Description:En 1881, j’écrivais, dans le journal l’Œil, les lignes suivantes : « La première condition d’un gouvernement intelligent, c’est de savoir nettement le but auquel il tend et d’y marcher à travers tous les obstacles. Parfois la pensée mère, l’idée générale qui donne l’impulsion à toute l’administration réside dans un petit groupe d’hommes qui entourent le chef, parfois elle est dans un membre du ministère qui domine ses collègues, rarement elle est dans le chef de l’Etat lui-même.