulouse), à l’Institut für Phänomenologis- che Forschung (Wuppertal), à l’Association pour la promotion de la phénoménologie (Bedoin) et au Centre de phénoménologie et herméneutique (Saint-Pétersbourg) qui ont constitué le cadre indispensable pour l’avancée de mes recherches. Je voudrais aussi remercier l’Université de Toulouse pour les excellentes conditions de re- cherche que j’ai eues en qualité de Doctorant Contractuel Chargé d’Enseignement. Le soutien financier de l’université m’a permis d’effectuer le séjour de recherche de trois ans, dans le cadre de la Cotutelle établit entre l’Université Toulouse Le Mirail et la Bergische Universität Wupper- tal, qui a été véritablement indispensable pour cette thèse. Ce travail doit beaucoup aux amis qui m’ont inspiré ou encouragé dans son élaboration et en particulier à Yusuke Ikeda, Mikhail Tschesalyn, Alexej Kuznetsov, Masumi Nagasaka, Fariba Khalilizand et Anne Coignard. Je remercie vivement Anne Coignard, Flora Bastiani, Florian Forestier et Svetlana Sholok- hova pour la correction linguistique de la thèse. Je souhaite dédier ce travail à la mémoire du Dr. Julia Orlova (1970-2011). 3 Table des matières : Table analytique des matières..............................................................................6 Introduction : la propédeutique etla systématique ouverte....................................................................11 Chapitre A. Introduction propédeutique ...........................................................12 §1. L’approche du problème................................................................................................................12 §2. Les intuitions philosophiques fondamentales.............................................................................15 α. L’étonnement .......................................................................................................................17 β. La déception (perceptive)...................................................................................................24 §3. Le projet phénoménologique : la tension entre l’abstraction et la concrétude......................29 Chapitre B. L’introduction systématique ...........................................................32 §4. L’architectonique flexible de la phénoménologie.......................................................................33 §5. L’attitude, la méthodeetl’architectonique du travail phénoménologique..............................35 §6. L’instabilité, la discordance et le blocage de la philosophie-en-travail....................................38 Partie I. La dé-limitation : la doctrine phénoménologique de l’attitude.............................................43 Chapitre C. La structure de l’attitude................................................................45 §7. La formalisation de la théorie de l’attitude..................................................................................45 §8. Le caractère d’accomplissement d’une attitude..........................................................................48 §9. La vie transcendantale ou l’être transcendantal..........................................................................50 Chapitre D. Le dévoilement des modes de la vie transcendantale......................55 §10. La généalogie de l’attitude naturelle...........................................................................................55 a). La fixation de la réalité effective..............................................................................................55 b). La solidification de laprédonation mondaine.......................................................................68 §11. La projection de l’attitude phénoménologique.........................................................................80 §12. L’unité d’oscillation entre les deux attitudes.............................................................................86 γ. L’infinité (les adombrations et l’Umstellung)......................................................................91 δ. L'éveil réflexif (l’auto-décèlement)....................................................................................94 4 Partie II. L’enrichissement de sens : la doctrine phénoménologique de la méthode...................100 Chapitre E. La structure de la méthode ...........................................................101 §13. La méthode phénoménologique del’enrichissement mobile de sens.................................102 a). L’enrichissement par la concrétion........................................................................................103 b). La concrétion