COLLECTION LES LANGUES DU MONDE publiée sous la direction de Henri HIERCHE SÉRIE GRAMMAIRE, PHILOLOGIE, LITTÉRATURE VOLUME X PREMIÈRE ÉDITION : 1956 HISTOIRE DE LA LANGUE SANSKRITE COLLECTION <<LES LANGUES DU MONDE » F. BLATT. - Syntaxe latine. A. DAuzAT. - Grammaire raisonnée de la langue française (Médaille de l'Académie Française), 3e édition. G. GouGENHEIM. - Grammaire de la langue française du XVIe siècle. M. GRAMMONT. - Phonétique du grec ancien. _'\. MARTINET. - Initiation pratique à 1' anglais. e. MossÉ. -Esquisse d'une histoire de la langue anglaise. L. RENou. - Grammaire védique. B. O. UNBEGAUN. - Grammaire russe. A. VAILLANT. - Grammaire comparée deE langues slaves. R. W. ZANDvooRT.-Grammaire descriptive de 1' anglais contemporain. L. RENou. - Histoire de la langue sanskrite. COLLECTJO~ «LES L\~GUES DU MONDE>> pub/ÎI;i! sou;; la direction de Henri !hERCHE DU M:f:ME AUTEUR HISTOIRE (PUBLICATIONS DES DIX DERNIÈRES ANN~;ES) La poésie religieuse de 1' Inde antique, P. U. F. La Durghata-V:rtti de SaraJ?.adeva, 4 volumes parus, Belles-Lettres. Terminologie grammaticale du sanskrit, 3 volumes, Champion. DE LA Glossaire de la littérature sanskrite, A. Maisonneuve. La Kausitaki-Upanisad, A. Maisonneuve. Grammaire sanskrité élémentaire, A. Maisonneuve. LAN(; UE SANSKRITE Les écoles védiques et la formation du Véda, Société asiatique. La Kavyamimâipsa de Râjasekhara (avec ~. Stchoupak), Société asiatique. Le Dïghanikâya, vol. I, A. Maisonneuve. Anthologie sanskrite, Payot. Sanskrit et Culture, Payot. PAR L'Inde classique: Manuel des études indiennes (avec J. Filliozat), vol. I et II. Pavot. La grammaire de Panini, 3 vol., Klincksieck. LOUIS RENOU La civilisation de l'Inde ancienne, Flammarion. L'hindouisme, P. U. F. Introduction au Vedanta, Imprimerie Nationale. Les littératures de l'Inde, P. U. F. Lexique du rituel védique, A. Maisonneuve. Ouvrage publié avec le concours Grammaire de la langue védique, I. A. C. du Cent1·e National de la Recherche Scientifique ; Religions of Ancient India, University of London, The ALhlone Press. A PARAITRE Durghata-V~tti, vol. V et dernier. L'Inde classique, vol. III et dernier. Brihaspati : texte juridique de l'Inde ancienne. Études védiques et Pâi}inéennes. LYON, RUE VICTOR- LAGRANGE PARIS, 10, RUE DE L'ÉPERON (VIe) K0~4 AVANT-PROPOS Le présent ouvrage vise à grouper les résultats de la recher che qui, depuis le début de l'indianisme, s'est concentrée autour de" la langue sanskrite. On n'avait pas encore abordé 3!?/G~(, ----- avec quelque détail l'ensemble des questions que pose l'évo ...& IIBIWI fùi: .n.i'..H JTEIA lution de cette langue, les conditions presque paradoxales vtH'..;CTP Ar·o: ç;.,.\ de sa survie. nv!Tt:.PAT, f"bl Sans doute le temps n'est pas venu (s'il doit jamais venir) pour une œuvre définitive en ce domaine. Trop de travaux préparatoires manquent, trop d'éléments resteront inconnus. Jusqu'ici on a surtout éclairé les débuts, les origines indo européennes, la structure des hymnes védiques, certains points de l'usage ultérieur. On a laissé plus ou moins dans l'ombre tout ce qu'on attribuait au sanskrit en tant que ((langue morte n, comme si l'étude d'une langue morte et les conditions de la prétendue «mort ne présentaient pas )> d'intérêt par elles-mêmes. Notre ambition s'est limitée à décrire sommairement les grandes étapes du développement linguistique, qui sont ~f moins d'ailleurs des étapes chronologiques que des modi fications internes profondes, partiellement