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Diagnostic agraire de MÉMOIRE Diagnostic agraire de la région agricole de Sezela KwaZulu ... PDF

172 Pages·2012·11.36 MB·French
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DDiiaaggnnoossttiicc aaggrraaiirree ddee llaa rrééggiioonn aaggrriiccoollee ddee SSeezzeellaa KwaZulu-Natal, AAffrriiqquuee dduu SSuudd Mémoire MÉMOIRE PPrréésseennttéé ppaarr :: SSoopphhiiee BBIIEEQQUUEE eett NNaaddèèggee KKIIPPPPEEUURRTT Dans le cadre de la dominante d’aapppprrooffoonnddiisssseemmeenntt DDEEVVEELLOOPPPPEEMMEENNTT AAGGRRIICCOOLLEE EETT AAGGRRIICCUULLTTUURREE CCOOMMPPAARREEEE Pour l’obtention du : DIPLÔÔMMEE DD’’IINNGGÉÉNNIIEEUURR DD’’AAGGRROOPPAARRIISSTTEECCHH Cursus ingénieur agronome et du DDIIPPLLÔÔMMEE DD’’AAGGRROONNOOMMIIEE AAPPPPRROOFFOONNDDIIEE Soutenu le 03 octobre 2012 SSoopphhiiee BBiièèqquuee NNaaddèèggee KKiippppeeuurrtt AAggrrooPPaarriissTTeecchh 2012 Directeur de mémoire :: HHuubbeerrtt CCoocchheett Co-encadrement :: WWaarrdd AAnnsseeeeuuww eett SSaannddrriinnee FFrréégguuiinn-Gresh Remerciements Nos remerciements vont tout d’abord à Hubert Cochet, notre directeur de mémoire, qui a assuré le suivi de notre stage à distance et sur le terrain. Ses (nombreuses !) questions et remarques nous ont sans cesse poussé à améliorer notre travail. Qu’il soit remercié ici de sa disponibilité et de son appui attentif. Ward Anseeuw et Sandrine Fréguin-Gresh (CIRAD) ont bien voulu participer à l’encadrement de notre travail et leurs conseils ont été précieux. L'Agence Française de Développement, commanditaire et bailleur de cette étude, a également contribué à la réflexion sur les problématiques agricoles régionales. Merci en particulier à José Tissier pour sa participation lors de notre soutenance. Sur le terrain, l’accueil amical et l’aide efficace de la Sezela CaneGrowers Association ont été capitaux. Un grand merci à William Gillham et au reste de l’équipe : Heather, Gail, Thembi, Lucky, Dirk, Roland… La coopération d’Illovo Sugar Company a elle aussi contribué au bon déroulement de notre recherche ; merci en particulier à Mandla Mbelu, Vitalis Msani et Allan Simpson. Nous sommes reconnaissantes envers les autorités tribales d’Ifafa et Umtwalumi qui nous ont autorisées à travailler sur leurs terres. Merci à Precious pour son appui linguistique et sa patience : la traduction anglais-zulu/zulu-anglais était parfois fastidieuse et souvent déconcertante ! Enfin, nous adressons nos chaleureux remerciements à tous les agriculteurs et autres interviewés qui ont pris le temps de nous recevoir et de répondre à (presque !) toutes nos questions. Ce travail repose sur leur participation bienveillante. A tous, thank you very much ! Ngiyabonga ! Résumé Cette étude présente l’analyse-diagnostic d’une région agricole située dans la zone sucrière du KwaZulu-Natal, en Afrique du Sud. La problématique s’articule autour de la culture de la canne à sucre et des mouvements de réforme agraire initiés dès la fin des années 1990, dans un contexte de fortes inégalités raciales. A travers des procédures de redistribution et de restitution de terres, la « nouvelle Afrique du Sud » veut faciliter l’accès à la terre pour les populations noires. L’une des conséquences est pourtant la réduction des surfaces en production, et la baisse des rendements. Face à la baisse globale de production, l’industrie et l’Etat interviennent pour soutenir la filière sucre. Des schémas de contractualisation de plus en plus intégrés se développent, où la compagnie sucrière et les prestataires de services prennent un contrôle croissant sur les processus de production. Mais la grande majorité des foyers noirs restent fortement dépendants des aides sociales pour leur survie. Parallèlement, les producteurs blancs cherchent à s’adapter à travers la diversification vers d’autres activités ou la conversion des surfaces en canne vers des cultures plus rémunératrices. L’étude questionne en outre l’avenir de la canne et le bien-fondé des politiques publiques actuelles. Abstract This document presents the diagnosis-analysis of an agricultural area situated in the sugar belt of KwaZulu-Natal, in South Africa. The issues revolve around sugarcane farming and the agrarian reform initiated in the late 1990’s, in a context of huge racial inequalities. Through the processes of land redistribution and land restitution, the “new South Africa” wants to facilitate access to land for black people. One consequence, however, is the reduction in production areas and