On suit avec fascination la lente chute d'Elsa, sa déchéance, au nom d'un amour qui n'existe peut-être pas.
Avec le portrait de cette passante des aubes transies de Pigalle, Kessel semble dire adieu au Paris des années folles. Ce livre, publié en 1936, parlait pour la première fois sans doute des camps de concentration hitlériens..