simultanées, et dont chacune a pour ainsi dire provoqué un type de sanskrit l~ nouveau. Après la langue védique et les problèmes que soulève la fixation paJ:.linéenne, il convenait ainsi de passer Copg,lghl W6 by EdilioM lAC, Tous droits de traduction, de reproduction en revue la langue épigraphique, la langue épique et ses et d'adaptation réservés pour tous pay~. prolongements (PuraJ:.la's, Tantra's, textes en kiirikii's), 2 AYANT-PROPOS la langue du eommentaire ou bhii~ya (notamment du eommen taire philosophique), eelle de la narration et du dialogue ABRÉVIATIONS dramatique, eelle enfin de la haute poésie. A titre d'appendiee, Bloch =B. L'indo-aryen. il était néeessaire de donner un aperçu du sanskrit bouddhique DGD. = Dasgupta et De History of Sanskrit Litera et du sanskrit jaïna, d'esquisser l'histoire du sanskrit hors ture I. de l'Inde. Nous espérons en avoir dit assez pour faire le Keith = K. Sanskrit Literature. L VP. = La Vallée Poussin. L'Inde jusque vers 300 av. point des faits connus et laisser voir de quel côté les recherches J. c. pourraient s'orienter avec fruit. :\Ianuel = L'Inde classique, :\Ianuel des études indiennes, Le lecteur regrettera que l'exposé linguistique soit si peu par Renon et Fillioza t. nourri de faits sociaux ou historiques. L'auteur ne le déplore \Y. = "\Yackernagel Altindische Grammatik. \Vint. = \Yinternitz History of lndian Literature ou pas moins. Mais on n'a jamais mis en évidence le moindre (pour le tome III) Geschichte der indischen Litteratur. indice qui prouverait qu'au cours de son immense durée la langue sanskrite a subi dans sa structure, dans son vocabu laire même, l'influence des événements ou des changements BIBLIOGHAPHIE GI~NI:~HALE de mœurs qui ont marqué les phases de la vie indienne. Le sanskrit a été d'abord une langue purement religieuse, Il n'y a d'autre histoire du skt que l'ouvrage utile, mais sommaire et trop a orienté vers la linguistique comparative, de :\lansion Esquisse d'une histoire échappant tout essai de situation et de datation quelque de la langue sanscrite. Suggestif est l'article de Jacobi \Vas ist Sanskrit? peu précis, à toute contingence historique en tout cas. Quand Scientia 1913 25!. Le livre de Kephart (Sanskrit : its Origin, Composition a. la langue sort des servitudes védiques, c'est pour devenir, Diffusion 1949) ne répond pas à son titre. On annonce un ouvrage de Burrow The Sanskrit Language. jusqu'à nos jours, l'organe de textes plus ou moins conven Dans un cadre plus général, des faits de langue ont été abordés chez Wüsl tionnels, de disciplines techniques à caractère fortement Indisch, BKGhosh Linguistic Introd. to Skt, :\'PGune Introd. to Comparative normatif. Les divergences de style (puisqu'il s'agit désormais Philology, SM. Katre Histor. Linguistics in Indo-Aryan. Aperçu d'ensemble Manuel 1 52, Ruben Indienkunde 89. Informations fragmentaires dans les traités de style bien plus que de langue) sont profondes, nous venons d'histoire, notamment chez Hapson (vol. 1), chez LVP. (vol. l et supplément':, de le rappeler ; mais rien de ce que nous savons de l'histoire chez RCMajun)dar (History a. Culture of Indian People, vol. 1, 2, 3), etc. indienne, de la société, ne les explique ou même ne les Demeure indispensable l'introduction de "\V. (2• éd. en préparation). Cf. encore les introductions de Bloch à Formation de la langue marathe, à Indo-aryen, éclaire. Le «sanskrit parlé )) nous en aurait appris probable ainsi que, du même auteur, Some Problems of Indo-Aryan Philology BSOS, ment davantage ; nous en sentons la présence, nous n'en 5 719. Aussi Keith (chap. initial) et SKChatterji Origin a. Development of avons aucun témoignage direct. C'est le destin d'une langue Bengali, Indo-Aryan a. Hindi. Voir la bibliographie plus ancienne chez Mansion 158 et dans ma Biblio littéraire, de l'instrument privilégié d'une grande civilisation, graphie Védique chap. 171. que nous étudions ici. L. R. CHAPITRE PREMIER PÉRIODE VÉDIQUE SANSKRIT1.