diminishing yields. In front of the declining overall production, the sugar company and the government intervene to support the sugar industry. Some contracting schemes, more and more integrated, are developing and the sugar company and the contractors take an increasing control over the production process. But the large majority of black households remain highly dependent on social grants for their survival. Meanwhile, white farmers try to adapt by diversifying into other activities or by the conversion of cane areas to more remunerative crops. The study also questions the future of sugarcane and the adequacy of current government policies. Sommaire Remerciements ................................................................................................................................. 2 Résumé ............................................................................................................................................. 3 Abstract ............................................................................................................................................. 3 Notes préliminaires ........................................................................................................................... 6 Introduction et contexte ................................................................................................................... 7 La région sucrière de Sezela, au sud du KwaZulu-Natal ................................................................. 10 Données climatiques ................................................................................................................... 10 Histoire géologique du sud-est du KwaZulu-Natal et géomorphologie ..................................... 11 Géomorphologie de la région de Sezela ..................................................................................... 15 Sols .............................................................................................................................................. 18 Délimitation de la zone d’étude ................................................................................................. 18 Histoire agraire de la région : origines et différenciation des systèmes de production ................. 24 Des origines du peuplement jusqu’aux temps du roi Shaka (début du XIXème siècle) ............. 24 L’empire zulu ............................................................................................................................... 24 1850-1910 : L’installation des Anglais et le développement des cultures de rente ................... 25 1910-1950 : expansion de la culture de la canne à sucre dans la région ................................... 34 1950-1980 : modifications profondes des systèmes de production .......................................... 38 Années 1980 : difficultés dans la filière canne et augmentation de la productivité du travail .. 43 Années 1990-2000 : bouleversements politiques, transferts de terres et difficultés de la filière sucrière locale ................................................................................................................................... 46 Identification et description des systèmes de production observés .............................................. 67 Préambule : le cas des bénéficiaires de la réforme agraire ........................................................ 67 Indicateurs économiques utilisés ............................................................................................... 69 Caractérisation des systèmes de production .............................................................................. 71 Représentativité des systèmes de production ......................................................................... 140 Comparaison des systèmes de production ................................................................................... 143 Comparaison de la valeur ajoutée des systèmes canniers ....................................................... 143 Comparaison de la valeur ajoutée totale et du revenu agricole .............................................. 145 Conclusions et perspectives .......................................................................................................... 149 Bibliographie ................................................................................................................................. 151 Annexe 1 : Paiement de la canne à sucre ..................................................................................... 