Description:Mes 50 écrivains de chevet. Il y aura dix ans, le 9 août 2010, disparaissait Louis Nucéra. " Je n'écoute plus depuis longtemps les moutons et les perroquets ! ", disait-il. Les écrivains qu'il aimait étaient les esprits libres, tels Marcel Aymé, Emmanuel Berl, son ami Cioran ou Joseph Kessel, niçois comme lui, qui l'éveilla à la littérature. Proche des maudits, Louis Nucéra aura bataillé toute sa vie pour faire sortir du purgatoire les Calet, Guérin, Perros, Caraco ou Jean Gaulmier. " La critique négative n'était pas son domaine, écrit Bernard Morlino. Il préférait dire du bien des auteurs qu'il estimait plutôt que de se faire remarquer en disant du mal de plumitifs en mal de gloire. " Ce volume rassemble 50 portraits inédits, autant d'exercices d'admiration, une bibliothèque idéale.