E N T E ET LI L U INDIVIDU ET SOCIÉTÉ MIL N-J S A E M L E L K GI E V • A S Écrit dans un langage clair, vivant et accessible par des enseignants d’ici NI IS SOCIÉTÉ pour des étudiants d’ici, Individu et société demeure, depuis plus de DE•N INDIVIDU ET E RI vingt ans, la réérence incontournable pour celles et ceux qui désirent R É AI U s’initier à la perspective sociologique. Cette dernière permet de jeter un L Q regard nouveau sur nous-mêmes an de voir le social en nous. Elle avo- C LE L rise aussi une meilleure compréhension du monde qui nous entoure en Ë O nous permettant d’aller au-delà des apparences dans l’analyse de la rela- J tion entre l’individu et la société. Ainsi outillée, la personne est en mesure d’infuencer la société en devenant elle-même un acteur social. 5e ÉDITION Dans cette cinquième édition, l’équipe d’auteurs, enrichie de deux nouvelles collaboratrices, propose un contenu entièrement revu et actualisé, large- ment documenté, appuyé par des exemples concrets, et près de la réalité des étudiants. De nouvelles rubriques pédagogiques à la ois stimu lantes N O et variées contribuent également à aire de ce volume un outil précieux TI pour quiconque désire comprendre les mécanismes à l’œuvre dans nos DI sociétés. Enn, une nouvelle mise en page vivante et colorée, assortie de É e nombreuses illustrations, rend cet ouvrage plus attrayant que jamais. 5 Les lecteurs retrouveront dans cette nouvelle édition tout ce qui a ait la É notoriété de cet ouvrage, ainsi que de nouvelles caractéristiques qui avo- riseront encore davantage l’apprentissage des étudiants : T É une mise en contexte au début de chaque chapitre ; I de nouvelles questions de révision pour aire le point sur ses connais- C sances au l de l’étude des chapitres ; O des questions de réfexion et de nouveaux exercices pratiques en n S de chapitre pour mieux aiguiser son regard sociologique ; T une nouvelle liste de réérences suggérées (ouvrages, périodiques, E sites Web et vidéos) pour qui désire aller plus loin ; U un matériel complémentaire sur le Web entièrement mis à jour D et bonié. I V I D N I • • • CLAIRE DENIS GILLES MILLETTE JOËLLE QUÉRIN ISA VEKEMAN-JULIEN ISBN 978-2-7650-2981-6 www.cheneliere.ca/individu 0,53125po 3093-M_00C_C4_C1.indd 1 13-03-19 12:08 AM SOCIÉTÉ INDIVIDU ET 5e ÉDITION CLAIRE DENIS Cégep de Sherbrooke GILLES MILLETTE Cégep de Sherbrooke JOËLLE QUÉRIN Cégep de Saint-Jérôme ISA VEKEMAN-JULIEN Cégep Limoilou CONCEpTION ET RÉDACTION DES OUTILS pÉDAGOGIQUES EN LIGNE : Dominique Comtois(Cégep de Trois-Rivières), Robert Ménard(Cégep régional de Lanaudière à Terreborne), Joëlle Quérin(Cégep de Saint-Jérôme) et Isa Vekeman-Julien(Cégep Limoilou) Individu et société 5eédition Des marques de commerce sont mentionnées ou illus- trées dans cet ouvrage. L’Éditeur tient à préciser qu’il Claire Denis, Gilles Millette, Joëlle Quérin et Isa Vekeman-Julien n’a reçu aucun revenu ni avantage conséquemment à la présence de ces marques. Celles-ci sont repro- © 2013Chenelière Éducation inc. duites à la demande de l’auteur en vue d’appuyer le © 2007, 2001,1995 Les Éditions de la Chenelière inc. propos pédagogique ou scientifique de l’ouvrage. © 1991 McGraw-Hill Éditeurs Conception éditoriale:Sophie Jaillot Édition:Maxime Forcier Les cas présentés dans les mises en situation de cet Coordination :David Bouchet ouvrage sont fictifs. Toute ressemblance avec des Révision linguistique:Mireille Léger-Rousseau personnes existantes ou ayant déjà existé n’est que Correction d’épreuves:Maryse Quesnel pure coïncidence. Conception graphique:Pige Communication Illustrations :Julien Paré-Sorel Conception de la couverture :Tatou Impression :TC Imprimeries Transcontinental Le matériel complémentaire mis en ligne dans notre site Web est réservé aux résidants du Canada, et ce, Édition des activités interactives :Daphnée Marion-Vinet à des fins d’enseigne ment uniquement. et Maxime Forcier Coordination éditoriale du matériel complémentaire Web :Daphnée Marion-Vinet L’achat en ligne est réservé aux résidants du Canada. Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada Vedette principale au titre : Individu et société 5eéd. (Comprend des réf. bibliogr. et un index. Pour les élèves de l’élémentaire. ISBN 978-2-7650-2981-6 1. Sociologie. 2. Structure sociale. 3. Différenciation sociale. 4. Québec (Province) – Conditions sociales – 21esiècle. i. Denis, Claire, 1956- . HM588.I53 2013 301 C2012-941574-X 5800, rue Saint-Denis, bureau 900 Montréal (Québec) H2S 3L5 Canada Téléphone : 514 273-1066 Télécopieur : 514 276-0324 ou 1 800 814-0324 [email protected] TOUS DROITS RÉSERVÉS. Toute reproduction du présent ouvrage, en totalité ou en partie, par tous les moyens présentement connus ou à être décou- verts, est interdite sans l’autorisation préalable de Chenelière Éducation inc. Toute utilisation non expressément autorisée constitue une contrefaçon pouvant donner lieu à une poursuite en justice contre l’individu ou l’établissement qui effectue la reproduction non autorisée. ISBN 978-2-7650-2981-6 Dépôt légal : 1ertrimestre 2013 Bibliothèque et Archives nationales du Québec Bibliothèque et Archives Canada Imprimé au Canada 1 2 3 4 5 ITIB 17 16 15 14 13 Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition. Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres – Gestion SODEC. AVANT-PROPOS Étudier dans le champs des sciences humaines et sociales nécessite d’acquérir une compréhension minimale de la société et des phénomènes sociaux. Voilà ce qu’entend apporter cette cinquième édition d’Individu et société. En effet, une lec- ture sociologique de notre monde est non seulement utile dans toute pratique professionnelle, mais elle est aussi indispensable pour saisir la réalité de manière plus juste et pouvoir faire des choix éclairés en tant que citoyen. Cet ouvrage est structuré en trois parties. Dans la première, « La nature de la sociologie », nous présentons la sociologie en la distinguant d’abord des autres sciences humaines, puis en exposant les principales théories sur lesquelles elle s’appuie. La deuxième partie, « L’organisation de la vie sociale », traite plus précisément des différents modes d’insertion de l’individu dans la société et présente certains concepts fondamentaux qui aident à lire la dynamique sociale : la culture, les valeurs, les normes, la socialisation, les groupes, le contrôle social et la déviance, pour n’en nommer que quelques-uns. La troisième partie, « Les inégalités et les différences sociales », porte sur le processus de différenciation sociale. Ce processus, que l’on observe dans toutes les sociétés, nous permet de comprendre le fait que l’identité d’un individu est largement tributaire des caractéristiques de son groupe d’appartenance. Par ailleurs, l’étude de la différenciation sociale nous éclaire également sur quelques- unes des facettes négatives de la vie sociale comme l’exploitation, la discrimina- tion, le racisme ou le sexisme. Au terme de votre lecture, vous aurez sans doute compris que l’individu est non seulement le produit de la société dans laquelle il vit, mais qu’il en est aussi un acteur, et que de ce fait, il a le pouvoir de l’améliorer par ses actions. C’est cette idée qui ne nous a pas quittés tout au long de la rédaction de cet ouvrage et que nous souhaitons vous transmettre. REMERCIEMENTS Ce manuel d’introduction à la sociologie a vu le jour