-Le mot saf!!skr:la, attesté depuis le Ramaya:r:w comme terme linguistique, signifie en propre « accompli, parfait» : il fait allusion implicite aux sa1]1skara2, c'est à-dire aux procédés d'« achèvement>> !grammatical (et plus 3 tard aussi, stylistique) grâce auxquels la matière brute du langage, la prakr:ti, est conduite à la perfection formelle ; ou, comme dit poétiquement le plus ancien scrutateur du langage, l'auteur de l'hymne X. 71 du ~gveda, est <<clarifiée » ainsi qu'« on clarifie le grain à l'aide du crible>> (saklum iva titaüna punantal}). Il existe sans doute dès l'origine l. Nous ne traiterons pas ici de la "découverte " du skt, sur laquelle renseignent provisoirement Wüst (supra p. 3) ou \\ïndisch Gesch. d. Skt- Philo logie chap. 1. Bibliographie spéciale dans ma Bibl. Véd. chap. 200. Cf. aussi, dans un cadre plus général, Schwab Renaissance orientale, passim. 2. Ce sens de sa111skara (préludant à l'emploi linguistique de sa111skrta) se trouve dans Nir. I 12, littéralement «formation grammaticale correcte"· L'interprétation de sa111skrta (n,t.) ou -ta- (fém., scil. : bhii§ii) fig·ure par ex. dans la ~a\fbhi"i~acandrika 4 " on appelle so la langue qui a été portée-à-la-perfection formelle par les systèmes de Kumara, Pal)ini et autres"; id. chez Namisadhu ad Rudrata II 12. Un emploi gTammatical de sa111skrta est ébauché dès SB. X 5 1 3 vdcam hy èvaildm smfiskuruté «c'est la Parole que (le sacrificateur} parachève (en l'assimilant) ainsi (à l'Autel)" : Minard Trois Énigmes ~. 159b souligne avec raison ce passage. ) Remarques générales PChChakravarti Linguistic Speculations 256 et passim. La source ancienne principale est Tantravarttika I 3, adhikar. 9 en entier. - Définition de sakka!a en pali chez HSmith Saddaniti 1132. 6 PÉRIODE VÉDIQUE LA LANGUE VÉDIQUE ET SES ORIGINES 7 une connotation d'ordre spirituel : samskrta évoque · 1 se sont opérées à une date bien plus haute et ont dû exiger aussi a • • • o sm te des punfications religieuses, des sacrements ( samskara) plusieurs siècles. On s'est demandé si les débuts de cette par lesquels p~~s~ l'Hindou de hau~e caste, entre la n~issance activité n'avaient pas précédé l'incursion des tribus << védi et l_a m~rt. L Idee de la grammmre comme instrument de ques>> dans l'Inde. On a le sentiment, bien plutôt (à défaut punficati?n est présente dans le plus ancien commentaire d'indice positif), qu'il ne faut pas les situer au delà du xe, grammabc~l, la Paspasa du Mahabha~ya, comme à travers tout au plus du xne siècle avant notre ère. Tout ce qui toute la Mima:rpsa. postulerait dans l'œuvre une date antérieure doit être simple Le mot << ~ansk~it >> est ainsi l'une des rares désignations souvenir. de langue ,qm ne smt pas de provenance ethnique; en revanche, Porteuses de la civilisation védique, ces tribus avaient le mo~ << aryen >> ( arya) qui aurait pu servir à nommer le envahi l'Inde sans doute peu avant le milieu du second millé ~ansknt (_lequel, pour les linguistes