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Fret ferroviaire PDF

455 Pages·2011·30.14 MB·French
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— 1 — N° 3518 ______ ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 8 juin 2011 RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE sur la situation de l’industrie ferroviaire française : production de matériels roulants « voyageurs » et fret, Président M. Alain BOCQUET Rapporteur M. Yanick PATERNOTTE Députés —— — 2 — La commission d’enquête sur la situation de l’industrie ferroviaire française : production de matériels roulants « voyageurs » et fret est composée de : MM. Alain Bocquet, président ; Yanick Paternotte, rapporteur ; Claude Bodin, François-Michel Gonnot, Jean Grellier, Michel Hunault, vice-présidents ; Paul Durieu, Didier Gonzales, Jean-René Marsac, secrétaires ; Mme Brigitte Barèges, MM. Maxime Bono, Alain Cacheux, Bernard Carayon, Jean-Paul Chanteguet, Gérard Charasse, Gilles Cocquempot, Louis Cosyns, Marc Dolez, Paul Durieu, Philippe Duron, Claude Gatignol, Didier Gonzales, Antoine Herth, Mme Jacqueline Irles, M. Yves Jégo, Mmes Maryse Joissains-Masini, Marie-Lou Marcel, MM. Jean-René Marsac, Gérard Menuel, Jean Proriol, Jean-Michel Villaumé, Gérard Voisin, André Wojciechowski. — 3 — AVANT-PROPOS DE M. ALAIN BOCQUET, PRÉSIDENT Créée à l’initiative de mon groupe politique, la commission d’enquête sur la situation de l’industrie ferroviaire française : production de matériels roulants « voyageurs » et fret, a tenu à étudier les problèmes de la filière en tenant compte de toutes ses composantes (grands constructeurs, équipementiers, fournisseurs et sous-traitants). En France, plus de mille entreprises et vingt mille salariés travaillent en effet dans ce secteur à titre exclusif, principal, voire en complément de leur activité première. Le secteur de la sous-traitance connaît souvent des difficultés dans ses relations avec les grands donneurs d’ordres de plus en plus exigeants notamment sur les délais d’exécution et les prix, en faisant planer la menace de trouver à l’étranger d’autres « partenaires ». Si ce contexte n’est pas spécifique à cette industrie, force est de constater que l’internationalisation du marché ferroviaire fait courir à des pans entiers du secteur le risque des délocalisations. À cet égard, la problématique du transfert des technologies s’inscrit également au cœur du devenir de la filière française mais aussi européenne. Au cours de ses travaux, la commission d’enquête a d’abord tenu à analyser la place et les perspectives de développement de chacune des grandes composantes de la filière. Elle a résolument écarté toute démarche accusatoire ou inquisitoriale visant à mettre en cause telle ou telle institution, entreprise ou personnalité du secteur. Son travail s’est ainsi voulu prospectif en situant le plus précisément possible le devenir de la construction ferroviaire française dans un ensemble plus vaste au niveau européen qui est aujourd’hui indispensable pour contrer la concurrence de nouveaux constructeurs low cost en Europe de l’Est et plus encore dans les pays émergents. Cette orientation générale et cette méthode de travail ont été unanimement partagées par les membres de la commission. La commission d’enquête a ainsi souhaité formuler des propositions les plus concrètes possibles qui, pour certaines, relèvent de l’urgence. Il en va ainsi de l’absolue nécessité de mieux structurer la filière et de sauvegarder des savoir-faire irremplaçables, par exemple, dans le secteur des matériels de fret qui subit de plein fouet les « flottements » stratégiques de l’opérateur historique et de ses filiales spécialisées. La commission a procédé à un grand nombre d’auditions et a effectué des déplacements sur des sites industriels français mais aussi en Pologne, pour rencontrer et écouter sur place dirigeants d’entreprises, salariés, cadres, ingénieurs et chercheurs. Dans ce cadre de travail, elle s’est voulue à l’écoute de tous : grands industriels, PME et — 4 — TPE mais aussi la SNCF et les « nouveaux entrants » sur le marché du rail désormais largement ouvert à la concurrence, ainsi que les organismes publics comme Réseau Ferré de France (RFF) et l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF). Elle a tenu à rencontrer les organisations syndicales des salariés de l’industrie comme des personnels de la SNCF et de la RATP, notamment en organisant, à l’Assemblée nationale, une « table ronde » où se sont également exprimés des représentants des usagers. Au moment de la publication du rapport, il m’est particulièrement agréable de souligner la parfaite entente des membres de la commission d’enquête et la qualité du travail de son rapporteur M. Yanick Paternotte. Chacun a su apporter son expérience et sa réflexion sur des points essentiels qui constituent autant d’enjeux pour refuser le fatalisme de la désindustrialisation. L’industrie