en 1991 dans le but d’orir du matériel pédagogique original adapté à l’enseignement collégial. Ce type de maté- riel était pratiquement inexistant à l’époque. Nous proftons de la publication de cette 5eédition pour exprimer notre recon- naissance à David Descent et à Jacques Fournier, sans qui ce livre n’aurait pas vu le jour. Nous tenons à les remercier chaleureusement pour leur apport dans la production de matériel pédagogique et pour leur contribution à l’enseignement de la sociologie. Ces deux membres de l’équipe originale d’auteurs ont cédé leur place à deux jeunes collègues, Joëlle Quérin et Isa Vekeman-Julien. Un manuel a tout avantage à être le ruit d’un travail de collaboration. En plus du travail minutieux et concerté de notre équipe d’auteurs, les critiques et com- mentaires des collègues qui œuvrent quotidiennement sur le terrain auprès des étudiantes et étudiants nous ont été extrêmement précieux. On peut penser notamment à Maurice Angers et à Gérard Daigle, proesseurs de sociologie, qui ont agi à titre de consultants lors des premières éditions de cet ouvrage, mais aussi à tous les consultants, qui, grâce à leurs commentaires et suggestions, ont contribué à l’élaboration de cette édition : Julie Allard (Cégep de Drummondville), Mélina Bouard (CEC de Montmagny), Martin Bussières (Cégep Lévis-Lauzon), Dominique Comtois (Cégep de Trois-Rivières), Frédéric D’Astous (Cégep de Granby-Haute-Yamaska), Patrik Garon (Collège Montmorency), Marie-Michèle Giroux (Cégep Lévis-Lauzon), Robert Ménard (Cégep régional de Lanaudière à Terreborne), Éric Richard (Campus Notre- Dame-de-Foy), Mathieu Saint-Jean (Cégep régional de Lanaudière à Joliette), Pierre Spénard (Collège de Valleyfeld) et André St-Louis (Collège Shawinigan). Enfn, nous remercions l’équipe de Chenelière Éducation qui a soutenu avec proessionnalisme et enthousiasme chaque étape de la production de ce livre, en particulier Sophie Jaillot (éditrice conceptrice), Maxime Forcier (éditeur) et David Bouchet (chargé de projet). Claire Denis, Gilles Millette, Joëlle Quérin et Isa Vekeman-Julien PRÉSENTATION DES AUTEURS Claire Denis Claire Denis enseigne au Cégep de Sherbrooke depuis 1987. Elle a auparavant enseigné la sociologie au Collège de Maisonneuve ainsi qu’au Collège Champlain de Lennoxville, puis elle a été chargée de cours à l’Université de Sherbrooke et à l’Université Bishop’s. Elle détient une maîtrise en sociologie de l’Université de Montréal. Ses intérêts portent particulièrement sur les problèmes sociaux, le émi- nisme et le changement social. Gilles Millette Gilles Millette enseigne la sociologie au Cégep de Sherbrooke depuis 1977. Il est détenteur d’une maîtrise en sociologie de l’Université de Montréal. Au l des ans, il s’est intéressé au domaine des médias de masse, de l’inormation et de la publi- cité de même qu’à celui de la amille. Joëlle Quérin Joëlle Quérin enseigne la sociologie au Cégep de Saint-Jérôme depuis janvier 2010. Elle détient une maîtrise en sociologie de l’Université de Montréal et poursuit un doctorat en sociologie à l’Université du Québec à Montréal. Elle collabore égale- ment à l’Institut de recherche sur le Québec à titre de chercheuse associée. Isa Vekeman-Julien Isa Vekeman-Julien enseigne la sociologie au Cégep Limoilou depuis 2008 ettermine ses études de maîtrise en sociologie à l’Université Laval. Ses multiples engagements proessionnels refètent sa passion pour l’enseignement et la compréhension des enjeux sociaux actuels, particulièrement ceux liés à l’infuence sociale des techno- logies et au monde de l’éducation. Elle est également coauteure de l’ouvrageDéfs sociaux et transormation des sociétés, publié chez le même éditeur. CARACTÉRISTIQUES DU MANUEL Ce manuel propose plusieurs composantes favorisant un apprentissage structuré et stimulant. PLAN DE CHAPITRE 8.1Le processus de différenciation sociale 8.1.1 Les différences et les inégalités sociales En ouverture de chapitre 8.1.2 Les critères de différenciation sociale 8 8.2Ld8a.e2 .dd1ii ffffééLrreeesnn mcciiiaantotiirooitnnés esothcniaiqleue : une forme 8.2.2 Les groupes ethniques E 8.2.3 Les groupes racisés R 8.3Les relations ethniques Lesobjectifs d’apprentissage PIT 88..33..12 LL’’iedtehnntoitcée nettr ils’ampep aertt elen arenlcaeti veisthmneiq cuuelturel permettent à l’étudiant de cibler CHA 8.48Q8..u34e..31lq ueLL’aism deminsicgjerriamutxiion nraetiloant iefst lae uraxc risemlaetions ethniques 8.4.2 Ldees l am doidvèelressit égouvernementaux de gestion les connaissances à acquérir LA DIFFÉRENCIATION SOCIALE et les habiletés à maîtriser. ET LES RELATIONS ETHNIQUES CONCEPTS-CLÉS Lpaberisonrccdoipéneacslee dps atnsno-cst liléoesn cishd qaepuniit tisreeer.notn ltes OApddudlrBeereeenslè eaJ rddds tEeiisiifs ocfofCltfoné’céinénsrirTéeg netetnIunauétFcetîhd t;israrSn e ecteiqi otoedu Dnndtee c’ dus’se eA cot;pi cletdiPsisaé -eccPclerlrhé iRdàrsaee prEl ’elfœeialNtasçur toepTvifnrr,sIeo S va cadpoeuSapsuxnsrAsosu psGdrieéEevriez être edfedrlneoetees rhl amm rdndteiiieéseqcosbcouns eaneqsurt nsunser ae eedtqîh rta p:u rndnee’iiisq ulfes fuvu étees nrdonseeeu tn e sltpdètos rvéd ceeeceinénnr ditmjtreér edeu i; ea lxelune spxss r dconrieopfoflmrsaée trpssieoo rnaenctuniseéxdstrées. •••••••ArADsDEEGaocsttiirihhfsoccssfcnnéouiioamriormpncilemceeiinmlnse a a.icmenn.tob.itiata.doehlr.etti.en nisi.. oom ...i.mq....nn....eu ...e.......ne ............t .....................222222266466557730071••••••••GIIMPPRRcnnulraerttuuéoléecltrlajuutuigrasitcprrcglimieuaveuséillt lsm e t..itruo..mu a...ern...rca...e a .i....ls.....li.i....sés.....m..... m............e......e...... ....... ................222222225666656536999908 Leplan de chapitreore une vue d’ensemble du chapitre et de sa structure. Individual_Ch08.indd 240 08/03/13 2:32 PMIndividual_Ch08.indd 241 08/03/13 2:33 PM Au cours du chapitre MISE EN CONTEXTE La mise en contexte : Au cours des années 1930, deux jumeaux ont été séparés dès la petite enance. Le premier a été pris en charge par sa grand-mère maternelle, qui vcaivtahiot ldiqaunes tlreè ssu sdt rdicet ela. MTcehmébcores ldov’uanqeu ioer geat nqiusai tliuoin a pdaornanméi luitnaeir éed duuc aptaiortni Chaque chapitre s’ouvre sur un texte nazi, les Jeunesses hitlériennes, il a appris à haïr les Juis. Le second a été éduqué par son père, jui, dans la colonie britannique de l’île de Trinité. Àle s1 7ra anngss, dile a l ’ainrtmégéreé i surna ékliibenbnoue.t zP a(cr olam smuiuten,a duutéra nnatt liao nSaelciostned jeu Givuee)r eret rmaollnié- demise en contextequi vient introduire diale, il a intégré l’armée britannique, et appris à détester les nazis. moLmeesn dte, ulex s ercèorensd sne’a s poanst mreevnutsio qnuneél qauue psr aenmniéeer sq up’liul sé ttaairtd ju, ien. E 1n9 51497. 