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Eléments de la Grammaire Hottentote (Dialecte Nama) PDF

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244 REVUE ORIENTALE ET AMÉRICAINE. espérer que son immixtion aura pour résultat de mettre fin à l'immense orgie mercantile dont nous payons chèrement les frais inconsidérés. Au Mexique, l'intervention ayant lieu di rectement, les bons avis seront appuyés du bruit salutaire du canon. Faisons des vœux pour que, dans l'un et l'autre cas, les pauvres Peaux-Rouges ne soient point oubliés et pour queles traditions bienveillantes et vraiment civilisatri ces que nous avons vu appliquer en Algérie, en Afrique, en Syrie et en Cochinchine, soient imposées à l'Amérique du nord en faveur deses anciens possesseurs, malheureuse mais intéressante partie de la grandefamillede l'humanité! ALPH. CASTAING. ELEMENTS DE GRAMMAIRE HOTTENTOTE (DIALECTE NAMA '.) Lafamille des langues hottentotes, qui offre d'incontesta bles affinités avec l'ancien Égyptien et peut-être aussi avec certains dialectes de l'Afrique moyenne, comprend plusieurs idiomes principaux, tels que le Iko-lkop ou hottentot pro pre, le Korana et le Bochesman. ' Nous sommes heureux de publierici ce savant travail deM. deCharencey, quicontinuelasérie degrammaires inauguréedanscetteRevue, parunEssai sur la langue Otbomi (voy. p. 15), l'idiomedesHottentotsoffrantunintérêttoutpar ticulier pour l'étude de l'Etnographie africaine et dela linguistiquegénéraleet comparée. ÉLÉMENTS DE GRAMMAIRE HOTTENTOTE. 245 Ason tour, le Hottentot se partage en un grand nombre dedialectes dont l'un des plus riches et des plus curieux est certainement le Nama, à l'étude duquel le présenttravailva être consacré. Nous devons distinguer dans le Nama deux sous-dialectes '->H, très-peu différentsl'unde l'autre,leNamapropreen vigueur chez les Nama-îkop ou Namaquois et le orlam usité parmi lestribus du même nom, spécialement parmicellesquihabi tent au sud et à l'ouest des monts lavas -, les Orlams méri dionaux ayantremplacé leuridiome national par ledialecte Hollandais du Gap. LesystèmephonétiqueduHottentotestundesplusbizarres qui se puissent rencontrer. C'est, je crois, le seul qui ad mette ces sonsétranges etconnus sousle nom deRliks, dont nous allons parler tout àl'heure. I. Phonétique et méthode transcriptive. Noustrouvons en Nama les voyelles françaises a, e, i, o, o (toujours prononcé cm);ilpossèdedepluslew, son intermédiaire entre le a et le o, mais qui ne se rencontre que dans la diphthongue wd et le n intermédiaire entre le o et le u, que les Namas prononcent presquecomme un u et les Or lamscomme un o. Les voyelles se prononcent quelquefois à peine articulées. Dans cecas nous lesécrirons ponctuée et renversées. L'accent circonflexe sera toujours placé sur les voyelles longues. La voyelle marquée du ~ aura le son nasal comme en français. Remarquons qu'en Nama, lapremière voyelle d'une diphthongue peut être nasale. Les diphthongues sont au, ai, ei, oi, ou et«i : toutes les autres voyelles même accolées se prononcent séparément. Nous marquerons par un tréma les voyelles qui, dans une combinaison propre à former une diphthongue, restent iso lées pour le son. Le Namapossèdetoutesiesconsonnessimplesdel'alphabet VIII. — n° kl. 16ô 246 REVUE ORIENTALE ET AMÉRICAINE. français, sauf\ej, lep et le f; il a de plus que nous le son sh correspondant au en Allemand