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GOUVERNANCE UNIVERSITAIRE Participants classés par pays Algérie PDF

16 Pages·2007·0.3 MB·French
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GOUVERNANCE UNIVERSITAIRE Participants classés par pays Algérie : – M. Mohamed Tayeb LASKRI, Recteur de l'Université Badji Mokhtar de Annaba Canada : – M. Jean-Pierre ASSELIN DE BEAUVILLE, Vice-recteur aux programmes de l'Agence Universitaire de la Francophonie – M. Michel QUIMPER, Président du GISGUF (Groupement International des Secrétaires Généraux des Universités Francophones Egypte : – Mme Hind HANAFI, Vice-présidente de l'Université d'Alexandrie. – M. Moutaz KHORCHID, Directeur du Conseil Arabe pour les Etudes Supérieures et les Recherches, à l'Université du Caire. – Mme Tahani OMAR, Présidente de l'Université Française d'Egypte. France : – M. Daniel BALLAND, Directeur Général de l'Université Paris-Sorbonne Abu Dhabi – M. Laurent GILLARD, Conseiller de Coopération et d'action Culturelle à l'Ambassade de France en Syrie – Mme Françoise WEISS, Attachée de Coopération éducative à l'Ambassade de France au Liban Jordanie : – M. Khaled KARAKI, Président de l'Université de Jordanie 1 Liban : – M. Antoine ABCHE, Adjoint Vice-recteur pour les affaires francophones, à l'Université de Balamand – Mme Bernadette ABI SALEH, Responsable des relations extérieures à l'Université Libanaise – M. Henri AWIT, Secrétaire Général et Directeur des Services académiques de l'Université Saint-Joseph – P. Nagib BAAKLINI, Université Antonine – M. Mahmoud EL KORK, Professeur à la Faculté des Sciences, à l'Université Arabe de Beyrouth – P. Fadi FADEL, Vice-recteur de l'Université Antonine – M. Olivier GARRO, Directeur du Bureau Moyen-Orient de l'Agence Universitaire de la Francophonie – M. Antoine HOKAYEM, Vice-recteur pour les relations internationales à l'Université Saint-Joseph – M. Haytham KOTOB, Directeur de l'Institut des Langues et de Traduction à l'Université Islamique du Liban. – Mgr. Joseph MERHEJ, Recteur de l'Université La Sagesse – M. Mohamad SALHAB, Directeur du Centre Universitaire de Technologie Franco-Libanais Palestine : – Mme Safa NASSER ELDIN, Directrice de Wajdi institute of technology – M. Fakhri ASAD, Président de l'Université d'Hebron Syrie : – M. Nizar AKIL, Président de l'Université d'Alep – M. Aboud AL SALEH, Président de l'Université Al Furat – M. Ghassan ASSI, Directeur de l'ISSAT (Institut Supérieur de Sciences Appliquées et de Technologie) – M. Abdulrazak CHEIKH ISSA, Président de l'Université du Kalamon – M. Amer FAKHOURY, Recteur de l'Université Al Baath – Mme Martine GILLET, Responsable de la bibliothèque de l'Institut Français du Proche Orient à Damas – M. Amir IBRAHIM, Président de l'Université Tichrine – M. Wael MUALLA, Président de l'Université de Damas Tunisie : – M. Al Mongi BOUSINA, Directeur général de l'ALECSO Yémen : – M. Khaled Abdullah TAMIM, Président de l'Université de Sanaa. 2 Ordre du jour 18 juillet 2007 1. Ouverture de la conférence ➢ Allocution de Monsieur Mohamed Nizar AKIL, Président de l'Université d'Alep ➢ Allocution de Monsieur Jean-Pierre ASSELIN DE BEAUVILLE, Vice-recteur aux programmes à l'Agence universitaire de la Francophonie ➢ Allocution de S.E.M. Ghayath BARAKAT, Ministre de l’Enseignement Supérieur en Syrie ➢ Présentation de l’Université d'Alep 2. Table ronde n°1: Présentation du processus de Bologne et de la stratégie de Lisbonne 3. Table ronde n°2: La transition au LMD 4. Table ronde n°3: Le financement et l’accompagnement du changement 5. Table ronde n°4: La question de l’évaluation et de la certification 19 juillet 2007 6. Assemblée générale constitutive de la CONFREMO ➢ Adoption de statuts ➢ Élection d’un bureau, d’un président ➢ Lieu et date de la prochaine réunion de bureau et de la prochaine conférence ➢ Discussion sur les objectifs communs ➢ Préparation d’une déclaration commune ➢ Lecture solennelle de la déclaration 7. Clôture et conclusion 3 1 - Ouverture de la séance Avant l'hymne national de la Syrie, Monsieur Mohamed Haisam Ibrahim le Responsable du CNF d'Alep a souhaité la bienvenue aux participants et aux invités. Après un mot de bienvenue, M. Mohamed Nizar Akil, Président de l'Université d'Alep a présenté la CONFREMO et les activités du CNF d'Alep.Un tour d'horizon des rapports franco-syriens et des coopérations existant entre les universités syriennes et les universités