9À, icles et illustrer le thème à l’étude. Elle est ont été de nouveau réunis (Begley, 1979). Les chercheurs leur ont alors trouvé une ressemblance physique et quelques comportements similaires. Csee pdeisntdinagnut,a mienaltg nreét lteeumres notr siguirn beso ng énnoémtibqruee sd es ip soeimntbsl.a Lbel epsr,e lmesi edre auvxa irt èurnees accompagnée de questions destinées préérence pour les loisirs, était traditionaliste, considérait que l’homme éplolietbrouaiésgriétri p an,s leelueersps s.sé, o eLarnceicenoucuanrerslpdi tàt vééa la tiaeatl ne ilteeu sm urcosnomm, uvlemreé auerentir,t tsnas eebéa lmpdeçai oibsnrntoliiassnu itgtrde ruj’ aeaeagtmai iseuraen idemts et nb d dteleraet atsi etvpe maesexi nelot,sn rraeêitdg.rm,ih neléeemrusa erjiustn iàtiv d edéeseor.s lÀd oie dgl ’iésoeeepsss,- à suscclsieooèxrnmceutpmeenoleilruents tets, mcecehxoeuenmeztr lpsl e oads uré trjuleeéamutitèn ernnenesost st ca elhsmleeesmxz ,u elapeendsltsh j eépnrusooinuoneern s s e àé: mcodeubetrs siedt sas’etiisérnieroècésnoo eudtrtyre ap vlgee’iieomsrl,e ap lng’racreéde cc oéodopcratipnitfoéosn r del eedleslsee ,rr ceepxellaaarrttttiiaiioocinnnousss-n. amoureuses. Bien entendu, cela ne signie pas que les médias in fuencent les jeunes de manière inconditionnelle. Ils leur orent davantage une gamme de supports sym- boliques dans laquelle, par une opération de classement et de choix, ils puisent Qdeuu’exs êt-tcree sq ubii oelxopgliiqquueem leesn dt isié sreemncbelasb imlesp ?ortantes observées entre ces pour élaborer leurs rôles et développer leur identité (Caron et Caronia, 2000). En regard de ce cas vécu, peut-on dire que les manières d’être, d’agir Par-delà les reproches que l’on peut aire aux médias, les critiques concèdent tou- et de penser d’un individu sont principalement instinctives (innées) ou teois qu’ils n’ont pas toujours une infuence négative sur la socialisation. Ainsi, les dsQpcooéeuclvrelsieelaoscllon t(lpinaivepceintéq éseue ? sitcs eesllesoa)su ? psée lrlé’mimnefetun-ietl snd c’éect oadnbesl tirilt ’uéedtniutsrc ea dtlie’oid nel ane ttci tuédl etiun rld’eeiv nipvdriurooepnlrlene e dmà’u ensneat ésql’iémugcanihsnisadinc omagnteêsi,vm lteaée d l céleeuv slrias iao épiesdrisoet érgé, r dàal auam ccdamqetuxaivétteéirosirrni,t cméde eeêrsttma tliieann ésereéis f aeaeluplxextisi ote unnnd.e aeE ncsllto eesns ses smtte irnteeuttgieteeanlrnltde tp séa aeàus psl ’suaéirnc leoee ulspex rj:, eo lp’upéenocueorvstuei otenennt, présence de connaissances, de cultures et de modes de vie dont ils n’auraient peut- être jamais entendu parler autrement. Internet, pour sa part, jouit d’un potentiel presque inni en ce qui concerne l’accès à de l’inormation. Pour quiconque sait l’utiliser judicieusement et avec discernement, c’est-à-dire en questionnant la crédi- bilité et la validité des sources d’inormation qui s’y trouvent, cette énorme biblio- thèque à domicile ore une multitude d’avantages. De plus, Internet participe désormais à la vie sociale des individus. En eet, selon certains spécialistes, loin de rendre les gens passis, Internet exige au contraire la participation active des indi- vidus. Il constitue une pratique sociale accessible et commune qui leur permet de communiquer au sein d’un groupe social. Loin d’éloigner les gens, il donne alors un nouveau sens aux mots « communication » et « socialisation » (voir l’enreccaodnrén u4. 3p)o.ur lui-même, par l’intermédiaire de modèles auxquels il se rattache, pour se 4 Partie II L’organisation de la vie sociale orger une image de ce qu’il est et de ce qu’il Encadré 4.3 SOCIOLOGIE AU QUOTIDIEN sera. Il prend ses distances à l’égard de ses parents, souhaitant se défnir en tant qu’in- Individual_Ch04.indd 4 06/02/13 10:25 AM La construction de l’identité… virtuelle ! dgrivoiudpue isn dd’éapmeinsd daenvti e(vnonier nl’te anlcoardsr séo 4n. 2m).i lLieeus L’engouement pour les réseaux sociaux numériques s’amplie autre, aux médias sociaux et y consacrendt ee rné méroeynencnee, en lieu et place de la amille. d’année en année. Ceux qui recueillent le plus d’adeptes sont 8,6 heures par semaine (CEFRIO, 2012). Le pereLcteio ndnéevmeelnotppement physique découlant sans conteste Facebook (750 millions d’utilisateurs actis des technologies de l’inormation et des cdoem mlau nipcautbioenrsté qui s’eectue durant ces Les encadrés : avec, en moyenne, 130 amis chacun), Twitter (200 millions (TIC), comme celui des téléphones cellulaires eatn dneé leas m ceosnsa t-ri bue aussi au désir d’afrma- d’envois par jour) et YouTube (700 milliards de vidéos regar- gerie texte, participe à rendre ces médias dtei opnlu ds ee nl’ apdluoslescent, notamment par l’afr- dées depuis sa création). Aujourd’hui, 91,8 % des jeunes accessibles et omniprésents. mation de son identité sexuelle. Après Làela’ tet vrln’aiicenva feddurerse ét ndoSceuoessc qeileoxuseleo m jlgoapiu eslre osasc.u ip oqeluortoginiteied enixetsen,r lcielel u rdsôatlrenes, Québécois de 18 à 24 ans particiLdvpee’aes dtnfiémtrv,m eedlnao’ttupaionpirneee msdm eqe aunl’nita idpèoohnrlyeets ssioqcuuuers nedat .q’u uCutneie rest tb’eei eaneDstldrulpcef ceaiedooxoseerètstmumetcnani rs rolsesisgmê’ aea ie olntepdmoàtturt iéntsa eoru dxlaeldns arnnac eien,saia dt t anpp t cciiile oltnsiuaàooest’n ibénssé .nnmmstse,i d s id oeiqrtamqoentt,’ac uérgiu ùvedieui leaere encanecel su onet nttlrsptne xtei ci toi«ré ot ugdiyor amtnmeinnbreébju eo eèdiusostdlntrar n reieeéeicv ed ne, ve ii arlérrdpi tt’ urotiloperadàe’ut éinurdeurnnee ng téntedlfncliuaaelèsdleeuet l uis»rsiria ecstèe ts édnt,rpenr ue ée ecoas?icnrèanm em es ucvlLtt,s ee’ioreeg iéoone spnnrsplnc eaae trtr i é(nboéuppdGàadoectaue éliresiur rsmoatl senséadorts eaei i aieoaihiambprccesusns nlmn,ettnsivueo eeail tmsle eavs me2exsor tndidp icntce tnpr i0rqeidesàm«éleeiterlé t i0 seueu trmp rqss apsisure9 steadvoiroemali,uo,u n xol)e r rem éci.niiipàeteel iane esiscéerardéOt lna.nsaérss c.u elvs’d riticru e dLce,péssp i iCq ponleceaarluautl lee»ai’’auneessstrer-a--ar,vner ote spleqett evsséeponnustout uaii’t acjoridasrrelp anse.erét efn ont ,gs dL,irtic seateemdeeessrlstsa oe ac eàe nmnqdtet tasi tl uo ode’ld .qauiiinnebo vdun steel’oue ei prntdlnl sstestatetéce nis s tse dsulsuoe ’nueeéqeatntn,rf suts tisi n e loveaae i sesnnnurctoo s tectddertneuleiaeeertt--, table théâtralisation de l’identité : une abrication identitaire L’encadréApplication théoriquevient Encadré 4.2 APPLICpunuA reTje IeuOt Ndse imT HrpôlÉele,O sp,R lueIQsn UosuEo mmmoien.s Pinlussp iréréeq duee mlam peenrts, oln’anneo rnéyemllaet, Du marquage traditionnel aubodyart montrer à l’étudiant comment certaines Tatouage etpiercing,stretching social pour l’individu au sein de sa communauté (Le Breton, 36 Partie II L’organisation de la vie sociale (agrandissement par étirement pro 2002), qui se distingue dès lors de ceux n’ayant pas ranchi thématiques précises peuvent être g(mreasrs qiu agde’u npar pbierrûcluinrge)) ,oub rsacnadriinfg creectoteu vérparnetu vlae rtiêtuteel led.e Ps ahr oemxemmepsle ,e lte slem mokeonsto(nm odteiss taetmouméess) Individual_Ch04.indd 36 cation (marquage par incision)… Si maoris, étaient réservés aux plus 2i5m/0p1/o13rt a1n:2t2s P mMembres de la expliquées sous l’angle des principales laeusj oumrdo’dhiufic alati ocnost e,c ocrepso replrlaetsi quoenst cmoemnmt cuonnasuitdéé. réLes ss ainndsi vsidtautsu ts asnoscimal.o kDoe éptlauise,n tc etrsa dmitaiorqnunaegllees n’ont pourtant rien de nouveau. ont souvent lieu lors de grands rites qui sont, pour Durkheim, théories sociologiques. Mtinacrtqivuee r rleel ècveo rpdse sd er itmeas nilèerse pdliuss donest poocucra soionncsti opno udre u naeir ec oplleercdtuivreitré ledse rceopmrémseunniteart.i oCness croitluleecls séculaires. On désigne d’ailleurs tives et d’assigner les statuts sociaux selon une procédure adeptes contemporains des omuosd lief ctaetrimonesm coodrpeornre pllreism iintisvpeisréleess consacrée, contribuant ainsi à la stabilité sociale. de ces usages ancestraux. D’un point de vue marxiste, on s’intéresse plutôt au caractère