Garis A Marius et Nathan INSDiTS Galis INSDiIS DARGAUD PARIS * BARCELONE * BRUXELLES * LAUSANNE * LONDRES * MONTREAL * NEW YORK © STUTTGART SOMMAIRE 9 16 7 19 20 Le Gag La cloutologie Simplicon Personnalisez vos couronnes, que diantre Le vieillissement Les 1001 fagons de charger une voiture Jefke le dauphin Quelques conseils utiles pour s’arréter en ski Verreur Savary sur grand écran Commentaires hors-champ Tac-au-Tac Le feu de camp du dimanche matin Rencontre BD-Chanson Goon show La zone de I’hyper-espace dite cahier central avec couleurs Une tranche de vie : e téléphone en France Le beau cow-boy et sa squaw Uenseignement par les grands moyens d'information Réclames Les livraisons Nouveaux téléspectateurs, les chiens! Les onomatopées Le grand magic circus Bougresses-chansons La pub en l’'an 3000 Un souvenir de Charolles Pervers Pépére Usage de faux Gastronomie Télescopages AVANT-PROPOS Jusqu’a ce jour, j‘avais refusé avec la derniére énergie de publier ces pages en album. “Ah bon, me direz-vous. Mais pourquoi?” C'est trés simple. Ces pages, que je portais particulierement dans mon coeur, je les avais couchées sur mon testament afin qu’elles reviennent € mes deux adorables petits-fils, Marius et Nathan, lorsque j‘aurais quitté cette vallée de larmes. Aussi, aprés leur parution dans différentes gazettes, les subtilisai-je discrétement pour les arracher a la convoitise des éditeurs. “Ah bon? Mais alors, que font ces pages dans cet album?” La, vous commencez a me gonfler mais je vais vous expliquer, bien que ce soit long, ennuyeux, difficile a croire et un peu génant. Donc, alors que je méditais nuitamment dans la chaude quiétude de mon atelier (car j’ai coutume de méditer nui- tamment dans la chaude quiétude), un vacarme me tira de mon sommeil. Ma porte blindée, censée faire barrage a un monde cruel et hostile, venait de céder devant un troupeau d'individus cagoulés et apparemment malveillants, qui se précipitérent sur ma personne sans défense. Avant méme d’avoir pu questionner quiconque sur le pourquoi de cette intrusion, je me retrouvai ligoté, et le chef prit la parole d’un ton brutal, qui temoignait d'une évidente sécheresse de coeur : ‘Affougna mffagbul ahhrrgn’, dit-il. Cet abruti —un petit nerveux muni d’une kalachnikov— avait mis sa cagoule le devant derriére, et ca nuisait a la bonne réception du message. Aussi levai-je un sourcil légérement ironique, ce qui eut pour effet de précipiter l'action. D’un geste violent, on me mit sous le nez une feuille de papier, et cette fois, je compris. C’‘était un contrat, que j’étais forcé de signer, vu le canon de la kalachnikov dans mon ceil gauche, et vu le nombre de zéros qui suivaient le premier chiffre a la rubrique “a-valoir" —ce premier chiffre étant un quatre si mes souvenirs sont bons, mais ce qui compte c'est les zéros. Bref. Voila pourquoi mes chers bambins n’hériteront pas de ces pages que j‘avais couchées pour eux en prévision de mon départ de cette vallée de larmes. Ils se contenteront de les lire, comme vous, dans cet album, en sachant que je continue de les porter dans mon coeur — les pages et les bambins. Gatt7B - AVERTISSEMENT AU LECTEUR. CRC EST UNE TRANCHE DE VIE. UNG VIE MARQUEE DAR LE SIGNE Du DRGTN ET SUR LAQUELLE PEGE LA VAN D/ACIER DUNE FATALITE QUE * VE 9 QURAIT PU VOUS ARRIVE) TevTe erases < af me GOT 6s (78. | HELAS LA BEE CARABOSEE , VEXEE PARCE GLY UNE FOS DE PLUS QW AURIT OUBLIE DELIMMTER, SIM VWIT SELLE, LA ALT FOMBGE, ET JET Lie MORPBLE MALEDICTION SURLIEUAUT Gu REPOSAYT, MNOCENT, TEL LN) CHEEUBN TU FERAS DES G y~ _| |(BANDES DESSINEES / |; <OMIQUES!1 A : y GE (_PENEHAUT FLNESTE QUINIE FIT QU EMPRER AU . ” LONG DEB GUKIEES... Via PROPRE FAMILLE Me MANIFESTE: ~ET JE VOUS DEMANDERAI AUSSI. anal LA PLUS TOTALE INCOMPREHENGION.| NOUS SERIEZ GENTIL..cA SEHK reve. paspin ‘At MAIS UN JOUR VIENDZA Ob Vous POUR DESSINER Des PETE MICREVS (fe \ FANEANT DANS La SUR MON ALBUM De PHOTOS... _\ FAMILLE Qui FERAIT Le Gag, Pilote. Histoire réalisée dans le but d'étre présentée comme référence, a l'occasion du rendez-vous pris avec les rédac’chefs de Pilote, René Goscinny et Jean-Michel Charlier (1965). Dans mon esprit, elle n’était pas destinée a étre publiée. ‘Surprise... elle a 6té prise. Ainsi débuta mon histoire d'amour avec Pilote, histoire qui devait durer une bonne dizaine d'années. ?STIBLE VOCATION, NOTREHEROS DECIDG | [...2EST (6! QUE COMMENCE UHISTORE. ] 57 LE TRBOURET DUDESEARTELONE | | ope 7 COPS... cAN I ii 4 iN ORIINNNG!.. DRIINNG!..DRIII é) Vy carey e Noval 2) > (yonat 4) — eee, | | ALLO! DITES, VALI) | HOM..£N CE PEON ull NOUS FL DRA UNE HISTOIRE COMBE EU SIX SSS My S Cf Zz Ca {\ \ r FE 5 \ veAe 2