modernes, est l'(( indo naire. Elles venaient de Bactriane par le Kapisa et le Gan ~ry_en ancien))) s'est limité à désigner une élite dont les droits dhara et s'étaient étalées le long du bassin supérieur de l'Indus. etment censés ~'eposer ·d'abord sur la race, ultérieurement Certains pensent que la destruction de la culture dite de s_ur l~ c~asse socrale : le terme n'a pas d'acception directement l'Indus (Mohenjo-Daro, Harappa, etc.) a été leur œuvre; hngmsbque 1. il est plus probable que cette culture avait déjà disparu à l'arrivée des Aryens 1• LA LANGUE. VÉDIQUE FT SES ORIGINES . - J_ .e p l us anci.e n Quelques faits extérieurs à l'Inde attestent à haute époque ~ docu~ent qm nous ait été conservé en sanskrit est le massif une certaine diffusion du védisme :c'est ainsi qu'on a retrouvé recueil d'hymnes aux divinités du Veda qu'on appelle le en Cappadoce un document du XIve s. énumérant des dieux ~gveda (le no~ précis serait Rgvedasa:rphita). Ce texte garants d'un contrat de mariage royal: les noms sont védiques nous. est accessible à ~~avers la codification et l'adaptation (avec des adaptations de forme) et répondent à des distri ph?mq~e que la tradrtion rattache au nom de Sakalya et butions fonctionnelles concordantes à celles du Veda 2• qm re~etent des préoccupations savantes propres à un âge Des mots indiens d'allure védique sont conservés dans des plus recent (mettons par hypothèse le virre ou même le documents de Mitanni, de Nuzi, de Syrie, parmi lesquels vre s. avant notre ère). Bien entendu la<< rédaction>> même des des noms princiers3• Fort importants en eux-mêmes, ces Hymnes (rédaction orale), à plus forte raison l'invention des formules et chaînes strophiques sur lesquelles ils reposent, 1. Cf. en dernier Foucher Vieille route de l'Inde 180. 2. Cf. notamment Konow Aryan gods of the Mitani People ; en dernier Dumézil Naissance d'archanges 16; du même, sur des bronzes cassites du 1. _L 'ariy~v.ohara des textes pali n'est rien de plus que la "langue noble , Louristan antérieurs au xne s. et attestant des représentations védiques, (en fart, le pail et non le skt). Les Jaïna ont l'expression bhasarya pour désig·ne• Rev. Hittite 1950 18. Aussi Brandenstein Die alten Inder u. die Chronologie 1 les gens pa:lant ardhamagadhL Sur le terme arya et son ·origine, v. Thieme des Rigveda. Frühgesch. u. Sprachwiss. (1948) 134, aux termes de quoi le RV. Fremdlmg rm RV 145 H' t · d . · · rs orrque u mot " âryen , dans l'usage occidental ne daterait que de peu avant l'an mille. Sregert WSachen 4 75. 3. Liste commode PEDumont JAOS. 67 251 ; cf. Keith IHQ. 12 569. Le 8 PÉRIODE VÉDIQUE L'INDO-IRANIEN 9 faits n'intéressent toutefois pas nécessairement l'expansion de quelque poids, limitée à l'un des deux domaines ; les de la langue védique hors de l'Inde : ce pourraient être des maintiens de part et d'autre ont eu lieu dans des conditions emprunts, dont l'histoire précise nous échappe du reste. analogues. Comme pour la plupart des états de langue indiens ou iraniens, c'est la phonétique qui souligne le partage. L:IND_O-IRANIEN. - Comme pour d'autres langues de la Tout d'abord le ton (ou du moins sa notation) n'est conservé famille mdo-européenne, il s'interpose entre la lan , , que dans l'Inde. Pour le consonantisme, le sanskrit est bien e t ' l e sans k rIIi· t h,..1 ston· .q uement attesté une unite' 1m· ggume·s tm1' qeu1ee plus proche du système ancien que l'avestique ou le vieux qu on appe e l mdo-1ranien 1. Cette