« J'avais été laissé pour mort par l'assassin, que j'avais poussé au crime en le persuadant qu'étant seul avec moi, il ne risquait rien à me faire disparaître. J'avais cependant adressé au juge Chabrand une lettre qui lui racontait ma mort et tous les détails de l'enquête l'ayant précédée. Il arriva avec ma lettre le soir même dans l'estafette des gendarmes. Grâce à leurs torches électriques, ils trouvèrent un cadavre entier, celui de l'assassin qui n'avait pu se résoudre à me donner le coup de grâce car il