Description:M. Guillaume Dobbuziez régla les funérailles de Jacques Paridael de façon à mériter l’approbation de son monde et l’admiration des petites gens. « Cela s’appelle bien faire les choses ! » ne pouvait manquer d’opiner la galerie. Il n’aurait pas exigé mieux pour lui-même : service de deuxième classe (mais, hormis les croque-morts, qui s’y connaît assez pour discerner la nuance entre la première qualité et la suivante ?) ; messe en plain-chant ; pas d’absoute (inutile de prolonger ces cérémonies crispantes pour les intéressés et fastidieuses pour les indifférents) ; autant de mètres de tentures noires larmées et frangées de blanc ; autant de livres de cire jaune.