154 Composition de la canne à sucre .............................................................................................. 154 Recoverable value (RV) ............................................................................................................. 155 Du prix par tonne de sucre au prix par tonne de RV ................................................................ 156 RV relatif et prix payé au planteur ............................................................................................ 158 Paiement provisoire et paiement final ..................................................................................... 161 Annexes 2 : Principales caractéristiques des systèmes de production ........................................ 164 Notes préliminaires • 1 euro = environ 10 rands • Illovo : compagnie sucrière détenant actuellement la sucrerie de Sezela Par commodité et souci de concision, nous utiliserons les abréviations suivantes : • HJ : homme-jour • Indiens : Sud-Africains d’origine indienne, descendants d’immigrants d’Inde • MCP (miller-cum-planter) : exploitations appartenant à la compagnie sucrière (Illovo ici) • NFG (new-freehold growers) : bénéficiaires de la réforme agraire hors Land Restitution, avec ou sans programme officiel. • « Réserve » : zone réservée à l’installation de personnes noires durant l’apartheid. Ces « réserves » faisaient partie d’un bantoustan, dans notre cas le KwaZulu. • RV (recoverable value) : indice de qualité de la canne, servant de base au paiement des planteurs. • SASA (South African Sugar Association) : organisme régulant la filière sucrière ; rassemble à la fois les compagnies sucrières et les planteurs • SASRI (South African Sugar Research Institute) : organisme chargé de la recherche agronomique : création de nouvelles variétés, machinisme agricole… • SSG (small-scale growers) : < 30ha de canne à sucre • SP : système de production Introduction et contexte La Communauté de Développement de l’Afrique Australe1 est le huitième producteur mondial de sucre et en est le cinquième exportateur [Illovo, 2012]. En Afrique du Sud, la province du KwaZulu- Natal concentre 13 des 15 sucreries du pays ; le sucre y représente la première production en valeur avec 43% du produit brut agricole de la province en 2001 [Department of Agriculture and Environmental Affairs, 2002]. La zone d’étude se situe sur la côte sud du KwaZulu-Natal, dans le bassin d’approvisionnement de la sucrerie de Sezela qui transforme environ 10% de la canne à sucre produite en Afrique du Sud. La canne à sucre y est, de loin, la culture dominante et la zone se retrouve de fait au cœur des enjeux liés aux transformations de la filière sucrière sud-africaine. En réservant la plus grande partie du territoire national aux Blancs, les gouvernements de l’apartheid ont favorisé le développement d’une agriculture « commerciale » blanche (capitaliste ou patronale, à salariés), qui dans notre région d’étude prend la forme de grandes exploitations de canne à sucre et de plantations forestières. La réforme agraire engagée par les gouvernements post- apartheid (après 1994) visait notamment à redistribuer 30% des terres entre 1995 et 2000. La filière sucrière sud-africaine, quasi-exclusivement approvisionnée par les Blancs durant l’apartheid, est particulièrement concernée par les processus de réforme agraire. Ainsi, dans notre zone d’étude, 10.150ha ont été transférés à de nouveaux agriculteurs noirs depuis 1995, soit environ 1/6ème des terres blanches cultivées. Depuis le début des années 1990 et la fin des sanctions économiques internationales envers le pays, et dans un contexte de libéralisation du commerce, l’émergence d’agriculteurs noirs engagés dans la canne à sucre représente un élément-clé de la problématique régionale axée sur le maintien de la production. En effet, l’usine de Sezela a la capacité de transformer 2,3 millions de tonnes de canne à sucre par an mais la production réelle est bien inférieure (Figure 1). Cette diminution résulte principalement de deux facteurs : - la réduction des surfaces en canne : tout d’abord par abandon de la canne dans les anciennes « réserves » noires, ce qui se reflète dans la Figure 1 par la part décroissante que représentent les planteurs de ces zones (SSG Noirs) dans l’approvisionnement de la sucrerie, ce depuis les années 2000. Le rachat de terres par le gouvernement pour des programmes de logement, notamment dans les anciennes