ferroviaire française, par son histoire, ses atouts, ses avancées technologiques et le talent des hommes et des femmes qui la font vivre, méritait cette attention particulière de notre Assemblée nationale. Sa consolidation et son organisation en véritable filière industrielle doivent lui permettre de relever les défis du transport propre des deux prochaines décennies. Elle est à la croisée des chemins ! Pour conclure, je tiens à faire état de l’accord trouvé sur nos propositions. Il résulte d’une démarche pragmatique qui, sans prétendre à l’exhaustivité, a porté sur les questions essentielles voire vitales pour l’avenir du secteur. Ainsi, au sujet de ce qu’il convient d’appeler l’« affaire Eurostar », c’est-à-dire l’acquisition de nouvelles rames Siemens par un opérateur contrôlé majoritairement par la SNCF, la commission d’enquête a tenu à examiner le pourquoi et le comment d’une telle affaire, dans le respect des dispositions réglementaires qui lui imposent de ne pas pouvoir se prononcer sur le fond, tant que les recours judiciaires visant ce marché n’ont pas été définitivement tranchés. — 5 — SOMMAIRE ___ Pages INTRODUCTION...................................................................................................... 11 I.— UN CONTEXTE POTENTIELLEMENT FAVORABLE AU DÉVELOPPEMENT DES INDUSTRIES FERROVIAIRES........................................................................................... 13 A.— LA CROISSANCE DU MARCHÉ MONDIAL........................................................... 13 1. La conjonction de plusieurs facteurs structurels............................................. 13 a) Un attrait pour les transports non polluants..................................................... 13 b) Le coût de l’énergie.......................................................................................... 15 c) Une urbanisation croissante............................................................................. 16 d) Une mobilité accrue......................................................................................... 17 e) La libéralisation des services de transports ferrés............................................. 18 f) L’influence ambivalente des pouvoirs publics.................................................... 18 2. Une démultiplication des projets....................................................................... 19 a) Un marché en croissance et en évolution.......................................................... 19 b) Les transports urbains...................................................................................... 23 c) La grande et la très grande vitesse.................................................................... 24 B.— EN FRANCE.......................................................................................................... 30 1. Le Grenelle, point de départ du renouveau du ferroviaire.............................. 30 a) Le Grenelle de l’environnement........................................................................ 30 b) Le Schéma national des infrastructures de transport (SNIT)............................. 32 c) Le Grand Paris................................................................................................. 35 d) L’Engagement national pour le fret ferroviaire................................................. 36 2. Un marché aux évolutions contrastées............................................................ 40 a) Les transports urbains...................................................................................... 40 b) Les transports régionaux.................................................................................. 46 c) Le TGV............................................................................................................. 48 II.— L’INDUSTRIE FERROVIAIRE FRANÇAISE : UNE RÉALITÉ VARIÉE....................... 51 A.— UNE INDUSTRIE ÉCLATÉE.................................................................................. 51 1. Des entreprises de taille mondiale à la pointe de la technologie................... 51 — 6 — 2. De rares entreprises de taille intermédiaire mais quelques réussites........... 52 3. Une multitude de petits sous-traitants souvent en souffrance....................... 54 B.— LE FRET : UN SECTEUR EN TRÈS GRANDE PRÉCARITÉ................................. 59 1. Une extrême inquiétude..................................................................................... 59 2. La situation périlleuse des entreprises françaises de matériel de fret.......... 62 III.— POUR UNE RENAISSANCE DU FERROVIAIRE....................................................... 74 A.— STRUCTURER LA FILIÈRE NATIONALE.............................................................. 74 1. Un secteur trop longtemps insuffisamment voire mal identifié....................... 