pour Levacignement de (a aes aC) aw nivedy moger GuTPR DU MAITRE pour Leomesynement de 1a Physique ay niveau mayen en Afrique EDeRR 8/59 TABLE DES MATTERES Intreduotion PREMIERE PANTIE, THM GEWERAUX Chaplize 1, Bifflouliéa rencontnées dapa Vensedenenent dea eciances physiques on Afrique Chapltze 24 Brraure de conpréhension do 1a phyaique chez Ine Sidven atrhoatne agte de 13 817 an Chaphtro 3, Néthodes pédagogiques Chapttre 4. Aspsot plurtdtsoiplinaive de Lvensetgnenent deo Sotenove physiques dens 16 cycle mayen DEUATENE PARTS, THINGS SPBCYRIGUES Prfsontation Chapttes 5. fa meaure on phase Chapdtre Ge Fore, polde ot sae Chopitre 7. travail, puiosanco, Snorglo Chapstre 8, La chaleur Chapdtre 95 Ta luntdre Chapttre 10, Eleotricits Chapktre 11, Bate de ta matiBre Chaoktze 12, Structure do La natitre ‘SHOESTRWE PARTIE, LABORATOTAE OP APPAREILS Chapitro 13, Conatauction de uatériel dldactique simple Chapitee 14. Organdestion dy Inboratoire de phyetque QUATRE PARTIE. ARNEXE Bibl dogrephio Liste de foumtaseura de nstérie? adaatiqua ds physique Lats da matériel de base A fournin aux Seolee CCeNDLAIONS Page IermopucTTON Le exfaont mide eat 1e Ceult de 2tAbeline eur Ltengedanenent dex solences physiques organiné & Dakar par 1YUWESCO du 24 mare ay 2 avril 1980, Ont partioiné & cet atelier 26 déléguée provenent de 9 pays afrioaina, Les Asecuseions ont Gté inteaduites par dee rapporta présontéa par leo particinante nonnbe aldasaniay Les thoes abordéa au cours de cotte wfunton furent cholate on Fonction don Loncins den anpoignants Ue 1a région telo quiils avaiont 6¢6 Nnartortéa per une niunton peéparatotre comprenant une partie daa participants as L’atelior. Doe suggoations rquta par courrier furent Gealement prises en onaidération, Loo Aietéronts chepitnes de co guide vont basis sur Lem rapporte auecnentiennéa, ten imcuseiona en groupe et leo euggootions ultérianres deo parbintpanta, Le travail a 6t6 ax ae Legone de plymiaue aw river intralaetdt. jentlollonent aur 1a préparation pratique Le prevent muide n'a pan 1a prétention dy nowrin tous Loss mats pouvant Stra aboniés bog niveau. Par contre, pour cortsing tbmeu, il aéborle probablonent 108 ponnio11ités offortes par un hovalze restreint. 1 voudrait avoir surtout uno valour axomplative ot utimler lay uattreu 3 invonter un enveignemont connruty tend our observation af Mexpértence, an Stroit acntact aves Ltenvi= romouant eaturel ot technologique, débeushant our wnt activité oréubricn et une réfleston antique do 1*613v3, an sarvant ds bane sux chapitres + Pe GaSe ATAMA, nLwORALTE ae DAA Be G. PANTS, BAwaSs, DAKAR 4. Y. QUIK, TAROT, DAKAR Se Da Pay Univers 6 de DAKAR 5, fy SICCATOT, Lyedo Limamoulaye, PIEINE Te S- SAHOO, 848,58, BAILAKO 8, My PATH, Université do DAKAR Ds 9. CUARSTE, Univereits do Lowvain ob Hallase, DaKan 10, Y, DIAM, Université de DAKAR We Te PALI, HaNSSe DAKAR 12, Ys PALL, FANS, DAKAR Te Se OTRO, Ral, DAKAR DOROSAH, Universtté do YACIIDE PREMIERE PARTIE, SHEHES GENERAUX CHAPITRE 1, Di¢Eicuteds rencontréea dane I'enseignenent dea sciences physiques en Afvique Introduction. Dane La présente étude sevont recenséea quelques wes des Pencipales d5kffeultés ceneontedcs dans enseignement dex sciences physiques en Afrique, au oud du Sehare. TL ne a’agit pes d'une étude exhaustive fondle sue une recherche Elaborée euveane Uancenble dex Stave africains, mais dun simple survol dee obstaclee constatée au Sénfgal afin d'attiver 1'attention des professeure de sciences physiques aur Iga vontraintes do Teut engefguennmt, contrainte imcammuns do Loar européens ou nord-angricaine, netions colteques exergant dene les pa Won par les progrBa des actences et des techniquen,cette profondtnant sousibilisation doit nour conduice 4 une xGflusion pédaxorique permanente en wie de rieliaer Ladéquation de note aneeignenent ee aclences physiques avec Ie situation acttelle de vom sociztés ot de notte