missions, accentue encore la baisse de production de ces zones. En ce qui concerne les planteurs blancs, c’est surtout la conversion de terres vers d’autres cultures (eucalyptus, banane ou macadamia…) qui contribue à la baisse de production. - la baisse des rendements : La Figure 1 montre que les exploitations appartenant à Illovo occupent une place moindre dans l’approvisionnement de la sucrerie depuis les années 2000. C’est le reflet des transferts de terres opérés dans le cadre de la réforme agraire (cf. histoire agraire). Bien que les nouveaux planteurs continuent à cultiver de la canne, ces transferts aboutissent généralement à une baisse de rendements due à un manque d’expérience agricole, manque de capital pour fertiliser ou replanter, etc. Or, ne pas utiliser l’usine à pleine capacité a de sévères implications financières et économiques et, si la production de la région devait chuter durablement en-dessous de 1,5 millions de tonnes de canne par an, l’avenir de la sucrerie ne serait plus assuré. 1 Southern Africa Development Community (SADC) : zone de libre-échange regroupant 14 pays-membres, dont l’Afrique du Sud. Dans quelle mesure les nouveaux planteurs bénéficiaires des terres transférées peuvent-ils maintenir l’approvisionnement en canne ? Comment les agriculteurs blancs s’adaptent-ils aux transformations en cours ? Par ailleurs, en quoi les populations des anciennes « réserves » noires sont-elles concernées par la problématique sucrière et quelle est la pertinence de programmes visant à créer des petits planteurs de canne dans ces zones ? L’étude technico-économique des différents systèmes de production de la région et la compréhension de leurs dynamiques permettront d’apporter des éléments de réponse à ces questions. 2 500 000 t de canne livrée SSG Noirs 2 000 000 SSG Indiens 1 500 000 seuil de rentabilité 1 000 000 Exploitations "commerciales" (Blancs et "nouveaux planteurs" 500 000 bénéficiaires de la réforme foncière) Exploitations de la 0 compagnie sucrière Figure 1. Livraisons de canne à la sucrerie de Sezela (Source : Bièque&Kippeurt d’après Illovo, 2012) La chute drastique de production des années 1992-1994 est à relier à deux années de sécheresse. La sécheresse de 2010-2011 est un facteur aggravant la baisse de production évoquée en introduction. Déroulement de l’étude L’Agence Française de Développement a commandité une étude globale de la diversité de l’agriculture sud-africaine. Pour satisfaire cette demande, 5 étudiants d’AgroParisTech, 2 étudiantes de l’IRC de Montpellier et plusieurs étudiants en master à l’université de Pretoria ont été affectés dans plusieurs régions sud-africaines élues pour la diversité de leurs systèmes de production. Afin de fournir l’analyse la plus fine et la plus pertinente possible de la situation agricole des diverses régions étudiées, et pour faciliter la comparaison des résultats obtenus, une même méthodologie a été adoptée, celle du diagnostic agraire. Le diagnostic agraire est un outil d’analyse de la situation agricole d’une région donnée2. Il s’intéresse non seulement à l’état actuel de l’agriculture mais aussi à ses transformations « afin d'identifier les implications écologiques, économiques et sociales des évolutions en cours, en dégageant leur caractère incomplet ou contradictoire » [étudiants de la spécialisation Développement agricole d’AgroParisTech, 2011]. Il s’agit tout d’abord de caractériser les éléments (économiques, écologiques, sociaux, politiques…) qui conditionnent la façon dont les exploitations agricoles fonctionnent et évoluent. Ces facteurs ne sont pas à rechercher uniquement à l’échelle de l’exploitation, et ainsi la combinaison des différentes échelles d’analyse : système de culture ou d’élevage, système d’activité, et plus globalement échelle régionale, voire nationale, permet de caractériser au mieux le système agraire. La première étape de ce travail consiste en la délimitation de la région d'étude, l'identification et la caractérisation des différents milieux agro-écologiques de la région (collines de granite, plateau gréseux…), et la compréhension de l'histoire de leurs modes d'exploitation. « L'objectif est de comprendre et d'expliquer la manière dont les agriculteurs exploitent le milieu dans lequel ils se trouvent, c'est-à-dire de mettre en évidence les éléments d'ordre agro-écologique (morphologique, géologique, pédologique...), puis technique et socio-économique, qui contribuent à expliquer le mode d'exploitation du milieu actuel, puis d'identifier et