dans midi et lekh ou k aspiré. Le gn équivaut au gn français dans agneau. Le / n'existe qu'en Orlam, il est d'ailleurs fort rare et peut-être d'origine étrangère. Les Namas lui substituent le r. Ladifférence est peu marquée entre le b etle v. Cedernier son est doux et nettement labial en Orlam, dur en Nama. Les Kliks ne s'emploient qu'au commencement des mots devant les voyelles, le h ou les consonnes gutturales. Ce ne sont ni des consonnes ni des voyelles. On en compte quatre différents. Lepalatal, que l'on fait entendreen plaçant la langueder rière le palais et en aspirant l'air avec un bruit comparable / à celui d'un coupde fouet, nous le rendons par le \. Le cérébral, résultant d'un battement de la langue sur le devant du palais, imite le son d'un tire-bouchon que l'on extrait. Ilsera marqué par un !. Le dental identique à cette sorte d'interjection de regret que nous faisons entendrefréquemment. Son signe sera/. Le latéral n'est autre que ce son par lequel les rouliers excitent leurs chevaux à la marche. Nous le transcrirons par !!. Il existe dans les voyelles bien des nuances que nous ne saurions reproduire exactement. Elles peuvent être plus ou moins nasales, se prononcer plus ou moins de la gorge. Enfinles mots changent souvent, comme enChinois eten Annamite, de sens suivantle ton sur lequel ils sont prononcés. Il existe d'ailleurs en Nama trois tons distincts. Ikaib, par exemple, sur le ton le plus bas signifie obscurité; sur le ton médial, endroit, lieu; sur le plus haut, un linge. Nous remarquerons que toutes les fois qu'une syllabe est terminée par uneconsonne, la voyellene peut être ni longue, ÉLÉMENTS DE GRAMMAIRE HOTIENTOTE. 247 ni nasale, ni unie à une autre de manière à former une diphthongue. II. Desracines. Ellessonttoujoursmonosyllabiqueset peu_ ventsediviser en trois grandes classes. 1°. Cellesqui consis tent en unevoyelle simple, n'étantnilongue ninasale. Géné ralement, elles ont à la fois la valeur de verbe et celle de particule. Parexemple, a, ici, être; — i, là, être, arriver ;— o, là, parce que, tandis; — u, là, ici, faire. — 2°. Cellesqui consistent en une voyelle longue ou nasale. Par exemple â, pleurer;—ô,cesser;—û,prendre ; —â (pronom possessif)^ —ê, que, parce que. Elles ne semblent être autre chose que les voyelles précé dentes un peu modifiées pour marquer un changement de signification et par conséquent mériteraient presqu'autant d'être regardées comme des radicaux que comme de vérita blesracines. Il y a eu en effet quelque affinité de sens entre û prendre et u faire, entre o (signe privatif) et ô cesser —a être etâ élargir (d'où !âs, chantier). — 3". Les racines qui consistent en une voyelle précédée ou suivie de consonnes. Par exemple Si, venir; — dî, faire; — Kha, de; —om, bâtir; — dan, vaincre; — sam, sein. Peut-être bien, sont-ce des mots composés dans lesquels une ou plusieurs formatives se sont changées en consonnes. Dans ce cas, le Hottentot seul entre tous les idiomes que nous connaissions nous reporterait vers cette période obscure de l'enfantement du langage où les voyelles ne s'é taientpointencore changées en consonnes et servaient seules à l'expression des sentimentshumains. III. Radicaux. Nous lesdiviseronsenquatreclasses. 