en tant qu’un horizon et son dévoilement « productif »..........................105 c). La concrétion phénoménologique en tant que le sens qui s’accroît.................................109 d). L’enrichissement par l’ouverture. La formation ouverte de sens.....................................112 §14. La mise-en-flottement. La formalisation etla définition positive de l’épochè......................116 ε. L’indéterminité. L’ouverture............................................................................................131 §15. La reconduction à l’origine. La formalisation etla définition positive de laréduction....134 ζ. L’inchoativité. L’étant in statu nascendi.............................................................................140 Chapitre F. Les radicalisations de la méthode : les registres de l’ouverture.....143 §16. Le non-thétique chez Husserl. L’ouverture à l’inachèvement de l’étant.............................144 η. L’inachèvement. L’incomplétude....................................................................................148 §17. Le méontique chez Fink. L’ouverture à l’impartialité du pré-étant.....................................151 θ. Le pré-étant. L’impartialité...............................................................................................156 §18. L’hyperbolique chez Richir. L’ouverture à l’instabilité..........................................................163 ι. Le mode d’instabilité du monde.......................................................................................169 Partie III. L’institution dunouveau : la philosophie-en-travail........................................................173 Chapitre G. L’architectonique mobile de la philosophie-en-travail..................174 §19. La philosophie-en-travail : l’institution du nouveau etlaconstitution en progrès............175 §20. La radicalisation de la méthode et la réorganisation de l’architectonique...........................186 §21. La phénoménologie en tant que travail de transformation du sujet....................................192 Chapitre H. Trois aspects de la philosophie-en-travail phénoménologique .....196 §22. Les tâches infinies.......................................................................................................................197 §23. L’habitus du travail philosophique...........................................................................................199 §24. La collaboration des chercheurs. Le co-philosopher.............................................................207 Les lignes de tension du travail phénoménologique.................................211 κ. Les tâches infinies – le temps de vie (l’avancement et les ruptures)...........................212 λ. L’habitus – le blocage (la fièvre de travail et l’inertie)...................................................216 μ. La concordance – le conflit (le co-philosopher et ses entraves).................................220 Conclusion : la dé-limitation, l’enrichissement de sens, l’institution du nouveau..............................226 Bibliographie ...................................................................................................235 Inhaltliche Zusammenfassung..........................................................................247 5 Table analytique des matières La phénoménologique en tant que philosophie-en-travail : la dé-limitation, l’enrichissement de sens, l’institution du nouveau Introductions : la propédeutique et la systématique ouverte A. Introduction propédeutique §1. L’approche du problème. • La tâche double ; • Qu’est-ce que la phénoménologie ? •La philosophie-en-travail et ses lignes de tension ; • La méthodologie et l’analyse particu- lière ; •La ligne Husserl – Fink – Richir. §2. Lesintuitions philosophiques fondamentales α. L’étonnement. • Rien ne va de soi ; • Le θαυμάζειν, l’estrangement (Er-staunen) et l’ἔκπληξις ; • La dissolution de ce qui va de soi dans son caractère problématique transcendantal ; •La tension entre le sens commun et l’incompréhensibilité foncière. β. La déception (perceptive). • L’aperception en tension : la femme ou/et la poupée ; •La rupture de la concordance : les phénomènes du conflit et de la discordance ; •Le destin de la modalisation et sa signification pour la phénoménologie. §3. Le projet phénoménologique : la tension entre l’abstraction et la concrétude. • Le côté abs- trait : le mythe « ontogonique » et la déception des lecteurs de Husserl ; • Le côté concret : l’accomplissement vivant et l’histoire constitutive. B. Introduction systématique §4. L’architectonique flexible de la phénoménologie.