74 2. Une rupture très attendue : le comité stratégique de filière........................... 78 3. La SNCF, pilote de la filière industrielle ?........................................................ 83 a) La réaffirmation d’une ambition jusqu’alors quelque peu oubliée..................... 83 b) Une démarche supposant une implication raisonnée......................................... 85 B.— LES CHANTIERS D’AVENIR DU FRET FERROVIAIRE........................................ 88 a) La maintenance des matériels........................................................................... 88 b) Les ateliers de réparation : une industrie méconnue......................................... 89 c) La gestion du bruit : une question essentielle pour l’amélioration des matériels.......................................................................................................... 90 C.— FORMER LES SALARIÉS DE DEMAIN................................................................. 93 1. Vieillissement de la population professionnelle............................................... 93 2. Rendre la filière attractive, renforcer les formations....................................... 95 D.— UNE STRATÉGIE À L’EXPORT QUI SEMBLE INADAPTÉE................................. 96 1. Ingénierie et bureaux d’études.......................................................................... 96 2. Chasser en équipe............................................................................................. 97 3. S’acculturer et être à l’écoute du client............................................................ 98 E.— EXPLOITER LES POSSIBILITÉS DU CODE DES MARCHÉS PUBLICS............... 99 1. Privilégier le principe du « mieux-disant »....................................................... 99 2. Quelques critères de mise en œuvre du « mieux-disant »............................. 100 F.— MISER SUR L’INNOVATION ET LA RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT.......... 102 1. Atteindre la taille critique : un défi pour les entreprises.................................. 102 2. Soutenir la recherche et le développement : un devoir pour les pouvoirs publics................................................................................................................. 104 G.— AGIR AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE : POUR UNE POLITIQUE EUROPÉENNE DU RAIL.......................................................................................... 107 1. Rénover la politique commerciale de l’Union européenne............................. 107 a) Exigence de réciprocité.................................................................................... 107 — 7 — b) Respect de la propriété intellectuelle................................................................ 109 2. Harmoniser les réseaux européens.................................................................. 110 a) Les règles d’homologation et l’interopérabilité................................................ 110 b) Une course excessive à la labellisation............................................................. 115 c) Ne pas refuser des instruments concourant à l’interopérabilité......................... 118 d) La problématique des essais et de la certification............................................. 122 e) L’intermodalité................................................................................................. 125 3. Vers une filière européenne ?........................................................................... 127 a) La coopération franco-allemande..................................................................... 127 b) Favoriser l’émergence d’un « Airbus du rail » ?............................................... 128 SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS.................................................................................... 131 CALENDRIER DE MISE EN ŒUVRE DES PROPOSITIONS............................................. 139 EXAMEN DU RAPPORT................................................................................................ 141 ANNEXES........................................................................................................................ 149 LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES...................................................................... 151 LISTE DES PERSONNES RENCONTRÉES LORS DES DÉPLACEMENTS..................... 153 COMPTES RENDUS DES AUDITIONS.............................................................................. 157 Audition de MM. Jean-Pierre Audoux, délégué général de la Fédération des industries ferroviaires et Jean-Pierre Auger conseiller industriel................. 159 Audition de M. Hubert du Mesnil, président de Réseau ferré de France (RFF), accompagné de M. Serge Michel, directeur de la rénovation des voies, et de Mme Marie-Reine du Bourg, chargée des relations avec le Parlement.............. 