européennes et francophones a été cloture par un panorama des perspectives d'évolution et des projets à venir de l'Université d'Alep. Lors de son allocution Monsieur Jean-Pierre Asselin de Beauville, Vice-recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie a exprimé le regret de l'absence de Mme Michèle Gendrau-Massaloux. Ses salutations se sont orientées vers le fait de tenir la conférence dans un pays arabophone et dans une université dont le français n'est pas la langue principale. Notamment, il a rappelé l'aspect cosmopolite et symbolique d'Alep, vieille ville francophone, exemple du dialogue des cultures et des religions. Tout en insistant sur le caractère officiel de la conférence en tant que la première réunion des organismes membres de l'AUF au Moyen-Orient, il a remercié le président de l'Université d'Alep et son équipe, les autorités syriennes, l'UNESCO, et les ambassades de France pour l'organisation, le soutien et les efforts déployés pour la réussite de cette réunion. Par ailleurs, il a souligné le rôle des universités libanaises dans la création et l'aide aux autres établissements de la région. Monsieur Asselin a conclu en saluant les observateurs présents. Quant à Son Excellence Monsieur Ghayath Barakat, Ministre de l’Enseignement Supérieur en Syrie, il a salué le rôle de l'AUF et sa collaboration avec l'Université d'Alep pour réunir cette élite de recteurs d'universités et de chercheurs afin de renforcer les liens entre les différentes universités et d'offrir de nouvelles perspectives d'évolution.Puis, il a rappelé l'intérêt que manifeste le Président Bachar Al-Assad pour optimiser le dialogue interculturel et la coopération des peuples dans le respect des spécificités en dans un pays de rencontre, de brassage de culture, pays de paix et de vie commune entre les différentes races et religions. Ensuite, il a mis l'accent sur la solidarité entre tous les pays arabes pour faire face aux dangers et relever les défis tout en saluant la France pour sa position et son rôle objectif dans la région. A la fin de son allocution, Monsieur Ghayath Barakat a remercié Madame Michèle Gendrau-Massaloux pour tous ses efforts qui ont abouti à l'ouverture des Campus Numériques de Damas et d'Alep et a présenté des Palmes Universitaires, le blason de l'Université d'Alep, à Mme Michèle Gendreau-Massaloux, Rectrice de l'AUF, par l'intermédiaire de Monsieur Asselin de Beauville. La cérémonie s'est clôturée par une présentation électronique animée de l’Université d'Alep, ses facultés et ses actions. 4 2- Table ronde n°1 : Présentation de processus de Bologne et de la stratégie de Lisbonne Animée par Monsieur Michel QUIMPER, Président du Groupement International des Secrétaires Généraux des Universités Francophones (GISGUF), cette table ronde a développé en premier temps la Stratégie de Lisbonne et a exposé son lancement par les chefs d'états en mars 2000. Ensuite Monsieur Quimper a expliqué les trois piliers de cette stratégie : économique, social et environnemental. Il a survolé le bilan de mi-parcours (2005) de la stratégie et a exposé les principales décisions au niveau des processus de coordination et de programmation axées essentiellement sur : ➢ La recherche et le développement ➢ L'urgence des réformes pour réussir la stratégie de Lisbonne : concentrer les réformes et les investissements sur les points clés de chaque pays et faire de l'apprentissage tout au long de la vie une réalité concrète. Chaque pays doit définir et communiquer ses priorités politiques d'investissement et de réforme dans l'éducation et la formation. Les Etats membres doivent augmenter les ressources destinées à l'éducation et à la formation et doivent veiller à s'approprier systématiquement les références et les principes européens communs comme Europass afin d'atteindre rapidement la mise en place d'un cadre européen des qualifications. Ensuite, le Processus de Bologne signé le 19 juin 1999 par 29 pays européens a été exploré. Ce processus rassemble aujourd'hui plus de 40 pays. Monsieur Quimper a expliqué la déclaration de Bologne qui vise à introduire un grade de systèmes académiques facilement lisibles et comparables, à promouvoir la mobilités des étudiants, enseignants et chercheurs, à assurer la qualité de l'enseignement et à prendre en compte la dimension européenne de l'enseignement supérieur. Pour conclure, il a souligné les différentes actions qu'a introduit