L’allemand fit claquer ses bottes noires et s’approcha de Christine, nue sur sa croix.
D’un geste mécanique, il passa sa main sur le corps meurtri de la jeune française.
— Dommage que tu ne sois pas blonde, tu aurais fait une merveilleuse recrue. Tu vas subir ta dernière épreuve, comme toutes celles de ta race…
Pour le nouveau Reich !