La structure de l'ouvrage obéit à un découpage thématique spatial : du sauvage des montagnes et des forêts jusqu'aux espaces ultramarins, des marges internes aux métropoles jusqu'aux territoires ruraux les plus éloignés, en passant par les banlieues, les petites villes du déclin ou les couronnes périurbaines, les marges sont ainsi analysées à travers un argumentaire solide assorti d'encadrés, de cartes de localisation et de schémas synthétiques.
La conclusion est l'occasion de l'énoncé d'une thèse forte : les marges ne sont pas une catégorie spatiale prédéfinie, mais un outil qui permet de repenser l'innovation territoriale dans ces espaces restés à l'écart de de la mondialisation et de la métropolisation.