1*Ceux qui consistent en une diphthongue soit seule, soit précédée de consonnes. Par exemple, ei, sur — Si, rire — &i, vivre — khâi, se lever — toa, cesser —zoa, commencer — shoa, écrire. — Malgré leur simplicité apparente, ils consistent dans l'union d'une racine avec un des monosyllabes fonda 248 REVUE ORIENTALE ET AMÉRICAINE. mentauxa, e, i, o, u, et formentparconséquentdevraiscom posés. — 2° Ceux quise préfixentun klik et forment ainsi en quelquesorte, le passagedesradicaux monosyllabes aux dis syllabes. Ils semblentavoirdansl'origine jouéle rôlede véri tablespréfixes, mais aujourd'hui qu'ilsse sont pourainsi dire incorporésavec le mot qu'ilssuivent, il serait difficile de dé- 11/"'""terminer leur valeur primitive. Nous nous bornerons à don- ,a^'V /),.w ner quelques exemples dans lesquels ils modifientcertaine- ,," '- ment la valeur du radical a, être, ici; la, en haut, monter; -).«- ?,(»«.,„»( f,, /a, tuer; la, être aigu — O (signe privât) et 6, cesser; /ô, être tourmenté; 16, couper; I!ô, mourir; !ô, êtrenu. — Am, de, sur; /atn, au dessus; lam, vieux; lams, pointe — Inam, ,/,,-t •fi.i-t^ù.' aimer; llnamembrasser; Inam, borner, contenir — jnami, Kross ou tablier — han, longueur; îlhan, ramper; jhan, ■-../ border — hau, être rassemblée; Ihau, lier; hau , naître, germer; /uau, bien, complet, etc. Du reste, le klik peut se rencontrer même au commencement de polysyllabes : par exemple, Igonan, enfants; lhoa, courbé. — 3° Les radicaux formésau moyen d'unesuffixetelle que ra,re, ri, ru, va, ve, vu, na, ni,etc. : parexemple,tara, gronder, murmurer;gara, empêcher; gari petit; gova, parler; dava, tourner, etc. — 4° Les radicaux forméspar voie de répétition: parexemple, Jan, savoiret Jan-Ian, enseigner; llanu, pur et Hanu-Uanu, purifier, etc. IV. Mots composés. Ilssont très-fréquents; bornons-nous ici à en donner un ou deux exemples, â-!!ô, se noyer (litt. boire, mourir) ; llnwu-lnam, obéir (litt. entendre, ami). V. Désinences. Elles tirent leur origine ainsi que nous le verronsplus loin, non de mots àsens concret, mais bien de racines pronominales affixées au radical; ce qui donne au Hottentot une supériorité incontestable sur certains autres idiomes agglomérants. VI. Du nomet del'adjectif.Iln'existepasde radicaux spé ciaux pour le nom. Ce dernier consiste en un radical verbal 249 ÉLÉMENTS DE GRAMMAIRE HOTTENTOTE. adjectif, participe ou même unepréposition à laquelleon a- joute le signe générique, par exemple Ikheib, froidure, de Ikhei, froid; lanu, pur et Sanuti, pureté; meira, voyant et meirab, celui quivoit;mura, arriver, arrivantetmurab,celui quiarrive; Haika, entre, parmietHaikab, celuiqui est aumi lieu. Quelquefois le radical est séparé de la désinence géné rique parune affixe: par exemple dan, vaincre et dansis, la victoire. Il n'existe point de radicaux que nous puissions re garder exclusivement comme substantifs. En revanche, tout verbe, toutadjectifpeutdevenir comme en Eskuara, un nom par l'adjonction de la désinence sus-désignée. Cette faculté de transformation est resserrée dans de plusétroiteslimites relativement aux particules. Il existe trois nombres, le singulier, le pluriel et le duel; trois genres, lemasculin, le féminin, le genre commun ; cinq cas, le nominatif, l'objectif, le vocatif, le génitifet le datif: par exemple. 