Description:I. Inde. Les lois de Manou contiennent quelques passages intéressants. « X, 104 : Celui qui, se trouvant en danger de mourir de faim, reçoit de la nourriture de n’importe qui n’est pas plus souillé par le péché, que l’éther subtil par la boue. 105 : Adjigarta étant affamé fut sur le point de faire périr son fils Sounahsépha ; cependant il ne se rendit coupable d’aucun crime, car il cherchait un secours contre la famine. 108 : Viswâmitra, qui cependant connaissait parfaitement la distinction du bien et du mal, succombant de besoin, se décida à manger la cuisse d’un chien qu’il avait reçu de la main d’un Tchandâla (cf.