•Genesis, eidos, factum ettelos. §5. L’attitude, la méthode et l’architectonique du travail phénoménologique. • L’idée de la phi- losophie-en-travail ; • La doctrine phénoménologique de l’attitude ; • La doctrine phéno- ménologique de la méthode ; • L’institution du nouveau et la transformation du sujet. §6. L’instabilité, la discordance et le blocage de la philosophie-en-travail. • La réorganisation de l’architectonique face aux trois aspects de l’Arbeitsphilosophie ; • La radicalisation de la mé- thode face aux instabilités, aux discordances et aux blocages. 6 Partie I. La dé-limitation (Entschränkung) : La doctrine phénoménologique de l’attitude C. La structure de l’attitude : §7. La formalisation de la théorie de l’attitude : l’attitude naturelle et l’attitude phénoménologi- que comme les modes du Daseinshorizont ou de la Zuständlichkeit transcendantale. • Les modes de la Zuständlichkeit transcendantale ;• Les modes du Daseinshorizont. §8. Le caractère d’accomplissement d’une attitude : une attitude comme un mode spécifique d’accomplissement de la conscience transcendantale. • Le mode d’accomplissement de l’attitude naturelle ; • Le mode d’accomplissement de l’attitude phénoménologique. §9. La vie (ou l'être) transcendantale. • La non-prédonation et l’indétermination de la « vie » ou de « l’être ». D. Le dévoilement des modes de la vie transcendantale : §10. La généalogie de l’attitude naturelle : la solidification et la fixation de la thèse générale a.) La fixation de la réalité effective : l’ancrage de l’apodicticité relative sur le primat de la concordance; • La parallélisation d’être du monde avec l’expérience concordante et du non-être du monde avec des ruptures de la concordance ; • La réalité effective et la concordance ; •L’apparence transcendantale et la discordance ; • La prédonation de la concordance ; « apodicticité historique » ; • La facticité de la concordance et le « fait apo- dictique » ; • La présomption du prolongement de la concordance et l’« anticipation apo- dictique ». b.) La solidification de la prédonation mondaine : l’objectivation du monde de la vie. • La Lebenswelt et l’attitude naturelle ; • Le « monde de la vie » en tant qu’un horizon dans le- quel se réalise l’objectivation de la vie transcendantale : la solidification de la thèse géné- rale de l’attitude naturelle et de la prédonation mondaine ; • Vers une généalogie de la thèse générale de l’attitude naturelle ; •La prédonation naturelle du monde et le sens phénoménologique de la prédonation ; • Retour à la doctrine phénoménologique de l’attitude : les modes de laZuständlichkeit transcendantale. §11. La projection de l’attitude phénoménologique : l’affranchissement des œillères et la dé- limitation de la concrétude de l’horizon transcendantal ; • La transposition de la réalité effec- tive en une idée régulatrice ; • La projection de l’horizon transcendantal. 7 §12. L’unité d’oscillation entre les deux attitudes : la transposition de la vie transcendantale. • La transposition, la réversion et le revirement. γ. L’infinité (les adombrations et l’Umstellung). • L’infinité des adombrations ; • «La vo- lonté vers l’infinité » et le changement d’attitude. δ. L'éveil réflexif (l’auto-décèlement). • La facticité de la situation de la réduction phénoménologique; • La facticité du réducteur : la situation hybride (transcendan- tale et mondaine); • La facticité de l’être-là humain et de l’être-là transcendantal (point d’ancrage et repère). Partie II. L’enrichissement de sens (Sinnbereicherung) : La doctrine phénoménologique de la méthode E. La structure de la méthode : la forme et le caractère d’accomplissement §13. La méthode phénoménologique de l’enrichissement mobile de sens. (a). L’enrichissement par la concrétion. Le sens de la « richesse » et de la « concrétion ». (b). La concrétion en tant qu’un horizon et son dévoilement « productif ». (c). La concrétion phénoménologique en tant que le sens qui s’accroît. La fermeture et l’ouverture du sens. (d). L’enrichissement par l’ouverture. La formation ouverte de sens. §14. La mise-en-flottement. La formalisation et la définition positive de l’épochè. •L’apparition en flottement entre être et non-être ; • Une loi apodictique de forme : « autant d'apparence, autant d'indication d'être » ; • Une approche méthodologique : « laisser flotter un objet en- tre être et non-être ». Le flottement et l’architectonique ; •L’enrichissement phénoméno- logique de sens et l’auto-transformation de la subjectivité ; • Le mode d’accomplissement de l’épochè phénoménologique et la quadruple mise-en-flottement entre la réalité effective et la possibilité