1° Genre masculin, !gab, le serviteur. Sing. Duel. Plur. Nomin. !gab. Igakha. '.gakhu, Igakha. Object. !gaba. Igakka. tgakhu, Igakha. Voc. Igakho, '.gaz Igakho. !gako, tgakfm. Gén. '.gabdi. Igakhadi. !gakha-di. Dat. !gaba-!ua. Igakha-'.ua. Igaka-'.ua. 2° Genre féminin, taras, la femme. Sing. Dutl, Plur. Nomin. taras. tarara. tarati. Object. tarasa. tarara. tarati. Vcc. tarasi. tararo. tarasta, taraso. Gén. taras di. tarura-di. tarati-di. Dat. tarasa-lua. tarara'iua. tarati-'-ua. 250 REVUE ORIENTALE ET AMÉRICAINE. Genre commun, ;uïi, pierre. Sing. Duel. Plur. Nomin. /««. iuira. juina, ;uin Object. ;uiba. jtiiro. juins. Voc. ;uizi. luiro. luido. Gén. !uii-di. iuira-di. iuina-di. Dat. luiba-lua. luiro-lua. ;uina-!ua. Le Namane possède point d'article, mais ily suppléesou ventparla flexion générique. Lorsque l'on voudra désigner l'objet d'une manière précise, on lui donnera une désinence masculine ou féminine; s'il est au genre commun, il restera indéterminé. Par exemple, /kob signifiera l'homme; jkos, la femme, et jkoïi, une créature humaine en général. Souvent même l'on voit ces désinences ne garder plus que la valeur de simples articles démonstratifs. Par exemple zêe, jour; zës, un jour; zêb, ce jour, le jour par excellence. Elles peuvent aussi servir à changer la signification du mot lui- même. Par exemple jkoi, os, en général ; jkos, un os; jkob, pipe en os, dans laquellefument les Hottentots. Onsent que tout ceci ne doit pas contribuer àla clarté de lalangue. Quanddeuxnomssontétroitementunis, l'onpeut,dureste, distinguer les genres comme dans la plupart desautres idio mesagglomérants,aumoyen denomssignifiantmâle, femelle. Par exempleauba/koi, homme; tarasajkoi, femme, etc. Lorsque deux noms sont étroitement unis, entre eux, le dernier seul prend la marque générique. Par exemple ;u zï as, le boire et le manger, et non /uszïâs. Dureste, legenre n'est pas toujours strictement désigné. Les noms qui, par leur nature, n'appartiennent point à un genre spécial, peu vent être, suivantla volonté de l'interlocuteur, mis au mas culin ouauféminin; il n'ya d'autre règleà suivreàcetégard quele caprice ou l'euphonie. On sera frappé de l'affinité incontestable qui existe entre ÉLÉMENTS DE GRAMMAIRE HOTTENTOTE. 251 les désinences masculine etfémininepet * du Nama, et l'ar ticle masculin pi, féminin té, del'égyptien. L'objectifs'emploieparfois euphoniquementpourle nomi natif, par exemplezughuba niha, la nuitvavenir, et non zu- ghab. Les particules du génitif et du datif s'effacent sou vent. Par exemple Igaba ma, ou !uba-!ua,à& ad servum. Du reste, on trouve même parfois le nominatifemployé pour les autres cas. Par exemple Zuni Hgoab Ikaibara ma, ou Ikai- babZunigoab rama; Dieu donne des bénédictions. L'usage généralveut quele premier mot de la phrase soit muni de la préfixe nominative. Ledatifest quelquefois marqué au moyen de laconjugai son en ba, dont nousparlerons plus loin. Par exempleZuni- Hgoab Ikoibarama, Dieu donne ses bénédictions aux hom mes. Souvent aussil'on supprime lescaractéristiques du gé nitifet du datif, et ces cas ne sont plus marqués que par la structure de la phrase. On marque souventlevocatifen pré fixant le pronom de la deuxième personne. Par exemple sa tarasi, ô femme; sa tarasw, ô femmes. En règle générale, le génitifse place devant son régime; Aukhu di tarati, les femmes des hommes; s'ilest mis après, sa désinence s'accole à cette affixe personnelle du régime dontnous allons dire un mot tout à l'heure. Par exemple ta ratiaub dite, les femmes des hommes (litt. celles des hom mes). Remarquez la similitude de celte postposition di, et du nteégyptien, qui alamême valeur. Les diminutifs se forment en ajoutantro. Par exemple ak- harob, un petit garçon. Il se décline au singulier sur Igab, aux autres nombressur /uiï. Il existe d'autres diminutifs en da, par exemple judai, la petite source; ilse décline ainsi au singulier. Nom. ;udai. Obj. iudaizi. Voc. iudaizi. 