Dqlrmaaeu’ mavusaornopgqr leiluipsid seoacasrino nreiltrtt’n pi éantdo iconerdlers ugevils ,uas lia o nd niaocqo nnouneschect t ét,lil eio’sdoasniénop ncsnspao o alsuscirosoliteéteccentiniéa,ata lslcdene e.’ctsusr ean pddedrii véetdiec éolri’mnssinneeadsesri. lcvl ehioEdserlum l ec oaeosnsu lld ev dgéicsereteoi svmnu etpsa ueeràtr, deccdlr’eéurseeibcpml teluomsailnrqelvaeeeerusstvlser s ii et ce oudpnutud u alR àeerd o i ileidgemedsresuRa e p vae narémiuiocnsstmhao oti,rsnrq bqiusnturuéierieg easu,nlr gesesaeees tusa.c s .b Jt PééaaErataptpnéorso o cu aqneeéddu x sjeoseue sepmsss n qtu:dpés uré m ,l’d eltàleee,aa nlrnt’lqrauèesour ts neoda mt uegd Eaae d’dnA rgeoqopues,muus pnaecnbeuhsgirtumceweitl u ia étêddszvrt eoeeeràesssss Ces pratiques, communément associées à des rites de pas le symbole d’un rapport de domination d’un groupe social sur sage, marquent en eet l’acquisition d’un nouveau statut un autre, matérialisant et, en un sens, légitimant celuici. Il est 16 Partie II L’organisation de la vie sociale Individual_Ch04.indd 16 25/01/13 1:20 PM L’encadréSociologue en actionbrosse le portrait d’un sociologue dont les Encadré 3.2 SOCIOLOGUE EN ACTION Guy Rocher, professeur titulaire, Université de Montréal travaux ont contribué à l’enrichissement Guy Rocher est sans conteste l’un déf à relever : celui de ne pas tomber dans la régulation exces- des pionniers de la sociologie qué- sive et celui de respecter la créativité des chercheurs. dLé’ceel nalacir acadogrneén sEauinrs sucaonnmec qep uleéetm sdteieon lnta jpreertéctech ieusrnec ohue. sdàdpcor ereicoct resiisiqtao p julcopeeeiuuc.o trbdlP,io vleuiegec icni sees ,à p od egllceunraia so l ’1nlUdoad9n’cgê 6ipuitvq0reletue,né re ssi cl ibs(glsge dht’a1doUoenéuéee 9ecca arcn rid 5vnicinndodiaoeivh8ttireulles ooue)nMl erla,i(gsuet’ st.1oÉ io ir nilesp t9d nccTcaéeo r5oiteié ouancrtlL8 d éue iltalo.elCe-aala a1avlsLE eml od ,a9isnmarn gleoelee6o’t Uci êùe urer0cseamnst mdr )a io eeid,ls’dvaa u ertnecare etuvt nélasio dri a uor ctsrr ude inn e9rdeipettéviti cè oé.ivnuspd1hoerecs yceaeeenortnco Hro srS chetr cliraeiee’tofeneaahérmEé nlr teslvao.dv sNm pa ecigieeedcLrrrtni iiidnaneeiieC--ttnOinMLtrQldfaaeepeeaieentnsqnueruP v oss tsnjducéidoeL o edéeubesauecnrÉnee lsoel rtdneatsdsMdsuccl rnas s i’séie.roho e asu Em1D nuplled qnro9Nean piroséun.gel6na aocTm’éusCnam0slr leieoiauae nos tusocsntsitéacqe nir i trqncteaeé1tu aid euolnpdte9etoesaen1 ia 5eseias p. sq9rs .0:icdt,e uteL 7 ,étlusLleaé s’i0oéo e bcu,odérvQnns eésxon’ca uu lqpcdrltlgctuéne iuouiétahrote beiisovismsan doe eu (ecnlaecn1e’lpu Écgol n9ideledepagslté9ausulmmle pl i 7 elrsà eaeedpelc be anrn, uleo) gd atp,étn icd eenssoiatpel’lma sata lur eisesiretblsdetxoaei s soqsneppdc eosirut oi lédcu iauvueorslcf vuuusan necnrod rexesi apainè.ly st ’s nuléctnrideeGeoreaiuvaei s n ubodlj mstum dyluioluduae’s aiéhnorqenqRtnen iity utos-uo à lsee’tepn’cp rÉào.na oh c llt dainLeuneraleliueeaaess--rtt Au cours de sa carrière, Guy Rocher a écrit plusieurs livres et çais, puis québécois, a aussi joué un rôle très important dans articles, chapitres de livres et documents d’étude. Plusieurs de le développement culturel et politiqmuoei ndsu d Qéuveélboepcp.é Qs,u iel leles tq duee 1/75. En Arique subsaharienne, offre un complément d’information ses ouvrages, comme la ameuseIntroduction à la sociologie soit l’allégeance politique des indiivl iedsuts ,d eil 1e/s2t 2c.lair pour Guy générale(1969) et la présentation des théories de Talcott Rocher que le Québec a besoin d•’uEnn É tAart iqouret. subsaharienne, 59 % des porteurs du VIH sont pCqcoeuhnreattqsientuineoeunn e tp ndercenéa s ddleiiernsénct é uea.ssvste iacoc nlce eo snmu ljpieeatng à na lév’é edtc’uu dlneee. PdlQqqpdmcDceRU1diol uetauuuueeé9nuege c l riéêiCc ié9ctugtsnlrvsniu’btisbio 7eperUottteoer aé iome ri)qne enmnesnco,ycs lsunie pieno Gdcv.tbtu( e n éadna1eic( urprsÀ1 ig gu nar e9nye llL s9anuelpetiu 7tn’rpa iRe7gessontexéq7gvléén o i2lnu uaaep-ltn sc1e) sldaedgluredo,h,ec9ii e cénure xpemleit1s7o u.gt uup rr A nQ99nnlbiép qreol’ caiaOsue)ot9rlsnlusour e,t némienr6 seitidnrsubdCogbettie iet, ;e smuurne hae ip vdeennneeuaedeuacrea sutt isnru vd el sm nDsuàed.a x u(nae s us éClbDssd Mosue idouC veooree,Crextoeecon ma rmus spoi iicl n nnsloo dadreum tgmLd2la••pt-ateilopereaserioroml’e0rtscdiéauir ap i isrtsgPdD(ra clx1lhearaéqnicnnm’ aepisnmae lOtae0nece. olueapdsm il diuraornCo,rut sn( iaretm cc d’ r1xtreeinsngéotssnéUhsoheéor rr 9lnid s émttegte ooen enrvnuidletPl6tigienieè bntseiiacl omdtsenvgiasull5rasr aosaoeéu.nee eesoiaa rl li- uVlrren5 e x r est1 e7cntinpdssolp d qufns0sinepmoi9s7aoaio uiaoDeqxutitt con4od 6nyné n, leuaaeougéie autms ne at6(tnr,tnr oeqvm 11 turd hr lml)tdol esssua rsudév aj99.)oeidos,ou nle iv ie lcaé o r neI68luyueuid(eeslcilotvlMtpo qto1rae1e ir srceeae mdosQpdnnlunn-slé-toh e a e1l1oen e’àdseoeést upnemh d 99néscsp msmagopdédecrud leo 68cmla’tcp’brtrntaaie’ eeniooôheraa 63ildoé1senouenaenndlminleid))anuétsectè/t----tsti,.,,,sur,tmt7.e i elos. tl,e eean3 UcsPCdmlcalpttesasqdg iss0auriel ncaorroot ééuu laoa iva0efitrio dn,nusnrevléientaC nrlnttrei,alqaaceterto b,umicc raStr tn n siie apiutsedide iénepiloNbtsdtevcrCs leptré:ceenerleodueiuten r u éh eoo steqe.er ep(rléa ssdds a diras é Ruts dsEl tcndu e,e eripu, dire deone nàeoqttedné el uu .cae suls rliusl mceenealéaeihlLtotnnls reae’ i’’u.fis téeeotueé ltcsrm çci’uenrerDeedoa Or nertld oeél,amltra,n tne vmuuareg aNie n gàbto2uil e stcna maee,’nod pU e mo én l 0agsidp lilsbcéllmn ’crneea rau et0u oopae cesitpuo seual msop,4nmnltteurpm nlel s i oéneoéoipd)soubécsaerevsec,pt, gr ’mraoengn lre nis ratumihp litciéacar,m eritGaqmier a raese cqo ednllacôsldiuteuegpi ,iy tunént outat pldeéenyegesséleird-etn e oee ’ r é , hp’R aes ddxn moRrooéeryàntoelea rioe rsbsi.si cdndcvi••••Q smesctlriejaoEh c’’tIl èeen heeeudae asnlleem dDdlFPàdSsSmctlldnenisene’oteéette rnoÉat ieele eee recar rtne coiuog lrsls pise nq’gs suuoue’ ncti l enisitataaopo’otiaytu nlmllurdmhisud xres itesc v l.upoledsaeed orpiuéedon ’eos qmusmaépc rstsdmmneejtzlng ei2 3r esuàogtiivdter il seéeeasouti eiis’3,0mmei de4iliropuséc vslsniatnoeepmtèr drd e aarrncd3i eeetast ,%sn eitrpvds le eantpa eituioi me iss1 oemeoqpia tan % tt nuooecpé. cs4sind nlluarn«emsoaets’isnne,oulao É es e ire strsidnstc %tdp s nudi aetp r rim serliad ie e oélseee yeecposaegep ein umeq se nndnts ec.g nuqé ylxmlhgtl nlusmsa addraeons auna bvusocor eérnsm,irartié’ eirplsiooupgv cdcse si bt cc.noelélaltincoae onvh et lsladhuéSrteied,elhe ddmulsndaatms i péucelesd . reestedreuam.nag to nospues l.ieP er .douenisnb ia.eusnrasllalsssa ia aneàuea sl» ----rtr.e, jMdr Codmsle’reau ei id tl g siétmce,otr e auddocslveenee ce d ssd lr e ’cehnÉcra ueetonsshmmmnio èidomaenrdiepinttene isito e cs ,snd l oa9oessam 8n ton vGp ntdsé% ot uducl eisue vnsBé sieeémcsustreti aorni,mdkp inéei’adandeenruaeesst rl’eecxhceerllcehnec es ctieronpti fpqruéed o(mRoincahnetrSDe, oe 1upe9rat9c re7tém :la iUte)i.nsn ttiI telo e.td r o LENaucao vtnesioou lnmr’ivsdi icv(é 2aao0nnlo1cdg0e Si) e.od Tcdehiaesel WAorlraaélid rds’spa. ecWtrisoopmnee dcntu i2v r0ea 1p0spo :o cTrirtoe dlnoedg sli aqa unCedo mSptmaetriimsstseiictos n,u NPnaeewr e rYnéot.r keP,xo iUvunirt iétGe udsy uN Rra otnicoohntesrer,, plus aptes à évoluer dans cet univers ait que les chercheurs société. Cette réexivité est chaque jour à entretenir comme un doivent être en perpétuelle adaptation. Il voit alors un double bien précieux dont on a hérité. RÉSEAU DE CONCEPTS Le sexe biologique et le sexe social entLr’ein lteésg réaltéimoneS nsetoxsec idbaiuolel os rgyeiqsputoeè mseet e ss esuxoer c sl’oiiacdlia.