envivonaement, natural et technologique. Dane une promitro puetie soront traitées britve- ent lea dLfficultés inkdrentes a Iacguieizion de lesprit scientifique en qualque pays que ce soit, Uae downitme partle ahardexa de fagon Pa conclusion, Jes nonei- akteiLlée Lea obstacles rencontrée au Sénfga ASeabione préeddontes norene Stenduen aux pays afrioaine préaentant de geandeu analogies aur lea pluna cociologique , économique et eviturel. Prosidey partic. Le rile primordial des aciences et des cechniques dana Le progede global dew soctétée vw dee det deraiz~ lemaines explige qu?at eo ree dévonnioe, Low x ent précceupés de L'eneaignencnt ecientifique dene lee distérente payo, ponsables des systBnes Siducatife oc soient constam gully soiene tBu induatelalingy ou an vole de développenent, Ceol dTautant plus qu'ici coume 12, 12 felblesse des taux de rhusatte dans Jes a pereonnel qualifié dane ces douatrity dont L'épanoutssbeat constitue une idGrable que Vou ciplines acinneifique erée un deficit notable eu gard aux lenoing en option vitale. On peut dira que "L"iuportance con: attribue a cette exigence exprine une double attitude: nécessicé de pro- ‘wourelr 1a eiviliaation, nats aussi La réaction contre Le danger dtune utilisation non rationnalle de ia seicuce et do 1a technalogic."(1) qua pom Dee lore, on conprend obligation de oa poicher aur 1a probléa abe per Les Etudes ‘ecieneLfiques d?une mentate générale et singulirenent par celles afférentes sux sciences physiques 11 eve génévalenent alate que tes études setenttfiqnes deman- dent pluc d'etfore et d'epticudes particulitres que les Geudes Litréraires bu julrldlques yor cxeuple, et yartant doivent dtze plus difficiles. certains collégues n'acceptent par cette assertion et parlent dlun condi tionnensut dea enfants pre lee profenacura de sciences, Pourtant wm petit effort Mlobjeetiviee de tour part pourrait lea couvainers de 10 virité do cette affirmation. Ep effet, coumont expliquer que lor résviteta on Faculté de Setencos sofent, pratiguanent Jane tous les pays, inférieure 2 ceux des vacultés de Lettres on de roti? Yourquin’ Epemiventoon In besoin de préel say dane lee prifaces de Liveee consacréa @ dee questions scientifiques qu'lL n'est pas lasola de comatere ta branche ectentl fique concanée? Niest~ce 1 stale d'études ae 18 wn avou de a néccaeied d'une dnteiatton de qu" scientifiques? Si une waftriae de 1a Langue suffit pour acoder aux infor & dMhfstod xe om de Uitératore, antic contenues dans ntignorte quel teal roconnaiasom qu'it ven ost pas de mine dée qu'il a'agi¢ atm trairé ae nathfuatique ou de phyaique. Cort le Liew de wfditer cos propos de Gaztiss Yachatard qoatanix dis "ha formation de tespelt welenti Cique: "quend on cherche lea conditions peychologiquer dee progrés de 1a aciencs, on arvive bient8t @ cotta comvietins qua cost an taraes Mobetacles qutil faut poser Ve problime de La connaievanee sulencielque, Rt 41 ne ¢*aail pos de cousidérer lee obeceeles externas, come La couptexité et 1a leat dt aati et de Vea fugacité deo phénosines, vl d'incrininer te fa writ humains test dane acts mun de conmaftre, intinerent, an!epparaissent, par ene sorte de nfcessité £onctionualle, des lenteura et dee craubles. Cleat 18 que nove montrerone dee causer de atagnation et wine de rdqreneion, cfext 18 que nmi dzetlavons dex cxueey dinerti gue nous appelerene dos obstacles SpiveGnologi ques. ha coomaisemnee dy réel eat une Luni@re qui projette toujours quelque part des onhres. Bile n‘est janis inédiate et pleine.” lus loin, Hachelard aJoute:® Toute wulture velentifique doit commencer, comme uous Uexpliquerons Lenguewent par une cathareis intellec~ tuclle et affective. Reate enauite La tAche Le plus dlfffefle: wettre da culture selaatlftque on état de whidteation poxmanente, remplacer Le sa- volr fern sk atacique par une comaiesanee ouverte et dynamique.” Cetce Longue citation