252 REVUE ORIENTALE ET AMÉRICAINE. Aux autresnombres,ilssuiventladéclinaisondéjàindiquée de juii. Lespronomspersonnelspeuventsejoindreaunomsousforme d'affixes, comme dans les cas suivants : Aub, homme, Auta, moihomme; avz, auze, toi homme—Augu hommes; auke, noushommes, aukhotn, nous deuxhommes—taras, femme; tarase, toi femme; tarata, moi femme, etc. Voyez n" VII. L'adjectif, ainsi que dans certainsidiomes touraniensn'est pasgrammaticalementdistinctduverbe. Commelui, ilresteri- goureusementinvariableetneconsistesouventquedansleradi cal verballui-même. On leplaceavantlenom,parexemplegai taras,lagrandefemme; gaitarati,lesgrandesfemmes. Oncite néanmoins quelquesadjectifs qui suivent le nom et prennent les mêmesaffixesque lui; telest parexemple lemot hoa tout, grand,maisilestclairqu'onnedoitpasvoirlàunadjectif,mais bien un nom àsensabstrait. L'adjectifattributse met àlafin de laphrase parexempleaubgegaihâ, l'homme est grand. Les adjectifs dérivés se composent du radicalverbal, d'un nom, d'un adjectif auquel on ajoute certaines désinences telles que re, ro, si, etc. Il n'existe point de véritables degrés de comparaison. Le comparatifseforme parl'emploide la proposition sha, de, et !gâ-ei, sur, par exemple lita sha l'.gaisa, plus grand que moi (litt. me ex magnus). Le superlatif résulte de l'emploi de l'adjectifhoa, avec le positifde l'objet comparé, par exemplesago hoaho !na îkari, litt. petit sous vous tous (le plus petit d'entrevous) on le marque aussi par la préposition jama sur, par exemple \ama !yai, très-grand. Les adjectis numéraux sont : 1 jgui. 6 Nom. 2 jgam. 7 hû. 3 !nona. 8 Hkhaisa. lx hoga. 9 Moisi. 5 goro. 10 disi. ÉLÉMENTS DE GRAMMAIRE HOTTENTOTE. 253 Lesnombresde 10 à 20 seforment enénonçant d'abord la dizaine,puisl'unitésuiviedumot //», êtreaigu, pénétrer; par exemple15 sedira disi'.gui la. Pour lesnombresde 20 à100, c'est au contraire par l'unité inférieure que l'on commence ; par exemple gagadisi, 40 (litt. quatre dix). Pour 100, l'on emploie le terme disi-disi. Pour 1000, noustrouvons hoadisi (litt. le10entier). Il estdouteux qu'avantl'arrivée des blancs les Namas comptassent au dessus de 10. Les Saabs, peuple derace hottentote très dégradé, ne peuvent compter, assure t-on, quejusqu'à deux. On forme les ordinaux en ajoutant au nombre le pronom pèi, lui; par exemple, Igum pêi, (litt. duo ille) second, etc. Ordinaux et cardinaux deviennent des noms par l'adjonction del'affixe générique. Les noms de nombre distributifs considérés comme ad verbes prennent la désinence adverbiale ; par exemple goro dizizîgorodisise, 50 par 50, ou en supprimantla copulative Igum fgamese, par 2. Le mot fois se rend parînate, par exemplehû Inate, sept fois, etc. VIL Do pronom. Voici le tableau des pronomspersonnels du Nama. Je ou moi, tita. MASCULIN FÉMININ COMMUN singulier Tita (pour les trois genres). pluriel Nous (moi etlui, moi et eux), sige sise sida. Nous (toi et moi, toi et eux), sage sase sada, duel Nous deux (moi et lui, moi et eux), si khom siim sintn. Nous deux(toi et moi, toi et eux), takhom saïm sanm.

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