é leS edl’oinnt eDrudrékpheenimda, ntcroei ps lcuas roauc tméroisintisq éuterso istee rattachent à ce concept : •Les membres d’une société partagent une culture commune, des sentiments, dSeexse pbrioalotgiqiquuees et des croyances. Sexe social (ou genre) L ’cptiieneoldrnlcei, ve-ccipodit muiso menn ese o dcnnéuodcluteisdu sreleeu p lvrlae eussr nredoenen t isismè adr aeasgmnoesce icqnéeutt é’dci.hl e La ssepeasi tperarexço,p oopénnrrenite eadn iéencsennis iu tdonieone nc sit nopifocuuiniase lqdnisuecaese- Individua1l_2Ch03.inddP a1r2tie II L’organisation de la vdieics satdiornàaucg c ipumataeélaer rltiseisrc t uidéqleimuneinsin àd ipsatdirntugir u mdeae ls emc uaélnimnièinreins l’idFeonrmtitaét isoenx udeelleassuredeInst érô3ril0oe/0rsi1 s/s1ae3tx iou6ne:5ls7 AM sréoscuialtlee dd’eu dnl’ieirn eptcéetrreis osorunirsn aleat ieoosntr mlpea aptrri ool’ndin uddietiv dliaed puce edrtseteos n svnoaaclleiiatuléirs.s aL te’iitdo ednne, tcsi’ tecéso itmn-àdp-dioviirrdeteu qmeulel’een letlest société jette le blâme sur les personnPheyssiq ujuesgées incapables Dd’êetre satisaire aux exi- sous l’infuence des ssêsmooeter cnpenin rateeosut de dxcus uerti t a pqa ctrutueoa ’ cdedceélhélsbevés useust lesoà d r pdaelape es escnamou vcletiinneau tlrdni ssee’aoa àtc cpi ooilaaamnslq , dp duseteeee lsl.c’l ieéoAn tmdialni pmva eidpudsep,nu same, erv mstioei emeyunsoxéutn c.cr saeAo nq miainusvpsemeirl,csee cnssce doee rntqq etsuu ecl’’esueos lnma leegom evnpneedetnuerstt-.- gaeuntDacenevts a odnnet cclaoe ntrtédeua rsmeslniateeti .co Aenuu itxna éqnguta iol enn ’ eyan datmrrreHGii orévlrneemeé sotcninq etabu leuepussxtas sq .(ulie sse v daéleburrosuD, eilDl epl’aeesgnn isriedtr éboielong dieasn,s e ltac .v) ieet, à l’aide dsoeA cgdieaenluitsxs am tdiéeocnanismes les moyens de les atteindre (ce que chacun era, concrètement, pour réaliTsraeitrem uennt diérencié Auto-identication aux 4.1Qu’est-ce que la socialisation ? idéal), Merton a élaboré une théorie de la déviance qui ait réérence à quasetlorne le sexe membres de son sexe Lasocialisationest essentiellement un processus par lequel l’individu ait l’appren- Socialisation types d’adaptation individuelle pathologique. tem4LdlLdvdgqldpna’aoi’’nruiia’iuuausii.eeê nsdoddstsfnsi 1eLtntn ucr«euae egdicrlaet ndn.tpegnenlniueé i1e tecceuee eotdt rtcel,ipnti uino exn aot odttics e iémv atéé n»tu4ù-eU ed’ umaec. ess .lsd ps 1sie nettPnos q llêeaol o,lm e tétt asecdum s np c os-cemqr ipaàueeii saacu eo aunsa-assn erlaegd tpne s eelicro xeeddnèaeie snss epre«p rrtpicp,uetostet r aeem[rr putnésrei os.séro ues.peiraodtpeip. rvsc i éd]i tarmi’teàélrmca éues tt e’rpsni m êeo nselben ,udopee’c tlssnitnrle alnrcreneea.asucseas rem i) tsdrbeEhs r ancgt ,. nd l i edralelceeldaLcedvleuatptoe’mrsee ii’eaeim atadc r ànesr l p tpupég«tcuoe le.dscrlp il exsiiomn’ trooeperCosioua easnna mti rnonooentsrtq ns»uéd énta imn tt eut stêi c(i»esea irdardnvCceerto mnsuteteterieetan umi d.ascrc et coren dtpc tnuu epahl(apn tiaheeeltcn ocaietc d’onent teeoitqnz«rdeaseoa,tès txu nu eai iàl1lnrediéprsesyooeeuen9 re eqe)slsl u qx9tni ’ upld uéeé:qelr6a’s u ’neo a’tqimesiu,u luep»d d ir’nlp upe tqasna eatesere él ia ou sen es8e’pnlnrego euee t4ii seteolncré éèn is) tr’.(nsmt(oqertc. o i mé eore-dpCsrndsuTuaa.euséc ealoesrippteut xpe ion: tceiipo acs))sron eisop,d.rasilruoe n oeat ml lérendsii’ce uirgtssae atedtop e ure sp si lé pnmsé’mdco’neyspui aaoteisdp tapaeni-nDr lt tmnoearolnaesècieetnuogrsdot mêeecnt laantso inmedt yai-ensu intxmsa’asuv iéaettse, anv ei o àp ,êgot Clnc sie nédemrpencpue oco iootiap( andcte aà uvunmarropthi l pote vunmtneuaeeeiieriinneeerrr rt:----, PimpdIRstdealsIRstsulne’eiiddueueitqqunreoéeedstmaconxeerrèn uunppqe . nasiect)nnuugnsmeetrruniueiu, éémernn èdssttipetjespetlssiire ir iselsfett ss veeeseerltp,àééaoreuuoien, snnnnç ddt riss bcré tttssrsotueu isd e aa a itjeeaàndpspsaepe uo’ ttimmeê es’ltrdsiilaacdupuucooseetit trroibbi r ninepsnnisi atv-qoedavlnll iir ma eineeec,oneugseàdd, ldrq i t.doesrbdi ê eetedds opuluué n’pjeam t,(aeeeuenss ee.cn qe eg cpsoorec l.laccrus ti)itolu iimenlrcaai lo eae’ vinpl i.dtrretnntool(ee)éaauri ijt.tndonnstsve ccrétld iauepidduettedsv(ééelrréénânsi,iuedrrteeegtiiés ssuesd, --,,àe bdddv«o(cot soa’’ùuaruuiubnnas tLLCtnisc vlssileeeeel sci arqi ulds tstèaeisuaaa xléesg o,ddtebb rr iacmeq ahlé lllebieenanusèéa aal oo siretset ucué eréuotaaou t nrs6uceddr,mint .iit eéeh4m ége làmalt èti eMm»udeé isr,tcse t deeo peno e tmt.encearaon tesLttintcrutnoéoe ,ar ct esyédt ne e eeév xgemrLPcs dt pn qateeanceeeot lu ml.sle)eamnnoeuveie .onubd mpt1em acedlrl0oslraneeere nisrndue èsdn ,e tqterr itlet naeoe dddu ta rrd nàc nPaéiiluedea s i’ trartaxcrépséi toedtèi eé ie evotac gtmr lgte IirensfaoIeeabIaiaoest rnnénriueiin y idtotdlcntnsnde etr,nr eà tfa dnscedr. mL d sieiee eledeveLasi rn amt c tlsiii etnlnav d it«oaadécssii er ugn coicee anorlsoqtio nsléisiay sqto n uàrgéseml pusànsmge iis seot eeirmo iest ntar osmcdys eo tmlec iuodisre rmdinotéepndtnim éretétn eceés él ,e» n eeaaess . cdeoq essecr atLpérisut n ncé v dm navso’fdeleeeoaa’ iulace epla pli ilcleadred r’netsoaumll uée néa dasccusnsrvp’tr eacy rso litx edsnéd a ulaadmciupg’snetsyoaoat tiiec s l otnadmalrp eneictnse mt omtaiigeé dominromroos,enuaomv bantyess n ee nsdneàbeuotnedne erémrun li.araeses:snsrtt-r pgbrelee.nuddrea nlas mlea tteièxrtee,, En ait, le « nous » collecti qu’est l’identité sociale est un héritage social arbi- contraints de trouver de nouveaux moyens (illégitimes ou carrément illégaux) de tls’reualnoir ned elleés sgd useéou àcx i éls’tienéxdse.i svI,il d shueé xdreèitsse qséuagi anrlaeeiçmsoseiavnnetc nedt.’ udNneo str aadmnégm nesionticto,i nal’sli n dsdéoivcniidail uep saa prdp ilaaré trcieleannsttes eàs ls’oatrtteeisn.d rCee, cotympme e dlee trdaéfvci adne cder ocgourer,e lsep toranfdc, dd’iannsu elnec et eatb lleesa ur adued esM deer ttoonu,t eàs sluoic siaolnet àa tlatrqiubeuléles ,a mppaarqrtuiaenntn epnlut ssieesu rpsa irdeennttsi.t éDse smocêimalee,s u : nc enlolem d eet suonn pgrréonuopme l’innovation. eL’tihdneinqtuiteé, ecset ldleo ndce u sno cno ngsrtoruupite s olicnigaul iqsutiiq suee d éevt ecloepllpe ed dea nsos nu ng croonutpeex tea md’aillitaél.