provva, a!i1 en était heenin, lexLatenen rele de difticulLés inerinsdqung sr Ja plan dex connaianences et de La Formation do Ieuprit seientifique qui, selon Sacholard pacse par trois états: Léter concrete, I'état coneret-ahetrait o€, enfin, V'SCAL ast raihvartant, il paratt tndleponsable de zopenser wos uittlodes d"enseignement dea aciences afin de venir compte dee obstactes épistGuologiquer eités plus haut. partles ‘Tout dabord, uatons que Le acience goderne celle quien Tenseigne dane nos Feablissomoal's scolaites n'a pas prir ses eacines fen Afriques pour utiliser un terne a 1a node, elle n'est paa un produit endogane. Bane les pays qui t'on vu mattre, ee Jévelopper ot 2"éyanouir, elle w scerétit une civilivation technologiquenent evanets et model unm mniave de yonees aver Iesquelles elle et de fagan harmninuse oa rela tlon diniectique. Rien de tel dane nor soriéléy on retard sur le plan technologique oil home devvsit chercher 4 mieux conprendre 1a nature ti flque ae heurte asl Monvivoute, est dire que Hensel gneent ick # une aultieude de difticuités d'ordre cociologique, culture] ot Suo= womique, ek ce APantsal ulus qui Tes ptogransdes ut Tox viuueRs aout ieportéa raudix que le matériel dexpérimatation est souvent. ine ong vom Liven “iducaLion afvieglue ot etyilieation", Xbdoulaye Saji (2) deudiant Le proceseus Gducatif que 1'AErique eppliquait mere foie a oa sncits pour que colle~ei daceurdt idontique & clle-néme, montre Ie Pale ddvolw dans ar cadre aune auclétén dyn, “petite State dane | étae, petites collectivités formfer d'individus de miae age 3 peu priv, ant Jouiscaient d'une autononie absolus & 1'intérianr de leur organisation rennoutive." C"eat dung oar clauses d'ige oll Wadulls ext rarmont préanst que, seul avec les enfants de aon age, Gouné opprenaic 8 Stre de son milicw cleat-a-dize es erfar une peremmaliG® paval eux, dane lea jeux, Les courses, Joe antuece, les butaillea, Gependant, “eet abandon de ItenFont & Aui-nfne qui était ealutaive pour La foraction de see tendances, de 8 vitalied ob da som coractizs alaxelwatk pus oettaines wéthodex d*éducstion rationnelles et pratiques destingea 2 L'initier aux activilfe nornalen du! groupe. "On devine alors Le dvane que vit. Je jaune Séngelais babitué a ‘mo Gducation fnforaelte ou contact dv t!Geole strtcturée, Hatgnant dane un milieu ne demandent que de faibles efforts a'adaptation, vivant dane we aveléte ob lee phénowines maturela vont intexprétén par Itintervention des pulssunces supranaturclics, eftoysnt dea humes qulon Alt dotée de pouvolrs magiques, 1s jeune sénégalaie vit dane uno ambiance qui te prépete txts peu de A entarer des étudec caientifiques ot dea vecherches spéculatives in da son peuple, 1a division du travail qui @ prodult im apetine de csetes confie & chaque individu un pouvoir héxite des ancferes. Le savoir n'eut jalousenent pap Mobjet de digcussions en public mais il ont conservé par aon detontour qul peur Mesporter dang 1a tombe 3°11 n'a pes atcelé dans son entourage L*home de confiance A qui te Idguer. Tout, ds sun plue Jeune Age, dane con envixounenent de tous lee joure concourt & cultivar oa chez le jaune sfnégalais le ayaticione, & développer Le sens des relations Wnmainey caractieistiques dex civilisations 3 prfdominance oraler Die love, on console lee pesanteure aociologiques que devre siemonter Le professcur de seieness physiyucy poe Fatee anqudrie ae jeune sonégalais Ltesprit de aa discipline, d'autant plus que Le langue d'ensei- aneuent eet le Erangals, wédiue que souvent L'Eléve ne naSteiee pas cede bien.11 fest pas rare de constater qu'im concept qui parait difticile est vite compris dés qu'on en exqrine 1'squivalent dana ta langue maternelle de I*8ave, Clase dei que Los propos de Cheikh Anta Diop dans " jotiuns, Negres fet Culture” prennent tout leur sna: "Tréa souvent, Iexpreseion strangire est conte ws eevOlement Standhe uh uonGche mote expel daccéder se content Hox mats qui. est 12 eéu2ité. te développement do 1a réflexion fait alnes place & celui de 1a néooixe." Ceci nous permet de saicir ce dont lea pro: fees wee dn physique o¢ platynnt souvent, 2 aavolr que nos lavas ant bene mee A apprendre tout par cosur et ne cherchent pas B conprendra. Weat-ve pos ce qui ae passe 2 1'école coxanique? UL sous uenble que Lee difficuleés ail wives de 19 eoncrptvalization 9 ateéaueronk Le jour of 1'fnatriment dm cquisition au savoir aera 1a Langue aatercelte ao jeune africain. 