169 Audition de M. Robert Lohr, président directeur général de Lohr Industrie, accompagné de M. Sébastien Lange, directeur du développement « Modalohr »................................................................................................... 181 Audition de M. Daniel Cappelle, président de l’Association des industries ferroviaires Nord-Pas-de-Calais – Picardie (AIF), accompagné de M. Héric Manusset, directeur général.............................................................................. 191 Audition de M. Jean-Claude Volot, médiateur des relations interentreprises industrielles et de la sous-traitance, accompagné de Mme Françoise Odolant, chargée de mission « acheteurs et charte de bonnes pratiques », de Mme Alexia Demirdjian, chef de cabinet, de Mme Caroline Hardy, attachée de presse, et de M. Bertrand Rouzier, juriste.................................................... 203 Audition de M. Jacques Auxiette, président de la commission « infrastructures et transports » de l’Association des régions de France et président du conseil régional des Pays de la Loire, accompagné de M. François Marendet, directeur général délégué « mobilité et environnement », M. Damien Cabarrus, chef de cabinet, et de Mme Alix Lecadre, conseillère « infrastructures et transports »........................................................................... 215 — 8 — Audition de M. Guillaume Pepy, président de la SNCF, M. Stéphane Volant, secrétaire général de la SNCF, M. Pierre Blayau, directeur général de SNCF Geodis et président directeur général de Geodis, M. Jean-Michel Genestier, directeur général adjoint « branche transports et logistique » en charge des affaires publiques et Mme Karine Grossetête, conseillère, chargée des relations avec le Parlement............................................................................... 223 Audition de M. Denis Huneau, directeur général de l’Établissement public de sécurité ferroviaire (EPSF)............................................................................... 239 Audition de MM. Yves Crozet, professeur à l’Université Lyon 2 (Laboratoire d’économie des transports) et Alain Bonnafous, professeur émérite, chercheur au Laboratoire d’économie des transports (UMR n° 5593)............... 247 Audition de M. Pierre Mongin, président de la RATP, accompagné de MM. Xavier Léty, directeur de cabinet, Yves Ramette, directeur général adjoint chargé des projets et des investissements et Christian Galivel, directeur du département du matériel roulant ferroviaire.................................. 257 Audition de Mme Sophie Mougard, directrice générale du Syndicat des transports d’Île-de-France, accompagnée de Mme Véronique Hamayon-Tardé, secrétaire générale, et M. Thierry Guimbaud, directeur de l’exploitation............................................................................................... 269 Table ronde réunissant les organisations syndicales et des représentants des usagers............................................................................................................. 279 Audition de MM. Richard Brown, président, et Nicolas Petrovic, directeur général d’Eurostar International Limited, accompagnés de Mme Mary Walsh, directrice de la communication et de M. Carol Jonard, responsable des affaires publiques (France)...................................................... 305 Audition de M. Pierre Mathieu, vice-président du GART, vice-président de la région Champagne-Ardenne et de M. Denis Jullemier, vice-président du GART, conseiller général de Seine-et-Marne et adjoint au maire de Melun...... 313 Audition de M. Éric Besson, ministre auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, et de M. Thierry Mariani, secrétaire d’État auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports....................................................................... 319 SIGLES.............................................................................................................................. 337 DOCUMENTS.................................................................................................................... 343 1. Courrier adressé le 30 mai 2011 par M. Nicolas Petrovic, directeur général d’Eurostar, à M. Yanick Paternotte, rapporteur de la Commission d’enquête, comprenant trois notes sur la stratégie d’Eurostar, son organisation et son gouvernement d’entreprise et sur la rénovation de sa flotte................................... 345 2. « Modalohr : un matériel 100 % français », document transmis à la Commission d’enquête par Lhor Industrie............................................................ 351 3. « Les ateliers privés (ip) de maintenance dans le paysage ferroviaire national », contribution adressée à la Commission d’enquête le 25 mai 2011 par l’Association française des wagons de particuliers (AFWP)............................ 