- D’autre part, l’impossibilité pour certains individus d’adhérer aux valeurs rité, c’est-à-dire dans une dynamique d’interaction. sociales dominantes, parce qu’ils les considèrent comme inaccessibles, dépas- sdéiveAisdl osuru sqr u qleiu stee p nllatae ns ods cep ihséetyé sd itqéemuneda eràqt urinéetcre l–all,me eceltlrue e ddle é–sv ciedelo eqpnuptiie tné pes aparr caéiléiilttleaeu bprlaises su l nae ett âcsctuahlnteud àrae lr ’didnie-- saéyeasn to due ms ocrraolyeamnecnets idniacécreepnttaebsl e(ds,e ps eÉugtl ilseess c, odnedsu sierec tàe ss,e e jtoci.n).d Prea rà e dxeesm gprloeu, pceess personnes se désaflient du but « succès matériel » et poursuivent des buts autres Chapitre 4 La socialisation 5 (ascétisme religieux, dévouement total au développement spirituel, etc.), souvent jugés illégitimes sinon illégaux, tout en acceptant de les poursuivre par des actions (des moyens) socialement acceptables. Cette non-concordance s’exprime Individual_Ch04.indd 5 06/02/13 10:22 AM dans le ritualisme. L’évasion, quant à elle, se traduit par un reus à la ois des valeurs et des normes de conduite. Elle exprime une orme de démission qui se manieste par la La diversité ethnique entraînée par l’immigration n’est touteois pas répartie Tableau 6.4 Les modes d’adaptation selon Merton de manière uniorme dans toutes les régions du pays. Comme l’illustre la fgure 8.1, les immigrants ont tendance à s’établir dans les grandes villes comme Toronto, Mode d’adaptation But Moyen VancouvEerx eemt Mploenstréal. On prévoit même qu’en 2031, plus de la moitié de la popu- lation torontoise sera née à l’étranger. Conormité Adhésion Adhésion ÉtIul dimiapnot,r ttera dvea inllee upra, se ctco.nondre les termes « immigrant » et « minorité ethnique », Innovation Adhésion Rejet (désafliation) bpVileuonsle qsuour,u’ ilvr aes’unadtg eiisusssre,u eedtsec .dteer ml’iemsm ciognrnateixoens,. mEna ies eeltl,e sle sn em lien osroitnéts peaths ntioquujeosu rsso.n Lt eles Ritualisme Rejet (désafliation) Adhésion teSremcetes, « c poemrsmounnnaeu itsésue de l’immigration » ou « immigré de deuxième génération » soenrtm éégea,l eemtce.nt utilisés pour désigner les descendants directs des immigrants, qui sont nés dans le pays d’adoption de leurs parents. L’expression « nouveaux Évasion Rejet (démission) Rejet (démission) arDréivcaroncths e» uers, tt oqxuiaconmt àa enlele, utilisée à propos des immigrants dont l’arrivée au pays esett cr.écente. Rébellion Rejet (contestation) Rejet (contestation) lqeTeuuexeArrt rrf«soé nnormié cdsoiitesée-t tQs,eé o,ua ducée’lbttaiicgvcé.ncicsueotereis ill e», loeausit « gq nouéueov l-eeCrsan inemammdeiiengntrs a» .nu Sttiis l cisseoesnn att pdppeaser lmloaietsimo dnbesrs e sesox ànp tpr geaésrnst iéeornnatslieè tmreele ldenest Les éléments visuels : uvetialius é».e Isl caourtr edcotenmc eénvtit, eilr idm’uptoilritsee rd ec er atpeprmelee rp qouuer ldeé psrigénfexre d« ensé oim » msigignriafne t«s n ionus-- tallés au pays depuis plusieurs décennies et dont l’appartenance à leur société Lestableauxet lesfgures apportent 22 Partie II L’organisation de la vie sociale d’accueil n’est pas particulièrement nouvelle ! La proportion de la population canadienne née à l’étranger un complément d’information, facilitent Individual_Ch06.indd 22 Figure 8.1 selon la région métropolitaine de recensem30e/0n1t/1, 3e n7t:r0e3 A2M006 et 2031* Pourcentage la compréhension ou illustrent de façon 60 2006 concrète des aspects particuliers de 50 2031 40 la matière. 30 Canada 2031 (26,5%) 20 Canada 2006 (19,8%) 10 0TorontoVancouverMontréalCalgaryAbbotsfordOttawa-Gatineau (Ontario)WindsorKitchenerHamiltonGuelphWinnipegLondonEdmontonVictoriaOshawaVSt. Catharines-Niagarailles Ottawa-Gatineau (Québec)canaKingstondienKelownanesBrantfordBarrieSherbrookeHalifaxPeterboroughSaskatoonReginaThunder BayQuébecSaint JohnGrand SudburyMonctonTrois-RivièresSt-John'sSaguenay Source : Statistique Canada.Projections de la diversité de la population canadienne : 2006 à 2031,Canada, Ministre de l’Industrie, mars 2010, p. 31. * Le scénario de référence est établi en tenant compte de la fécondité, de l’espérance de vie, des niveaux d’immigration et dela composition de l’immigration prévus pour les prochaines années. 26 Partie III Les inégalités et différences sociales Caractéristiques du manuel VII Individual_Ch08.indd 26 30/01/13 7:04 AM lequel il évolue est considéré comme socialement adapté. Touteois, il n’existe pas une seule et unique orme d’adaptation sociale puisque la société n’ore pas qu’un seul modèle de comportement. L’adaptation sociale se manieste de plusieurs manières et à divers degrés ; elle peut prendre la orme, notamment, de la conor- mité, de la variance et de l’adaptation novatrice. 6.2.1La conformité Comme nous l’avons vu, le contrôle social peut s’exercer à diérents niveaux. Ainsi, il existe un contrôle exercé par la société de manière globale et un contrôle exercé par les divers groupes auxquels nous appartenons, comme la amille, l’entreprise, le groupe d’amis ou la classe sociale. Le contrôle social peut varier d’un groupe à l’autre, de même que peuvent varier les réactions des individus à ce contrôle. Les gens qui se situent au même niveau que nous, socialement parlant, nous amènent à agir d’une açon plus amilière ; à l’inverse, nous sommes plus enclins à éprouver de la crainte à l’égard des personnes en position d’autorité ou de ceux qui occupent une position sociale supérieure à la nôtre. Quoi qu’il en soit, chacun est soumis à un contrôle social qui tente de régulariser ses gestes et ses comportements au regard de ceux des groupes auxquels il appartient. Le termeconformitésuggère l’imitation presque paraite des gens qui nous Conformité entourent. On parle de conormité, par exemple, lorsque d’un commun accord un Adhésion spontanée ou réféchie groupe d’adolescents adopte la même tenue vestimentaire, ou que des gens d’a- à des manières d’être, d’agir aires se vêtent d’une même manière dite conservatrice : complet gris ou marine ou de penser provenant d’une pmoituér pleesu ht oamusmsie ssi,g rnoibfee rc llaas ssoiqliudea rsiotém, bcr’ees ot-uà -tdaiirllee ul’ra pppoaurrt elensa necme mà eusn. Lgar ocuopneo, rà- poure lsas isoonc eiéxteér.cée par un groupe une équipe, où existe une cohésion. La société, au moyen de mécanismes de contrôle social ormel et inormel, nous pousse à entrer dans ce jeu. Nous cherchons une identité au moyen du pou- voir plus ou moins réel qui se rattache à ce jeu ainsi qu’une justifcation à certains comportements que nous désirons adopter. Nous choisissons ainsi des vête- ments à la mode, dont la marque devient un critère de sélection (Hilfger, Dolce Gabbana, Jean-Paul Gaultier), et achetons des voitures non pas pour ce qu’elles sont, mais pour ce qu’elles représentent (Volvo, Hummer, BMW). Tout comme l’étude d’Asch présentée au début de ce chapitre, une étude de Muzaer Sheri (1936) a démontré l’incontournable besoin pour les individus d’en arriver à défnir et à sou- tenir une norme de groupe. En eet, Sheri a mis à jour le processus de normalisation qui parti- cipe à aire converger les individus vers une norme commune. Dans le cadre d’une expé- rience, il a utilisé un eet d’optique créant l’illu- sion qu’une lumière de aible intensité se mouvait de manière erratique alors qu’elle était en réalité totalement immobile. Invités à estimer indivi- duellement la distance à laquelle cette lumière se mouvait, les participants tendaient à réduire Lesphotoset lescaricaturesviennent progressivement la variation perçue en regard d’un barème qui leur était personnel, chacun égtetrnaobdulapiisees nactn etté tsgeaa plmermêomperneet ndàois rtmraénedc.u Ienir, veli etépss e puàa éràvt aicpluipeeuarn etlnas Ncvooolnso noctroémm ditpeéo .d rJtéuessmiqraeunb’àtils int édo ess othocauiabsli etlue.ds ejos udres scoonnts oinmfumeantcioéns tpraadr uleis deénst icr edtete dynamiser le texte. En lien avec le contenu, elles mettent en scène des Chapitre 6 Le contrôle social 15 variation perçue dans les mouvements de la lumière, personnages ou des aits et des situations mais cette ois, en regard d’un barème collecti. Ils Individual_Ch06.indd 15 mpooudri l’aaicecnotr daeinr sài ul3en0u/e0r1 / 1n3no or7:mr2m7 eAe Mc oinndstivriudituee lcleo lliencittiivaele- connus des étudiants. ment. Cette norme commune n’a touteois rien d’uni- versel