le communiqué de Prague du 19 mai 2001 au processus de Bologne : ➢ Promouvoir l'éducation et la formation tout au long de la vie ➢ Favoriser l'implication des établissements d'enseignement supérieur et des étudiants ➢ Promouvoir l'attractivité de l'espace européen de l'enseignement supérieur Lors du débat diverses questions ont été discutées : 1. La possibilité de l'évolution et de la continuité du processus après 2010 au biais des TIC et des étudiants formés en tant que futurs formateurs 2. L'importance du taux d'augmentation des mobilités : l'exemple de l'ERASMUS et du Canada 3. L'importance de partir de l'existant à la base des besoins des universités pour voir ensuite les conditions, les crédits, et les questions de valorisation et de reconnaissance des diplômes. 4. L'importance d'adopter ce système au Moyen-Orient et de distinguer les caractéristiques qui le différencie d'une part du système classique d'enseignement et d'autre part du système américain tout en réfléchissant sur les particularités à adapter. 5 5. L'importance des pôles d'excellence comme pierre angulaire de ce processus, une formule gagnante qui facilitera la mobilité des professeurs et la collaboration au sein du réseau régional et avec le Nord. 6. L'importance de mettre en place les critères nécessaires de qualité et de valorisation des diplômes selon les protocoles entre les universités, au niveau des diplômes et des modalités de l'enseignement mais notamment en concertation avec les professeurs. 7. L'impact certain de ce processus sur le budget en conséquent la nécessité de penser au financement des grandes institutions et de renforcer la recherche dans une perspective plus large dans une dynamique d'étude du marché international. 8. La nécessité de réformer les universités dans le monde arabe, de comprendre et d'expliquer les particularités propres à chaque université 9. L'importance de l'adoption d'un système d'accréditation commun. 3- Table ronde n°2 : La transition au LMD Animée par Monsieur Mohamad Tayeb Laskri, Recteur de l’Université Badji Mokhtar de Annaba (Algérie), cette table ronde a présenté l'expérience d'intégration de l'Université de Babji Moukhtar de Annaba (UBMA) et des universités algériennes. Monsieur Laskria a développé l'historique de la mise en route du système LMD à partir de la rentrée 2004. Il a ensuite détaillé les principes et les objectifs de cette réforme . Si l'objectif est d'enseigner, dévaluer et d'apprendre autrement, les principes consistent à globaliser l'approche dès la conception, à intéger le système dans une démarche participative, à préserver la démocratisation de l'enseignement supérieur, à assurer une formation de qualité répondant au standard international, à favoriser une meilleure intégration de l'université dans son environnement socio-culture, à développer les mécanismes de soutien à l'autoformation. Monsieur Laskri a également tenu à évoquer les mesures d'accompagnement mise en oeuvre dans le cadre de cette démarche: ➢ Tutorat ➢ Documentation, moyens didactiques et techniques, ➢ cours en ligne ➢ Mobilités des enseignants ➢ Partenariat ➢ Equipes de formation, d'accueil, d'accompagnement et de soutien pour soutenir l'étudiant tout au long de son parcours d'apprentissage 6 Pour conclure, Monsieur Laskri a affirmé que la lutte contre l'échec est au coeur de cette démarche: ➢ Favoriser les échanges étudiant / enseignant ➢ Avoir accès au cours en ligne avant d'arriver en salle de cours ➢ Evaluer différemment ➢ Numérisation : bibliothèque, cours en ligne, accords avec une université en France Lors du débat diverses questions ont été discutées : 1. L'importance de la liberté d'intératon au système qui dépend de chaque université, centre ou école. Pour l'instant toutes les facultés scientifiques ou technologiques ont adopté le système LMD. Pour le contrôle de la qualité, le meilleur moyen est que les universités s'accordent pour mettre un système d'audit. 2. L'importance de la souplesse du système LMD. 3. L'impact des moyens sur la réussite. Le système s'appuie sur la compétence des professeurs et des moyens possibles des universités. Pour arriver à un bon niveau, il faut donner les moyens aux universités, aux professeurs et aux étudiants. 4.L'importance du passage au LMD de la forme au fond mais surtout la nécessité de rapprocher l'enseignement de la recherche. 