355 — 9 — 4. « Les règles de préférence nationale dans le secteur du transport ferroviaire aux États-Unis », note sur le Buy American Act adressée à la Commission d’enquête le 2 février 2011 par l’Ambassade de France aux États-Unis................. 359 5. « Infrastructures Ferroviaires en Europe » et « Processus d’admission du Matériel Roulant », documents fournis à la Commission d’enquête par Alstom.... 365 6. « Position commune VDB – FIF », « Prélude aux travaux franco-allemands sur la coopération ferroviaire bilatérale », communiqué de presse relatif à la réunion préparatoire pour un groupe de travail commun à Berlin (Berlin, 7 octobre 2010) et « La FIF salue la création d’un Groupe de haut niveau franco-allemand sur le ferroviaire », communiqué de presse, documents fournis à la Commission d’enquête par la Fédération des industries ferroviaires (FIF)..................................................................................................................... 371 7. Extrait d’une étude sur l’industrie ferroviaire du cabinet Syndex (21-22 septembre 2010), document fourni à la Commission d’enquête par la FGMM-CFDT...................................................................................................... 379 8. Charte régissant les relations entre donneurs d’ordres et fournisseurs au sein de la filière ferroviaire, établie le 14 décembre 2010 par le Médiateur des relations interentreprises industrielles et de la sous-traitance et par la Fédération des industries ferroviaires (FIF).................................................................................. 387 9. Charte de la médiation du crédit et de la CDAF, l’association des acheteurs de France, régissant les relations « grands donneurs d’ordres / PME », établie par la CDAF, par le Médiateur des relations interentreprises industrielles et de la sous-traitance et par la Médiation du Crédit aux entreprises.................................. 391 10. « Projet de pôle industriel ferroviaire régional dans une dimension internationale et européenne » (avril 2011), document fourni à la Commission d’enquête par M. Jean-Pierre Delannoy, responsable régional CGT de la Métallurgie (Nord-Pas-de-Calais)......................................................................... 397 11. « Fret ferroviaire : la SNCF poursuit sa stratégie de la Terre brûlée », communiqué de presse du 28 avril 2011 du Secteur Fédéral CGT des Cheminots Région Nord-Pas-de-Calais................................................................. 409 12. Courrier adressé le 7 avril 2011 par M. le sénateur Louis Nègre, président de la Fédération des industries ferroviaires (FIF), à M. Alain Bocquet, président de la Commission d’enquête................................................................................. 413 13. Courrier adressé le 26 avril 2011 par M. Fabien Thièmé, maire de Marly, Vice-président du Conseil général du Nord, à M. Alain Bocquet, président de la Commission d’enquête, à titre de contribution « Avenir de l’industrie ferroviaire française et régionale »........................................................................ 417 14. Courrier adressé le 16 mai 2011 par M. Jacques Auxiette, président du Conseil régional des Pays de la Loire et président de la Commission « Transports » de l’Association des régions de France (ARF) et à M. Alain Bocquet, président de la Commission d’enquête, comprenant un texte adopté en Assemblée générale par l’ARF le 11 mai 2011..................................................................................... 423 15. Courrier adressé le 30 mai 2011 par M. Gilles Bontemps, Vice-président du Conseil régional des Pays de la Loire et Président de la Commission « Infrastructures transports et déplacements », à M. Alain Bocquet, président de la Commission d’enquête................................................................................. 429 — 10 — 16. « L’industrie ferroviaire et SNCF » et « SNCF et Eurostar », documents transmis les 30 mars et 6 juin 2011 par le Secrétariat général de la SNCF au président et au rapporteur de la Commission d’enquête......................................... 435 17. Courrier adressé le 15 mars 2011 par l’Association des Usagers du Transport Auto/Train (AUTAUT) à M. Alain Bocquet, président de la Commission d’enquête, comprenant une carte « Situation 2011 des gares auto/train ».............. 447 18. Contribution sur l’avenir de la gare de triage de Somain, adressée à la Commission d’enquête par M. Jean-Jacques Candelier, député du Nord................ 451

Description:
ferroviaires (SNCF, VFLI, Veolia Trenitalia, Veolia Transport, Keolis, Eurostar, Europorte, EuRail Co,. Golas Rail et Euro Cargorail) ainsi que 161 entreprises de transport . Les périodes d'inactivité ou d'immobilisation (notamment pour des opérations de maintenance ou de réparation) ainsi que
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