puisqu’elle varie d’un groupe à l’autre. Sheri a de plus observé que l’établissement de la norme col- et divers problèmes de santé mentale (Ehrenberg, 1998). En eet, la réduction du liàen csf’tuaivenenc trsee.rs C td eepo esrnotedrmtaene qnt,ut u ein,n emf uoêemisn ecé éts ai bpcla’ieers , tdl ael ens oleirnamddeiev rti edqnuudsi cdpdouooneuntlrclr e ôul.’l nieOne der ,ixi nvcttiéederlruildee ué-qcprui e iqa nua duadannhnt è cparereu i exxvn :mo tcrlaoeennl uliteèia srid erveeso mdll’oae’ênunttgtré emsa eeuitnnx dd taai’avttigtiodeirnnu atedeullesge smss eoeexctn iitlgaeeel enlaosc .nel icOsbt enieor nntcvéno eiennrmssdt eiasvntoieti- dévie de la norme, il ne sera généralement pas suivi collecti qui en découle. par les autres. Au contraire, il sera plutôt jugé par le Comme on le voit, la société infuence incontestablement l’individu. Jusqu’à ddledyt’uesi n l erepsersri lsé eaétsttve eedérnr’ n,et se xauempltro l lerielqsn’esu tqx asehupc ricc.els ieeÀt cloupea crtx taiebi etqosuinuon tsni np, cl rcusroeee,inp lumaoedxps uis eepdior taus c rdu lipeaore ial lsoslesaso gsde cuésénio.esot Ac ilacrrnslnoiiae ouonoitdg oserlrmmsQeuton mneil uig,ea,nm ds ee i dledec eae àqe e uodp n e u re nsosanccô’gsiiosie lhgolrtt v nea- o nordàeop muldéiiij nuslludprului iieocgtei-rrt mésue egajô ot?mcstetlêtie eueiornE mend s mrsglapniel n’.ruueima t n Eca,asxerd oet lni d rnieeutc nse s oprodsntt c rpuoélenaeeiaqbsvr smrs epu éiiuml aagosetrmiémnn etgeri pà tserceidlè q, oseehé, ne’ u adnsuteldneaeebn ’rvn aob caeoremtnnlha ei irnàdtnareêigds. ttée-asmce rosmedsno. eesnCdttn ae oeést tpeuetliaesrr- qcvdslvetsoeaeooiuedlgbnniseleireut lcecl es i eetl mupo ’dlidiplvnnocoeeeteiedimnmi onmos itltvgaein on e diun cvgdndaeeteiuunt ee rl e utgpsr oeeese rilurtn- u,a n c a o dens’ipdee uscdlpepxit oesb hoeeupl orlrournleaençitrtebcrss a-sd it e i lqoceiee drvanuisstnese’éttteet mair m lnnjpeseaae ,t lsi midusnsrctno oés otdea.i tpcm ldniialsihvu’ Oécm,idie snthdgr oéoef,eauq .u iu rgs ruCtes ?eieeee ite ln o . elP e sccnsSpaotooes eu ouccn qlsjqilrioqonauéu unuustlt’r’ei é srie ldcll de,,e s ere nis’soeplhr e vtspcnocu aouio’huaioei cesnoursli,e olsidta erxp ,glrpa ss ecauaq paushr eupqsr,ita, ne lau epacddq g’ln ouueeiucéovnrssnu eiu p se dllàbsitlsa beuu ge art lrrsras oeqaae lei u’uinds esostseodne eu r nt semqesc éles osu’ocnbi mpidiernulntioe éb cesdcsnonelesiaeet.--,-- l’amener à compcreelnudi rdee lsae smoélicdaanriisqeur ea vseocc li’aenles edmebrrleiè proeu lre ê ptrheé rnéocimprèonqeu eémtuednité a, cecte pàté par lui. Ainsi, la sociologie est essentielle pour mettre en évidence nos choix, notre inter- proposer des théEonr ieds’a putoruers l’mexoptsl,i qluees r.opinions collectives deviennent souvent des normes dépendance et la ragilité des sociétés actuelles. sociales, et les gures d’autorité, des modèles d’application de ces normes, compte 1.3.2Les étetenuncuod rdeeu s dp eroséu vsaaolniircs toéiuoe ndsse slàua b dptiolaemsri ntoaiurti oddnier qe cudt’eeolsl enqsn ue’éexleelerscse nptr éssuarg elan tv ieet ddeess g evnalse, uorus RÉSEAU DE CONCEPTS Les principaux objets d’étude de la sociologie seconqud’eallierse esxpriment. Groupes Il arrive parois q6u.e2 d.e2s éLtuad veas rsioacniocleogiques soient réalisées uniquement à partir Lsyenstrhéèsseea uex cdaec dpddnceaeeaoéit rmnndos ndéo agédc’rnaéceennunhssét éseereeri etsxmcaes ilsssé .ep ettemCacah esoneot gntnQdqdlmpddtèeedéuut’oulisi er t’ an’lcgi,aréée ol idtrso epnareogatae n mpascuerinusqntuosrpst ,pèoutdum m ecr-lnnicoe eseld’mee eqhn sdduorn pescueelqéudt et ee éuus-clac o laàvn pesrtsde -iiieplodrdslq tseleroeeceeei,up lrr cd n ilzsepsedeo oo tu,o erc ls:àilccinéo vtolletl o eanepcregs dmac selé uaploip ts desrqmesreoia tteeuqe inieràmpnmsriuc n e gtaundidtte meurnr’ih’ee,oereta esée nsinqjc,ua ce tnpo snu rttuppoetréeéril aoriiee ertesitscs.seu, s usee o Lodrrp tllrenc spn ltoae pu anh.lrensn iatLeeeeincaassrs enr àtl i tettintdc m tiecexepieéhessmhcn ael oà edlltrertueeel rueteétrrneem ar cceéqc tslpn hh fuoeeec.at ié eentnoc rE accrudtenconc ohruenusnoh n iiun tapqrrrerreedimu aôensv à ’orpàll éieee paee pe epl?l tlir,asr tel aiàSosoc eo d orcvoduca nteniianirnutioau rés n deleilmx ,eat ald eleiel lnllèoeltiaesese tmn- leésads e netc.o o ocTprronotamenuro aesterielst--- Sociologie s’intéàresse Odeertg flaaon nsicsotaciotiiénotsné l'andpaealsryse PhéOnIorngmsatènitniusetasito isnoosncsiaux moins un cadre tvhioéloartiioqnu ed epsr néocrims eest pvreoilvloeq àu ec eu nqeu eex cclhuasicounn. de ses arguments soit abordés. éthtaèyseés e, td viéursiéaebsd lpee.l S unOesoln omon bua lr epemsua ossroeinoscs iisés olt aécqrsiugé, taelaéml sit oetélrnéa trdd,a ’indt«ic éeoecsn oasnuaue yllnlaeiosnsnm ta- rtdeet ’e»san pn(deCacelhnty atds meuesnsp enda oegor nmrtteyee,p s c2e vo0 ans0ro2oice)r.i m ocPlieatorés- edxee lm’inpdlei,- Problèmes sociaux gviiqenune,e mnta siso upvaesn ttvuo insduetuji omc, udoueruls tseu orrmr éltaaee l sidqsouiésn’uect nsua esus slsoésiugoitèsnôr tepo rduréimbplréeiirqm eduné’eesc .nes C qup’uhre ysêdtst eieaqssiun rseséo ioa cquliiu atueéln esl ces sos. o mOpcepri,rao sclroeteenssm n eeeetss nps taar ueoinxs- rcehiegvneaunxt indiRviadpup-osortcsiété pesossaeinst s doecsio ploogiinqtrpusoae urdsxiea ps ove uduu aevlen epssn etder étmeig nmaneloeenmsmt sbve,ri vneuautn nsc etpo sesn eusturo àilceb isléua teoé mrns .tà a Pnlooaiunèrv grarteeii rlmdl edepue srl sané, o tpeéuhn vcicleooolnrlseseoi sdpa aéuhrvjiéoeeeun.s rLu dcee’ohssmuim, lea dveies a3n caolynscéesp stieolnosn porteuses de réfdeexsi opne rtshoénonreisq uaelb.inos en Tanzanie est souvent menacée, car la culture de ce pays leur prête des pouvoirs magiques. Plus proche de nous, on constate qu’il est Certaines théoprluiess d iinécdiliet edse os’nélto éigtnée cro dnes ltar nuoitremse p daarn sd lee sg rpaentidtss v ailulategeusr sq ueen d saoncsi loe-s grandes lsoeguires eosnste cnotnieçlule dmvuierlebslena hsit.n y àspD, oaplanta hsmr ètansirroeg ssde edsd o’eedc xlioiébpntelénircsté aéec tesoios ntsnt pee cmcluoopsnn ovcdraeaasriitnnreeea :s snn,. to p Anl’aé isrnvetsoiucill,uue lmdtièieoersnen mt g duerennas tnp slddousasc n igpésre taélnnes-ds nmoimlieburxe Déterminisme mInédthivoidduoaloligsimquee Interdépendance (Marx, Durkheimd,e S pmeondcèeler)s, ddee sc toymppoolortgeimese nstosc siaolnets c(oMnasirdxé,r Wése bcoemr, mFree intoargm) aeut xd, emsais on y mtaondtsè loeus eà xlpa lsicuaittaeic scdÀ eee ps cttseere a ésnvugtaajieueltelx,m l eGiemmunyept npoRtlrou tàcsa h paneaitrssr é (tmq1ir9ue 6dni 9eto) u nrneta ecipt h dereérerrmmocghaisare qtdsiuo eeen rt c pdoqaenur etsdi teotrloluceuui tràmee cs e eclnueetxsss- ct sehio.xéciiosé--tés et les 20 Partie I La nature de la sociologie ries. L’enquête soccuilatuler eess ot urneen ta ucnt iévviteén timailp doer vtaalnetuer sp odoumr linea snotecsio elto dgeu eva, lmeuariss seelcleo nndees (voir le constitue pas l’unchiqapuietr ea v3e) neut qe ud’eell erés foenxti oprne usovec ido’ulongei cqeureta. iOnec ctoalsérioanncnee vlliesm-à-evnist ,d cees rc-omporte- Individual_Ch01.indd 20 30/01/13 7:33 AM tains théoriciensm seen tpse qnucih se’ennt éscuarr tlean ts.i gBniein cqautei ocnet dtee m aaritgse sdoec liiabuerxt éo lua ihssiséeto àr ilq’inudeisvidu varie en adoptant une dp’eurnsep ceocllteicvteiv pitléu às ll’aaurtgree,, Rpoecrhmeer tatanrmt dee q ua’uirnee lpea prto dine td oécui seionnc orervei ednet toujours synthétiser de manière pertinente et originale les données existantes. Cette 16 Partie IIapprL’oorcgahneis aotiounv dree l ad veie snoociualveelles avenues de réfexion et donne parois naissance à des explications essentielles pour éclairer des phénomènes sociaux signicatis Les questions de révision : ou la dynamique du monde actuel. Individual_Ch06.indd 16 30/01/13 7:27 AM La rubriqueFaites le pointclôture FAITES LE POINT 7.Pourquoi est-il particulièrement important pour le sociologue de chaque grande section du chapitre par onder ses travaux sur une solide démarche scientique ? 