problématique, le fini et l’infini, le déterminé et l'indéterminé, la concordance et la discordance ; • Le flottement entre être et apparence ; le passage de l' « étant pure- ment et simplement » au « simple phénomène ». ε. L’ouverture. L’indéterminité §15. La reconduction à l’origine. La formalisation et la définition positive de la réduction. • La réduction phénoménologique n’est pas une limitation ; • La réduction phénoménologique 8 ne vise pas une introspection ; • La réduction en tant qu’une « reconduction » ; • La per- cée de la réduction phénoménologique. ζ. L‘inchoativité. L’étant in statu nascendi F. Les radicalisations de la méthode : les registres de l’ouverture • Lesmodalités d'accomplissement de l'épochè et de la réduction. §16. Le non-thétique chez Husserl. L’ouverture à l’inachèvement de l’étant. • La critique de la « substruction métaphysique » ; • La suspension de l’idée classique de l’étant. η. L’inachèvement. L’incomplétude §17. Le méontique chez Fink. L’ouverture l’impartialité du pré-étant. •La suspension des idées d’être, d’évidence apodictique, de la science ; • La critique de la subsumption ontique chez Fink ; • La mise hors circuit de la prédonation ; • Le pré-étant ou le pré-être husserlien ; • La prédonation de monde : la transformation versus la mise hors circuit ; • L’institution de la Weltapperzeption versus le processus méontique de la Weltwerdung. θ. Le pré-étant. L’impartialité §18. L’hyperbolique chez Richir. L’ouverture à l’instabilité. • L’inhibition des aperceptions ; •La suspension des positivités symboliques : l’archè de l’apodicticité et le télos de la science ; •La critique du simulacre ontologique chez Richir. ι. Le mode d’instabilité du monde Partie III. L’institution du nouveau : La phénoménologie en tant que philosophie-en-travail G. L’architectonique mobile de la philosophie-en-travail §19. L’Arbeitsphilosophie: l’institution du nouveau et la Sinnfortbildung. • La philosophie-en-travail et le sens de la handanlegende Arbeit en phénoménologie;• L’institution de la phénoménolo- gie et du phénoménologue; • La re-création et la constitution en progrès du monde ; •«Mon empreinte en tant que celle du chercheur phénoménologique ». §20. La radicalisation de la méthode et la réorganisation de l’architectonique de l’Arbeitsphilosophie. • Le modèle de l’Urstiftung ; • Le rôle architectonique de l’aperception. 9 §21. La phénoménologie en tant que travail de transformation du sujet. • L’Umschaffung des aperceptions ;• L’Umschaffung de la subjectivité. H. Trois aspects de l’Arbeitsphilosophie phénoménologique §22. Les tâches infinies.• L’idée régulatrice de la philosophie-en-travail ; • Une vie structurée par l’idée-limite. §23. L’habitus du travail philosophique. • La transformation de la vie du phénoménologue – la méthode incarnée ; • L’institution originaire de la philosophie et l’attitude phénomé- nologique dans la forme d’habitus ; • L’institution de la nouvelle forme de vie à travers l’habitus d’accomplissement de la mise en flottement. §24. La collaboration des chercheurs. • Le co-philosopher(συμϕιλοσοϕει̑ν)et la commu- nauté des chercheurs ; • « La philosophie n’est pas une affaire privée ». Les lignes de la tension du travail phénoménologique ι. Les tâches infinies – la Lebenszeit (l’avancement et les ruptures) • Le désaccord en- tre le temps fini de vie et les tâches infinies de la recherche ; • La définition de l’idée régulatrice à partir d’engendrement des formations de sens qui s’avancent in indefinitum. κ. L’habitus – le blocage (l’Arbeitsfieber et l’inertie). •La fièvre de travail, la formation du champ et du sol de travail ; • La cultivation de l’auto-aperception ouverte ; • La dynamique du travail phénoménologique. λ. La concordance – le conflit (symphilosophein et ses entraves) • Le caractère problé- matique de la communication entre les phénoménologues • La fragilité de l’Arbeitsgemeinschaft et la suspicion destructrice de la « quasi-phénoménologie ». Conclusion : la dé-limitation, l’enrichissement de sens, l’institution du nouveau •La propédeutique et la systématique ouverte ; • I. La dé-limitation : la doctrine de l’attitude ; • II. L’enrichissement de sens : la doctrine de la méthode; • III. L’institution du nouveau : la philosophie-en-travail. 10

Description:
tematization of Edmund Husserl's philosophy and particular phenomenological analyses. Key words: tonics. Mots clés : phénoménologie, philosophie-en-travail, Edmund Husserl, attitude, méthode, archi- tectonique. du champ et du sol de travail ; • La cultivation de l'auto-aperception ouverte ;
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