2 Diffiewtz#s dcongmtques, Ye Miysique feane une science expécigsatale, con enseiznemnt outre Les livees et len outils your sccive exkge 'utliieetion dus mate Phel didactLque dexpévlmentation, Mar avite, Uenseignonent de cette daci- pine inplique un investivscment plus inportant que pour celui dea discipli: nee Littéraixes. 11 fout dee latoratoives avec de L'eau couraute, de L& Heotvicits, des paillacsax, dae arwoiten polly tos collections, du personne! pour Ja maintenance. 11 faut dee salles apéciatisées permettant de réaliser den expiriences pendant lee cous at uae Loca de rravauic wratkesios Sub os en consduuonce. Cee 4d¥al pour un anscigmeneut efficient dee sciences physiques n'est jamais utteine dona lea établisaenente scoleiree wénége- Leis. Notre Etat de pays soue-développé Felt coualdirer vex bexolne cofite conme wm luxe dont on pevt se passer. Le geand drane de L'enscignenent des solencos physiques ext L'absence da metériel acientifique d'expérinentatton dane 1a plupart de nos Iycfos ‘et collages dune yart, ok dantee part, notre enviromenent téchnologiqne no permet pas de fsire appel aux comais ances acquises pax les Sl2ver aut moyen de 1a pratiywe quotidiennn Gjousta, appareils agwapers, ofitlln divers...) Mobjet tuchniqie te plus simple apparatt parfois dane un tel halo de ayatire que Le caupréhension de son fonetionnement nécesaitersit un dénontage conplet, cette dmyehifieation > ¢ des ofifets Loch ques par leur aunipolacion ost indispensable dans les pays afcicoine oles explications dea phéuomtnes ce réferent le plus sou- vent 4 Ltvzstlonnet, Malgrd 1a déeane, Je matGriol scientifique d'importation reste hore de prix, four vainere con difficultée, 1Ssee 4 Mobsence de moyens Financiere nove ponsons 3 1a edalisation dlun matériel dexpéetmontation simple at peu collkeux mais susai 4 L'adaptation de notre enseignement scientifique Aux ressantees duu méFoi0 tami 61 ns veal ene Manske Lation dee notions scientifiques repose avant tout eur I'expérimentation faivant appel a Venvivonneneie quotidion de Uélaye. Aussi faue-il, en ares nt lea prem grammes d'enseignemnt, inventorier Les ressoucves du milieu naturel ut technolopique peruectane une illustration ccnerite dea Studes envisagées. Hows devons nous persusder do Linportanes pricordiale dex axpéetences, dae qualitatives, au nivern moyen. D:DLEELouLEsE pédagopiques. Lee diffieu] ede lagoginiies emt one part notable de veaponsa~ bilite dana les échece conatatés au nivesu de L'enseignenent des sciences phyniquea, Iapubs ["indépondanes, le heaoin @'éducation ast ai massif qu'on surcharge ler clasnes devant le retacd peis pur lee constructions scolasres et devant Ja pénurie des enseiguants eurtout celle des disciplines seieati~ Flas on vontic cox otacsee 8 dew leonvs gem won guulement wane aucune formation pédagegique, caie souvent nlayont aucune maftrier minimele Jes connaissances acadiniques correspondent eux progrannes d'onacignoncnt 11 age mawlfente que lee effectife phéthoriques constituent tog ontrave fondunentale lavequ'on cherubs & domo un caseignenent de Cleat en ancadrant de petite groups d’titves qin le professeur it de La dimurche scientifique gquaties, pavviendra # inculguer & chacun dieu 1*e5 gui stuppuie sur L'obretvation guldée dee phénomnes, I“flaboration des con cepts, 1a construction de 1a théorie puis ca