4- Table ronde n°3 : Le financement et l’accompagnement du changement Animée par : -Monsieur Jean-Pierre ASSELIN DE BEAUVILLE, Vice-recteur aux programmes à l’AUF -M. Olivier GARRO, Directeur du Bureau Moyen-Orient de l'Agence Universitaire de la Francophonie. -Monsieur Laurent GILLARD : Conseiller de coopération et d'action culturelle, Ambassade de France en Syrie -Monsieur Al Mongi BOUSNINA, Directeur général de l'Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) C'est autour de la Gouvernance universitaire que Messieurs Jean-Pierre Asselin de Beauville et de Olivier Garro ont intervenu. Monsieur Asselin a défini les actions de la Gouvernance universitaireen faveur du soutien et de l'excellence universitairedans le cadre du programme de l'AUF. Il a notamment expliqué la démarche àsuivre pour adhérer au réseau de l'AUF tout en rappelant l'historique de l'action au sein de l'AUF que nous résumons en ce qui suit: ➢ 2000-2005 : forte demande des universités membres, en particulier du Sud ➢ 2004-2007 : organisation de séminaires de sensibilisation des responsables (Dakar, Yaoundé, Marseille...) et formations à la conduite des réformes sur des thématiques précises ➢ Janvier 2007 : appel à manifestation d'intérêt sur des projets de gouvernance universitaire 7 Ensuite il a énuméré les objectifs de l'action et a expliqué les formes d'appui de l'AUF. Au niveau des objectifs, Monsieur Asselin a souligné l'importance de: ➢ Accompagner les universités du Sud afin de réduire les écarts au sein de l'espace universitaire mondialisé ➢ Mettre en place une culture de gestion de la qualité, d'ouverture sur l'environnement, et de partage des savoirs ➢ Amener les universités du Sud à renforcer leur rôle dans le développement durable de leur région Concernant l'appui de l'AUF, Monsieur Asselin a mis l'accent sur : ➢ La sensibilisation des responsables universitaires à la réforme ➢ La formation à la conduite de la réforme (LMD, gouvernance administrative et financière, démarche qualité, accréditation...) ➢ La mobilisation de l'expertise Pour conclure son intervention, Monsieur Asselin a résumé les critère de recevabilité d'une demande en privilégiant : ➢ La coopération interrégionale et régional ➢ Le fonctionnement en réseaux ➢ L'engagement dans la réforme ➢ Le partenariat : auprès des organisations internationales et régionales, coopérations bilatérales Quant à lui Monsieur Olivier Garro, il a expliqué la mise en oeuvre de l'appel à manifestation dans le cadre de l'action Gouvernance universitaire. Au niveau des bureaux régionaux et des CNF les demandes des établissements membres ou des réseaux du Sud sont recueillies, classées. Ensuite les partenariats de la région sont mobilisés et les actions retenues par le Recteur sont mises en oeuvre après évaluation. Tandis qu'au niveau de l'administration du programme, cette dernière assure la coordination du comité de pilotage, accompagne les directions des bureau régionaux dans la mise en oeuvre de l'action, concourt à la mobilisation de partenariats, diffuse une information sur l'avancée des actions et rend compte au Recteur et aux instances de l'Agence de la mise en oeuvre. Monsieur Olivier Garro a mis en lumière le rôle du comité de pilotage multilatéral composé des présidents des conférences de recteurs, du GISGUF et de l'AUF : ➢ Définit les priorités de l'action sur la base des besoin ➢ Apporte un avis sur le plan d'action proposé par le Recteur de l'Agence Pour conclure, il a exposé les résultats de l'appel à manifestation d'intérêt du premier semestre 2007 en général et au Bureau Moyen-Orient en particulier. Les bureaux régionaux ont recueilli 57 demandes dont 50 recevables et ont réuni un comité régional pour le classement des demandes. Les résultats pour le Moyen-Orient des projets évalués par le comité d'experts réuni par le Bureau du Moyen-Orient le 21/03/07 sont : ➢ 1 projet très favorable (le Caire) ➢ 2 projets favorables (USJ,UFE) ➢ 4 projets à faire évaluer ➢ 2 projets à transformer : Ateliers de formation interuniversitaire et création d'un annuaire d'expert propre au Moyen-Orient. 