8.Quelles sont les étapes habituelles d’une enquête sociologique ? des questions de révision qui invitent 9.Expliquez en quoi se distinguent les méthodes quantitatives et les méthodes qualitatives. l’étudiant à vérier sa compréhension 10.Est-il possible d’eectuer une analyse sociologique sans l’accompa- gner d’une enquête sur le terrain ? Expliquez votre réponse. au ur et à mesure de l’étude du chapitre. 24 Partie I La nature de la sociologie Individual_Ch01.indd 24 30/01/13 7:34 AM À la fn du chapitre Pour aller plus loin La sectionRésumérevient Résumé Volumes et ouvrages de référence Audiovisuel bclLsceohiarscic a èesiépevosli éceltdomtmr’iegaoee inanqnnauttElns yesx seudepesr’rre s cqconeeeupn zriota tpivsiaerleoileons t dnr.sreeeg ps sero sneeiotxngretatsrirr -ddu 123...LcmpdltpTàpcngmsepLadm’i’oéeeel’aeaootaueo-ioeieêd nuvptsnr rrnrx nebxnmtiaadbat tte r eeoxecanietieammlosorepsuv aroimou ruescinc l«a çèèmèurdsxie u l eemcsontttm,ienaaourlinprr ni noeo setueeqcc ecoeqtemdscrmn i cu ss soémrsupors ph’e i .ta euntd.e i)nle(rudpd e éa uicnjes’nsCscmemoeate lsosecs’tiae etuasgte t nie as)éb reasiis dl xnnérnniii slnouauie n»oa neonagttn.eetrsçrrnpi s srandemcmo eo toms tC llistettevreinivda eiit me)dat sio i éà.’isséndltiustêlopnav e ta .)ooueuntcle etselnraaorrsoLltri erntmema tniu esugc cpr ol c(e do oejeàesae(romadrcle eennm no lmliduqaeelmorls etttenuéoruds emsrnalsn tsimôéig ihp,tnt l (ia e ielrcgulolnétttoseidôinneéio ésmlnmertue aeltt .m eeie (s ld mvriislavosrstne’ iàaoepeP e asisen idss lnctsosseorà’co étiil iitc tr nr’orcu aacmea e otddteepdmrinleslscoac,n eeiosaixc ermc,vuptld se ed s ecerioectmdop deécrèv,’ srpopec ereunettmlla ttmodéeeeeesun euteaieeeàrtusrssssxttt------ 4567....IpnlrnLciUctsslLsspqeniloiiors aaauioaiouoqonovutinatnlrn mtreréuneeenre crhmdimntl dsger da ,s iteoébdidn erér,eisaviu ioxlvae eveeaneso sori qit(entn sgsa dls t eg ciulid redooqàia qtunei isdnaqéa’riiu n uroc unsevaeacnu,clsel eirei n orsac lt ooedmosid i ci cst tmutl.nunugeeée’irt aioecio ihasrem nt i tdtononsCon dsrè lé id uràevtiu pasnnéoeromsi de cdevpeelilrdrsrilseo i oiotetisaieudrndiaeteaté roounj é a tiemdunetsi tocn nspnn) pr éêst .ojuietti dséseu settv ti Dqm dé’tgé’ .r dorieulaa ueaue’’i m.dma’xdticidb aenuEmn n,cuiuiccaa ovL ocnqedelql ltepoeluptraelec’eu i ruidoovromclerstso eeatéienl gs s sdaansar.dnp l,aie os ee umt iqof eattrLnl tmicip lr iisiuc’ob è tstàtgoaeiel mtiséé eniauveré densxlsetot ise ids ptte nésaisolplgué qn iéé llg d né c(peoip um(o ddpdcri iedo,uodaèeeedreeaead a émsunrelr sé s àt’) tvedeeesvcim .stsil oeli iseaus escataleeesns’aiéostxorn éenonn,t . mn s r nxseancnictttlprni c de’,aatoèineleenuet ile)ernunéasulslx.enraenesrt--------- LcBMD2vaoA0EEenlCS A.rCldlcLésLqds aeiocHU1Jsoeoed’ueeedasurAaA nci 8eLtpm ccucitr RittPSIt Neoe,oatooohtiEcee eoDonr uiléCnnnmhnéU sitNnm-nadI°vttoatr eEgN, rrpvrroleai drn bôô ôo,aosaAi1Sosr n egellurlgdAdr eeudrle,s,eessiWaeav , uénr pi rD sse sniipd q2e dPlpnnoo.droeeRoaoés nerr0u acce c7tééb( évuttasiirr1d e2ieh-aaisegv ai.n1dusr(2oeè0s ollil1cm, sm. 8 ,r,nm ei 0 epe m 9rod«e,3tix[st,eon5 ecee 8E i Le [2tsus ir i c )Ene s5.éédlult.v2 aejratentpU eo)oarerM sé lc . o ipasnidlsn u ll.gorai’i«ncic . eodgçcnnrqr d itdL ceemanénheétutueargnreoiere]aii nsôn ami,cc]uslcss iut ,loerp awt’toe Fidde inànx-wrut oqnw exéae st hewuuur tcsmlowXMiôrirentsecVtwôccil.p éetInioaeleIdlci.oIe. esace neunlehrs do el riles tes oàqutg»n eit lpioc, uèdi onevlqFeiacaeLcaossitounrti el ili a.rsleude. srdoeé t.ul oicIDoc»e a erdlrdac ,cugo seuleliiuaoas emCétvs plé dnniostetrtlré i ié :st iaeqmém rdrsc u,tuôutlueiéniaaqxiln nec ,t curé ostéa oiderllsolno naoesoonciq-tsgsrecriumémôi ieeatleaee,énl,istt G(NRBR1aaLAI0CdAdN1LaPUcClsaàCllsdcK’’eiIiechioaaSn ooeoSee nn,s lèmsinn n’ nus E-ea, sfrCdTn Ca td uér téuLuidCdérloctheonnigemao,atetdéehllc unr)ioliéavnunrnDloca ai .uedéeermsvdunachtntsimee miri,t,tee dadd ass is éonsdele j naeie’réi’au pdnuoneugend 1tnu es,cenhxai nseext ’9txQssqtui2as use .s i,6cp.upun S oj iu 0x.te«mroérsno’0e Ln eéuào uL1lgmolCeunae,,ébe i e 1asu srdhaect dlypcee ienvé,rs eesbraditjrcx cea egaérlee[ ssrepv séeismEsgpsdueqn e,ervésstt . numré uduui eêFq ecridsrLdp emirernmtrehue e’él ee ae,eeaisqpsauinn eg e n xndiuBulrndltrcrdtno epa ios uecidxeosAeinele sée dnenerdme n mC gs]arc s ssup,m éi,np pa rncu ea pipiloc2eiFolwthuétertnntuioeir iri0nicsédslclllqgwqéstu ieme sa na,0eee su uevg wq sddnou uF s9a,enea» ddu’ .ie mrr ou,.n sn Atgeàeeaédp (ocnmtgoE èl l9gn elaim luM duesûanneium1 ecime. slntlteeqmintansee ls is t vgdt lem u es dr ldctotavriTumsa rê.éoeaaerééige înlattnasnmnéj clé neoes)éi e uetudtrg.edu,,soh vénrt sipa e, uorrdoSi aà, l,ésnap a m ca2dlo drmaiiglrsu toaet0acomia ls énseicdsnlic0ls t’ és lo toudoiee aéapqt8ietnrne oitarueéoutat stta n.nd tleervidirnnuteecse aifeeicm èni.ngrsieteésr. l’étudiant au cœur de la pratique Exeardcapetazt iovno ntorveat rricee)g.ard sociologique clusion du travail salarié ou le reus du pouvoir. AssPcdsoyaoecsn uiltaa’rèA tdemCiinoeJe nPn s,d na cueevan o jnd uioraes rp dtgcilciarueiensmn ipssninméueonr e ldalo avlege o ci.jelruoi mesnttti iandciaereel ij tpuvééso etnuitcaé ed làe ép .cl é’woanumwavléwreil,r.i oc vlraciasjaRitti-oeeavznc u cdjeepu .sciate http:R/c/hemeennnadeb elliiibzeg-lrinveooe.tchuaesque. et de la réfexion sociologique. Exercice 1 Exercice 3 Il vous est sans doute déjà arrivé d’enreindre, volon- Chaque individu est à la ois la cible du contrôle social tairement ou non, une norme inormelle comme une et son instrument. Expliquez cette a rmation et bonne manière ou une règle de bienséance ou de illustrez-la à l’aide d’exemples de la vie quotidienne. Lparé sseecnttieo ndePso suurg aglelesrti opnluss d leoin sqrÀcrceeoea usgln via csaoec heriensdran-p u vpotdtiiiitnvsrete r?rt e e céed.A.e txeQvétpe tu letczieéce- vlemitltoextaoeuspni s éntor rsérnie lef?te c en asoQxcl omiueolr’ imsneee ,sntée tsétdn-éc lcea eqlésbe u q ospneu raor eeértzv iaclo oaceunu tlsnsisaou nvrviétuosease u id?etsseea a sduc ae aednuinesxt DmcgdEoi’anexennaxneselotris tmcrlém eispc ? tiulet eaéiJ vsb4,ua. lesanatdtisua e: pc zcti a-odvtneoiotsonrser om nucoitshvé,oa ,oi txvrù iac erseitia, t uniclelcruiremsi,et irzdne-évazovl-iliuteaésn àcele etsl ,’ m aésialduérer--- ressources complémentaires en Exercice 2 Légitimité Illégitimité Du point de vu sociologique, la déviance est un produit Légalité lien avec les concepts explorés dl’ien dlaiv sidouc.i éEtéxp elitq nuoenz epta sju usnti c eozm cpeottrete ame rnmt aatnioonrm.al de Illégalité dans le chapitre. Chapitre 6 Le contrôle social 203 204 Partie II L’organisation de la vie sociale Individual_Ch06.indd 203 08/03/13 1:11 PMIndividual_Ch06.indd 204 08/03/13 1:11 PM VIII Caractéristiques du manuel