d'expliquer les principales transformations passées et en cours de cet écosystème cultivé » [étudiants de la spécialisation Développement agricole d’AgroParisTech, 2011]. Les principaux outils mis en œuvre dans cette phase sont l’analyse de paysage et la lecture des cartes disponibles (topographiques, géologiques, pédologiques). Pour comprendre les transformations agricoles en cours et poser des hypothèses réalistes quant aux perspectives d'évolution de l’agro-écosystème et des exploitations agricoles, il est indispensable de compléter l’analyse par une démarche historique. Celle-ci vise à identifier les principales étapes de l’évolution de l’écosystème cultivé et des exploitations agricoles, pour mieux comprendre les conditions et suites de leurs transformations. Pour ce faire, les sources sont certes la bibliographie, mais surtout les entretiens auprès de personnes âgées (agriculteurs en retraite, retraités des organisations de planteurs ou de la filière sucrière). L’histoire et les trajectoires des exploitations agricoles, ainsi que les mécanismes de différenciation de systèmes de production, sont autant d’éléments permettant d’identifier les principaux types d’exploitations agricoles (systèmes de production) encore en activité aujourd’hui, étape préliminaire indispensable pour leur étude détaillée. Les différents types d’exploitations vont ensuite être caractérisés en détail. Ils sont appréhendés en tant que systèmes (de production) à composantes techniques, économiques et humaines. L’étude détaillée de ces systèmes passe par des entretiens approfondis avec des agriculteurs mettant en œuvre ces systèmes. Le nombre d’entretiens par type se fait selon un échantillonnage raisonné de façon à couvrir la diversité des situations existantes (sans pour autant chercher l’exhaustivité), et à 2 Sur la méthodologie du diagnostic agraire et plus généralement le concept de système agraire, lire L’Agriculture comparée, Cochet, 2011. fournir un panorama le plus complet possible de la situation agricole de la région. Une cinquantaine d’entretiens approfondis ont ainsi été réalisés. Dans les anciennes réserves où l’agriculture se fait à très petite échelle et où la dimension sociale est cruciale, nous avons préféré étudier le système d’activité3 des foyers, en réalisant une soixantaine d’entretiens. La région sucrière de Sezela, au sud du KwaZulu-Natal Données climatiques Le climat du Sud-Est du KwaZulu-Natal est de type subtropical humide4, avec un été chaud et humide et des pluies se concentrant surtout entre août et mars, mais présentes toute l’année (Figure 2). Avec une pluviométrie annuelle moyenne de l’ordre de 1.100mm, et un déficit hydrique quasi- inexistant même au cœur de l’hiver, les cultures vivrières ainsi que la culture de la canne à sucre sont pluviales, l’irrigation n’étant utilisée qu’à très petite échelle pour les pépinières de canne à sucre et les plantations de bananiers et macadamias5. Néanmoins, cette pluviométrie élevée rend parfois au printemps l’accès aux parcelles impossible au tracteur. La replantation et le chargement de la canne coupée ne sont alors plus possibles et cela retarde les opérations. L’amplitude de variation des températures au cours de l’année est faible : la moyenne sur le long terme du mois le plus chaud (février) est à Sezela d’environ 24°C alors qu’elle n’est que de 17°C le mois le plus froid (juillet). Les cultures ne sont donc pas sujettes au gel. 160 80 température précipitations moyenne mensuelle Braemar (°C) (mm) 140 70 moyenne mensuelle Sezela 120 60 température moyenne Sezela 100 50 température minimale Sezela 80 40 60 30 40 20 20 10 0 0 Figure 2. Diagramme ombrothermique de Sezela (Bièque&Kippeurt d’après SASRI, données mensuelles 1976 à 2011) *Braemar est un village situé à environ 30km à l’intérieur des terres 3 Celui-ci inclut aussi les activités extra-agricoles des familles 4 Cfa dans la classification de Köppen 5 Les fortes pentes caractéristiques de la zone collinaire nécessiteraient de plus de lourds travaux d’aménagement de terrasses pour éviter l’écoulement de l’eau d’irrigation. La culture des bananes et des macadamias nécessite une irrigation régulière. Celle-ci se fait par le biais de micro-jets afin de limiter les pertes d’eau dues à la pente.

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traduction anglais-zulu/zulu-anglais était parfois fastidieuse et souvent (20km au sud de la zone d'étude), et les négociations sont en cours avec.
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