vérification. A défaut d'effoctit Iacouiquenant raisonuable et en Mubwence de matérte? didactique, coment jer un enseignenent de physique ct de chinic le pins effleace possible? outre 1edaptation aux ressousces du aibieu que nous suggérions plus lalll, 11 faut donaer aux future profagueuea de ealences physiques une solide formation sur lee plane théorique et profesvioanel mole aueai proeéder & line wefonke Je mee programme Ay nivedu den connaiagsnese théoriques acquises durent 1a for- mation initiale du futur profaneeur i1 faudea roupre avec U'habitude con sietant 8 donper une inforaation o’ayent aucune prise sur tu réalité, & quot pert-il de donuer un voute ayprofondl de aécanique quantique 2 un étudiant futur professeur dane uo Aycéa alors qu'il ignore te principe de Levion? Nreat-ce point le genre d'héritege dont nous devons nous dthorasser? Dane Jap inotituelone of, ramen recouvrant ceux qua 1s futur professeur aura 2 ot nous antenda Dien, Nowe ne éleone pes qu‘un engcignant ve doit pu ‘effectue cette formation, on doit laborer dev pro~ signer. Quien nw ii faut 1a Lut coamuni~ avoir une vue dlensenble eur ea discipline mal quer avee discersenent. TL y 2 dea ivfoamations qui velavent de 2a apé- cialisation, Ge qu'il faut # un enscignunt des colleges ou des lycéer c'est lune exeellonte maftries dex fondenents dea sciences physique: dane leur adobal it fessour de ocanique, d'électricité, d'optique, de thermodynanique... Nove devons ovoir privent 2 Jespeit qu'ii act 2 1a fois pro Si nour vowlans qu's1 donne plus tard um enneignenent pratique, enracine dans So eel quotidien, nous devons veillor B ce qu'il regoive tm easud menent du afloe genre. Quand Le futur asftre sura recu une solide formats acadénique, U'ELabl Casement chargé de Jul appeenclee wow méLLer ataure plus quid stoccuper de le seneibiliser sux probltmes pédagogiquea 4 1a fois ehéoriques et peutlques. Cleet dans eet EtabLineement qu'on veillera 8 lui apprendre 3 trovailior sane aanuot, 2 récolter dea documents vel ligablen on classe et aurtout a bricoler du petit catriel. Nos inatitutions pf dagogiques doivent devanie des Eeglex dle dshxowillavdlue on matiaee dé anipement expérigental. tthe autre difficuleé dlordre pédagegique réside dans nos programas gu sunt souvent. des capes de programes éerangers, Nout eroyou qu'il o'y aura pas d'anflicration des résultats dine les disci- plinee scientifiques cant yue uty comtinuexone & Lnporter aos programs A tous les nivenus. 1) um efatilte que Je jeune sSnggalaie, asim lé pri ilquenent ay jens Frangais éprouve a'énoreas aifficultés 4 tirer un vel profit de cot enseignement Jes cciences physiques suetest quand le profeceoue qui n'a rogu aucvae formation pédagontque Cait de Ja phyatque ow parlont at parfoix att dewstnont. thie reatent-f2 A 1'lSve devant ces descriptions appareils, de montages, voire de phénoménes qa'il n'aura jaunis eu Aoceasion dlobsarver? Seule non imagination travaille ot A aéfaut de eonpronde, iT apprewd par quvur, ee qui est ta négaeion de L'eaprit seien~ tifique, 11 oat certain que i mos prograrmas dtenseiqoutent #eypuyatvnt, eur Jes données de L'eaviromenmnt quotidien du jeune sénégalate, le pro~ Eltne de iqulpencnt afenti fique se poserai¢ avec meine d'acuité. Dans tous Jos dosaines, 125 notions scientifiques doivent o'élabozer a partly dee phénoménee connus des Elaves, née xi ctast d'uae mitre comfosu. Eae-i1 normal qu!a terme sew Eteden eecondaizes, le jeune sénégalaie Agnore Cour du soleil, de 'snergie qu'il irradie et do I4uti ination guton peut en faire? Siguatouy que dims te cudee dune comieeion de réform de Venscignonent des sciences eu Séaigal, nous avons cowmned par un allen io gement dea progranmee enseignés danw ler clasres de quate! ot de trol nme den eall?ges, Ue erédit horaire, troia heures-professeur dane chacuse dee deux clasaes Seait nottanent insufflvant rompte tenw de Ltamptour des