8 L'intervention de Monsieur Laurent Gillard, le Conseiller de coopération et d'action culturelle, à l'Ambassade de France en Syrie a touché le travail de coopération entre la France, l'AUF et les universités syriennes, la diplomatie culturelle qui date de l'époque de François Premier. Brièvement Monsieur Gillard a exposé le rôle d'une ambassade dans la création de synergies et l'adéquation de l'offre à donner aux demandes du pays. D'où le travail sur trois axes stratégiques prioritaires: ➢ L'excellence, la mobilité des jeunes et leur formation ➢ La création des réseaux ➢ L'attention particulière aux problèmes du Sud (travail de coopération, voir les besoins sur place, mettre du contenu...) En ce qui concerne l'enseignement supérieur, Monsieur Gillard expose privilégie : ➢ L'allocation de bourses aux étudiants étrangers (15% pour les pays du Moyen-Orient) ➢ n finale en Le changement qualitatif visible au niveau des programmes : programme Eiffel, Eiffel Doctorat, Bourse Major, etc. ➢ Le regroupement des universités et des établissements ➢ Le partenariat entre les régions et les entreprises : exemple du programme ARCUS ➢ La formation sur place et la création de plus de 200 filières francophones ➢ L'accès à la mobilité ➢ L'allègement des démarches administratives : faciliter les visas pour étudiant ➢ L'amélioration de la qualité de l'accueil des étudiants en France La communication de Monsieur Al Mongi Bousnina, Directeur général de l'Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO) a mis en évidence l'intérêt sans précédent accordé à l'enseignement supérieur dans le monde actuel, d'où l'ultime nécessité de faire des réformes et d'oeuvrer pour établir une harmonisation entre les attentes de la société et du monde des affaires, et la capacité de l'enseignement supérieur à répondre à ces attentes. Son intervention s'est focalisée sur les axes suivants : - L'enseignement supérieur et défis majeurs ➢ Renforcer l'égalité entre les genres, les catégories sociales et les régions ➢ Mettre à disposition un cadre d'enseignant en nombre suffisant ➢ Assurer des sources de financement ➢ Moderniser l'administration universitaire ➢ Défi majeur : permettre à l'apprenant d'acquérir des connaissances et des qualifications en rapport avec ses capacités et ses inclinations 9 - Nécessité impérative de réforme et problèmes de financement ➢ Prise de conscience globale et une orientation générale allant dans le sens de la réforme ➢ Difficultés financières et freins ➢ Absence de tentatives sérieuses pour élaborer des philosophies et des politiques traduisant les changements à apporter à ce secteur - Vision stratégique ➢ Adoption par le dernier Sommet arabe de Riyadh d'un «Plan pour le développement de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans le Monde arabe» ➢ Approbation du plan par la récente Conférence générale extraordinaire de l'ALECSO en vue de le soumettre au prochain Sommet arabe prévu à Damas, en 2008. ➢ Les principaux objectifs du plan visent à : ➔ Hisser le niveau d'accès à l'enseignement supérieur ; ➔ Réaliser le principe de l'égalité des chances dans l'accès au cycle supérieur ; ➔ Fournir des cadres d'enseignants compétents et en nombre suffisant ; ➔ Doter l'administration universitaire de l'autonomie ; ➔ Harmoniser les formations dispensées avec les besoins de la société ; ➔ Accorder à la recherche scientifique un rôle central ; ➔ Assurer la pérennité des financements. - Financement de l'enseignement supérieur : orientations et alternatives proposées par le plan : ➢ Affecter des ressources publiques nécessaires au financement du développement quantitatif et qualitatif de l'enseignement supérieur ➢ Diversifier les sources de financement ➢ Moderniser le cadre administratif et financier ➢ Renforcer la coopération financière arabe (création d'un Fonds arabe pour le financement de l'enseignement supérieur) ➢ Aider les pays arabes les moins développés à fonder des universités et des centres de recherches ➢ Créer des centres pour la commercialisation des recherches arabes - L'enseignement supérieur et la bonne gouvernance : le «Plan de développement» prévoit la modernisation de l'administration universitaire comme suit : ➢ Renforcement de la décentralisation avec une grande souplesse de gestion ➢ Renforcement de la responsabilité et de la bonne gouvernance ➢ Renforcement de la coopération inter-arabe au niveau de la planification et de la gestion ➢ Participation du corps enseignant et des étudiants à la prise de décision ➢ Recours plus large aux études d'évaluation et de rentabilité 10

Description:
M. Fakhri ASAD, Président de l'Université d'Hebron. Syrie : –. M. Nizar AKIL, Président de l'Université d'Alep. –. M. Aboud AL SALEH, Président de
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