unité est confirm · perse, avec la préservation des quatre «efforts articulatoires >> l'analogie des institutions sociales et des croyanc ee ptar (sourdes, etc.) dans les occlusives ; les cas de désocclusion l'Id 'd' es enre "'" n e _ve Ique (rgvédique, surtout) et l'Iran prézoroastrien y sont restreints, la spirantisation, si commune en iranien, :::ii les resultats des récentes recherches en myth 1 · . · d · o og1e comparee n'est attestée (approximativement) que dans v. Les inno e_varent se confirmer, l'hypothèse deviendrait lus néce~- vations engageant les deux domaines ont imprimé des dévelop sarre encore. p pements plus ou moins divergents : ainsi pour la palatali Le _vo?~bulaire d~s gat ha de l'Av esta (vocabulaire d'ailleurs sation, la palatale sourde ancienne conservant son arti fort hmite )_ e~ celm des Sarphita védiques ont des points de culation (sous forme de s) en sanskrit, la perdant en iranien contact qm depassent fort en importance les cas où l' d (s ou 8), tandis que la sonore est plus voisine en indien (j) de t d·t· une es I' ux rta ll ' wns seu1 e a . conservé quelque forme , et ceux ou, du phonème originel que le z avestique ou le d vieux-perse, une e autre ont diversement innové. La morph I . tout en se confondant (ce qu'évite l'iranien) avec la palatale surtout a été conservatrice . il n'est gue're de o ogti~ · nouveau e récente issue de l'ancienne vélaire. Quant à l'autre grand fait du consonantisme, la cérébralisation, il est amorcé en diale~te i~die~ concerné paraît distinct de celui qui est à la base des S h"t indo-iranien, mais le sanskrit lui donnera une extension sans etre Iramen pour autant. aqt I a, inattendue. n· 11. ~ur _l'dunité indo-iranienne, l'exposé le meilleur reste celui de :\feillet chIaa pe c 7e s tm b "obl-"e ur. 2• é.d . cha p. 2 et avant-P ro P 08. 8 • Cf ·aussi· Mans·w n Es· quisse Là même où apparaît un parallélisme, il est en surface : JAOS. 1e7 23I wgrlaphw, Blo~h passim. L'enquête jadis amorcée par Hopkins l'absence de l en iranien rejoint la quasi-absence de r dans le · sur e vocabulaire n'a pas 't' · . est allée s'accentuant · , e e re?r~se; la separation du travail ~gveda ancien, mais la suite du développement indien montre . . . . a mesure qu on avançait de part et d'autre ver mterpret_atwns semantiques en profondeur. Le formulaire a rêté à . s de~ non seulement l'introduction rapide de formes à l, mais le cobmparaisons, comme le type subhrtam bibharti en face de\. persequebl:tue, maintien de l indo-européens qui avaient été temporairement a aram Wackerna 1 BSOS 8 82 . · u J am Cf d' ge . 3 (Melanges Grierson) IV. (-Debrunner) 2 2 580 masqués par le style rhotacisant du ~gveda. · au~re p~rt Lommel AO. 10 372. On a tenté autrefois de traduire en védi u~ 1 ,approximatif) des passages de l'Avesta (Mills v Biblioo-r v·d· h q Le vocalisme a été altéré plus profondément, mais de Sur l'unité religieuse L VP . ' ·. . e Ique c a p. 117). b • . . d ' v. · 64. - De la necessite d'inclure tous les dialectes manière plus uniforme entre les deux domaines, en dépit ~~am~s RaVns 1~ pe_rspective de l'indo-iranien, et notamment pour l'interpréta- IOn u , temmgnent les travaux d HIVB ·1 de rares isoglosses qui les séparent. Les anciennes voyelles JRAS. 1953 95. e ai ey, cf. en particulier sa note e et o passent à a, lequel représente en outre la nasale sonante et le (rare) a authentique. Parallèlement les anciennes di ph- z-
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